Cette trompette va marquer le retour du Seigneur Jésus dans les nuées pour enlever Son Epouse. Mais Il ne pourra enlever que ceux qui sont prêts à être enlevés! Etes-vous certains que c’est votre cas?

Voici ce qu’a écrit l’apôtre Paul, dans la première épître aux Thessaloniciens:

« Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur: nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles » (1 Thessaloniciens 4: 13-18).

Ceux qui n’ont pas d’espérance dans ce monde s’affligent à la mort d’un être cher. Il est normal d’éprouver une tristesse humaine lors de la perte d’une personne aimée. Mais si nous savons que cette personne était un enfant de Dieu, et qu’elle est partie dans la paix du Seigneur, nous sommes invités à ne pas nous affliger comme ceux qui ne connaissent pas Dieu.

Car nous savons que ce bien-aimé, ou cette bien-aimée, est dans la présence bénie du Seigneur, et qu’il, ou elle ne voudrait certainement pas revenir sur terre si on le lui proposait!

Notre espérance bénie, c’est de garder dans notre coeur ces paroles du Seigneur Jésus:

« Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi » (Jean 14: 1-3).

« Je reviendrai, et je vous prendrai avec moi! » Le Seigneur est Fidèle et Véritable! Fidèle à Sa Parole! Il reviendra! Et Il nous prendra avec Lui! Et Il reviendra brutalement, sans prévenir du jour ni de l’heure!

Cela signifie clairement que nous devons être prêts à partir à tout moment!

A l’étude de la Parole de Dieu, nous pouvons privilégier certains moments de l’année, où il nous semble que le Seigneur pourrait revenir. Toutefois, ce ne sont que des possibilités, au mieux des probabilités. Mais puisque nous ne connaissons pas le moment précis de notre départ, nous ne pouvons pas nous permettre de prendre des risques inutiles, et de prendre à la légère notre vie spirituelle. C’est avec sérieux et persévérance que nous devons nous préparer.

« Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel. »

Ce signal retentira brutalement! Et personne ne sait quand ce signal retentira, sinon Dieu le Père. Jésus a dit:

« Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul » (Matthieu 24: 36).

Le Seigneur ajoute ensuite un signe très important:

« Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous: il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera pris et l’autre laissé; de deux femmes qui moudront à la meule, l’une sera prise et l’autre laissée. Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra » (Matthieu 24: 37-42).

Au temps de Noé, les hommes ne se doutèrent de rien! Cela signifie que, juste avant le déluge, les hommes continuaient tranquillement leur vie ordinaire, mangeant, buvant, se mariant et mariant leurs enfants.

Il ne s’agit donc absolument pas d’un contexte apocalyptique, comme si l’enlèvement devait de produire en pleine Grande Tribulation.

Si c’était le cas, et si l’Eglise devait être enlevée pendant, ou à la fin de la Grande Tribulation, personne ne serait pris par surprise! Car, pendant la Tribulation, les cataclysmes se succèderont à une telle rapidité, et avec une telle intensité, que les gens penseront à toute autre chose qu’à acheter ou vendre, à se marier ou à marier leurs enfants!

L’apôtre Luc ajoute qu’il en sera de même que lors de la destruction de Sodome et Gomorrhe:

« Ce qui arriva du temps de Lot arrivera pareillement. Les hommes mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, bâtissaient; mais le jour où Lot sortit de Sodome, une pluie de feu et de soufre tomba du ciel, et les fit tous périr » (Luc 17: 28-29).

Là encore, les hommes vaquaient tranquillement à leurs occupations habituelles, sans se douter de ce qui allait leur arriver.

Pour moi, comme pour beaucoup d’autres, il est clair que l’enlèvement de l’Epouse ne peut en aucun cas se faire pendant la Tribulation. Mais ce sera au contraire l’enlèvement de l’Eglise fidèle qui marquera le début de cette Tribulation.

La Tribulation est le temps de la colère de Dieu sur un monde impie qui ne veut pas se repentir. Mais l’Epouse de Christ n’est pas destinée à la colère de Dieu. Elle se prépare par amour pour son Seigneur, et n’aura nullement besoin de l’épreuve de la Tribulation pour se préparer!

En outre, comme l’Antichrist imposera la marque de la Bête à tous les hommes, dès sa prise de pouvoir, et qu’il mettra à mort tous ceux qui la refuseront, il ne resterait plus beaucoup de chrétiens fidèles vivants, pour être changés et enlevés à la rencontre du Seigneur, si l’enlèvement devait de produire au milieu ou à la fin de la Tribulation!

« Pour ce qui est des temps et des moments, vous n’avez pas besoin, frères, qu’on vous en écrive. Car vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit. Quand les hommes diront: Paix et sûreté! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l’enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n’échapperont point. Mais vous, frères, vous n’êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme un voleur; vous êtes tous des enfants de la lumière et des enfants du jour. Nous ne sommes point de la nuit ni des ténèbres. Ne dormons donc point comme les autres, mais veillons et soyons sobres. Car ceux qui dorment dorment la nuit, et ceux qui s’enivrent s’enivrent la nuit. Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de la charité, et ayant pour casque l’espérance du salut. Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l’acquisition du salut par notre Seigneur Jésus-Christ,qui est mort pour nous, afin que, soit que nous veillions, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui » (1 Thessaloniciens 5: 1-10).

