Lâorigine et Les vrais responsables des
attentats de Paris dĂ©voilĂ©s dans la Torah dâIsraĂ«l - Paracha Toldot
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GenÚse 25.19 à 28.9 - Toldot signifie «
L'histoire » et/ou « Engendrements »
Accrochez votre ceinture spirituelle car
jamais la
paracha Ă©tudiĂ©e ce 13 novembre 2015 nâa Ă©tĂ©
aussi proche de lâactualitĂ© : toutes les clĂ©s de la comprĂ©hension au sujet des
terribles attentats de Paris y sont prĂ©sentes. Comme lâenseignent les sages
dâIsraĂ«l : il est important que lâhomme Ă©tudie/enseigne la Torah lĂ oĂč
se trouve son cĆur. Le cĆur de beaucoup est encore
marquĂ© par les derniers Ă©vĂ©nements dramatiques. Câest le moment de
sâarrĂȘter et dâessayer de comprendre en dĂ©tail ce que la Torah de Dieu
veut nous dire.
« Un cĆur intelligent
cherche la connaissance » (Proverbes 15.14)
Introduction
Comme nous le disons et lâexpĂ©rimentons
rĂ©guliĂšrement et ainsi que lâenseignent les sages dâIsraĂ«l, lâĂ©tude de la
paracha de chaque semaine a ceci dâextraordinaire quâelle est toujours liĂ©e de
prÚs ou de loin aux actualités et/ou à des événements ayant lieu dans le monde
ou dans nos vies personnelles. Pas Ă©tonnant que YĂ©shoua lui-mĂȘme approuvait ce
systĂšme dâĂ©tude inspirĂ© de Dieu.
Afin de saisir la grandeur du message, il
est nécessaire de revoir en détail plusieurs concepts et enseignements
fondamentaux qui seront nécessaires pour la bonne compréhension du message
dĂ©livrĂ© par la Torah au sujet du conflit entre le monde et lâIslam radical.
Bien que trĂšs longue, cette Ă©tude sâavĂšre des plus cruciale en raison de la
puissance des dĂ©voilements quâoffre la Torah dâIsraĂ«l Ă ceux qui ont lâamour de
la vĂ©ritĂ©, Ă lâimage de ce que Dieu dira Ă Daniel : « Toi,
Daniel, tiens secrĂštes ces paroles, et scelle le livre jusquâau temps de la
fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. » (Daniel
12.4)
La Torah est la
source de toute compréhension.
Les sages dâIsraĂ«l enseignent que La Torah
est comme le logiciel, le microcosme de lâhistoire dâIsraĂ«l et de
lâhumanitĂ©. Tout ce qui se passe dans ce monde a forcĂ©ment une allusion
dans la Torah. La Torah décrit des mécanismes, des modÚles qui se répÚtent dans
chaque gĂ©nĂ©ration, que cela soit au niveau collectif ou individuel. Câest pour
cela que le messager Polos (Paul), en parlant du Tanakh, câest Ă dire des
Ăcrits de la Bible hĂ©braĂŻque (de GenĂšse Ă Malachie, câest Ă dire Torah +
prophĂštes, psaumes et autres Ă©crits), insiste :
« Tout
ce qui a Ă©tĂ© Ă©crit dâavance lâa Ă©tĂ© pour notre instruction » (Romains
15.4) et encore : « Toute lâĂcriture (Tanakh) est divinement
inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former
à la justice » (2 Timothée 3.16)
Paul, Ă©levĂ© au pied dâun sage reconnu dans
le judaĂŻsme (Gamaliel), connaissait ce principe Ă©noncĂ© par les sages dâIsraĂ«l :
« Maassé
avot siman lebanim » â « Tout ce qui est arrivĂ© aux
pÚres (les patriarches) est un signe pour les fils ».
Cela signifie que le peuple dâIsraĂ«l (et
le monde entier), dans son histoire, revit les mĂȘmes pĂ©ripĂ©ties que celles
racontées dans la Torah mais à des niveaux et sous des formes différentes.
La Torah est un peu comme la carte dâidentitĂ© dâIsraĂ«l. Avec cette grande
diffĂ©rence, et câest lĂ quâest la difficultĂ© dâanalyse, que les Patriarches ont
vĂ©cu cette histoire Ă lâĂ©chelle individuelle tandis que leur histoire et les
mĂ©canismes que Dieu nous dĂ©voile peuvent sâhabiller non plus dans un
personnage, mais dans un peuple, une nation, ou une idéologie comme nous le
verrons largement dans cette Ă©tude et comme une multitude dâexemple existe Ă ce
sujet (Par exemple, lire le livre « le code dâEsther » pour
voir les liens nombreux et surrĂ©alistes entre la Shoah et le livre dâEsther
dans la Bible).
Dans la Torah, nous trouvons donc tous les
mécanismes et tous les principes fondamentaux permettant de comprendre chaque
Ă©vĂ©nement de lâhistoire humaine, que cela soit au niveau personnel ou mondial.
Tout la problématique consiste à avoir les clés de la compréhension pour
dĂ©vĂ©rouiller les portes de la vĂ©ritĂ©, conduit par lâEsprit de lâEternel comme
promit pour tous ceux qui se confieront en Dieu et croiront en son Messie
YĂ©shoua :« lâEsprit de vĂ©ritĂ©, il vous conduira dans
toute la vérité » (Jean 16.13). On comprend pourquoi David
priait de tout son cĆur ainsi : « Donne-moi lâintelligence,
pour que je garde ta TORAH Et que je lâobserve de tout mon cĆur !
»(Psaumes 119.36)
Egalement, Les
MaĂźtres dâIsraĂ«l enseignent que le monde dâen bas a Ă©tĂ© crĂ©Ă© selon les
principes du monde dâen haut : tout ce qui se passe dans ce monde, tous les
mécanismes et les réalités observées sont le reflet de
rĂ©alitĂ©s spirituelles dans le monde dâen Haut.
Ce nâest pas sans raison que YĂ©shoua
utilisait de nombreuses paraboles et des similitudes terrestres pour faire
comprendre les choses célestes ou spirituelles.
Il fera lui mĂȘme le parallĂšle : « Si
vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment
croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ? » (Jean
3.12) et encore : « Que la volonté de Dieu soit faite sur
la terre comme au ciel » (Matthieu 6.10)
La Torah nous enseigne donc que ce monde
matériel et physique est le reflet de principes et de lois spirituelles situées
à un niveau beaucoup plus élevé comme nous le montre également ce passage de la
Brit Hadasha (alliance renouvelée) : « Un culte, image et
ombre des choses cĂ©lestes, selon lâordre divin qui fut donnĂ© Ă MoĂŻse,
lorsquâil devait dresser le tabernacle: Prends garde, lui dit-Il, de faire
tout selon le modĂšle qui tâa Ă©tĂ© montrĂ© sur la montagne. » (HĂ©breux
8.5)
Ainsi, prenons un exemple en contexte
qui nous servira tout au long de cette Ă©tude : dans toute scĂšne de crime, il y
a nécessairement des indices, aussi infimes soient-ils, permettant de retrouver
les coupables et de comprendre rĂ©ellement ce qui sâest passĂ©.
Telle une enquĂȘte, nous allons prendre ce
mĂȘme principe et lâappliquer aux terribles Ă©vĂ©nements de ce vendredi 13
novembre 2015 afin de découvrir les indices spirituels que Dieu veut
nous transmettre afin de comprendre les sources profondes de ce mal.
De la mĂȘme
façon quâaucune scĂšne de crime ne peut rester sans aucun indice, rien sur terre
ne se passe sans que Dieu ne laisse des traces, des indices spirituels clairs
et évidents afin de nous aider à comprendre les événements avec
vérité.
Le réflexe de
tout juif et de tout convertis Ă Dieu(idĂ©alement), lorsquâil se passe des
événements importants, est de regarder la paracha de la semaine afin de
chercher et de comprendre quel est le message de Dieu, dâoĂč lâimmense
importance dâĂ©tudier la Torah comme le faisait le Messie YĂ©shoua et tous les
premiers disciples juifs et non juifs qui se réunissaient notamment le Shabbat
pour grandir dans les enseignements de Dieu et de Sa Torah, Ă
lâaide des prĂ©cieuses explications et commentaires des sages dâIsraĂ«l sans
lesquels les Ecritures sont inévitablement tordues et mal interprétées comme il
est dit : « Les Lévites, expliquaient la Torah au peuple, et
chacun restait Ă sa place. Ils lisaient distinctement dans le livre de la
Torah de Dieu, et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce quâils
avaient lu. » (Néhémie 8.7-8)
Effectivement, les MaĂźtres dâIsraĂ«l
enseignent que tous les indices de ce monde sont inclus dans la paracha de la
semaine dâoĂč lâimportance de sonder le message dĂ©livrĂ© lors de lâĂ©tude du
shabbat du 13 novembre 2015, date Ă laquelle sâest prĂ©cisĂ©ment produite
cette sĂ©rie dâattaques sur Paris.
Ces notions importantes maintenant
exposées, découvrons et analysons ensemble plusieurs versets
apparemment anodins que lâon trouve dans la paracha Ă©tudiĂ©e et examinons les
enseignements de la Torah et des sages dâIsraĂ«l Ă ce sujet. Bien que longues,
les explications nombreuses données dans cette étude sont essentielles pour
capter Ă sa source le message profond de la Torah.
Résumé de la paracha :
Isaac Ă©pouse RĂ©becca. Vingt ans durant,
ils restent sans enfants, puis voient leurs priÚres exaucées. Mais Rébecca
connaßt une grossesse difficile, car « les enfants luttaient en
elle ». D.ieu lui dit : « Deux nations sont
dans ton sein. LâaĂźnĂ© obĂ©ira au plus jeune ». EsaĂŒ apparaĂźt
le premier suivi par Jacob tenant, de la main, le talon de son frĂšre. EsaĂŒ
devient « un chasseur rusé, un homme des champs »,
Jacob est « un homme intÚgre », qui demeure dans
les tentes de lâĂ©tude. Rentrant dâune chasse, fatiguĂ© et affamĂ©, EsaĂŒ vend son
droit dâaĂźnesse Ă Jacob contre un plat de lentilles rouges.
Isaac, sâapprochant de sa mort et devenu
aveugle, eut le dĂ©sir de bĂ©nir lâaĂźnĂ© EsaĂŒ et lui transmettre ainsi la
bĂ©nĂ©diction dâAbraham son pĂšre. Pendant quâEsaĂŒ sâen est allĂ© chasser le gibier
favori de son pĂšre, RĂ©becca fait revĂȘtir Ă Jacob des vĂȘtements dâEsaĂŒ et
enveloppe ses mains et son cou de peau de chevreau pour quâil paraisse velu
comme lui. Elle prĂ©pare un mets, identique Ă celui quâEsaĂŒ Ă©tait allĂ© quĂ©rir
pour recevoir la bénédiction, et le remet à Jacob. Isaac bénit alors
Jacob de jouir « de la rosée des cieux et des sucs de la
terre » et lui promet la domination sur son frÚre. Quand
EsaĂŒ, de retour, dĂ©couvre la supercherie, Isaac ne peut plus que lui annoncer
quâil vivra par lâĂ©pĂ©e et quâil sera tributaire de son frĂšre, mais que, lorsque
Jacob sera dĂ©faillant, il perdra sa suprĂ©matie sur lui. Jacob va Ă
âHaran pour fuir la colĂšre dâEsaĂŒ et y trouver une Ă©pouse dans la famille de
Laban, son oncle maternel. EsaĂŒ, en plus de ses deux femmes cananĂ©enne, prend
une troisiĂšme femme, Maâhlat, fille dâIsmaĂ«l.
EsaĂŒ, Edom, Jacob et lâempire romain
chrétien : que représentent-ils et quel est le lien ?
La portion de Torah étudiée ce shabbat du
vendredi 13 novembre 2015 parle, entres autres, dâEsaĂŒ/Edom et de sa haine
envers Jacob. A la fin de la paracha, nous y voyons aussi EsaĂŒ/Edom qui vient
faire une alliance avec Ismaël en épousant une de ses filles.
Regardons et attardons nous sur ce
que reprĂ©sente Edom et EsaĂŒ car
Comprendre ce
quâenseigne la Torah et les sages dâIsraĂ«l au sujet dâEdom et dâEsaĂŒ est
absolument fondamental.
