Source : http://nikkos.over-blog.fr/
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Nous aimons
en gĂ©nĂ©ral ce temps de relĂąche, de rassemblements familiaux oĂč l'on essaye de
retrouver les odeurs et les ambiances d'antan des fĂȘtes de NoĂ«l. C'est ce qu'on appelle
la tradition.
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Mais au fait
quelle fĂȘte de NoĂ«l fĂȘtons-nous aujourd'hui ?
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Noël est
probablement la fĂȘte paĂŻenne la plus chrĂ©tienne ou la fĂȘte chrĂ©tienne la plus
païenne célébrée dans le monde. C'est ce mélange qui nous met mal à l'aise. La
confusion est Ă son paroxysme, Ă cause de la main mise mercantile de Mamon sur
l'Ă©vĂšnement.
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Sans vouloir
jouer le rabat-joie, je publie Ă la suite de mon commentaire un article qui
vous aidera simplement Ă avoir une rĂ©flexion honnĂȘte. CelĂ vous permettra
d'avoir une bonne attitude sur ce temps de fĂȘte.
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Tout le monde
sait historiquement que le 25 décembre, date de ce jour de Noël, n'est pas
celle de de la naissance de JĂ©sus.
Au quatriĂšme
siĂšcle, lâempereur Constantin, a fait coĂŻncider la fĂȘte paĂŻenne du solstice
dâhiver avec la naissance de JĂ©sus . "Sol Invictus"(soleil invaincu).
Noël vient du latin "Natalis (dies)" : C'est
le jour natal... mais pas celui de Jésus, celui du solstice d'hiver. Noël
reste donc d'abord et avant tout la fĂȘte du Soleil. Les Romains
fĂȘtaient dĂ©jĂ les Saturnales... et ces fĂȘtes du solstice d'hiver se retrouvent
sur toute la planĂšte .
Le fondement
de cette fĂȘte de NoĂ«l instituĂ©e par Constantin est issu sans l'ombre d'un doute
du paganisme.
Nous sommes
sensĂ©s fĂȘter la venue du Fils de Dieu parmi les hommes. Reconnaissons que nous
sommes bien loin de la finalitĂ© de NoĂ«l et de fĂȘter l' avĂšnement de la venue de
JĂ©sus.
Cette fĂȘte
chrétienne s'est paganisée à cause de tout ce qui s'y passe autour.
Il y a
aujourd'hui une telle imbrication entre le christianisme et le paganisme, qu'il
nous est bien difficile de savoir si cette fĂȘte paĂŻenne est devenue chrĂ©tienne
ou si cette la fĂȘte chrĂ©tienne s'est paganisĂ©e.
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Le problĂšme
n'est pas le sapin, les repas, la crĂšche, les jouets, l'enfant JĂ©sus, les
bougies, et le PÚre Noël, mais mais bien la manipulation doctrinale dont le
chrétienté a été victime depuis le troisiÚme siÚcle.
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La venue du
Fils de Dieu parmi les hommes (les siens) est la plus grande preuve d'amour de
Dieu notre PÚre. Dieu s'est incarné en son Fils par son Esprit qu'il a mis en
cette Homme nouveau venu du ciel. Par l'entremise encore de l'empereur
Constantin, les Ă©vĂȘques ont Ă©chafaudĂ© la plus dangereuse invention doctrinale
du « Dieu fait homme » issue directement du paganisme. Nous
connaissons l'aboutissement qui a conduit au dogme Nicéen. Cela est bien plus
plus dangereux que la crÚche, le sapin et le PÚre Noël.
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En cette
pĂ©riode de fĂȘtes, je vous invite Ă vous centrer sur ce que Dieu nous prĂ©sente
dans sa Parole, car les coutumes des peuples ne sont que vanité. Toute
tradition qui nous éloigne de la vérité n'est pas bonne.
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Jérémie 10:2
Ainsi parle lâĂternel : Nâimitez pas la conduite des nations, Et ne soyez
pas terrifiés par les signes du ciel, Parce que les nations en ont la terreur.
3 Car les coutumes des peuples ne sont que vanitĂ©. On coupe lâarbre dans la
forĂȘt ; La main de lâouvrier le travaille avec la hache ; 4 On
lâembellit avec de lâargent et de lâor, On le fixe avec des clous, au marteau,
Pour quâil ne vacille pas.