Même si nous ne connaissons ni le jour ni l’heure, nous ne serons pas surpris par la venue soudaine du Seigneur, parce que nous serons prêts!

Etre prêt, cela signifie rester fidèles au Seigneur, et ne jamais cesser de Le laisser nous sanctifier, nous purifier et nous perfectionner.

Etre prêt, c’est ne jamais tarder à revenir au Seigneur, quand la paresse spirituelle nous a éloignés de Sa communion.

Etre prêt, c’est ne jamais tarder à nous repentir et à reconnaître nos péchés, devant Dieu et devant les hommes, quand le Saint-Esprit nous le montre.

Etre prêt, c’est recevoir en permanence le bénéfice du sang purificateur de Jésus, parce que nous marchons dans l’amour et dans la lumière que nous avons reçue.

Etre prêt, c’est garder la Parole de Dieu au fond de notre coeur, dans le désir sincère de la mettre en pratique.

Dans le Livre de l’Apocalypse, l’apôtre Jean écrit ceci, à propos de l’Eglise fidèle de Philadelphie:

« Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n’ouvrira: Je connais tes oeuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n’as pas renié mon nom, j’ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer. Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t’ai aimé. Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure (le grec dit: DE l’heure) de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.Je viens bientôt (brutalement). Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne » (Apoc 3: 7-11).

Etre gardé de l’heure de la grande épreuve (tribulation) qui va venir sur le monde entier pour l’éprouver, cela signifie que cette Eglise ne la traversera pas, parce qu’elle sera enlevée avant!

Le fait que Jésus dit qu’Il reviendra brutalement (ce qui est ici la bonne traduction du mot grec) signifie que nous devons toujours rester fidèles au Seigneur, ou ne jamais tarder à revenir à Lui si nous nous sommes écartés. À cette Eglise fidèle, qui n’a en elle-même que peu de puissance, le Seigneur Jésus dit qu’elle a gardé Sa Parole et qu’elle n’a pas renié Son Nom.

La meilleure façon de ne jamais renier le Nom du Seigneur, c’est de garder précieusement Sa Parole! C’est le signe premier de notre amour pour le Seigneur.

« Jésus lui répondit: Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles » (Jean 14: 23-24).

Garder la Parole de Dieu, c’est la méditer, y attacher notre foi, et la mettre en pratique.

C’est la présence sur terre de l’Epouse fidèle, remplie du Saint-Esprit, qui empêche actuellement la pleine manifestation de l’homme du péché, l’Antichrist.

« Pour ce qui concerne l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et de ne pas vous laisser troubler, soit par quelque inspiration, soit par quelque parole, ou par quelque lettre qu’on dirait venir de nous, comme si le jour du Seigneur était déjà là. Que personne ne vous séduise d’aucune manière; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu. Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j’étais encore chez vous? Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps. Car le mystère de l’iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement » (2 Thessaloniciens 2: 1-8).

Les deux derniers signes qui précèdent l’enlèvement de l’Eglise sont les suivants: L’Eglise fidèle verra la grande apostasie finale, et verra aussi paraître l’homme du péché, avant qu’il puisse prendre le pouvoir.

Il n’est pas difficile de constater que les églises chrétiennes visibles sont plongées dans la pire apostasie de tous les temps! La Vérité est foulée aux pieds, et les hommes se donnent toutes sortes de faux docteurs qui les bercent par leurs mensonges et leurs fausses doctrines.

Nous vivons aussi à l’époque où l’Eglise fidèle, et elle seule, saura reconnaître l’apparition sur la scène mondiale d’un homme qui deviendra l’Antichrist, l’homme du péché. Le Saint-Esprit dira à Son Eglise: « C’est lui! »

Mais il y a quelque chose qui le retient actuellement, c’est justement la présence sur la terre de l’Eglise fidèle. Car celle-ci est remplie de « celui qui le retient, » c’est-à-dire du Saint-Esprit.

Quand le Saint-Esprit aura disparu, lorsque l’Epouse sera enlevée, Il ne sera plus répandu avec puissance sur la terre, comme Il l’est depuis le jour de la Pentecôte. Alors le sel de la terre aura aussi disparu, la pire corruption se généralisera rapidement, et l’homme du péché pourra prendre le pouvoir.

Bien-aimés, le Saint-Esprit parle en ce moment à tous ceux qui ont reçu le Seigneur Jésus dans leur coeur, pour leur dire, soit: « Prépare-toi à la venue du Seigneur, parce que tu n’es pas prêt! », soit: « Tu es prêt, mais continue à veiller et à prier, et ne te relâche pas! »

Jésus dit à l’Eglise de Philadelphie: « Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne! »

Cela signifie qu’il est possible que quelqu’un vienne nous prendre notre couronne, si nous ne retenons pas ce que nous avons!