Regardons le verset de la paracha dans
lequel EsaĂŒ est rapprochĂ© du nom « Edom » :
« Comme Jacob faisait cuire un
potage, EsaĂŒ revint des champs, accablĂ© de fatigue.Et EsaĂŒ dit Ă Jacob
:Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-lĂ , car je suis
fatiguĂ©. Câest pour cela quâon a donnĂ© Ă EsaĂŒ le nom dâEdom. » (GenĂšse 25.29-30).
PremiĂšrement, le texte nous montre quâEsaĂŒ
= EDOM comme il est aussi Ă©crit : « EsaĂŒ, pĂšre dâEdom » et
encore :« EsaĂŒ, câest Edom. » (GenĂšse
36.9,19). Veuillez bien notez et retenir cette précision que donne la
Torah car au travers dâEdom et dâEsaĂŒ se cache une clĂ© Ă©norme qui Ă©claircira
dâavantage les messages donnĂ©s par les prophĂštes.
Regardons ce que rapporte certaines
sources juives au sujet dâEsaĂŒ et dâEdom :
Alors quâelle Ă©tait enceinte, leur mĂšre,
Rebecca (Rivqa), alla consulter YHWH parce que « les enfants se
heurtaient en elle ». Elle reçut alors cet avertissement : « Deux
nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront en sortant de tes
entrailles; un peuple sera plus fort que lâautre, et le plus grand frĂšre sera
asservi au petit » (v. 25,22-24). Selon le Talmud, HaChem (Dieu)
aurait en fait prophétisé à Rebecca :
« Deux nations
sont en ton sein, deux nations possĂ©dant chacune son univers propre, lâune la
Torah, lâautre le pĂ©chĂ© » ( Berakhot, 57b).
Dans le Midrash (commentaire de la
Torah, voir glossaire),
on en dĂ©duira que les tendances profondes de Jacob et dâEsaĂŒ se manifestaient
dĂšs avant leur naissance:chaque fois que leur mĂšre passait devant une
synagogue, Jacob sâagitait pour sortir, tandis que chaque fois quâelle passait
devant un temple paĂŻen, câest EsaĂŒ qui remuait ( GnR 63, 6) !
Le texte de la paracha montre quâEsaĂŒ
Ă©tait un chasseur, ce qui laisse entendre quâil aimait Ă faire couler le sang,
qui est de couleur rouge (dans la Bible, la chasse est toujours présentée
péjorativement).
Or, câest la mĂȘme racine hĂ©braĂŻque qui est
Ă lâorigine des mots dĂ©signant le rouge ( adomâ ) et le sang. Câest
tout aussi significativement quâEsaĂŒ est explicitement dĂ©signĂ© comme un « roux » (admĂŽni),
couvert Ă sa naissance de poils roux.
Le goĂ»t dâEsaĂŒ pour le rouge ou le roux
apparaĂźt de façon plus Ă©vidente encore dans le cĂ©lĂšbre Ă©pisode oĂč il abandonne
son droit dâaĂźnesse Ă son frĂšre Jacob en Ă©change dâun plat de lentilles que ce
dernier prĂ©parait et quâil convoitait : « Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-lĂ (âŠ) Câest
pour cela quâon a donnĂ© Ă EsaĂŒ le nom dâEdom. ».
Tout ce passage, en hébreu, joue sur
lâĂ©tymologie des mots et des noms, le plus significatif Ă©tant Ă©videmment
quâEsaĂŒ dĂ©signe avec insistance les lentilles par lâexpression « ce
rouge, ce rouge-là » (mine hùùdÎme hùùdÎme hazéh), et que le texte
ajoute aussitĂŽt : « Câest pourquoi
on lâa appelĂ© Edom » (v.
25,30).
Edom est donc le second nom dâEsaĂŒ, tout
comme Israël est le second nom de Jacob.
EsaĂŒ est appelĂ© Edom parce quâil est « porteur de cheveux roux et assoiffĂ© de sang ». Il est Edom
parce quâil est « le Rouge » (adomâ). Cette Ă©quivalence est maintes fois
rĂ©pĂ©tĂ©e dans la Torah : « EsaĂŒ, câest Edom » (Gen. 36,1 et
36,8), « Câest EsaĂŒ, pĂšre dâEdom » (Gen. 36,43). (note Thomas : sans la comprĂ©hension profonde du texte original en hĂ©breu,
nous voyons clairement comment le lecteur peut passer à cÎté de jeux de mots au
travers desquels Dieu donne des messages fondamentaux que seul le texte hébreu
met en Ă©vidence)
La GenĂšse assure quâimmĂ©diatement aprĂšs la
mort de son pÚre Isaac, et aprÚs avoir « pris ses femmes parmi les
filles de Canaan », EsaĂŒ « partit pour le pays de SĂ©ĂŻr » et
sâ« Ă©tablit dans la montagne de SĂ©ĂŻr », oĂč il engendra le peuple
Ă©domite.
Dans la Bible,
Edom est citĂ© parmi les nations hostiles Ă IsraĂ«l que le roi SaĂŒl aurait
affrontĂ©es. Par exemple en 1 Sam. 14,47 : « AprĂšs que SaĂŒl eut pris possession de la royautĂ© sur IsraĂ«l, il fit de tous
cĂŽtĂ©s la guerre Ă tous ses ennemis (âŠ) Ă Edom ».
Durant lâExode, notamment, les habitants
dâEdom auraient refusĂ© aux HĂ©breux de les laisser passer Ă travers leur
territoire, alors que MoĂŻse Ă©tait parvenu Ă CadĂšs (Nombres 20,18-21). Les
HĂ©breux auraient alors choisi, non de les affronter directement, mais de
contourner leur pays (Nombres 21,4).
Par la suite,
de nombreux textes de la Bible (II Rois, II Chroniques, Psaume 137, Amos 1,11,
Ezech. 35,1-9, etc.) attestent dâune haine tenace entre les deux peuples (Edom
et Israël).
La plupart dâentre eux sâappuient sur
lâĂ©quivalence EsaĂŒ-Edom pour reprocher aux Edomites dâavoir constamment agi
envers IsraĂ«l de la mĂȘme façon peu fraternelle quâEsaĂŒ sâest comportĂ© envers
Jacob.
Les Romains, en
dâautres termes, auraient hĂ©ritĂ© des valeurs et de la conception du monde que
la Bible attribue Ă EsaĂŒ-Edom. Mireille Hadas-Lebel est une historienne
française de lâAntiquitĂ©, spĂ©cialiste de lâhistoire du judaĂŻsme. Elle explique
une chose importante : « A cette Ă©poque, le verset : « EsaĂŒ se prit de haine pour Jacob » (Gen. 27,41) ne fait plus
seulement allusion aux simples personnages bibliques, mais aussi aux deux
nations inconciliables quâils sont censĂ©s reprĂ©senter
». Dâailleurs, la personne du roi HĂ©rode le Grand (cruel et
sanguinaire), ou celle de son pĂšre Antipater, tous deux descendants des
Edomites, a pu faciliter ou favoriser cette identification.
Le grand rabbin Alain Goldmann, allant
jusquâĂ voir en EsaĂŒ le « prototype de tous les maux subis par IsraĂ«l », Ă©crit
:
« Nos sages
voient en Rome, la Rome antique, la personnification dâEdom, qui dĂ©signe
gĂ©nĂ©ralement EsaĂŒ et tous ceux qui vivent selon sa façon dâĂȘtre. Pour en donner
une illustration, sachons que Rome nâavait en effet aucun Ă©gard pour le droit
et lâhumanitĂ©, ne cessant dâutiliser tous les moyens de la violence et de la
ruse. Elle parvenait ainsi à posséder une force rarement égalée. Comme
EsaĂŒ, ennemi implacable de son frĂšre, ainsi Rome fut-elle sans pitiĂ© pour
IsraĂ«l, alors que Jacob-IsraĂ«l est animĂ© dâun sens profond de justice, dâamour
du prochain »
Le Rabbi Nathan fait un intéressant
commentaire : Il répond ensuite à la question : pourquoi peut-on appliquer
à Rome le verset du Deutéronome :
« et le porc, car il a le sabot fendu » ? La rĂ©ponse est celle-ci : « De mĂȘme que le cochon, quand il
se couche, prĂ©sente dâabord ses sabots comme pour dire: voyez comme je suis
pur, de mĂȘme lâempire dâEdom [Rome] se vante dâĂ©tablir des tribunaux de justice
alors mĂȘme quâil commet ses violences et ses pillages » (Midrash Rabba
sur Vayikra [LĂ©vitique] 13,5).
Le parallĂšle sâimposerait entre
lâhypocrisie des Romains, qui cachent leurs exactions sous des apparences de
justice, et celle du cochon, qui cache son impureté en mettant en avant ses
sabots fendus (GnR65, 1).
Note Thomas : la comparaison est trĂšs
rĂ©aliste et intelligente. La Torah nous enseigne quâun animal, pour ĂȘtre
considéré comme pur, doit avoir 2 signes de pureté : ruminer et avoir les sabots fendus. La
Torah nous parle du porc comme étant un des rares animaux impurs qui présente
seulement un des deux signes de pureté exigé : Il a les sabots fendus (1er
signe) mais il ne rumine pas (absence du deuxiĂšme signe). Ainsi, les sages
utilisent à raison le porc pour décrire un type de personne ou de civilisation
qui met en avant de belles apparences et des signes extérieurs de pureté
(sabots fendus) mais dont lâintĂ©rieur est impur, câest Ă dire contre les lois
de Dieu, non conforme (ne rumine pas). Ce type de personne ou de civilisation
est le plus dangereux car sĂ©ducteur et trompeur. Câest ce que la Brit Hadacha
appelera « tombeau blanchi » ou encore « apparence de piété ».
Cette remarque est absolument intéressante
dans le mesure oĂč câest prĂ©cisĂ©ment ce que lâon observe dans lâhistoire du
christianisme paganisĂ©, notamment au travers du catholicisme romain et aujourdâhui
encore dans une partie du protestantisme qui hĂ©rite de lâADN catholique : sous
des apparences de piĂ©tĂ©, le catholicisme a Ă©tĂ© Ă lâorigine des plus grands
actes et discours antisĂ©mites de lâhistoire inspirant mĂȘme Hitler (voir plus
bas). Le christianisme officiel a également déformé et tordu le sens de
nombreux passages des Saintes-Ăcritures, supprimant ainsi de nombreux
commandements de Dieu (rebelle Ă la loi de Dieu), ce qui lui a aussi valu de
sombrer dans lâidolĂątrie, sans mĂȘme parler des atrocitĂ©s commises lors de
lâinquisition, et le tout sous couvert de religion. Aujourdâhui encore, mĂȘme
dans le monde protestant, beaucoup ont ce mépris conscient ou inconscient
envers le peuple juif, toujours atteint à des degrés plus ou moins profond de
ce perfide venin de la théologie du remplacement et de la fausse doctrine de
lâabolition de la loi :
Rebelle aux lois de Dieu, idolĂątrie, sang
ROUGE versé, haine envers Israël et envers les chrétiens qui observent la
Saine Doctrine (Torah, Loi de Dieu) : nous avons ici toutes les
caractĂ©ristiques principales dâEDOM/ESAĂ.
Spirituellement, lâentitĂ© mondiale appelĂ©e
« christianisme » (catholicisme + une partie du protestantisme qui ne
proteste plus) est effectivement comparable en tout point Ă EDOM/ESAĂ.
Ainsi, de Jacob sortiront les 12 tribus
dâIsraĂ«l et donc le peuple dâIsraĂ«l, quâEsaĂŒ/Edom porte en haine jusquâĂ
aujourdâhui encore. dâEsaĂŒ sortira le peuple Ă©domite et, bien que le peuple
physique ne perdurera pas, lâesprit et lâidĂ©ologie Ă©domique se propageront jusquâĂ
la fin de lâhistoire humaine, ainsi que nous le montre les prophĂštes qui citent
rĂ©guliĂšrement Edom et EsaĂŒ dans les prophĂ©ties relatives aux temps de
la fin.
Les vérités
révélées dans la Torah sont parfaites et éternelles et, selon les époques, elles
prennent des habillage diffĂ©rents mais demeurent les mĂȘmes.
Ainsi, cette haine et cette rivalité
antique entre EsaĂŒ-Edom et Jacob-IsraĂ«l trouve son origine dans notre
paracha :
« EsaĂŒ conçut de la haine contre
Jacob,
à cause de la bénédiction dont son pÚre
lâavait bĂ©ni; et EsaĂŒ disait en son coeur : Les jours du deuil de mon pĂšre vont
approcher,
et je tuerai Jacob, mon frÚre. » (GenÚse 27.41)
EsaĂŒ/Edom est dĂ©pourvu de foi et dâintĂ©rĂȘt
spirituel véritable. Il méprise la bénédiction divine attachée à la postérité
dâAbraham. La Torah nous le dĂ©peint comme Ă©tant irreligieux, rebelle Ă toute
loi et hostile à Jacob-Israël.