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La frénésie
de NoĂ«l ne semble pas s'ĂȘtre attĂ©nuĂ©e avec la crise. La fiĂšvre acheteuse ne
baisse pas bien au contraire. Les boutiques sont prises d'assaut, car Noël rime
pour la majoritĂ© des gens avec cadeaux et foie gras . Les yeux sâenflamment par
toutes sortes de tentations festives autour de l'Ă©vĂšnement majeur de la
naissance de Jésus : le Christ, le messie.
Ce que nous
fĂȘtons est totalement dĂ©calĂ©. Nous essayons de connecter ce qui n'est pas
connectable : La venue du sauveur et la « fiesta ». Alors
pour ne pas déranger nos consciences, nous rebondissons de façon incroyable. Le
milieu « évangĂ©lique » fait comme le monde ! Il fĂȘte NoĂ«l en
faisant un geste pour les déshérités, les isolés, les exclus, les sans famille.
Ainsi acquittés par une générosité bien orchestrée il se rassemble dans
l'Ă©glise pour fĂȘter NoĂ«l tranquillement et faire un bon repas. Ăa ce n'est pas
le vrai Noël !
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Chaque année
la polémique s'installe parmi les chrétiens, les esprits chagrins critiquent la
joie de ceux et celles qui sacrifient Ă la tradition tel que le monde ou la
chrétienté pratique.
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Pouvons-nous
imaginer que cĂ©lĂ©brer lâavĂšnement de JĂ©sus le 25 dĂ©cembre de chaque annĂ©e
saurait honorer Notre Seigneur ? Je ne le pense pas.
Un disciple
de JĂ©sus fĂȘte NoĂ«l tous les jours. Comment ?
En vivant
dans une totale union avec Jésus. C'est une vie qui l'honore par l' obéissance
et les actions de grĂące quotidiennes.
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Les sapins,
les guirlandes, les crĂšches, les cadeaux le foie gras et tout ce qui va avec âŠ
ne doivent plus ĂȘtre attachĂ©s Ă la venue de JĂ©sus pour nous chrĂ©tiens.
Si nous nous
déconnectons de toutes ces choses de la personne de Jésus, il n'y aura plus
jamais pour nous de dilemme avec Noël.
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En agissant
ainsi personne sera en scandale Ă personne, chacun d'entre-nous fera des
cadeaux, en recevra et fera un repas de fĂȘte sans raccrocher cela Ă la venue de
JĂ©sus.
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ArrĂȘtons les
excÚs en tout genre, en commençant par les vaines discussions sur les sapins,
la crÚche, vivons ces moments sans culpabilité dans la paix en famille !
Alors je vous
propose de surfer librement sur la tradition des hommes et de Noël en ayant le
courage de fĂȘter dignement Sa venue tous les jours de notre vie.
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DĂ©connectons-nous
de l' Ă©vĂ©nement de NoĂ«l qui est en fait la fĂȘte du soltice d'hiver et non de la
véritable naissance de Jésus.
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Voyez plutĂŽt
la discussion à propos de Noël devenu un mélange de tradition chrétienne et de
tradition païenne, c'est édifiant :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:No%C3%ABl#D.C3.A9finition_du_mot_.22No.C3.ABl.22
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Ce temps de
fĂȘte familiale peut de passer de toute connotation religieuse, c'est le prix de
la vérité pour ne plus nous compromettre et ne pas trahir Jésus.
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Ainsi vous
pourrez passer ces fĂȘtes en famille sans soucis. Vous aurez toute l'annĂ©e pour
Ă©duquer vos enfants et leurs parler de l'amour de JĂ©sus.
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Je vous
souhaite simplement de bonnes fĂȘtes de fin d'annĂ©e.
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Rendons notre
hommage à Dieu et à son Fils, car Jésus est né et nous a été donné pour nous racheter et
nous faire naĂźtre Ă la vie d'en-haut ! Â Â
NicolasÂ
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Bonne lecture de cet
article sur Noël pour remettre nos pendules à l'heure de Dieu et de réfléchir.
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FĂȘte, cadeaux, lumiĂšre
... c'est cela "Noël" pour le plus grand nombre. Certains y trouvent
l'occasion de manifester leur affection par ce qu'ils offrent, les autres et
particuliĂšrement les enfants se rĂ©jouissent Ă juste raison d'ĂȘtre l'objet de
cette attention, d'autre encore font ripailles, et puis il y dans l'ombre
ceux qui tirent les ficelles et les bénéfices d'un événement au départ
religieux qui est devenu la fĂȘte d'un business commercial Ă©norme. Pour ces
derniers, Noël c'est le marché organisé, la priorité du chiffre d'affaire, une
grande supercherie Ă intĂ©rĂȘt commercial, dont le monde s'est accaparĂ© pour en
faire ce qu'elle Ă©tait Ă l'origine : une fĂȘte paĂŻenne. Voir en bas de page
le lien sur "FĂȘtes paĂŻennes du mois de dĂ©cembre"
Le plus grave, c'est de
faire entrer les enfants dans un mensonge énorme : le pÚre Noël.
