Par Pete Garcia – Le 21
mars 2016
Si
vous avez déjà été dans un avion au départ d’un terminal occupé, peut-être vous
êtes vous demandés comment votre 747 était capable de traverser les nuages au
moment du départ et apparemment de faire les tours et les ajustements
nécessaires dans les nuages pour vous rendre du point A au point B. Les vols commerciaux fonctionnent presque
toujours sous ce qui est connu comme les règles des vols aux instruments (IFR). En vol IFR, les pilotes ne regardent pas à
l’extérieur, sauf pour les décollages et les atterrissages, mais, en vol, ils
sont uniquement tributaires des instruments de navigation pour déterminer tout,
la vitesse, l’altimètre, la navigation, le taux des montées et des descentes. De même, ils peuvent également recevoir des
instructions d’une agence de contrôle du trafic aérien (ATC) qui leur donne les
commandes où et quand tourner, quand monter ou descendre, ou pour maintenir les
caps et des altitudes actuelles.
En
IFR, il existe différents types d’instruments d’approches que vous pouvez
utiliser, en fonction du type d’instruments que votre avion a à sa
disposition. Un des plus communs parmi
les avions est le VHF de Portée Omnidirectionnelle ou VOR. Sans être trop technique, un VOR vous offre
la direction, mais, ne vous donne pas la distance à moins de croiser une autre
voie aérienne VOR. Le VOR lui-même
repose sur le sol habituellement près d’un aérodrome, et sert de marqueur pour
votre approche, si vous deviez en avoir besoin en cas de mauvais temps. Ce qui est unique à un VOR, c’est le « cône
de confusion » dans lequel vous entrez, lors de votre passage au-dessus du
VOR. En d’autres termes, plus vous êtes
proche de l’aide réelle à la navigation, plus vos instruments vont devenir
sensibles au VOR, ce qui pourrait provoquer des oscillations rapides et de
fausses lectures.
En
tant que, à la fois aviateur et étudiant des prophéties, je ne peux m’empêcher
de faire un parallèle entre les attaques vitrioliques en croissance contre la
doctrine de l’Enlèvement pré-Tribulations, et ce « cône de confusion ». Je suis
fermement convaincu que la doctrine de l’Enlèvement pré-Tribulations est la
seule position eschatologique biblique concernant le moment de l’Enlèvement, et
comme une preuve de sa validité, l’hostilité croissante envers cette doctrine
et la confusion sur le sujet signifient que nous devons être très proches
effectivement.
La
vérité est que l’Enlèvement de l’Église va se produire que nous le voulions ou
non. L’Enlèvement de l’Église est
effectivement la parade de la victoire dans le domaine de Satan où le Christ,
notre Rédempteur, nous accompagne dans notre nouvelle demeure céleste. Pourtant, avant qu’Il le fasse, les morts
sont ressuscités et les vivants sont instantanément transportés dans des corps
immortels. Ceci va se produire également
en fonction de la façon dont les Écritures le disent, que ce sera avant le
début des Tribulations de sept années. Alors, pensez-y de la façon suivante ;
Jésus revient et Il nous donne des corps du type ‘superman’ et nous commençons
à quitter ce monde minable, miné par le péché … et les « chrétiens »seraient en
colère à ce sujet ?
Ce
qui me semble étrange c’est le niveau de colère et de vitriol qui est jeté
contre ceux d’entre nous qui maintiennent la vision Pré-Tribulations, surtout
venant d’autres « chrétiens ». Il semble
que beaucoup de gens sont inquiets et irrités que le Christ puisse avoir
l’audace de revenir sans le leur dire.
Encore une fois, avec toute la sauvagerie dirigée contre les croyants
qui sont pour la « Pré-Tribulations », on pourrait penser que nous avons essayé
d’ajouter une quatrième divinité à la Trinité ou quelque chose de
semblable. Ce qui suit c’est ce qui est
encapsulé dans la vision Pré-Tribulations lorsque vous analysez :
Que
le Christ est intronisé dans Son Royaume, et pas les hommes
Que
l’Église n’est pas Israël, ni les Tribulations pour l’Église
Que
Dieu délivre Son Épouse (Église) avant de déverser sa colère sur la terre
Que
la colère de Dieu commence par le premier Sceau du Jugement
Ce
qui est devenu à la mode ces derniers temps, surtout parmi les critiques de la
vision Pré-Tribulations, est d’émettre des railleries financières sous la forme
du défi, « $10.000 que vous ne trouverez pas un seul verset en faveur de la
vision pré-Tribulations ». Alors, même
si nous offrons effectivement des versets qui sont en faveur de la vision
Pré-Tribulations par nature, le fait demeure que leur défi est malhonnête au
mieux, et carrément blasphématoire au pire.
