Jean 1.29, «…Le
lendemain, il vit Jésus venir à lui, et il dit : Voilà l’agneau de Dieu qui ôte
le péché du monde !…».
La
révolution annoncée par les prophètes se prépare… Le Messie tant annoncé est
là, devant Jean-Baptiste le précurseur. Il est possible de dire que Jésus
l’agneau de Dieu accomplit parfaitement la loi de Moïse, c’est à dire il est
pureté, sainteté, justice, etc… Car Jésus est sans péché, il est la perfection
même.
Les
sacrifices d’animaux devaient être répétés sans cesse, chaque année,
régulièrement et d’une façon bien précise. Ces animaux n’étaient qu’une sorte
de substitution afin de couvrir le péché. Le sacrifice de Jésus, l’agneau
parfait change la donne une fois pour toutes. Plus besoin de le renouveler, car
son sacrifice est parfait.
L’animal
qui était sacrifié, substitué à nous-même, dont le sang était répandu pour le
péché, «couvrait» notre péché… Le sacrifice de Jésus ne «couvre» pas le
péché mais «l’ôte»… Notre péché est ôté, il a disparu. En conséquence nous
pouvons nous approcher de lui parfaitement.
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