Le plus triste, c'est
que ce personnage imaginaire a une origine religieuse
"chrétienne" basée elle aussi sur un autre mensonge et l'idolùtrie :
la légende de Saint-Nicolas.
Voici quelques lignes
tirées de "Le PÚre Noël sur Internet - perenoel.com"
Il est fĂȘtĂ© tous les 6
décembre, dans l'est (Lorraine et Alsace), le nord de la France, la Belgique,
l'Allemagne, la Hollande, l'Autriche, les Pays Bas. Il fait le tour des villes
pour récompenser les enfants sages.
Depuis le XIIe siĂšcle,
on raconte que Saint Nicolas, déguisé, va de maison en maison dans la nuit du 5
au 6 dĂ©cembre pour demander aux enfants s'ils ont Ă©tĂ© obĂ©issants.Â
AprĂšs la RĂ©forme
protestante survenue au XVIe siĂšcle, la fĂȘte de Saint Nicolas fut abolie dans
certains pays européens
AprĂšs plusieurs
dĂ©cennies, la sociĂ©tĂ© chrĂ©tienne trouva plus appropriĂ© que cette "fĂȘte des
enfants" soit davantage rapprochée de celle de "l'enfant Jésus".
Ainsi, dans les familles chrétiennes, saint Nicolas fit désormais sa tournée la
nuit du 24 décembre.
Dans l'Est de la France,
le culte de Saint Nicolas et le pĂšlerinage Ă Saint-Nicolas-du-Port Ă©taient trĂšs
populaires dĂšs le Moyen Ăge. Au XVIe siĂšcle, les rĂ©formistes, pour dĂ©tourner
cette ferveur populaire, privilégiÚrent l'image du Christkindel, de
"l'Enfant JĂ©sus".
En 1809, l'Ă©crivain
Washington Irving parle pour la premiÚre fois des déplacements aériens de
Saint-Nicolas pour la traditionnelle distribution des cadeaux.Â
En 1821, un pasteur amĂ©ricain, ClĂ©ment Clarke Moore, Ă©crivit un conte de NOĂL
pour ses enfants dans lequel un personnage sympathique apparaßt, le PÚre Noël,
dans son traßneau tiré par huit rennes.
Il le fit dodu, jovial
et souriant, remplaça la mitre du Saint Nicolas par un bonnet, sa crosse par un
sucre d'orge et le débarrassa du PÚre Fouettard. L'ùne fut remplacé par 8
rennes fringants.Â
C'est Ă la presse
amĂ©ricaine que revient "le mĂ©rite" d'avoir rĂ©uni en un seul et mĂȘme
ĂȘtre les diverses personnifications dispensatrices de cadeaux.Â
C'est en 1931, que le
pÚre Noël prit finalement une toute nouvelle allure dans une image
publicitaire, diffusée par la compagnie Coca-Cola.
Coca Cola souhaitait
ainsi inciter les consommateurs Ă boire du Coca Cola en plein hiver.
Ainsi, pendant prÚs de 35 ans, Coca-Cola diffusa ce portrait du pÚre Noël dans
la presse écrite et, ensuite, à la télévision partout dans le monde. L'idée que
les enfants se font aujourd'hui du pÚre Noël est fortement imprégnée de cette
image.
TrĂšs Ă©difiant !
Il vous est né un
Sauveur
Si vous ĂȘtes un chrĂ©tien
nĂ© de nouveau, vous ĂȘtes affranchi des traditions religieuses et
paĂŻennes. NoĂ«l doit ĂȘtre pour vous accompagnĂ© d'un autre message :
Il y avait, dans cette
mĂȘme contrĂ©e, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit
pour garder leurs troupeaux.
Et voici, un ange du
Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour dâeux. Ils
furent saisis dâune grande frayeur.
Mais lâange leur
dit : Ne
craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout
le peuple le sujet dâune grande joie: câest quâaujourdâhui, dans la ville de
David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Luc 2:8...