Nous comprenons beaucoup mieux pourquoi
les sages dâIsraĂ«l enseignent que le mot EDOM, lorsquâil apparait dans la
Bible, fait aussi rĂ©fĂ©rence Ă lâempire romain et aujourdâhui Ă lâeurope
chrétienne (Occident + Etats-Unis). Plusieurs en seront offusqués mais peu
importe, la vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre dite : Comme EsaĂŒ/Edom, lâempire romain et le
catholicisme romain avec une large partie du protestantisme, ont largement
démontré leur haine/mépris envers Israël et leur rébellion face aux lois de
Dieu : « Je tuerai Jacob, mon frÚre » (à prendre aussi au
sens spirituel).
Dans son excellent ouvrage « La
paracha, compilation de commentaires et dâhistoires », le Rav Eliaou
Hassan rapporte un enseignement précieux au sujet du verset « Laisse-moi,
je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-lĂ , car je suis
fatiguĂ©. Câest pour cela quâon a donnĂ© Ă EsaĂŒ le nom dâEdom. » :
« Le verset est trÚs surprenant, en effet
une personne qualifie un plat de rouge, et pour cela elle est nommĂ©e de la mĂȘme
façon ? (« Adom » veut dire « rouge » en hébreu). Nos « Hakhamim (sages)
nous enseignent que lorsquâEssav(EsaĂŒ) naquit, il Ă©tait tout rouge, on eut
alors un doute. Ătait-ce un signe quâil aurait une attirance particuliĂšre pour
le sang, ou bien Ă©tait-ce simplement dĂ» Ă la couleur quâont certains bĂ©bĂ©s en
naissant, parce que leur sang nâest pas encore bien diffusĂ© dans tout le corps
?
EsaĂŒ grandit et le doute se dissipa.
Lorsquâil se trouva devant le plat de lentilles et quâil exprima le dĂ©sir dâen
manger en le désignant par son aspect extérieur uniquement, et plus précisément
par sa couleur, cela signifiait quâil avait bien une attirance particuliĂšre
pour le rouge et ce que cette couleur symbolise. Il avait donc bien une
tendance sanguinaire et on le nomma « Edom » pour cela.
Les commentateurs nous expliquent que
lorsquâun personnage sâexprime pour la premiĂšre fois dans la Torah, il affiche
alors sa personnalitĂ© et lâessence de sa nature. Dans notre verset, câest la
premiĂšre fois quâEsaĂŒ parle, regardons ce quâil nous dit, et projetons-nous
dans lâhistoire, sachant quâil est le pĂšre de lâoccident :
Fais moi avaler : Voracité
Je te prie : Politesse, bonne maniĂšre, courtoisie. MalgrĂ© sa voracitĂ©, il nâoublie
pas les civilitĂ©s. Lâoccident a cette caractĂ©ristique de faire les pires
horreurs tout en ayant lâair les plus civilisĂ© du monde.
Du rouge, de ce rouge lĂ : Il regarde surtout Ă lâextĂ©rieur, aux apparences, il voue un culte au
beau. (note Thomas : + attrait au sang,
tendance sanguinaire) »
Je suis (fatiguĂ©) : Il est Ă©crit « Anokhi », terme utilisĂ© par Dieu lui mĂȘme.
Note Thomas : cette remarque est dâune grande importance. Regardez ce que dit le
Malbim, un sage dâIsraĂ«l, dans une explication rapportĂ©e par le Rav
Michael Smadja :
« Il y a une distinction entre
« ani » (je suis) et « anokhi » (JE SUIS) [utilisé ici]
pour exprimer la premiÚre personne du singulier. « Ani » veut
donner une information sur sa situation comme dans « ani omed » :
« je suis debout » et non assis. Alors que le mot
« Anokhi » donne une indication sur la personne elle-mĂȘme comme
dans le verset: « Anokhi Essav bekhorékha » « je suis Essav ton
aĂźnĂ© », cela vient donner une indication sur lâessence mĂȘme de la
personne et non sur sa situation. Et donc lorsque le verset sâexprime
ainsi: « Anokhi hachem » « Je suis Hachem(D.ieu) qui tâa sorti
de our kasdim » il vient enseigner que son nom est YHWH. »
Mais alors, lorsque EsaĂŒ, pour dire «
Je suis fatigué », utilise le terme « Anokhi », terme utilisé par Dieu lui
mĂȘme, le texte hĂ©breu nous donne une grande indication que le texte français
est incapable de faire ressortir : EsaĂŒ « se prend » pour Dieu.
Encore, une fois, nous voyons que sans la compréhension profonde du
texte original en hébreu, le lecteur peut passer à cÎté de jeux de mots au
travers desquels Dieu donne des messages fondamentaux que seul le texte hébreu
met en Ă©vidence.
Regardez ce que dit la suite de
lâenseignement rapportĂ© par le Rav Eliaou Hassan et qui confirme lâenseignement
du Malbim :
« EsaĂŒ « EST » (Anokhi) et il se prend
pour D⊠Nous voyons effectivement combien lâoccident se prend pour Dieu car il
a dâune certaine façon usurpĂ© sa place puisquâil nie son existence. Il se croit
tout puissant parce quâil a inventĂ© lâĂ©lectricitĂ©, la bombe, le vaccin.
Big-Bang, préhistoire, il croit pouvoir tout faire, tout expliquer, à tel point
que les petits enfants en France par exemple, apprennent que lâhomme descend du
singe⊠Dominateur et conquĂ©rant, EsaĂŒ se croit invincible (voir les multiples
conquĂȘtes du monde occidental et ses multiples colonies)⊠»
Note Thomas : Ce nâest pas hasardeux si, dans le christianisme
« officiel » trĂšs liĂ© Ă lâEsprit dâEsaĂŒ/Edom, cette usurpation des
attributs de la divinité est également présente au travers du Pape et de la
vierge Marie, qui, littĂ©ralement, ont volĂ© la place de Dieu par le culte quâils
reçoivent (Selon les sources catholiques, Marie est lâavocate, la porte,
lâespĂ©rance et co-rĂ©demptrice ; le pape est le remplaçant du Messie (vicaire),
infaillibilité de ses enseignements etc) et, dans le protestantisme, si le pape
a été remplacé dans une certaine mesure par le pasteur, la messe par le culte,
nous voyons par exemple un enseignement répandu dans le mouvement « parole
de foi » consistant à faire des croyants des « petits
dieux ». La doctrine des âpetits dieuxâ, selon laquelle par la
nouvelle naissance le chrétien devient « une incarnation de Jésus de Nazareth »
(Hagin). K. Copeland, C. Dollar, B. Hinn et Joyce Meyer ont largement promu
cette doctrine. Une terrible fausse doctrine qui pourtant, est bien accueilli
par des centaines de milliers de chrĂ©tiens « protestants »âŠ
Voyons maintenant un bref rappel
historique de cette haine antique et sanguinaire de lâempire romain envers IsraĂ«l
(haine dâEsaĂŒ-Edom envers Jacob-IsraĂ«l) :
Au début de ce qui est appelé couramment «
lâĂ©glise primitive », lorsque les premiers chrĂ©tiens Ă©taient pleinement
connectés à Israël sans renier en rien le judaïsme biblique et la
Torah de Dieu (Saine Doctrine, Torah), on se rappelle, en lâan 64, du massacre
de tous ces disciples juifs et non juifs suiveur de YĂ©shoua, qui furent
transformĂ©s en torches vivantes sur lâordre du Dictateur Romain NERON.
Regardez maintenant un bref
échantillonnage des persécutions subit par Israël-Jacob peu aprÚs Néron :
En 70, lâarmĂ©e romaine dĂ©truit
JĂ©rusalem. Plus dâun million de juifs sont massacrĂ©s, 97 000 sont
pris en esclavage et en captivité, beaucoup arrivent à fuir.
En 132 Bar Kochba mena une guerre de
trois ans contre lâempire romain. Environ un demi million
de juifs périrent, des milliers furent vendus comme esclaves, et le reste
fut expulsé de Palestine un peu partout dans le monde.
En 135-200 : Les persécutions
romaines contre les juifs continuent. Les juifs nâont pas le
droit de pratiquer la circoncision, ni de lire la Thora, ni de manger du pain
azyme à Pessah. AprÚs la répression des révoltes juives,
les Romains débaptisent la terre de Judée pour
lâappeler Palestine. Lâempereur romain Severus interdit de se
convertir au judaĂŻsme.
De 325 Ă 418 : Lâempereur romain
Constantin le Grand publie lâĂ©dit de Milan, qui retire de nombreux
droits aux juifs. Le concile de Nicée interdit aux juifs de respecter le
shabbat et déclare hérétique les pratiques de la religion juive. Les juifs se
voient retirĂ©s la citoyennetĂ© romaine et sont expulsĂ©s de JĂ©rusalem. Lâempereur
chrétien Constantin promulgue une loi qui punit de mort le mariage entre les
chrétiens et les juifs. La conversion au judaïsme devient un crime. Le
synode laodicĂ©en Ă©dicte que « un chrĂ©tien nâest pas autorisĂ© Ă recevoir du
pain non levĂ© dâun juif ». St Hilaire de Poitiers fait rĂ©fĂ©rence aux
juifs comme un peuple pervers que Dieu a maudit pour toujours. St Ephraim
tient les synagogues pour des bordels. LâĂ©vĂȘque de Milan brĂ»le une
synagogue en affirmant que « câest un acte qui plait Ă Dieu ». St
JĂ©rĂŽme, qui publia une traduction de la bible, Ă©crit au sujet des synagogues :
« si vous appelez ça un bordel, une chambre du vice, le refuge du diable,
la forteresse de satan, un endroit de dépravation des ùmes, un abysse de tous
les dĂ©sastres concevables, ou tout ce que vous voulez, vous ĂȘtes encore en
dessous de la réalité »
(source : http://www.europe-israel.org/2012/12/et-dire-que-certains-pensent-que-la-persecution-des-juifs-deurope-cest-la-shoah/)
Nous voyons ici clairement lâesprit
sanguinaire et de haine dâEsaĂŒ envers Jacob implantĂ©e dans lâempire Romain et
répandu dans la nouvelle fausse religion naissante : le catholicisme romain.
Lâempire Romain a perdurĂ© jusquâen 284 ap
J.-C puis, notamment avec lâempereur romain Constantin au 4Ăšme siĂšcle, câest le
paganisme qui est entrĂ© dans lâĂ©glise devenue officiellement la religion de
Rome, dĂ©connectĂ© des ses racines vĂ©ritables, dâoĂč lâappellation « le
catholicisme romain » dont le caractĂšre Ă©domite sâest manifestĂ© comme
jamais : rebelle aux lois de Dieu, sanguinaire et hostile à Israël (Jacob).
Franck Viola, dans son excellent document
de référence « le christianisme paganisé » nous explique :
« Peu aprÚs que Constantin eut pris le
trĂŽne au dĂ©but du quatriĂšme siĂšcle, lâĂglise devint une sociĂ©tĂ© organisĂ©e de
haut en bas et dans tous ses détails.
Will Durant fait une Ă©nonciation semblable
disant que le christianisme « sâest dĂ©veloppĂ© par lâabsorption de la foi
et du rituel paĂŻens ; câest devenue une Ăglise triomphante hĂ©ritant des
modĂšles et du gĂ©nie de lâorganisation de Rome⊠comme la JudĂ©e lui avait
donnĂ© lâĂ©thique du christianisme, et La GrĂšce la thĂ©ologie, maintenant Rome lui
a donnĂ© lâorganisation ; tout cela, avec des douzaines de croyances absorbĂ©es
et rivales, est entré dans la synthÚse chrétienne. »
Vers le quatriĂšme siĂšcle, la hantise des
reliques Ă©tait devenue si grande que quelques dirigeants chrĂ©tiens sâĂ©rigeaient
contre elle en disant :
« Une
observance paĂŻenne prĂ©sentĂ©e dans les Ă©glises sous le manteau de la religionâŠle
travail des idolùtres. » (Note Thomas : rappelez-vous, dans la tradition juive,
de lâimmense attrait dâEsaĂŒ/Edom pour lâidolĂątrie.)
Ainsi quâun Ă©rudit catholique lâadmet
aisĂ©ment, avec lâavĂšnement de Constantin les « diverses coutumes de la
culture romaine antique ont coulé dans la liturgie chrétienne⊠» ( The
Early Liturgy, pp. 130, 133).
