Chaque année le 31 octobre est célébrée
dans les pays anglo-saxons une fête qui tente de s’implanter chez nous. Mélangée à la fête Catholique du « jour des morts »
(adoptée par l’empereur Constantin au IIIe siècle pour apaiser les nations
païennes, car à l’origine on la célébrait au mois de mai), cette coutume tire
ses origines des ténèbres et du paganisme le plus ancien. Nous, Chrétiens de
toutes confessions, y sommes opposés. Voici pourquoi.
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Parce que nous refusons de faire peur à nos enfants
Je sais que la vie est dure et les occasions de
s’amuser sont rares dans notre époque morose. J’ai élevé 5 enfants, et j’ai
observé que tout ce qui est du domaine du glauque, du sombre, de l’horrible et
du morbide, même déguisé sous des contes à l’apparence innocente créait en eux
des peurs qu’il fallait ensuite accompagner. La nuit, il faudra les rassurer
pendant leurs cauchemars, ou « dans les bois » parce qu’un enseignant
leur aura inoculé la « peur du loup ». Halloween, c’est un cran
au-dessus : banaliser l’horreur requiert pas mal de perversité de la part des
adultes qui en font la promotion. Le « folklore
satanique » provoque un mouvement
instinctif de recul et habituer les enfants à la laideur, à la mort, au gore,
aux sorcières etc., c’est leur VOLER LEUR ENFANCE. Non aux zombies, aux chairs
décomposées, aux gens démembrés ou assassinés avec des poignards qui dépassent,
non à ces choses laides et repoussantes et non au fait de s’y habituer. Epargnons le coeur et l’imagination de nos enfants, ils
sont si fragiles et en pleine construction.
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Parce qu’Halloween vient du paganisme
En 300 avant J.-C., une société secrète de prêtres
tenait sous son emprise le monde celte. Chaque année le 31 octobre, ceux-ci
célébraient en l’honneur de leur divinité païenne Samain, un festival de la
Mort. Les prêtres se déplaçaient de maison en maison et réclamaient des
offrandes pour leur dieu, exigeant parfois des sacrifices humains. En cas de
refus, ils proféraient des malédictions de mort sur cette maison, d’où le
« trick or treat », qui signifie « une malédiction ou un cadeau,
faites-moi une offrande sinon vous serez maudits ». Pour éclairer leur chemin,
ces prêtres portaient des navets évidés et découpés en forme de visage, où
brûlaient une bougie faite avec de la graisse humaine de sacrifices précédents.
Ces navets représentaient l’esprit qui allait rendre leurs malédictions
efficaces. C’est en arrivant aux USA au 18e siècle que la citrouille, dans
laquelle habitait un esprit nommé « Jock » (qui devint « Jack »), vint
remplacer le navet. De nos jours encore, le 31 octobre est la fête la plus
importante pour les sorciers. C’est leur « sabbat », leur « repos »
antichrétien, puisque c’est le moment où la nature elle-même va commencer Ã
entrer dans le froid, la mort et les ténèbres de l’hiver.
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Parce qu’un chrétien est appelé à bénir
Nos paroles ne doivent pas être prises à la légère.
La Bible dit que « La vie et la mort sont au pouvoir de la langue
» (Proverbes 18 :21). Nous devons utiliser nos paroles pour dire du bien, bénir,
prononcer des paroles positives et encourager notre prochain.
Pensez-vous que de dire « des bonbons, sinon je te maudis », même en riant,
soit si anodin ?
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Alors amis chrétiens, souvenons-nous qu’en incitant les enfants
à aller de porte en porte réclamer des bonbons nous nous associons à tout ce
qui se cache derrière cette fête. Gardons à l’esprit qu’en cette nuit, de nos jours encore comme dans
les plus profondes ténèbres du Moyen-Âge, des
satanistes feront des sacrifices humains, même en Occident.
Je n’exagère pas.
Réfléchissons à ceci : mettre l’horreur à l’honneur
c’est banaliser les ténèbres et initier nos enfants, de façon « soft », à la
sorcellerie, leur voler leur innocence et les éloigner du message de l’Evangile,
qui est paix, joie, amour, bonheur et lumière en Jésus-Christ. Tous ensemble Ã
nos amis, sur les réseaux sociaux, disons : Halloween, non merci !
Nicolas CiarapicaÂ
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Source :
www.infochretienne.com
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