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Pour la majorité des
gens, selon un rĂ©cent sondage, NoĂ«l est une fĂȘte familiale, sans signification
spirituelle, encore moins évangélique ! De nombreux enfants ignorent la
personne de Jésus et n'associent "Noël" qu'aux cadeaux, aux lumiÚres
et Ă la fĂȘte ! Le monde ferme les oreilles Ă l'appel de JĂ©sus : Venez Ă
moi, vous tous qui ĂȘtes fatiguĂ©s et chargĂ©s, et je vous donnerai du
repos.Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et
humble de cĆur ; et vous trouverez du repos pour vos Ăąmes. Car mon joug
est doux, et mon fardeau léger.
Peu entendent leÂ
message essentiel de l'Evangile, Car Dieu a tant aimĂ© le monde quâil a donnĂ© son
Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne pĂ©risse point, mais quâil ait
la vie Ă©ternelle. Jean 3:16
Ils sont indifférents au
plus grand des dons : Le don gratuit de Dieu, câest la vie Ă©ternelle en JĂ©sus-Christ notre
Seigneur. Romains 6:23Â
NoĂ«l peut ĂȘtre pour les
vrais chrĂ©tiens la fĂȘte du souvenir qui permet de proclamer qui est rĂ©ellement
JĂ©sus : La
véritable lumiÚre, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Jean 1:9
Notre témoignage doit
ĂȘtre en opposition avec la mentalitĂ© paĂŻenne des fĂȘtards de NoĂ«l !
Ne suivez pas les
coutumes du monde oĂč nous vivons, mais laissez Dieu vous transformer en vous
donnant une intelligence nouvelle. Ainsi, vous pourrez savoir ce quâil
veut : ce qui est bon, ce qui lui plaßt, ce qui est parfait. Romains 12:2
Certes, ce n'est pas
facile d'aller Ă l'encontre des traditions mensongĂšres et d'habituer nos
enfants Ă affronter le poids des coutumes paĂŻennes et idolĂątres, mais nous
devons les élever avec le souci de les conduire dans la vérité. Dieu nous
exhorte Ă instruire nos enfants de sa Parole :
Instruis lâenfant selon
la voie quâil doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne sâen dĂ©tournera pas.
Proverbes 22:6Â
Et vous, les parents, ne
poussez pas vos enfants Ă la rĂ©volte. Mais pour les Ă©lever, corrigezâles et
donnezâleur des conseils qui viennent du Seigneur. EphĂ©siens 6:4
L'apĂŽtre Paul rappelait
à Timothée la façon dont sa mÚre et sa grand-mÚre l'avaient instruit et montré
l'exemple : DĂšs
ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage Ă salut
par la foi en Jésus-Christ. 2 Timothée 3:15 (2 Timothée 1:5)
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Le but de la Parole
écrite et inspirée de Dieu, c'est d'instruire dans la vérité, afin de donner la
sagesse qui conduit au salut par la foi en JĂ©sus-Christ.
Le don de Dieu
Nous avons l'habitude de
certains mots comme celui de "cadeau". Or je crains qu'une nouvelle
forme de vocabulaire, se voulant moderne, banalise et enlÚve de la valeur
à des choses sacrées. Nous oublions le sens du sacré par rapport à ce qui
est profane. Le mot profane désigne l'opposé au domaine sacré concernant les
choses de Dieu. Je crois qu'il est préférable de parler de "don"
lorsqu'il s'agit des choses que Dieu accorde. D'ailleurs, nous savons faire la
différence de valeur entre "un don" et "un cadeau" dans les
choses courantes de la vie, alors appliquons le aussi pour les "dons"
de Dieu.
Soyons conscients chaque
jour et non seulement à Noël ou lorsque nous prenons la Sainte CÚne, de la
valeur inestimable du don que Dieu nous a fait en son Fils JĂ©sus et de celui de
JĂ©sus lui-mĂȘme par l'offrande de sa vie pour nous sauver.
Sachant que ce nâest pas
par des choses pĂ©rissables, par de lâargent ou de lâor, que vous avez Ă©tĂ©
rachetés de la vaine maniÚre de vivre que vous aviez héritée de vos pÚres, mais
par le sang prĂ©cieux de Christ, comme dâun agneau sans dĂ©faut et sans
tache, prédestiné avant la fondation du monde. 1 Pierre 1:18-20
Un don d'amour
En principe on fait des
cadeaux Ă ceux que l'on aime et il existe de nombreuses occasions de manifester
notre amour ou notre affection ou encore notre reconnaissance : anniversaires,
fĂȘtes d'Ă©vĂšnements, remerciements, etc.