Comme Will Durant lâa dit : « les
ßles païennes se sont propagées dans la mer chrétienne. »
Les chrétiens du premier siÚcle, encore
pleinement ancrĂ©s dans la Torah et dans le judaĂŻsme biblique dâAbraham dâIsaac
et de Jacob, se voyaient comme confrontant le monde et Ă©vitaient tout contact
avec le paganisme. Tout cela a changé pendant le quatriÚme siÚcle quand
lâĂglise Ă©mergea en tant quâĂ©tablissement public dans le monde oĂč elle «
absorba et christianisa les idées et pratiques religieuses païennes. »
De la mĂȘme façon que lâEsprit
dâEdom/dâEsaĂŒ dĂ©veloppe une haine envers IsraĂ«l, nous voyons clairement cette
haine contre les juifs dÚs les débuts du catholicisme romain.
Dans son excellent ouvrage « Ton peuple
sera mon peuple », Don Finto déclare :
« Lâempereur Constantin convoqua le
concile de Nicée en 325 ap. J.-C., pour résoudre quelques problÚmes doctrinaux,
certes, mais il voulait aussi sâassurer que lâEglise sâĂ©tait sĂ©parĂ©e et
débarrassée une fois pour toutes de ces « vermines polluées » qui
avaient tĂąchĂ© leurs mains par « un crime abominable ». Il fallait quâils
trouvent une autre date de la Pùque pour célébrer la résurrection. La Pùque
Ă©tait trop juive !
Constantin Ă©crivit aux Ă©vĂȘques rassemblĂ©s
Ă NicĂ©e : « dans la cĂ©lĂ©bration de cette fĂȘte la plus sainte, il
apparaßt comme une chose indigne que nous suivions la pratique des Juifs⊠»
Et quelques années plus tard,
Jean-Chrysostome osa assurer Ă son troupeau : « vous avez Ă©tĂ© Ă©tabli Ă
leur place ».
Et quand arriva le deuxiÚme concile de Nicée
en 787 ap. J.-C., les Juifs croyants devait apporter la preuve quâils Ă©taient
chrétiens. Par exemple, la communion leur fut refusé, par décret du concile de
lâĂglise, Ă moins quâils ne renoncent Ă observer le shabbat (4Ăšme commandement
de Dieu) ou tout autre coutume juive (Note Thomas : ainsi que plusieurs lois de Dieu qui, avant dâĂȘtre des
« lois juives », sont avant tout Les Lois de Dieu valable pour tout
convertis juif ou non juif de chair). Dans certains cas, ils durent mĂȘme prouver leur dĂ©dain pour leurs
racines en mangeant du porc devant témoins. Plus tard, les conciles de
Latran de 1179 et 1215 ap. J.-C., ordonnĂšrent aux juifs de vivre dans des
quartiers diffĂ©rents et de porter des vĂȘtements distinctifs. Câest ce qui
ouvrit la voie aux ghettos et Ă lâĂ©toile jaune exigĂ©e, avant et pendant
lâĂ©poque de lâHolocauste nazi.
Afin de montrer Ă quel point lâĂ©glise
sâest dĂ©tachĂ© de son hĂ©ritage juif, lisez les extraits de profession de foi
quâun juif devait dire Ă son baptĂȘme dans lâĂglise catholique :
« Je renonce ici et maintenant à tous les
rites et observance de la religion juive, je déteste toutes les cérémonies et
ses croyances des plus solennelles que jâavais conservĂ©es est cĂ©lĂ©brĂ©es dans
les temps passés. Je promets que je ne retournerai jamais plus au vomi de la
superstition juive. Jamais plus, je nâaccomplirait de fonction dans le
cĂ©rĂ©monies juives auxquelles je mâĂ©tais adonnĂ©, ni ne les chĂ©rirai. JâĂ©viterais
toute relation avec les autres juifs et je nâaurais dâamis que parmi les
chrĂ©tiens. Je ne mâassocierai avec aucun de ces Juifs maudits qui refusent le
baptĂȘme. Je renonce Ă tout le culte des Juifs, la circoncision, tout sont
lĂ©galisme, le pain sans levain, la PĂąque, le sacrifice des agneaux, la fĂȘte des
semaines, les jubilĂ©s, les trompettes, lâexpiation, les tabernacle, et toutes
les autres fĂȘtes juives, leurs sacrifices, priĂšres, aspersions, purifications,
expiation, jeûnes, shabbat, nouvelles lunes, nourritures et boisson. Et je
renonce absolument Ă toute coutume et institutions de lois juives. En un mot,
je renonce absolument à tous ce qui est juif ».
MĂȘme Luther qui avait bien commencĂ©,
sâĂ©tait au final retournĂ© contre les Juifs.
Si le grand péché
des juifs fut le rejet du Messie, le grand péché des chrétiens serait le mépris
du peuple dâIsraĂ«l et le rejet de la loi de Dieu en pensant que
« lâĂglise » remplacerait le peuple de Dieu (IsraĂ«l), et que les les
commandements de Dieu dans la Torah seraient uniquement des lois juives
bien quâils font en rĂ©alitĂ© pleinement partis de la Loi du Dieu Tout Puissant
pour ceux qui se réclament de Lui, juif premiÚrement et non juif. »
Tout est dans la Torah, il suffit de
savoir la lire sans mépriser « ceux à qui les oracles de Dieu ont été
confiĂ©s »(Rom 3.2). Rappelons quâEsaĂŒ a dĂ©sobĂ©i Ă la volontĂ©, et Ă lâautoritĂ©
de ses parents et que son comportement fut un sujet dâamertume pour le
coeur dâIsaac et de Rebecca. LorsquâEsaĂŒ eut atteint quarante ans, la Torah
nous dit quâil Ă©pousa deux femmes de la tribu cananĂ©enne des Hittites. Les
Ă©pouses non « Avrahamiques » dâEssaĂŒ causĂšrent « lâamertume dans lâesprit
dâIsaac et de Rebecca ». Les Sages commentent quâelles continuaient Ă servir
des idoles, leur offrant de lâencens.
EsaĂŒ savait quâil ne devait pas Ă©pouser de
femmes cananĂ©ennes, car elles le persuaderaient dâadorer leurs faux dieux.
Pourtant, ses 2 premiÚres femmes furent cananéennes (il y a ici un rappel
Ă©vident pour ceux qui se disent convertis Ă Dieu mais qui pensent quâils
peuvent épouser des païens sans que cela ne crée de graves troubles). Regardons
la premiĂšre femme :
« EsaĂŒ, ĂągĂ© de quarante ans, prit
pour femmes Judith ( Yehoudit) »(GenÚse 26:34).
Notons que la premiĂšre femme dâEsaĂŒ sâappelle Judith ( Yehoudit) =
« Juive ». Cette femme Ă©tait une cananĂ©enne, pourquoi alors lâappeler
du nom qui signifie « juive » alors quâelle ne lâest pas et quâelle
est cananéenne ?
Rachi explique quâen rĂ©alitĂ©, elle
possĂ©dait un nom diffĂ©rent mais quâEsaĂŒ lâappelait « Yehoudit » pour faire
croire Ă son pĂšre quâelle avait rĂ©ellement adoptĂ© le service du D.ieu Unique.
Fort du principe « Maassé
avot siman lebanim » â « Tout ce qui est arrivĂ© aux pĂšres est un signe pour les
fils », la Torah veut nous montrer ici une claire allusion Ă
la ThĂ©ologie du remplacement initiĂ©e par EsaĂŒ/Edom. Cette thĂ©ologie du
remplacement est imprĂ©gnĂ©e dâidolĂątrie et de paganisme (pratique des femmes
cananĂ©enne dâEsaĂŒ), exactement comme nous lâavons dĂ©montrĂ© jusquâici. Notez que
lâEglise catholique, bien quâelle persiste dans lâidolĂątrie, a tout de mĂȘme
reconnu sa fausse théologie du remplacement sans pourtant rien changer à ses
pratiques et Ă son discours officiel.
Comme dit le Rav-Dynovisz : « De
couleur juive et dâorigine Edomique, le christianisme romain partit de
JĂ©rusalem. Il va ensuite sâexporter en terre paĂŻenne et va sâĂ©loigner de sa
source monothéiste. Les chrétiens qui prirent véritablement le pouvoir
nâĂ©taient pas dâorigine juive. Les vrais juifs sont restĂ©s depuis le dĂ©part Ă
lâextĂ©rieur de ce processus complĂštement inverse Ă leur nature. »
En parlant des juifs, nâoublions-pas les
enseignements des pĂšres de lâEglise catholique, religion dâEsaĂŒ/Edom : Jean-Chrysostome
osa assurer à son troupeau : « vous avez été établi à leur place ». et
encore : « Lorsquâil est clair que Dieu les hait, il est du devoir
des chrétiens de les haïr également. ».
Câest de cette fausse chrĂ©tientĂ© dont
parle le Messie lorsquâil sâadresse aux vĂ©ritables convertis Ă Dieu qui
souffrent de leur calomnie et de leurs mensonges/haine : « Je
connais les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le
sont pas mais qui sont une assemblée de Satan. » (Apocalypse
2.9)
Derek C. White, dans son excellent ouvrage
intitulée « La théologie du remplacement »affirme : Hans
Kung, un thĂ©ologien dâorigine suisse qui vĂ©cu la deuxiĂšme guerre mondiale en
tant quâadolescent, ecrivait en 1974 : le meurtre massif des Juifs par les
nazis fut lâoeuvre de criminels athĂ©es, mais, sans les 2000 ans dâhistoire
chrétienne antisémite cela aurait été impossible. Hitler déclara au
cardinal Faulhaber quâil ne faisait que ce que lâĂglise avait elle-mĂȘme prĂȘcher
et pratiquer contre les Juifs. Dans Mein Kampf, il avait écrit : «
ainsi je crois quâaujourdâhui jâagis selon la volontĂ© du tout-puissant crĂ©ateur
: en écartant les Juifs, je me bats pour faire la volonté du Seigneur. »
Qui ne voit pas ici avec Ă©vidence cette
haine ancestrale dâEsaĂŒ envers Jacob dont nous parle la paracha et qui a
pleinement imprĂ©gnĂ© lâĂ©glise catholique et aujourdâhui encore, une partie du
monde protestant qui pensent remplacer Israël et qui grincent des dents lorsque
lâamour de la loi de Dieu et de lâimportance dâIsraĂ«l est prĂȘchĂ© ?
Ainsi, les 4 traits caractĂ©ristiques dâEsaĂŒ/Edom se retrouve dans lâempire
romain ainsi que dans le catholicisme romain dont la fusion des deux donna en
lâan 800 « le Saint empire Romain » : Haine dâIsraĂ«l, rebelle aux lois de Dieu,
idolĂątrie, sanguinaire.
Ces choses se sont perpĂ©tuĂ©es jusquâĂ
notre Ă©poque moderne. Effectivement, lâentitĂ© « Ă©domique » du
catholicisme s Ȏtant alliĂ©e Ă lâempire romain lui aussi de nature
« édomique »(union dont les premiers jalons ont été posés
par Constantin), donna naissance officiellement au Saint-Empire
Romain en lâan 800. Ce Saint-Empire Romain pose les bases de la civilisation
occidentale et de lâEurope ChrĂ©tienne actuelle.
Il apparaĂźt donc comme une Ă©vidence que
lâEsprit dâEDOM/ESAĂ, comme lâenseignent les sages dâIsraĂ«l, se retrouve au
sein de lâempire romain puis, plus tard, au sein du catholicisme puis, encore
plus tard, au sein du Saint Empire Romain, fusion entre lâempire romain et
la religion catholique romaine.
Combien de sang a coulĂ© par lâĂ©pĂ©e
dâEsaĂŒ/Edom sous lâempire romain et le catholicisme romain ainsi quâil a Ă©tĂ©
prophĂ©tisĂ© sur EsaĂŒ/Edom : « Tu vivras de ton Ă©pĂ©e» (GenĂšse
27.40)
Cet esprit dâEsaĂŒ/Edom, caractĂ©risĂ© par la
rĂ©bellion aux lois de Dieu, la haine/mĂ©pris envers les juifs, lâidolĂątrie et
les apparences de piété et de justice, est répandu dans la chrétienté et dans
le monde occidentale. Ce nâest pas sans raison que Le Parlement europĂ©en a
affirmé, mercredi 17 décembre 2014, son« soutien »à la
reconnaissance dâun Etat palestinien gouvernĂ© par les terroristes du Hamas dont
la charte dĂ©clare ouvertement la destruction dâIsraĂ«l et la mort des juifsâŠ
Le protestantisme nâest que lâenfant du
catholicisme. En effet, le mouvement commença avec des catholiques et Il ne
serait donc pas inexact dâappeler les premiers protestants des
« catholiques reformés ». Bien que le protestantisme ait apporté
beaucoup de bonnes choses dans son dĂ©sir de retourner aux Ecritures, il nâen
demeure pas moins porteur de lâADN catholique et des interprĂ©tations erronĂ©es
des Saintes-Ecriture héritées du catholicisme romain.