De toute façon, ils ne payeront pas ou ne peuvent pas payer, et offrent
seulement des excuses d’interprétations afin de discréditer n’importe quel
verset que nous proposons comme preuve.
Mais, nous avons quelque chose de beaucoup plus grand qu’un seul verset,
nous avons tout le canon des Écritures, l’Ancien et le Nouveau, qui vérifient
et témoignent de la fidélité de Dieu en ce qui concerne Ses jugements. D’ailleurs, nous connaissons déjà la réponse
à la question centrale qu’Abraham a présenté sur les plaines de Mamré quand il
a demandé au Seigneur, « Feras-tu aussi périr le juste avec le méchant ? »
(Genèse 18:23)
Nous
pouvons être assurés que notre point de vue, encore et toujours, sera la seule
version biblique de « l’Espoir Béni ».
Bien que je ne sois pas en mesure de répondre dans une seule séance aux
quatre points de discorde de ceux-ci, ils seront traités et nous l’espérons,
d’une manière qui suscitera votre intérêt pour que vous recherchiez ces choses
par vous-même. Ce qui suit représente
les zones populaires de discorde :
Partie 1
1.
Définition de la colère
2.
Qui est dans les Tribulations
Partie 2
1.
L’identité de celui qui restreint
2.
L’Imminence
Partie 1
Colère contre Délivrance
«
Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de
l’homme. Les hommes mangeaient,
buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra
dans l’arche ; Le déluge vint, et les fit tous périr. Ce qui arriva du temps de Lot arrivera
pareillement. Les hommes mangeaient,
buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, bâtissaient ; Mais le jour où Lot
sortit de Sodome, une pluie de feu et de soufre tomba du ciel, et les fit tous
périr. Il en sera de même le jour où le
Fils de l’homme paraîtra. » (Luc
17:26-30)
Tout
d’abord, la délivrance surnaturelle d’un croyant dans les Écritures est en
relation directe avec la taille et la portée du jugement de Dieu. En décrivant le temps juste avant son retour,
Jésus utilise à la fois les jours de Noé et de Lot à titre d’exemples pour
montrer à quoi les jours pourraient ressembler juste avant Son retour. Au temps de Noé, l’argument commun contre la
vision Pré-Tribulations est que Noé a dû endurer le Déluge via l’Arche … ainsi,
l’Enlèvement doit être post-tribulations.
Bien
qu’il soit vrai que Noé et sa famille ont enduré la colère en flottant en toute
sécurité dans l’Arche, peut-être que nous devrions prendre un moment pour
considérer que l’Enlèvement de Noé et de sa famille de la terre n’était pas nécessaire.
Après tout, le plan de Dieu était de ne pas détruire le monde lui-même,
ou pourquoi aurait-il désigné Noé pour sauver les animaux ? Puisque leur enlèvement permanent ne faisait
pas partie du programme de Dieu, Il les a préservés par le Déluge, afin qu’ils
puissent repeupler la terre après que les eaux du Déluge se soient retirées.
(Genèse 9) L’arche était alors
simplement le mécanisme de délivrance qui a permis l’évasion de Noé à travers
et au-dessus des eaux du Déluge. Une
image fidèle de l’Enlèvement Pré-Tribulations, serait le mystérieux enlèvement
d’Hénoch avant l’époque de Noé. (Genèse 5:21-24 ; Hébreux 11:5-6)
Par
la suite, à l’époque de Lot, cette fois la délivrance n’a pas été à travers le
jugement, mais, loin de lui. Étant donné
que le jugement était limité seulement aux deux villes de Sodome et Gomorrhe,
son avertissement est arrivé avant le jugement, et le jugement a été retenu
jusqu’à ce qu’il quitte avec sa famille.