Dieu lui mĂȘme nous
accorde ses dons parce qu'il nous aime.
Dieu a tant aimé le monde
qu'Il a donné son Fils unique Dieu prouve son amour envers nous, en ce que,
lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. Romains 5:8
Si nous voulons profiter
de Noël pour faire des cadeaux à nos enfants, cela doit s'accompagner d'une
instruction, afin qu'ils sachent que ce que nous leur offrons est l'expression
de notre amour pour eux. Nous pouvons, à cette occasion, leur faire
comprendre, en fonction de leur Ăąge, que notre amour pour eux est le reflet de
l'amour bien plus grand de Dieu et que cet amour s'est manifesté par le don de
Jésus, en qui il faut croire pour recevoir la vie éternelle.
La fĂȘte de NoĂ«l peut
ĂȘtre pour les vrais chrĂ©tiens (disciples de Christ) une occasion parmi beaucoup
d'autres de mettre en Ă©vidence l'amour de Dieu, du Seigneur JĂ©sus-Christ et
aussi le notre.
Un sauveur nous est né
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Il vous est né un
Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Luc 2:11
Nous savons que JĂ©sus
n'est pas nĂ© un 25 dĂ©cembre, cette date a Ă©tĂ© fixĂ©e par un Ă©vĂȘque de Rome, pour
l'Ă©glise Catholique, en remplacement de la fĂȘte du solstice d'Hiver, une fĂȘte
paĂŻenne.
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D'abord, un peu
d'histoire :L'Histoire
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Les Ăglises primitives
ne connaissaient qu'une seule fĂȘte : la PĂąque.
"Christ, notre
PĂąque, a Ă©tĂ© immolĂ©. CĂ©lĂ©brons donc la fĂȘte, non avec du vieux levain, non avec
un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la
pureté et de la vérité." 1 Corinthiens 5:7.
Les disciples de Christ
commémoraient la mort et la résurrection du Seigneur, selon ses instructions :
Luc 22.15/20.
DÚs le début de
l'Ăglise, les chrĂ©tiens de JĂ©rusalem pratiquaient la cĂšne, fraction du pain,
chaque jour dans les maisons : Actes 2:42,46. Les chrétiens d'origine
juive continuaient de cĂ©lĂ©brer le sabbat et les fĂȘtes d'IsraĂ«l.
Les disciples de Christ,
convertis d'origine païenne, les gentils, se réunissaient en général le premier
jour de la semaine, appelé le jour du Seigneur, le jour "dominical', le
dimanche, (dimanche de dominici = seigneur). Ils prenaient un repas en commun
(lâagape), le repas du Seigneur, au cours duquel ils rompaient le pain et
partageait la coupe, c'est à dire qu'ils prenaient la CÚne : Actes 20:7 et
1 Corinthiens 11:23,34.
Dans le calendrier
julien, en 46 av. J.-C. Jules César avait adopté le projet de calendrier que
lui proposa SosigÚne d'Alexandrie. L'équinoxe de printemps y est fixée au 25
mars et le solstice d'hiver au 25 décembre. Décembre, dans la Rome antique,
voyait se pratiquer un certain nombre de fĂȘtes :
D'abord, des fĂȘtes
consacrées au culte de Saturne : les Saturnales.
Ensuite, aux Saturnales
succĂšde la fĂȘte des Sigillaires (sceaux) au cours de laquelle les enfants se
voient remettre de petits cadeaux.Â
Enfin, le culte le plus
célébré dans l'empire est certainement celui de Mithra, d'origine indo-iranienne
(oĂč Mithra Ă©tait le dieu du Soleil) et importĂ© en Italie par les soldats
romains. On y fĂȘtait la naissance du dieu soleil, natalis solis invicti, qui
renaissait alors que les jours s'allongeaient Ă nouveau.
Le christianisme prenant
de l'ampleur, ces fĂȘtes paĂŻennes de dĂ©cembre, sont de moins en moins acceptĂ©es
par le clergé romain.
En 325, les Ă©vĂȘques
réunis en concile à Nicée, à l'initiative de l'empereur Constantin le Grand,
réaffirment l'essence divine du Christ. Il n'en faut pas plus pour célébrer,
sinon la naissance de JĂ©sus dont on ignore la date, du moins le Seigneur venant
au monde. La Bible le désignant comme étant la LumiÚre du monde, la date fut
toute trouvĂ©e : celle du solstice d'hiver. La fĂȘte paĂŻenne du solstice d'hiver
qu'on appelait aussi "Naissance (Natale) du soleil" va devenir Natale
du Sauveur. Et Natale va devenir Noël en français.