Il nâest donc pas Ă©tonnant de retrouver au
sein du protestantisme de nombreuses similitudes telles que la rébellion aux
lois de Dieu (doctrine de la grĂące permissive et de lâabolition de la loi) et
le mĂ©pris des juifs et de leurs enseignements. Ce nâest pas non plus sans
raison que lâoeucumĂ©nisme (union des catholiques et protestants) gagne toujours
plus de terrainâŠ
Regardons ce que rapporte le site
elisrael.org :
Edom est le surnom de Rome. A cela, deux
raisons : Quand Rome arrive en Judée, elle est représentée par Hérode
lâEdomite (ou IdumĂ©en). Les lĂ©gionnaires portent de grands manteaux
rouges, car la guerre est déjà psychologique. Tous les peuples écrasés par
Rome, et la JudĂ©e en bonne place, sont plus marquĂ©s par lâeffusion de sang que
par la construction de voies pavĂ©es, dâamphithĂ©atres et de thermes.
Le christianisme impérial a prolongé Rome,
tant politiquement que spirituellement et intellectuellement. Ce nâest que
depuis le 18Ăšme siĂšcle que lâon Ă©prouve moins la collusion
politico-religieuse qui a été totalitaire.
Mais lâantijudaĂŻsme des PĂšres de lâEglise
a laissĂ© une empreinte profonde dans lâinconscient collectif occidental.
La belle apparence de la philosophie et de
lâesthĂ©tique grecque recouvre un paganisme venu du fond des Ăąges.
La thĂ©ologie du remplacement dâIsraĂ«l par
lâEglise a fixĂ© lâidentitĂ© spirituelle Ă©domite de cet empire et de sa religion.
âEssav est celui qui, armĂ© de sa puissante apparence, revendique une
responsabilitĂ© spirituelle pour laquelle il nâest pas formĂ© par D.ieu. D.ieu a
douloureusement choisi et formĂ© YaâĂąqov (Jacob). Ainsi, en plus de Rome,
Edom est devenu le surnom symbolique de la chrétienté qui prolonge la Rome
paĂŻenne.
Celle-ci, de plus en plus paganisé et
déjudaïsée avec le renfort de Constantin, affina encore durant
trois siÚcles son dogme de la trinité, de conciles en disputes théologiques
sanglantes. Elle pavait ainsi la voie de lâislam (cf § 525), et perdit du
coup plus de la moitié de ses diocÚses-provinces en moins de 100 ans
(Proche-Orient, Asie Mineure, Afrique du Nord, Espagne, jusquâen 732 oĂč
« Charles Martel battit les Arabes Ă Poitiers ». De mĂȘme que âAmaleq
est le petit-fils de âEssav (EsaĂŒ), lâislam est un sous-produit de la
dégénérescence théologique chrétienne.
On ne peut ignorer quâil y eut une rĂ©sistance
intĂ©rieure, puisque certains versets de lâApocalypse (13 :11)
nĂ©o-testamentaire annonce cette prostitution et une bĂȘte « qui a
deux cornes dâagneau mais qui parle comme un dragon ».
Lâislam sâen est pris Ă la chrĂ©tientĂ©,
comme celle-ci sâen Ă©tait prise Ă IsraĂ«l, en vertu du mĂȘme principe thĂ©ologique
du remplacement.
Note Thomas : en HĂ©breu et dans la Torah,
câest ce que lâon appelle « Mida Kenegued Mida » (Mesure pour mesure)
: on rĂ©colte ce que lâon sĂšme. Le Shaliah Polos (apĂŽtre Paul) enseigne ce principe
spirituel torahique en Galates 6.7 : « Ne vous y trompez pas : on ne
se moque pas de Dieu. Ce quâun homme aura semĂ©, il le moissonnera aussi. »
Ce que la chrétienté a voulu faire aux
Juifs, câest ce que lâIslam lui a infligĂ© Ă elle-mĂȘme au 7Ăšme siĂšcle.
Si le « Nouveau Testament » remplace « lâAncien », alors
le coran, suivant la mĂȘme logique, le surclasse Ă son tour
inĂ©vitablement, simplement parce quâil lui est postĂ©rieur. Mahomet fait
dâAvraham et de JĂ©sus, promus musulmans Ă titre rĂ©troactif, ses simples
précurseurs. Il prétend que Juifs et Chrétiens, pourtant privilégiés en tant
que « peuples du Livre », ont falsifié les Ecritures, et que Ismaël
est le fils de la promesse (au lieu de Isaac).
La théologie
chrĂ©tienne du remplacement dâIsraĂ«l par lâEglise trouve son maĂźtre dans
lâIslam : Mesure pour mesure, un juste retour de boomerang.
EsaĂŒ et
Edom, Charlemagne et lâEurope chrĂ©tienne
Comme nous lâavons dit, de lâan 300 Ă 800,
nous voyons lâalliance entre la politique romaine et la religion catholique
paĂŻenne se mettre en place et aboutissant Ă la naissance du Saint Empire Romain
en lâan 800 pour une domination de prĂšs de 1000 ans qui se terminera en 1806.
CHARLEMAGNE est le 1er empereur du Saint
Empire Romain, couronnĂ© par le Pape lĂ©on III en lâan 800. Retenez bien
cela : la symbolique de Charlemagne comme celui inaugurant le Saint Empire
Romain est trĂšs forte.
Le personnage de Charlemagne est un
personnage clé qui va nous aider à prouver et à sceller la nature spirituelle
de lâEurope chrĂ©tienne qu nâest rien dâautre que celle dâEsaĂŒ/Edom.
Regardons quelques ressemblances entre
Charlemagne et EsaĂŒ/Edom : Tout comme EsaĂŒ, lâactivitĂ© principale de
Charlemagne est la chasse. Tout comme EsaĂŒ, Charlemagne est une personne forte
et virile. Tout comme EsaĂŒ, Charlemagne embrasse la religion paĂŻenne
et idolĂątre. Tout comme EsaĂŒ, Charlemagne est sanguinaire et possĂšde un
appétit pour le rouge sang : Le documentaire « sacré Charlemagne » de
lâĂ©mission « secret dâhistoire » rapporte : Charlemagne impose le baptĂȘme sous
peine de mort ; déportation, pillage, réduction en esclavage, Charlemagne est
cruel envers tous ceux qui nâadhĂšrent pas de prĂšs ou de loin Ă son rĂšgne et au
catholicisme. Un autre exemple de la vie de Charlemagne un peu antérieur aux
autres Ă©vĂ©nements : A verdennes, en 782, la guerre culmine dans lâhorreur : Il
récupÚre environ 4500 otages, des jeunes garçons et des hommes dans les
villages du sud de la saxe et pendant une journée entiÚre, il les fait tous
dĂ©capiter les uns aprĂšs les autres. Lâeau du fleuve Ă cĂŽte duquel sâĂ©tait passĂ©
cette tuerie était complÚtement rouge à cause des décapités. Le moindre
manquement Ă©tait punit de mort. Si on mangeait de la viande le jour
de carĂȘme, câĂ©tait Ă©galement la mise Ă mort instantanĂ©e.
Criminel de
guerre et fanatique religieux ayant terrorisĂ© beaucoup de pays dâEurope, les
immenses cÎtés sombres de Charlemagne sont rarement exposés au grand public et
pourtantâŠ
Charlemagne est encore mis en honneur
par une partie du monde catholiqueâŠ
Regardons également en détail un lien
souvent mĂ©connu entre Charlemagne, EsaĂŒ/Edom et lâAllemagne : Dans les
anciens Ă©crits des sages dâIsraĂ«l datant dâil y a plusieurs milliers dâannĂ©es,
lâextermination du peuple juif programmĂ©e par lâAllemagne nazie Ă©tait dĂ©jĂ
annoncée.
Il faut pour cela se rendre dans la Torah
orale (Guémara, traité Méguila) :
« Sauve-moi
donc de la main de mon frĂšre, de la main de Essav(EsaĂŒ) ; car jâai peur de lui,
afin quâil ne vienne pas et me tue la mĂšre avec les enfants. » (GenĂšse 32.12)
De quoi Yaacov (Jacob) a-t-il donc bien pu
avoir peur ? Dieu ne lui avait-il pas dit quâIl le protĂ©gerait ?
Voici lâexplication du Talmud :
Rabbi itsâhak demande lâexplication de ce
verset : « Nâaccorde pas, MaĂźtre du monde, aux demandes des mĂ©chants,
ne laisse point sâaccomplir leurs perfides desseins⊠»(Psaumes 140)
Rabbi Itsâhak rĂ©pondit :
Câest Yaacov (Jacob) qui demanda Ă Dieu de
ne pas laisser lâennemi accomplir ses desseins et cet ennemi câest
Germamia de Edom (Essav), car si cet ennemi réussissait, il détruirait le monde.
Et Rachi (11Ăšme siĂšcle) commente :
Germamia, câest un des royaumes dâEdom.
Rabbi Yaacov Hemdin explique :
Rachi a voulu dire Germania (lâAllemagne). (Guemara Meguila, 6a.)
Effectivement, qui pourrait contester la
haine dâHitler envers les juifs, caractĂ©ristique principale dâEsaĂŒ/Edom comme
il est dit :
« EsaĂŒ conçut de la haine contre
Jacob (âŠ) je tuerai Jacob, mon frĂšre. » (GenĂšse 27.41)
Et bien, sachez que selon les historiens,
Charlemagne serait germain. Le lieu de la naissance de Charlemagne
nâest mentionnĂ© dans aucune source dâĂ©poque. La plus ancienne indication, qui
concerne Ingelheim en Allemagne, vient de Godefroi de Viterbe (auteur
italien du xiie siĂšcle) et est retenue par certains auteurs.
Non seulement Charlemagne serait germain
mais câest prĂ©cisĂ©ment son icĂŽne qui est « comme par hasard » reprise
par les Nazis.
Ce nâest pas sans raison
quâĂ lâoccasion de la tenue du 7Ăšme congrĂšs du parti nazi en septembre
1935, lorsquâHitler est au sommet de sa force, le maire de NĂŒremberg remet Ă Hitler une copie de lâĂ©pĂ©e de
Charlemagne. Ce 7Ăšme congrĂšs de NĂŒremberg est Ă©galement tristement
restĂ© cĂ©lĂšbre car câest prĂ©cisĂ©ment Ă cette occasion quâHitler annonce dans
plusieurs discours lâadoption de lois antisĂ©mites, les lois de NĂŒremberg. La
« loi sur la citoyenneté allemande » enlÚve aux Juifs leurs droits
civiques ; la « loi sur la protection du sang allemand et de lâhonneur
allemand » interdit les mariages entre Juifs et Allemands (les mariages
déjà contractés étant dissous) ainsi que toute relation sexuelle entre Juifs et
allemands. Ces lois de NĂŒremberg, qui flattent un antisĂ©mitisme populaire et
sont plutÎt bien accueillies dans certaines parties de la société allemande,
ouvrent la voie dâune politique antisĂ©mite qui ne va cesser de se radicaliser
jusquâĂ la guerre (Nuit de Cristal en 1938), pour prendre ensuite le caractĂšre
dâune vĂ©ritable extermination.
Le lien est Ă©vident : lâĂ©pĂ©e de
Charlemagne est remise Ă Hitler lors du seul congrĂšs qui adopte les lois
antisĂ©mites aboutissant Ă la Shoah. Egalement, ce nâest pas sans raison quâune
division française SS va mĂȘme porter son nom : 33Ăšme division de la SS
Charlemagne : ce sont autant dâindices nous montrant la source spirituelle
cachée derriÚre les événements.
Les Allemands
et les collaborateurs avaient fait de Charlemagne une figure principale de la
collaboration franco-allemande et de la haine antijuive. Encore une marque
Ă©vidente du caractĂšre dâEsaĂŒ/Edom.
Ainsi, en tant que premier empereur du
Saint-Empire Romain, nous avons de nouvelles preuves Ă©videntes de
lâappartenance Ă©domique de Charlemagne de part ses multiples points communs
avec EsaĂŒ/Edom.