Que devons-nous donc faire, pour être prêts à partir à tout moment?

Bien entendu, nous devons être nés de nouveau en Jésus-Christ. Cela signifie que nous nous sommes reconnus pécheurs devant Dieu, que nous nous sommes repentis de nos péchés, et que nous avons reçu Jésus-Christ comme notre Sauveur et Seigneur.

Nous avons compris qu’en dehors de Jésus, il n’y a point de salut. Et que seul Son sang précieux peut nous purifier de tout péché.

Le Seigneur efface alors tous nos péchés, et fait passer notre esprit par une nouvelle naissance spirituelle. Nous recevons la parfaite justice de Dieu dans notre esprit régénéré.

Ensuite, nous devons obéir aux deux premiers commandements que le Seigneur adresse à Ses disciples: être baptisés d’eau par immersion, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit; et être baptisés du Saint-Esprit.

L’Eglise primitive appelait à la repentance et à la foi en Jésus. Tous ceux qui répondaient à cet appel étaient immédiatement baptisés d’eau par immersion, le jour même de leur conversion! En effet, pourquoi perdre du temps, quand on veut obéir au Seigneur?

Et dès qu’ils étaient baptisés d’eau, on les conduisait à demander à Dieu de les baptiser (ou de les remplir) de Son Esprit.

« Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit » (Matthieu 28: 19-20).

« Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il; car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit » (Actes 1: 4-5).

Tous les chrétiens nés de nouveau possèdent le Saint-Esprit. Mais tous ne sont pas automatiquement remplis du Saint-Esprit dès la nouvelle naissance. Car c’est à nous de demander au Seigneur de nous remplir de Son Esprit.

Les apôtres prenaient un soin extrême à vérifier que toutes choses étaient accomplies en accord avec la volonté du Seigneur.

« Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean. Ceux-ci, arrivés chez les Samaritains, prièrent pour eux, afin qu’ils reçussent le Saint-Esprit. Car il n’était encore descendu sur aucun d’eux; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit » (Actes 8: 14-17).

Ces Samaritains avaient reçu la Parole de Dieu et avaient été baptisés d’eau. Ils étaient donc nés de nouveau. Mais il est clair qu’ils n’avaient pas encore été baptisés du Saint-Esprit. Ils n’ont reçu le Saint-Esprit que plus tard, quand les apôtres leur eurent imposé les mains.

Si vous êtes convertis à Jésus, si vous vous êtes repentis de vos péchés, et si vous n’êtes pas encore baptisés d’eau par immersion, ne tardez pas! Priez le Seigneur de vous conduire vers des chrétiens fidèles qui vous baptiseront sans tarder. Et s’ils tardent, ne leur donnez aucun repos qu’ils ne vous aient baptisé!

Si vous n’êtes pas encore baptisés du Saint-Esprit, c’est très simple! Demandez au Seigneur de vous remplir de Son Esprit, et croyez qu’Il vous remplit de l’Esprit dès que vous le Lui aurez demandé! Les signes qui accompagnent le baptême de l’Esprit (les signes initiaux du parler en langues et la prophétie, et d’autres signes encore) suivront quand vous aurez cru que vous avez été remplis de l’Esprit, lorsque vous l’avez demandé!

Enfin, nous devons vivre une vie constante de sanctification. Car ce qui compte, ce n’est pas de bien commencer notre vie chrétienne, c’est de la bien finir!

Une vie constante de sanctification consiste à persévérer à obéir à ces simples commandements:

« Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières » (Actes 2: 42).

L’enseignement des apôtres, c’est, pour nous, l’étude personnelle de la Parole de Dieu, et tout particulièrement des écrits du Nouveau Testament, notamment des épîtres.

La communion fraternelle, c’est continuer à fréquenter des chrétiens fidèles, qui aiment la vérité, et qui veulent marcher par l’Esprit et plus par la chair.

La fraction du pain, c’est la sainte cène, le repas du Seigneur.

Les prières, ce sont toutes sortes de prières, individuelles, collectives, par l’Esprit (en langues), ou par l’intelligence (dans votre langue maternelle).

Si nous persévérons à pratiquer ces choses, nous ne manquerons pas d’être prêts quand la trompette sonnera! Et si nous nous sommes relâchés dans ces pratiques, le Saint-Esprit en nous ne nous lâchera jamais, et ne cessera de nous parler pour que nous reprenions le droit chemin!

Et nous aurons alors la joie indicible de monter dans les airs, à la rencontre du Seigneur dans les airs!

Alors s’accomplira cette parole:

« Ce que je dis, frères, c’est que la chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n’hérite pas l’incorruptibilité. Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’oeil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon? L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ! Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur » (1 Corinthiens 15: 50-58).

Ainsi, frères et soeurs bien-aimés, faisons ce qui nous est commandé, soyons fermes, inébranlables, et travaillons de mieux en mieux à l’oeuvre du Seigneur, qui consiste avant tout à croire en Lui, et à Lui obéir! Et notre travail ne sera pas vain dans le Seigneur!

Source : https://bloghvm.wordpress.com