La premiĂšre mention
véritable du 25 décembre comme date de nais
sance de JĂ©sus se trouve
dans le calendrier de Philocalus, apparemment publié à Rome, en 345 ".
En 354, le pape Liberius
dĂ©signe officiellement la fĂȘte des "Brumalia" du solstice d'hiver
comme celle de la naissance du Christ.
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En 440, l'Ăglise dĂ©clara
que la célébration de la naissance du Christ était définitivement fixée au 25 décembre ;
cette année-là , le pape Sixte III célébra la premiÚre messe de minuit. "
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Ce n'est qu'au XIIe
siĂšcle, que NoĂ«l est devenue la grande fĂȘte de tout l'Occident chrĂ©tien.
Si Noël est devenu
incontournable pour les églises chrétiennes de toutes dénominations, ne soyons
pas des insensĂ©s, ne fĂȘtons pas NoĂ«l comme des paĂŻens.
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Au milieu de cette
débauche de lumiÚre, d'étoiles, de pommes et de paillettes d'or et d'argent,
devant une profusion de cadeaux, de promesses de repas succulents et abondants,
de jouets, d'excitation des grands et petits, nous l'avons compris : c'est Noël
pour un monde riche, païen, indifférent au véritable sens de ce qui devrait
ĂȘtre une fĂȘte spirituelle.
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Oui, il manque l'essentiel, qui
d'ailleurs si Il était présent dans les esprits, apporterait à l'évÚnement
beaucoup plus de modestie, de modération et de véritable joie. Jésus, venu au
monde parmi les pauvres, n'a-t-il pas dit qu'Il est venu pour annoncer aux
pauvres une bonne nouvelle Luc 4:18 ?. Lisons le récit de la naissance du
Sauveur dans l'Ăvangile :"En ce temps-lĂ parut un Ă©dit de CĂ©sar Auguste, ordonnant un
recensement de toute la terre. Ce premier recensement eut lieu pendant que
Quirinus Ă©tait gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire inscrire, chacun
dans sa ville. Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour
se rendre en JudĂ©e, dans la ville de David, appelĂ©e BethlĂ©hem, parce quâil
Ă©tait de la maison et de la famille de David, afin de se faire inscrire avec
Marie, sa fiancĂ©e, qui Ă©tait enceinte. Pendant quâils Ă©taient lĂ , le temps oĂč
Marie devait accoucher arriva, et elle enfanta son fils premier-né. Elle
lâemmaillota, et le coucha dans une crĂšche, parce quâil nây avait pas de place
pour eux dans lâhĂŽtellerie. Il y avait, dans cette mĂȘme contrĂ©e, des bergers
qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs
troupeaux. Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur
resplendit autour dâeux. Ils furent saisis dâune grande frayeur. Mais lâange
leur dit: Ne craignez point; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera
pour tout le peuple le sujet dâune grande joie: câest quâaujourdâhui, dans la
ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Et
voici à quel signe vous le reconnaßtrez: vous trouverez un enfant emmailloté et
couchĂ© dans une crĂšche. Et soudain il se joignit Ă lâange une multitude de
lâarmĂ©e cĂ©leste, louant Dieu et disant: Gloire Ă Dieu dans les lieux trĂšs
hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes quâil agrĂ©e!" Luc 2:1-14.
Â
Nous pourrions commenter
ligne par ligne ce merveilleux rĂ©cit de la naissance de JĂ©sus : "En ce temps lĂ
parut un Ă©dit de CĂ©sar Auguste, l'empereur romain..."
Qui osera affirmer qu'Ă
certains moments de l'histoire des hommes, Dieu ne tient pas dans sa main le
cĆur des puissants et des rois, pour changer le cours de l'histoire ?
"Pendant quâils
Ă©taient lĂ , le temps oĂč Marie devait accoucher arriva..."
Â
Non seulement le cĆur
des hommes peut ĂȘtre dirigĂ© pour l'accomplissement des desseins du Dieu
souverain, mais aussi les temps sont dans sa main.
Â
Ce que je veux
principalement retenir de ce passage de l'Ăvangile de Luc, c'est le message que
l'ange du Seigneur apporta aux bergers effrayés : "Ne craignez point; car je vous
annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet dâune grande
joie: câest quâaujourdâhui, dans la ville de David, il vous est nĂ© un Sauveur,
qui est le Christ, le Seigneur."