Lisez attentivement la suite afin de
comprendre dĂ©finitivement en quoi lâEurope ChrĂ©tienne correspond parfaitement Ă
EsaĂŒ/Edom
La renaissance du Saint Empire Romain
Winston Churchil, dans un discours aprĂšs
la seconde guerre mondiale, parlait de lâimportance pour les pays
europĂ©ens dâaprĂšs guerre de sâunifier et de crĂ©er les « Ătats-Unis
dâEurope ».
Le figaro magazine le
dĂ©clare sans gĂšne : « LâUnion europĂ©enne constitue Ă bien des Ă©gards un
retour du Saint-Empire romain germanique, ce vaste ensemble politique qui, au
Moyen Ăge, avait pour noyau et centre dĂ©cisionnel lâAllemagne. »
Il existe lĂ
aussi une multitude dâindice et de dĂ©tails qui prouve de maniĂšre formelle
lâidentitĂ© spirituelle de lâEurope : un nouvel empire romain correspondant
au caractĂšre spirituel dâEsaĂŒ/Edom. Regardons ensemble les Ă©tapes de la
construction europĂ©enne et les indices associĂ©s indiquant quâil sâagit ici de
la renaissance du Saint-Empire Romain « à la sauce moderne ».
En 1957 : traité de Rome aboutissant à un
marchĂ© commun dont lâobjectif ultime est une union politique. En soit, le nom
du traité est déjà trÚs significatif. Le nombre de pays va en augmentant : 6
puis 9 puis 12 puis 15.
En 1992 : Traitée de Maastrich et barriÚre
Ă©conomique renversĂ©e : lâobjectif est de passer dâune union Ă©conomique Ă
union politique.
En 1999 : monnaie commune de lâeuro.
En 2004 : 25 nations ont fusionné leur
propre Ă©conomie. En 2007 : 27 membres dans lâUnion EuropĂ©enne dont le nom est
dĂ©finitivement adoptĂ©. Câest la Puissance Ă©conomique numĂ©ro une dans le monde
avec 500 millions dâhabitants.
La premiÚre tentative de monnaie fabriquée
en 1987 est lâECU (UnitĂ© de compte europĂ©enne). Regardez le personnage choisit
pour symboliser cette monnaie européenne : CHARLEMAGNE.
Les membres de lâUE ont dĂ©cidĂ© dâattribuer
une rĂ©compense annuelle au chef dâĂ©tat qui ferait le plus dâefforts pour
contribuer Ă promouvoir lâunification europĂ©enne. Clinton a par exemple
reçu ce prix en lâan 2000 pour avoir Ă©vincĂ© avec lâaide de LâOTAN Slobodan
Milosevic qui sâopposait Ă la rentrĂ©e de la Yougoslavie en Europe.
Devinez le nom du prix ? CHARLEMAGNE !
Quel est lâendroit oĂč est remis le prix Charlemagne ? Hacken en Allemagne dans
la cathĂ©drale construite par Charlemagne en lâan 800.
Dans lâhebdomadaire le plus important et
le plus suivi en Europe, « The economist », chaque
semaine une page est consacrĂ©e Ă lâavancĂ©e de lâunification
européenne.
Le nom de la page ? Vous lâavez devinĂ©
: CHARLEMAGNE.
Ce nâest pas tout : Il y a un bĂątiment
spĂ©cial situĂ© Ă Bruxelles (siĂšge sociale de lâUE) pour analyser les demandes
dâadhĂ©sion Ă LâUE.
Ce bĂątiment sâappelle : « CHARLEMAGNE
BUILDING ».
Regardons un autre indice caractérisant
la Renaissance du Saint Empire Romain dans lâentitĂ© appelĂ© Union
Européenne.
Regardez le drapeau de lâUE : un drapeau
bleu avec 12 Ă©toiles ? Pourquoi ? Cela ne correspond pas aux nombres dâĂtats dans lâUE. Paul M.G.
Lévy, Le créateur du drapeau croyait que Le Saint Empire romain devait avoir
son élément saint sur le drapeau. En tant que catholique dévoué, il croyait que
la femme de lâapocalypse qui donna naissance aux 12 Ă©toiles reprĂ©sentait la
vierge Marie : lâEurope est donc sous la banniĂšre de Marie.
Enfin, le 3
novembre 2009, lâentitĂ© de lâUE est complĂštement nĂ©e. Tout le monde signe le
traitĂ© de la constitution des Etats-Unis dâEurope Ă Lisbonne. Devinez oĂč ?
Dans un MonastĂšre catholique.
Ainsi, le Saint
Empire Romain « moderne » venait de renaßtre de ses cendres et
lâEurope possĂšde dĂ©sormais son prĂ©sident.
Sources de toutes ces informations sur
Charlemagne : Partie 07 de la série vidéo « Comprendre la fin des temps » de
Irvin Baxter.
Nous avons prouvé auparavant que le
Saint-Empire Romain (800-1806) Ă©tait une alliance entre la spiritualitĂ© dâEdom
(Catholicisme romain) et la politique dâEDOM (empire romain).
RĂ©sumons briĂšvement ce que nous avons vu
jusquâĂ prĂ©sent : Lorsque Rivka (RĂ©becca) Ă©tait enceinte de Jacob et EsaĂŒ, Dieu
lui dit : deux nations qui se combattront sont dans ton ventre. Jacob
deviendra le peuple dâIsraĂ«l composĂ© des juifs selon la chair et des non juifs
greffés sur Israël par la foi en Yéshoua et suivant la Torah (Saine Doctrine).
EsaĂŒ/Edom deviendra une nation hostile Ă IsraĂ«l et son esprit perdurera et se
rĂ©pandra notamment dans lâempire romain dont plusieurs personnages importants seront
Ă©domites. Cet esprit dâEsaĂŒ/Edom se rĂ©pandra Ă©galement dans la nouvelle fausse
religion naissante du catholicisme et formera avec lâempire romain, en lâan
800, le Saint-Empire romain. Celui qui inaugure le Saint Empire Romain
est Charlemagne. Charlemagne a les traits de caractĂšre dâEsaĂŒ : Chasseur,
fort, virile, sanguinaire et idolĂątre. La religion du Saint empire romain est Ă
lâimage dâEsaĂŒ : rebelle aux lois de Dieu, idolĂątre et antisĂ©mite.
Charlemagne est Germain. Les sages dâIsraĂ«l ont prĂ©dit la Shoah de
lâAllemagne Nazie et LâicĂŽne de Charlemagne est reprise par les nazis au moment
de lâadoption des lois antisĂ©mites : section SS Charlemagne, Ă©pĂ©e de
Charlemagne offerte Ă Hitler Ă lâoccasion des lois antisĂ©mites de NĂŒremberg.
Les sages dâIsraĂ«l ont Ă©galement prĂ©dit quâil sâagissait de lâoeuvre de lâesprit
dâEsaĂŒ/Edom et que lâAllemagne est un royaume dâEdom.
Ainsi, en adoptant Charlemagne comme icĂŽne
du Saint Empire romain, la naissance de lâEurope prouve en elle mĂȘme son
caractĂšre Ă©domique conduisant Ă la renaissance du Saint-Empire Romain :
monnaie de lâECU avec lâeffigie de Charlemagne, page Charlemagne dans le
magazine The economist, prix Charlemagne offert dans une cathédrale aux
meilleurs promoteur de lâUE, BĂątiment du siĂšge Ă Bruxelles appelĂ© Charlemagne,
Drapeau de LâUE catholique et constitution europĂ©enne signĂ© dans un monastĂšre
catholique. Et Ă©videmment, comme le titre le journal le monde, LâAllemagne, au
travers dâAngela Merkel, est le vrai patron de lâEurope : Angela Merkel, vraie patronne de
lâEurope
Sachant que le Saint-Empire Romain est
reprĂ©sentatif de lâesprit dâEdom/EsaĂŒ, une grande quantitĂ©
dâindices dĂ©montrent avec certitude que lâEurope et son hĂ©ritage
catholique, correspond effectivement Ă une renaissance du Saint Empire Romain
et correspond donc Ă EsaĂŒ/Edom. Câest ici une clĂ© infiniment grande pour
comprendre les prophéties de la fin des temps faites sur EDOM.
Enfin, prenons Ă©galement garde aux fortes
symboliques entourant la mise au tombeau de Charlemagne. Car si Charlemagne est
lâicĂŽne de lâEurope chrĂ©tienne, alors les symboles entourant sa mort deviendront
Ă©galement les symboles de la mort de lâEurope chrĂ©tienne, nous indiquant la
destinĂ©e de tous ceux qui adhĂ©reront Ă lâesprit dâEsaĂŒ/Edom :
Charlemagne est
enterré dans un tombeau romain dont les sculptures représentent
lâenlĂšvement de Prosperine par Pluton, Prince des tĂ©nĂšbres et de lâenfer
(mythologie paĂŻenne). Alexandre Lenoir dans lâouvrage « Description
historique et chronologique des monuments de sculpture réunis au Musée des
monuments français » écrit : « Il est plus que démontré
que Prosperine et Pluton, allégoriquement employés à la décoration des
tombeaux, représente les ténÚbres. »
Ainsi Charlemagne, cette icĂŽne de
lâEurope, du Saint-Empire Romain et dâEdom/EsaĂŒ, voit son tombeau et son lieu
de repos Ă©ternel ĂȘtre reprĂ©sentĂ© par lâEnfer et les tĂ©nĂšbresâŠ
Nâest-il pas Ă©crit :
« Edom sera un objet de
désolation; » (Jérémie 49.17) et encore
: « Si Edom dit : Nous sommes détruits, Nous relÚverons
les ruines ! Ainsi parle lâEternel des armĂ©es : Quâils bĂątissent, je
renverserai, Et on les appellera pays de la méchanceté, Peuple contre lequel
lâEternel est irritĂ© pour toujours. » (Malachie 1.4)
LâEUROPE ET LE
MONDE ARABO-MUSULMAN : Lâalliance dâEsaĂŒ/Edom avec IsmaĂ«l.
Maintenant quâil a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que
lâEurope chrĂ©tienne correspond trĂšs bien Ă lâidĂ©ologie et Ă lâemprunte
spirituelle dâEsaĂŒ/Edom, rentrons dans le vif du sujet et regardons ce que la
paracha nous enseigne au sujet des relations entre IsmaĂ«l et EsaĂŒ/Edom, câest Ă
dire entre lâEurope chrĂ©tienne et le monde arabo-musulman. La paracha nous
montre avec une stupéfiante précision tous les mécanismes aboutissant à la
dramatique situation mondiale actuelle.
Nâoublions pas que la Torah nâest pas un
livre dâhistoire : elle nous rĂ©vĂšle et nous dĂ©voile les structures
fondamentales de lâhistoire humaine. Ainsi, lorsque nous voyons le personnage
dâEsaĂŒ et de Jacob, cela fait Ă©galement rĂ©fĂ©rence aux peuples qui en
sortiront et aux idĂ©ologies qui en dĂ©couleront et qui restent valables jusquâĂ
la fin de lâhistoire humaine comme cette Ă©tude le prouve.
EsaĂŒ a donc pris une femme cananĂ©enne puis
plus tard, au chapitre 28, verset 9 de la GenÚse, nous lisons : « Alors
EsaĂŒ alla vers IsmaĂ«l et prit pour femme Mahalat, fille dâIsmaĂ«l, fils
dâAbraham, sĆur de Nevayot, en plus de ses premiĂšres femmes ».
Il convient ici de
rappeler qui est IsmaĂ«l. IsmaĂ«l est le fils quâAbraham eut avec
Agar, la servante de sa femme Sarah.
Ismaël engendrera le peuple ismaélite dont
les descendants sont aujourdâhui le monde arabo-musulman. Les principaux
responsables religieux du monde musulman enseignent effectivement que leur
ancĂȘtre est IsmaĂ«l.
Ces deux mariages dâEsaĂŒ prĂ©figurent, pour
le premier, la période dite judéo chrétienne pendant laquelle la chrétienté a
voulu se parer du nom de Nouvel IsraĂ«l (mariage avec la cananĂ©enne Ă qui EsaĂŒ
donna le nom de « juive » alors quâelle ne lâĂ©tait pas), quant
Ă la deuxiĂšme pĂ©riode (mariage avec la fille dâIsmaĂ«l), elle
correspondrait Ă la situation actuelle oĂč lâon assiste Ă un certain
rapprochement, voire une connivence entre lâOccident chrĂ©tien et lâIslam. Par
la suite, EsaĂŒ se sĂ©para de la fille dâIsmaĂ«l et se rĂ©volta de façon trĂšs
cruelle contre les enfants dâIsmaĂ«l (correspondant au conflit entre Islam et Occident
malgrĂ© leur alliance)âŠ
Les sages enseignent que cette fin de
paracha oĂč lâon aperçoit lâalliance entre EsaĂŒ et IsmaĂ«l correspond Ă ce qui
passera Ă la fin de lâhistoire : alliance entre EsaĂŒ et IsmaĂ«l qui est une
prĂ©figuration de lâalliance entre lâEurope chrĂ©tienne et lâIslam (puis la
guerre entre les deux comme lâindique la future sĂ©paration entre EsaĂŒ et la
fille dâIsmaĂ«l).