Dans ce cas, la délivrance de Lot et de sa famille était dans leur
départ des villes avant que le feu n’arrive. (Genèse 19)
Mais,
dans les deux exemples que le Christ a utilisé, la délivrance était avant que
ne tombe le jugement, pas pendant ni après.
Donc, une compréhension cohérente de la délivrance est qu’elle doit être
avant l’émission du décret divin. Encore
une fois, quand Dieu déverse sa colère, Il enlève fidèlement les justes en
premier.
Donc,
qu’est-ce qui définit alors la colère ?
Merriam-Webster la définit ainsi :
1.
Une forte colère ou indignation vengeresse
2.
Une punition pour une infraction ou un crime : Châtiment divin
Jésus,
dans son discours de la chambre haute, a souligné en déclarant que dans cette
vie nous aurions des actions judiciaires, des tribulations et que nous serions
détestés par toutes les nations, à cause de son nom. (Jean 14-16) Puis, le Christ a prié pour Lui-même, pour
ses disciples, pour nous tous dans le chapitre suivant (17) pour la force et la
délivrance sous la forme de persévérance pour devenir des vainqueurs. Ceci est en accord avec la construction
biblique, le monde est actuellement sous la gestion temporaire de Satan, et il
a tout le système truqué contre nous. (Luc 4:4-6, Jean 14:30, Éphésiens 2:2, 1
Jean 5:19)
De
même, nulle part dans le Nouveau Testament, les croyants n’ont la promesse d’un
répit dans cette vie, parce que nous (les serviteurs) ne sommes pas plus grands
que le Maître (Jésus-Christ). S’ils
l’ont détesté et l’ont tué, nous ne serons pas à l’abri. Le fait que le monde occidental a embrassé le
Christianisme à un degré ou à un autre, n’est pas nécessairement une bonne
chose. D’une part, il a réduit les
persécutions physiques ici en Occident pendant une brève période de temps, mais
seulement parce que Satan travaille sur quelque chose de beaucoup plus néfaste
sous la forme de divisions et de corruptions.
Franchement,
nous
devrions être bien plus effrayés si le monde arrivait à nous aimer, parce que
cela signifierait que notre doctrine a vraiment dévié de son cours.
(2 Timothée 3 ; 2 Pierre 2-3 ; Jude, Apocalypse 2-3) En ce qui concerne des visions
eschatologiques, il suffit de regarder celles que le monde tolère, et celles
qu’il ne tolère pas, pour un autre indicateur de validité biblique. Présentement, je crois que la vision
Pré-Tribulations est la plus détestée.
Donc, si Satan dirige ce monde, et qu’il déteste les choses que Dieu
aime, alors vous comprenez ce point de vue ?
Cependant,
ces épreuves
et ces tribulations que nous subissons présentement, ne présupposent pas que
les jugements de Dieu sont égaux et/ou sur le même niveau que les persécutions
inspirées sataniquement. Dieu
le permet, mais, seulement dans une certaine mesure, et seulement pour
accomplir davantage son plan. Mais, il ne s’agit pas de la colère divine. En d’autres termes, tant qu’il y a des
Chrétiens et des Juifs sur cette terre, et aussi longtemps que Satan est
autorisé à diriger librement, il y aura des persécutions contre le peuple de
Dieu tant qu’Il le permet. Les Chrétiens
ont eu à faire face à des persécutions dans chaque génération, et dans presque
tous les coins de la planète, pendant les 2000 dernières années. Si les persécutions des chrétiens étaient le
seul baromètre pour la délivrance, le Christ serait revenu depuis des
millénaires.
Mais,
ce n’est pas le cas. Les
persécutions, la corruption, les répressions et les censures font
tout simplement partie de la vie de tous les jours ici sur la planète terre …
tout comme Jésus a dit que ce serait le cas.
Ce qui précède n’est pas ce qui sera au sujet des Tribulations. En fait, les Tribulations ne sont même pas
vraiment le nom de la période de temps que nous traitons, mais sont mentionnées
comme telles dans une langue commune.