Â
Une bonne nouvelle
L'annonce de la
naissance de Jésus est une bonne nouvelle dans ce sens qu'elle le présente
comme le Sauveur : il vous est né "un Sauveur".
Les bergers n'ont
certainement pas compris l'importance et la portée de l'évÚnement qui se
déroulait sous leurs yeux étonnés, devant ce petit bébé emmailloté et couché
dans une crĂšche.
Que représentait pour
ces gens la naissance du Sauveur ? Certainement la venue du Messie qui
viendrait pour rendre sa splendeur au royaume d'Israël.
Aujourd'hui nous savons
que la venue au monde du Fils de Dieu concerne tous les ĂȘtres humains et les
englobent chacun dans le plan de Dieu pour leur salut, non pas la délivrance
d'un quelconque pouvoir politique pesant, mais la rédemption de nos ùmes par le
sacrifice de Celui qui aux yeux des bergers n'Ă©tait encore qu'un bĂ©bĂ©. DĂ©jĂ
l'ombre de la croix se profilait sur l'Ă©table de BethlĂ©em oĂč naissait le
Sauveur.
Â
Oui, en ce temps lĂ ,
lorsque César Auguste ordonna le recensement de son empire, au temps fixé par
Dieu, est né mon Sauveur, non seulement le mien, mais celui de tous les
humains, donc aussi le vĂŽtre, vous qui me lisez. C'est le message de
l'Ăvangile, bonne nouvelle, et c'est le sujet d'une grande joie. C'est la joie
d'ĂȘtre sauvĂ© qui dĂ©passe de loin toutes les joies passagĂšres du monde. C'est
une joie pour l'éternité. Et ce bonheur est accessible au plus pauvre des
hommes.
Â
La Parole de Dieu nous
exhorte à nous réjouir, mais pas de n'importe quelle joie : "Réjouissez-vous
toujours dans le Seigneur; je le répÚte, réjouissez-vous." Philippiens
4:4.
Le bergers de Bethléem,
aprÚs avoir vu le petit enfant, racontÚrent ce qui leur avait été dit à son
sujet.
"Tous ceux qui les
entendirent furent dans lâĂ©tonnement de ce que leur disaient les bergers.
Marie gardait
toutes ces choses, et les repassait dans son cĆur. Et les bergers sâen retournĂšrent,
glorifiant et louant Dieu pour tout ce quâils avaient entendu et vu, et qui
était conforme à ce qui leur avait été annoncé."
Â
Que cette fĂȘte de NoĂ«l
revĂȘte pour nous sa vĂ©ritable signification, afin que notre joie et notre
témoignage glorifient le Seigneur Jésus-Christ, notre Sauveur.
Il vous est né un
Sauveur qui est le Christ, le Seigneur
Nous trouvons dans cette
proclamation de l'ange aux bergers de Bethléem trois noms significatifs donnés
Ă JĂ©sus.
Yechoua = JĂ©sus... qui
veut dire "lâĂternel est salut" ou pour
simplifier : Le sauveur⊠car il sauve.
"Elle enfantera un
fils, et tu lui donneras le nom de JĂ©sus; câest lui qui sauvera son peuple de
ses péchés." Matthieu 1:21.
MachiaH = messie... Christ = oint.
Celui que Dieu envoie Ă son peuple pour le conduire.
AdonaĂŻ = Seigneur, en
hĂ©breux : âadon: mot ancien signifiant le droit de propriĂ©tĂ©, dâoĂč lâexercice
dâun pouvoir absolu.
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Voici ma
question au milieu de ces foules agitées et bruyantes :
Aujourdâhui, qui est
pour moi Jésus-Christ le Seigneur ?
Pour beaucoup NoĂ«l nâest
quâune belle histoire, un joli conte.
Pour un grand nombre
câest la fĂȘte aux cadeaux, les festins, les vacancesâŠ
Pour quelques personnes
religieuses câest la cĂ©lĂ©bration dâun Ă©vĂ©nement historique : la naissance
de Jésus !
Mais lâenfant a grandi,
il est devenu un homme, comme tous les hommes, ensuite il a agit comme
prĂ©dicateur-prophĂšte, puissant et merveilleux, puis le fils de lâhomme a
souffert, est mort sur une croix pour expier nos péchés. Enfin, il est
ressuscité et il est monté au ciel. Combien ont la conscience de la valeur des
souffrances et de la croix de Christ, concernant le pardon de leurs propres
péchés et le salut de leur ùme ?