Nous voyons Ă©galement le lien de
consanguinitĂ© entre EsaĂŒ et la fille dâIsmaĂ«l. Les deux sangs se sont mĂ©langĂ©s
: celui des Edomites et celui des Arabes. En clair, cela nous montre quâEsaĂŒ
nâa eu aucun respect pour la vĂ©ritable foi de sa famille, leur rapport avec
YHWH, et leurs coutumes. Nous voyons ce mĂȘme comportement aujourdâhui chez les
croyants, qui prennent des paĂŻens en mariage et/ou font la promotion de
lâoeucumĂ©nisme, câest Ă dire le syncrĂ©tisme entre protestantisme et
catholicisme. Ils nâont aucun respect pour leurs parents et leur vĂ©ritable foi
dans le Messie Yeshua, quâils dĂ©shonorent.
Daniel Steen enseigne :
« Le mariage dâEdom et de la fille
dâIsmaĂ«l est une rĂ©alitĂ© qui sâaccomplit de nos jours. LâOccident a fait
alliance avec lâOrient sous le nom dâEurabia. Par ailleurs, IsmaĂ«l est un
homme indomptable, difficile à vivre, la prophétie le concernant dit :
Gen 16/12 : « Il sera comme un ùne
sauvage; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui; et il
habitera en face de tous ses frÚres. »
Dans le Psaume 83 nous voyons que cette
alliance nâa pour but final que de dĂ©truire IsraĂ«l : « Ils se concertent tous dâun mĂȘme cĆur, Ils font une alliance contre
toi; Les tentes dâEdom et les IsmaĂ©lites »
Ce mariage entre européens et arabes
reprĂ©sente essentiellement un intĂ©rĂȘt Ă©conomique pour les europĂ©ens et un
intĂ©rĂȘt spirituel pour les musulmans. Les uns voient le moyen dâobtenir le
pĂ©trole et de vendre des armes, les autres voient en lâEurope une immense
rĂ©gion, puissante et riche, qui sâoffre comme champ dâislamisation. (Source :
http://www.michelledastier.com/le-conflit-israelo-arabe-et-ses-nombreux-aspects-caches-par-daniel-steen/)
Depuis des millénaires, les prophÚtes de
la Bible et les sages dâIsraĂ«l ont annoncĂ© quâĂ la fin des temps, le monde
musulman (IsmaĂ«l) sâunira et fera la guerre avec ce qui est
aujourdâhui appelĂ© lâEurope chrĂ©tienne (Edom ou EsaĂŒ).
Le Ravdynovisz, dans son cours du 14
novembre 2015 intitulé « La troisiÚme guerre mondiale débutera en Syrie »,
rapporte un enseignement assez interpellant :
Le talmud rapporte une chose des plus
Ă©tonnantes Ă propos dâune loi sur les menstruations de le femme. Les sages du
Talmud rapportent quelque chose dâincroyable Ă propos des diffĂ©rentes couleurs
du sang que la femme perd durant ses rÚgles, ce qui la rend « nida »,
câest Ă dire interdite Ă son mari. Effectivement, lâĂ©coulement de sang dâune
femme « nida », selon la Torah, la rend interdite à son mari
(LĂ©vitique 18).
Note Thomas : La femme est interdite Ă son
mari en pĂ©riode de « Nida ». Comme lâenseigne Paul, la Torah est
avant tout spirituelle. Nous voyons ici un des aspects spirituels de lâinterdiction
du sang : cela reprĂ©sente aussi lâinterdiction de Dieu pour son peuple de
sâunir avec Edom/EsaĂŒ qui est reprĂ©sentĂ© par le sang comme nous lâavons vu plus
haut⊠Cela en dit long car tant que le peuple de Dieu est lié au
monde catholique(Edom) via des mouvements comme lâoeucumĂ©nisme, tant
que le peuple de Dieu est liĂ© Ă lâidĂ©ologie de lâOccident(Edom), câest
comme si il avait des relations interdites avec une femme NidaâŠ
Le Talmud cite une autre couleur de sang
« Ă©trange » qui est le noir. Les sages dâIsraĂ«l se posent la
question : « Le noir, est-ce du sang, est-ce Edom pour pouvoir dire quâelle est
interdite à son mari ? » Le talmud répond : « quand tu verras que le rouge se
transformera en noir, câest que câest la fin du rouge, de Edom. »
Un des signes indiquant la fin de lâOccident,
câest lorsque tu verras Ă sa tĂȘte un noir. Depuis des siĂšcles, les sages
dâIsraĂ«l affirment : « lorsque tu verras quelque part une personne de
couleur noire Ă la tĂȘte dâEdom, câest que le moment est venu pour Hashem (Dieu)
de frapper Edom ». Tout le monde le sait : depuis 8 ans, Obama a un
projet clair : dĂ©truire lâOccident.
Note Thomas : Obama est le premier
prĂ©sident noir des Etats-Unis et correspond parfaitement Ă lâenseignement des
sages dâIsraĂ«l dans le Talmud. Lorsque lâon sait quâObama est un musulman
(IsmaĂ«l) Ă la tĂȘte de lâOccident (Edom) et que les Etats-Unis sont
effectivement responsables en grande partie de la création de Daesh et de
lâIslamisation de lâEurope, tout prend ici son sens et les enseignements de la
Torah viennent sâaccorder parfaitement dans cette connivence entre
EsaĂŒ/Edom et IsmaĂ«l aboutissant Ă un grand conflit qui est en vĂ©ritĂ© le
jugement de Dieu sur EdomâŠ
Il y a presque 2 000 ans déjà , un sage
dâIsraĂ«l nommĂ© RabbiCHIMON BAR YOHAĂ disait:
« Qui survivra Ă lâĂ©poque des IsmaĂ©lites
(monde arabo-musulman) ? Ce sont les enfants dâIsmaĂ«l qui livreront les
batailles finales et heureux qui ne verra pas les souffrances de lâenfantement
du Messie. De grandes hĂ©catombes et dâimmenses affrontements se prĂ©pareront
dans le pays dâEdom (Rome, Europe chrĂ©tienne), et conduiront Ă lâanĂ©antissement
dâIsmaĂ«l et de Rome (Europe chrĂ©tienne). Câest un jour de vengeance pour
lâEternel, une annĂ©e de reprĂ©sailles pour la cause de Sion. » (Sanhedrin
98)
Edom (Europe, USA) sâest vendu Ă IsmaĂ«l
(les pays pétroliers arabes) en choisissant une liberté rebelle aux lois de
Dieu : câest ici parfaitement lâesprit dâEdom que lâon retrouve en OccidentâŠ
Câest encore pour cela que les sages dâIsraĂ«l disent que lâOccident, câest
Edom. Spirituellement, câest vrai⊠On voit clairement la haine de lâEurope
(EsaĂŒ=Edom) vis Ă vis dâIsraĂ«l, et son alliance avec IsmaĂ«l(monde musulman)
aujourdâhui sous nos yeux. Câest exactement ce que lâon voit dans notre
paracha. Câest aussi pour cela que dans la tradition juive, ĂsaĂŒ est le pĂšre
des civilisations occidentales, notamment de lâEmpire romain, dont la «
descendance » est le christianisme de Constantin. Comme nous lâavons prouvĂ©,
câest aussi dâEDOM quâest nĂ© le pays de GUERMAMIA ou EsaĂŒ sâest installĂ©, qui a
donnĂ© aprĂšs des siĂšcles lâALLEMAGNE dâAdolf Hitler : La haine dâEsaĂŒ
matérialisée envers son frÚre Jacob par la Shoah (Extermination des enfants
dâIsraĂ«l).
« EsaĂŒ conçut de
la haine contre Jacob » (GenÚse 27.41)
La fin de notre paracha montre donc
cette Alliance dâEsaĂŒ/Edom avec IsmaĂ«l (les Arabes) (au lieu de choisir
lâalliance avec IsraĂ«l) :
« Et EsaĂŒ sâen alla
vers IsmaĂ«l. Il prit pour femme, outre les femmes quâil avait,
Mahalath, fille dâIsmaĂ«l (GenĂšse 28.9).
Notez bien le nom de la fille dâIsmaĂ«l «
Mahalath » en hébreux. Ce nom a plusieurs sens et il veut notamment
dire« Fou, folle, malade ». Ainsi, nous voyons clairement le mariage dâEsaĂŒ/Edom avec la partie folle
dâIsmaĂ«l (Mahalath), cette partie radicale que lâEurope finance et permettant,
par exemple, Ă Daesh dâexister et de se renforcer.
Au IIĂšme siĂšcle, un sage dâIsraĂ«l, Rabbi
Eliezer Ben Hurcanos fait un intéressant commentaire sur ce passage :
« Au coucher du soleil, un profond
sommeil tomba sur Abram; et voici, une frayeur et une grande obscurité vinrent
lâassaillir. » (Genese 15.12)
Rabbi Eliezer affirma que le monde
arabo-musulman se propagera, sâĂ©tendra et par leur violence, ils feront venir
le Messie. Nâest-ce pas prĂ©cisĂ©ment ce que lâon vit ? Tout est stupĂ©fiant
de précisions et de vérité.
Rabbi Eliezer a Ă©galement dit dans son
ouvrage Pirké De Rabbi Eliezer :
« Ismaël dominera 1300 ans sur la terre
sainte : 100 ans pour chaque année de sa circoncision. Dans ce temps-là , les
fils dâIsmaĂ«l construiront un Ă©difice sur le Mont du Temple ».
Comme le remarque Jean-Marc Thobois : «
Rappelons que Rabbi Eliezer Ben Hurcanos vivait au deuxiĂšme siĂšcle aprĂšs
JĂ©sus-Christ. De son temps, le pays dâIsraĂ«l Ă©tait sous la domination des
Romains. CâĂ©tait lâĂąge dâor de lâempire romain. Les Arabes nâĂ©taient quâune
petite tribu, perdue au fond de la péninsule arabique, vivant de dattes et de
lait de chamelle. Il nây avait pas de pĂ©trole, pas de pĂ©trodollars ; il nây
avait pas dâONU, pas de Ligue arabe⊠Il nây avait pas toutes ces rĂ©alitĂ©s qui font
aujourdâhui la puissance du monde arabe.
Humainement parlant, personne ne pouvait
imaginer au deuxiĂšme siĂšcle aprĂšs JĂ©sus-Christ, Ă lâapogĂ©e de lâempire romain,
quâun jour lâIslam balaierait tout cet empire romain pour sâinstaller Ă sa
place et quâil dominerait sur la terre sainte.
Et pourtant, se basant sur les textes
bibliques, Rabbi Eliezer avait pu annoncer ces choses.
Et faisant cette lecture prophĂ©tique â ce
qui est arrivĂ© aux pĂšres est une prophĂ©tie de ce qui arrivera Ă leurs fils â il
a pu dire : les fils dâIsmaĂ«l domineront 13 siĂšcles sur la terre sainte.
Pourquoi ? Parce que, quand il a été circoncis, Ismaël avait 13 ans et, par
conséquent, la domination de ses descendants sur la terre sainte durera un
siÚcle pour chacune des années qui étaient les siennes quand il a été
circoncis.
Et Ă partir du moment oĂč ils possĂšderont
la terre sainte, ils Ă©tabliront un Ă©difice sur le Mont du Temple. Rabbi Eliezer
ne dit pas quelle sera la nature de cet Ă©difice. Il dit simplement un Ă©difice.
Cet Ă©difice chacun peut le voir aujourdâhui quand il va Ă JĂ©rusalem. Ce sont
ces fameuses mosquĂ©es qui sont sur lâemplacement de lâesplanade du Temple. Les
mosquĂ©es nâexistaient pas Ă cette Ă©poque-lĂ parce que lâIslam nâexistait pasâŠ
Rabbi Eliezer est allé plus loin. Il a dit
: âEntre le moment oĂč commencera Ă ĂȘtre construit cet Ă©difice jusquâau moment
oĂč prendront fin les droits des fils dâIsmaĂ«l, il y aura exactement 1300 ans.â
Les Arabes ont conquis JĂ©rusalem en 638
aprĂšs JĂ©sus-Christ. Dix ans plus tard, en 648, le calife Omar a commencĂ© Ă
construire sur lâemplacement du Temple, la fameuse coupole dâor qui porte son
nom. Si lâon ajoute 1300 ans Ă 648, cela donne 1948, date de la renaissance du
pays dâIsraĂ«l !