Nous faisons en fait référence à la période des Détresses de Jacob
(Jérémie 30:7-11), qui est également connue comme la 70ième semaine de Daniel.
(Daniel 9:24-27)
2 Qui est dans les Tribulations ?
Le
problème dans le fait d’essayer d’adapter l’Église dans les Tribulation des
sept années, est que l’Église n’y a aucun rôle à jouer. Ce serait comme essayer d’adapter la distribution
et l’intrigue de Benny et les Jets, dans The Sound of Music … çà ne correspond
tout simplement pas. Si nous voulions
comprendre d’abord, pour qui et pour quoi vient la 70ième Semaine, alors, ce
point deviendrait plus qu’évident que cela n’a rien à voir avec l’Église. Voyons donc pour quoi sont les Tribulations,
et qui est à l’intérieur des limites des Tribulations. De Jérémie 30:7, 11 :
«
Malheur ! Car ce jour est grand ; Il n’y en a point eu de semblable. C’est un temps d’angoisse pour Jacob ; Mais
il en sera délivré … Car je suis avec toi, dit l’Éternel, pour te délivrer ;
J’anéantirai toutes les nations parmi lesquelles je t’ai dispersé, mais toi, je
ne t’anéantirai pas ; Je te châtierai avec équité, je ne puis pas te laisser
impuni. »
Comme
tout étudiant de la Bible devrait le savoir, Jacob a reçu le nouveau nom
d’Israël par le Seigneur dans Genèse 32:28.
En fait, c’est la première fois que le mot « Israël » est utilisé dans
toute la Bible. Dans le passage de
Jérémie, Dieu fait trois points inattaquables :
1.
C’est la période des angoisses d’Israël
2.
Dieu fera une « fin complète » des nations, parmi lesquelles Israël a été
dispersée également
3.
Dieu punira (discipline), mais, ne détruira pas Israël
Compte
tenu de l’ensemble du contexte de ces versets, le temps des Tribulations
correspond à ce qui est dans le contexte ici et est toujours à venir (puisque
les nations existent encore).
Demandez-vous alors, à la lumière de l’ensemble du chapitre,
•
Où s’intègre l’Église que le Christ a édifié, dans tout ça ?
•
Est-ce que l’Église (Épouse du Christ) doit encore être corrigée dans la
justice ?
•
Est-ce que l’Épouse du Christ a encore besoin d’une punition ?
•
Où est l’Église mentionnée dans ces passages ?
Peut-être
que tout ceci devrait être une question à $10.000 ?
Il
est naturel pour ceux qui regardent la détérioration des conditions dans le
monde d’aujourd’hui, que trop de gens ont envie d’abandonner l’idée de la «
bienheureuse espérance » en faveur de la « préparation » pour les Tribulations.
L’histoire, après tout, nous a montré que la fortune favorise la préparation.
Mais, tout comme c’est le cas avec notre salut éternel, notre délivrance de ces
temps à venir ne dépend pas de nos efforts, mais sur ce que le Christ a déjà
fait. Après tout, n’est-ce pas ce qui distingue le Christianisme de tous les
autres systèmes de croyances ? En
d’autres termes, la « bienheureuse espérance » va contre la logique centrée sur
l’homme et met le fardeau du salut complètement entre les mains de Dieu.
Considérons
les deux exemples que le Christ nous a donnés avec Noé et Lot. Quelles sortes
de préparations (en dehors de ce que Dieu leur a dit de faire spécifiquement)
Noé et Lot auraient-ils pu faire pour éviter « la tempête » ? Quel bunker ou quel haut lieu auraient pu
sauver Noé des eaux du Déluge qui recouvraient la terre ? Quelles fortifications Lot aurait-il pu faire
pour rendre sa maison « à l’épreuve du jugement » ? Dans les deux cas, leur délivrance ne
dépendait pas d’eux-mêmes pour trouver le bon chemin, mais, uniquement de ce
que Dieu leur avait dit de faire.
Nulle
part dans les épîtres du Nouveau Testament, nous ne trouvons des instructions à
l’Église pour se préparer pour la 70ième Semaine de Daniel. La seule façon dont les gens peuvent arriver
à cette conclusion est s’ils prennent des informations destinées à un autre
auditoire, puis, s’ils les appliquent mal à eux-mêmes. Tel est le cas avec la confusion sur le
Discours sur le Mont des Oliviers et Apocalypse 4-19.