Enfin dâautres gardent
l'image du Christ crucifié. De plus lorsqu'ils croient à la résurrection et
lâascension du Seigneur, ils n'ont pas la conscience de sa prĂ©sence
aujourd'hui, ici bas, avec ceux qui le suivent, au milieu de ceux qui
s'assemblent en son Nom.
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Notre Saveur est vivant
Physiquement, avec son
corps ressuscité, Jésus est au ciel, à la droite de son PÚre et il intercÚde en
notre faveur. Mais Notre Seigneur est aussi présent, vivant avec nous et en
nous par son Esprit ! Il dit lui-mĂȘme : "Et voici, je suis avec vous tous les
jours, jusquâĂ la fin du monde." Matthieu 28:20.
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Il est Ă©ternellement
vivant pour nous sauver parfaitement : "Mais lui, parce quâil demeure
Ă©ternellement, possĂšde un sacerdoce qui nâest pas transmissible. Câest pour
cela quâil peut sauver parfaitement ceux qui sâapprochent de Dieu par lui, Ă©tant
toujours vivant pour intercéder en leur faveur." Hébreux 7:25.
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Il est toujours présent
par son Esprit en nous et au milieu de nous pour y accomplir les mĂȘmes Ćuvres
quâautrefois. Nâest-il pas toujours le mĂȘme ? HĂ©breux 13:8.
Nous avons un Sauveur et
Seigneur qui pardonne nos péchés et nous enlÚve tout sentiment de culpabilité,
la mauvaise conscience. Câest lâĆuvre du Saint-Esprit qui se produit dans notre
cĆur, lorsque nous confessons nos pĂ©chĂ©s. Il nous donne la vie Ă©ternelle, nous
faisant naĂźtre dâen haut, par l'Esprit de Dieu, qui dĂ©veloppe en nous jour
aprĂšs jour la nature divine.
JĂ©sus nous secourt
lorsque nous sommes tentĂ©s : "car, ayant Ă©tĂ© tentĂ© lui-mĂȘme dans ce quâil a
souffert, il peut secourir ceux qui sont tentés." Hébreux 2:18.
Il nous délivre du
pouvoir du malin et nous défend contre ses accusations. Il est notre avocat
auprÚs du PÚre : 2 Jean 2:1.
Il nous guérit de nos
maladies, lorsque nous lâinvoquons. Celui qui a le pouvoir de pardonner nos
péchés a aussi le pouvoir de guérir notre corps.
Il baptise du
Saint-Esprit : Jean 1:33.
Il a promis de revenir,
afin de nous prendre avec Lui, lĂ oĂč il est, pour toujours : Jean 14:1-3.
Il nous est nĂ©âŠIl est nĂ© pour nous un Sauveur, qui est le Christ, le SeigneurâŠ
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Le Christ, lâoint de
Dieu, est venu avec l'Esprit de Dieu, comme il l'a proclamĂ© : "LâEsprit du
Seigneur est sur moi, Parce quâil mâa oint pour annoncer une bonne nouvelle aux
pauvres; Il mâa envoyĂ© pour guĂ©rir ceux qui ont le cĆur brisĂ©, Pour proclamer
aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour
renvoyer libres les opprimés, Pour publier une année de grùce du
Seigneur." Luc 4:18.
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VĂ©ritable LumiĂšre de
Dieu, il éclaire et conduit tous ceux qui sont dans les ténÚbres et qui le
reçoivent.
"Cette lumiĂšre
était la véritable lumiÚre, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
Elle Ă©tait dans le monde, et le monde a Ă©tĂ© fait par elle, et le monde ne lâa
point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne lâont point reçue.
Mais Ă tous ceux qui lâont reçue, Ă ceux qui croient en son nom, elle a donnĂ©
le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la
volontĂ© de la chair, ni de la volontĂ© de lâhomme, mais de Dieu." Jean
1:9-13.
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Il est le Christ, le
Seigneur, AdonaĂŻ, celui qui veut rĂ©gner souverainement dans nos cĆurs et qui va
revenir pour Ă©tablir le royaume de Dieu sur la terre. Est-il cela pour
moi ? ..
"Notre cité à nous
est dans les cieux, dâoĂč nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur
JĂ©sus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant
semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir quâil a de sâassujettir toutes
choses." Philippiens 3:20-21.
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