Rabbi Eliezer ne sâest pas trompĂ©, câest
exactement ce qui sâest produit. »
Dans le Yalkhout Chimoni (recueil de
midrachim datant de plus dâun millĂ©naire) parachat Lekh LĂ©kha 14, nous pouvons
lire :
« Le messie âgranditâ sur IsmaĂ«l ».
Câest-Ă -dire quâIsmaĂ«l est le « vĂ©hicule » qui, malgrĂ© lui, prĂ©pare et approche
la venue du Messie.
Le Baal hatourim (14e siĂšcle) fin parachat
âHayĂ© Sara dĂ©clare : « Quand IsmaĂ«l tombera Ă la fin des temps, alors viendra
le Messie ». (Rabbi âHaĂŻm Vital).
Tout concorde, tout est lĂ , sous nos yeuxâŠ
Lâultime signature
dâEDOM avec la pointe de lâĂ©pĂ©e dâIsmaĂ«l dâun signe qui signifie la MORT.
Maintenant, que nous avons vu en détail
les différents acteurs de cette paracha, leurs interactions avec les peuples,
les idéologies et les prophéties qui leurs sont associées au sein de
lâHistoire, nous allons pouvoir comprendre et apprĂ©cier les indices
spirituels laissés lors de ces attentats. Ces indices nous permettront de
dĂ©couvrir lâorigine et les responsables de cette sĂ©rie dâattaques sur Paris.
Le groupe de Hard rock satanique du nom de
« Eagles of Death metal » (aigles de la mort) jouait « Kiss the Devil »
(Embrasse le Diable) dans le cadre de la promotion de leur album Zipper Down
(Braguette ouverte), dont les paroles principales sont : « Jâaimerai le diable
».
Gardez bien Ă lâesprit une des nombreuses
informations que nous avons vu jusquâĂ maintenant : Edom a fait alliance avec
Ismaël et par cette alliance impie, Edom fournit à Ismaël les moyens et les
ressources pour propager son idĂ©ologie assassine : LâOccident (Europe et USA)
aide et finance le terrorisme tout en trompant lâopinion public en faisant
croire faussement quâils combattent le terrorisme (ils font semblant), tout
ceci dans le but dâinstaller la guerre et la terreur en vue de relancer
lâĂ©conomie, de contrĂŽler les citoyens par toute sortes de mesures rĂ©pressives
et de remodeler le monde pour aboutir Ă ce nouvel ordre mondial dont parlait
Sarkozy, Buch, le Pape etc. Comme disait un homme : « Je ne crois pas à la
thĂ©orie du complot. Simplement, je crois que cela nâa rien de thĂ©orique. » Pour
ceux qui serait sceptiques, allez donc voir les interviews de Philippe De
Villiers au sujet de son livre « Le moment est venu de dire ce que jâai vu
».
Daniel Steen écrit : « Tout ceci
explique :
- Lâinvasion de lâEurope
par les Arabes (probablement existe-t-il une Agence arabe, sur le modĂšle
de lâAgence Juive, qui finance lâĂ©migration des Arabes en Europe, avec la
diffĂ©rence que lâAgence juive ramĂšne les Juifs dans leur pays alors que
lâAgence arabe extrade ses ressortissants pour en faire un instrument
dâinvasion et dâislamisation) ;
- La politique
anti-israĂ©lienne de lâEurope, qui admet le retour des envahisseurs arabes
en «Palestine», et la disparition dâIsraĂ«l ;
- La désinformation qui
est orchestrĂ©e dans toute lâEurope contre toutes les actions
dâIsraĂ«l ;
- Le transfert des
techniques dans les domaines guerriers nucléaires, de gaz chimiques,
biologiques (Ă lâIraq, Ă lâIranâŠ) ;
- Lâexpansion de la
culture arabe en Europe et la sauvegarde des musulmans contre toute
tentative dâassimilation : la culture des immigrants est
exportĂ©e dans les pays dâaccueil, les EuropĂ©ens proclament la grandeur de
la civilisation islamique, les Arabes fustigent les Européens pour leur
ancienne politique colonialiste et exigent «lâenseignement dans les
universités de la supériorité de la civilisation islamique⊠on ne parle
plus de la civilisation judéo-chrétienne mais de la civilisation
abrahamiqueâŠÂ»âŠ
Rappelons-nous du mĂ©pris dâEDOM envers
lâalliance de Dieu au profit de lâalliance avec IsmaĂ«l. EsaĂŒ/Edom prophĂ©tisa
ici pour la fin des temps sa propre mort :
« EsaĂŒ (EDOM) rĂ©pondit : Voici, je
mâen vais mourir; Ă quoi me sert ce droit dâaĂźnesse ? »
Il est important dâinsister : jusquâici,
nous avons dĂ©montrĂ© par lâEcriture, les sages dâIsraĂ«l et par lâhistoire
elle-mĂȘme quâEDOM = EUROPE ChrĂ©tienne et les USA, faisant alliance avec lâIslam
radical et le monde arabo-musulman (Ismaël). Cette alliance avec la partie
folle de lâIslam (Mahalath) se retourne contre EDOM ainsi que la relation
biblique entre EsaĂŒ/EDOM et IsmaĂ«l se termine par une sĂ©paration cruelle.
Rappelons-nous que le symbole dâEDOM/Europe est Charlemagne, dont le tombeau
Ă©tait ornĂ© de reprĂ©sentation du diable, de lâenfer, des tĂ©nĂšbresâŠ
Maintenant regardez bien les initiales du
nom du groupe de musique qui est utilisé comme leur emblÚme/logo (la chanson,
au moment de lâattentat, Ă©tait « Embrasse le diable ») :
Oui, vous ne rĂȘvez pas : nous
retrouvons prĂ©cisĂ©ment le nom dâEDOM dans cette premiĂšre attaque dâIsmaĂ«l des
plus violentes subit par EDOM. Dans la mesure oĂč la Bible nous dĂ©peint la
foudre comme étant un signe de jugement, lorsque nous voyons la lettre « O »
ici traversĂ©e par la foudre, nous comprenons quâil sâagit dâun signe clair de
jugement contre EDOM provoquĂ© par EDOM lui-mĂȘme par le biais dâIsmaĂ«l suivant
le principe « on rĂ©colte ce que lâon sĂšme ».
Un homme a dit un jour : « Dieu se rit des
gens qui dĂ©plorent les effets dont ils chĂ©rissent les causes. ». Câest ici la
triste rĂ©alitĂ© de lâEurope et dâEdom/EsaĂŒ : Officiellement,
lâEurope/EDOM dĂ©plore lâhorreur des attentats tout en ayant Ă©tĂ©, en
vĂ©ritĂ©, les initiateurs secrets de ces attentatsâŠ
Mais ce nâest pas tout, un autre indice de
poids vient sâajouter Ă tout cela. Regardez bien le signe instantanĂ©ment
brandis par EDOM suite Ă cette sĂ©rie dâattentats :
Câest exactement la mĂȘme image, le mĂȘme
symbole que la croix de NĂ©ron que voici :
La croix de Néron, qui représente la mort,
date de lâAntiquitĂ©. Elle rappelle et commĂ©more le massacre du peuple de Dieu
(Jacob-IsraĂ«l) sur ordre de cet empereur romain (EsaĂŒ/Edom). Cette croix est un
symbole de la mort. Câest un dĂ©rivĂ© de la « croix renversĂ©e » :
Le mouvement hippie se lâest appropriĂ©e
comme Ă©tant un synonyme de sexe, drogue, anarchie, en gros tout ce qui est
contre les rÚgles. Mais sa véritable origine est diabolique, signe et présage
de mort.
Ainsi, brandi Ă la face du monde, cette
sĂ©rie dâattentat a Ă©tĂ© marquĂ© du sceau de la mort sur la France (Croix de
NĂ©ron), mort amenĂ©e par la rĂ©bellion dâEDOM (Europe chrĂ©tienne) et son alliance
avec Ismaël (monde arabe).
Appréciez la stupéfiante corrélation entre
les divers événements : le vendredi 13 novembre 2015 au soir est le début
du shabbat au cours duquel est Ă©tudiĂ©e la seule paracha de lâannĂ©e
traitant de lâEurope chrĂ©tienne (EsaĂŒ/EDOM) et de sa haine envers le peuple de
Dieu (Jacob/Israël) ainsi que de son alliance dangereuse avec la partie
intĂ©griste et folle du monde arabo-musulman (Mahlath, fille dâIsmaĂ«l) qui se
retournera contre EDOM/lâEurope chrĂ©tienne. A partir de cette paracha,
cela fait des milliers dâannĂ©es que les sages dâIsraĂ«l annoncent un conflit
final pour la fin des temps entre lâEurope (EDOM) et une partie du monde
arabo-musulman (Ismaël) tandis que le vrai peuple de Dieu (Israël/Jacob) sera
Ă©pargnĂ©/protĂ©gĂ© quoique Ă©prouvĂ©/persĂ©cutĂ© : câest prĂ©cisĂ©ment au cours de ce
shabbat quâont eut lieu les attentats les plus terribles de lâhistoire de
la France, attentats perpĂ©trĂ©s par la frange cruelle de lâIslam
(IsmaĂ«l/Mahalath), aidĂ© par lâEurope (EDOM), signĂ© par EDOM (nom du groupe satanique
au bataclan), et le tout, marqué du sceau de la mort (Croix de Néron
symbolisant la mort, la cruautĂ© et lâextermination).
VoilĂ une sĂ©rie dâindices spirituels qui
ne trompent pas et qui viennent nous dĂ©voiler avec prĂ©cision lâorigine et les
responsables véritables de ces attentats. Oui, les vrais responsables sont ceux
dâEDOM(Occident) qui utilisent IsmaĂ«l (la partie cruelle du monde
arabo-musulman) dans un conflit destructeur qui se termine par le retournement
dâIsmaĂ«l contre Edom. Ce vaste ensemble est permis par Dieu qui utilise ces
différents acteurs pour juger EDOM.
En plus des alliances impies faites avec
lâIslam radical et en plus de son mĂ©pris pour IsraĂ«l, lâEurope chrĂ©tienne a
approuvé et voté toutes sortes de lois impies promouvant la débauche,
lâimmoralitĂ©, lâabandon de Dieu et de ses lois parfaitesâŠ
Cet attentat du 13 novembre marque bel et
bien le décret posé sur la France par cette croix de Néron brandit partout. Il
semblerait que la France, et plus globalement lâEurope, soit sous le jugement
de Dieu, IsmaĂ«l Ă©tant lâun des instruments de jugement utilisĂ© par le seul vrai
Dieu pour chùtier EDOM. Le compte à rebours est lancé.
Cependant, comme lâenseigne les sages dâIsraĂ«l, la seule façon dâannuler un
mauvais décret est de rentrer dans une profonde, sincÚre et sérieuse repentance
(TĂ©chouva) et de se tourner vers le Messie dâIsraĂ«l comme il est dit de la
bouche mĂȘme de YĂ©shoua : « En vĂ©ritĂ©, en
vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui
mâa envoyĂ©, a la vie Ă©ternelle et ne vient point en jugement,
mais il est passé de la mort à la vie. » (Jean 5.24)
Mais qui entendra ce message ? Comme
dirait le prophĂšte :
« Qui a cru à ce qui nous était
annoncĂ© ? Qui a reconnu le bras de lâEternel ? » (EsaĂŻe 53.1)
QuâHaShem, le Dieu de gloire vĂ©ritable et redoutable nous garde dans la
foi, lâamour et la repentance, les yeux braquĂ©s sur le Messie YĂ©shoua, lui qui
fut Ă©levĂ© comme le fut le serpent dâairain fabriquĂ© par MoĂŻse et par lequel
Dieu guérit et sauva de la morsure du péché tous ceux qui ont
placĂ© leur confiance dans la Parole du Dieu dâIsraĂ«l, Amen !
Ătude/synthĂšse faite par Thomas du site
rencontrerdieu.com et inspirĂ©e de sources juives (enseignements des sages dâIsraĂ«l)
et de lâenseignement du Rav Dynovisz du 14 et 15 Novembre 2015.
Notre source : http://discernerlesondushofar.eklablog.com