Qui est dans les
Tribulations ?
Nous
nous tournons maintenant vers la prophétie de la 70ième semaine de Daniel pour
obtenir des précisions de qui est visé par ce moment particulier. La future 70ième semaine de Daniel est alors
sept années, « semaine d’années », et est la somme de l’ensemble de la
prophétie de 70 semaines (490 ans) qui a été donnée au prophète Daniel par
l’ange Gabriel. Daniel 9:24 déclare ;
«
Soixante et dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte,
pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier
l’iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le
prophète, et pour oindre le Saint des saints. »
Les visions de Daniel (Vidéo) :
https://www.youtube.com/watch?list=PLwiNtKUdfWwURx8FALbWb579fUd2djoxU&v=XwtVYctTd4k
Si
vous prenez tout le passage de Daniel 9 dans le contexte, il devient très clair
que Daniel demandait pardon pour et au nom de … la nation d’Israël. Puis, nous voyons l’ange Gabriel venir
rassurer Daniel que Dieu a un plan pour (ton peuple) les Juifs et Jérusalem (ta
ville sainte). Encore une fois, l’Église
n’est nulle part dans tout cela, puisque Daniel (ainsi que tous les autres
prophètes de l’Ancien Testament) n’avait aucune idée de qui ou de quoi le
Mystère de l’Église était alors, parce qu’il n’avait pas encore été révélé, et
qu’il ne le serait pas, jusqu’à ce que le Christ fasse d’abord ce qui est écrit
dans Matthieu 16:17-20. Même alors, le Christ ne va pas dans les détails sur
les spécificités de l’Église et Il sauvera cette tâche pour l’apôtre Paul, de
nombreuses années plus tard. Et,
exactement comme nous ne voyons pas l’Église dans les 69 premières semaines,
nous ne la voyons pas non plus dans la 70ème semaine.
Comme
un autre point de confirmation, nous voyons dans l’Apocalypse de Jésus-Christ,
Jésus s’adresser à l’Église (ecclesia) 19 fois dans les chapitres de 1 à 3 …
pourtant, Il ne mentionne plus les ecclesia dans les chapitres 4 à 19 tout en
décrivant les 21 jugements divins qui sont déversés sur la terre. Les critiques font valoir que cela est un
argument du silence, mais, le silence est assourdissant. Notez cela également,
la phrase, Si quelqu’un a des oreilles, qu’il entende ! ce que l’Esprit dit aux
Églises accompagnées chacune des sept lettres aux sept églises. Pourtant, à l’intérieur de la Tribulation de
sept années, nous voyons cet avertissement donné dans Apocalypse 13:9, qui
stipule que si quelqu’un a des oreilles, qu’il entende. Si l’Église était encore dans les
Tribulations, cela aurait été l’occasion idéale de le mentionner.
Au
mieux, les critiques de l’Enlèvement Pré-Tribulations comparent le terme «
saints » alors que l’Église est toujours sur la terre pendant les
Tribulations. Je voudrais souligner que
« saints » est un terme assez générique, qui est utilisé avant, pendant, et
après la mort, l’enterrement et la résurrection du Christ. Ainsi, l’utilisation
des « saints » comme un indicateur de qui on est, doit être compris à la
lumière du contexte dans lequel il est donné.
Jésus traite spécifiquement l’Église comme ecclesia, et est libéral dans
l’utilisation de celui-ci dans les trois premiers chapitres de l’Apocalypse. Si l’ecclesia est dans les Tribulations,
pourquoi la négliger pendant les 17 prochains chapitres ? Si vous lisiez une histoire dans un livre et
qu’un caractère soit régulièrement mentionné pendant les trois premiers
chapitres, et puis qu’il ne le soit plus à nouveau … ceci ne vous semblerait-il
pas un peu bizarre ? La question
brûlante qui devrait vous laisser perturbés est … que leur est-il arrivé ?
A SUIVRE PARTIE 2
Source : Omega Letter
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
Source : http://pleinsfeux.org/