Nous
continuons d’étudier notre thème, “Les titres de Jésus”. J’ai choisi ce thème
dans un but spécifique et pratique : vous aider à concentrer votre cœur et votre esprit sur
Celui sans qui nos vies n’auraient pas de véritable sens, Jésus-Christ.
Par exemple, pendant la saison de Noël, malheureusement, tant de gens
aujourd’hui laissent Christ hors de Noël et donc passent à côté de sa
signification réelle et permanente.
Â
Avez-vous
déjà remarqué qu’aucune référence à Christ n’apparaît dans le terme français
Noël, contrairement au terme anglais Christmas? Vraiment, c’est très
révélateur. Ainsi, lorsque les gens pensent à Noël, ils ne réalisent pas
nécessairement la place de Christ dans cette fête.
Â
Une
façon pratique de mieux connaître le Christ est d’étudier les titres qui lui
sont donnés dans les Écritures. Chaque titre révèle un aspect important de sa
merveilleuse nature Ă multiples facettes. Les deux titres de Christ que nous
avons examinés jusqu’à présent sont tous deux tirés d’Ésaïe 9: 6, merveilleux Conseiller
et Prince de la paix. Le titre que nous allons étudier aujourd’hui se trouve
principalement dans les écrits de Jean. C’est la Parole de Dieu.
Â
La Parole de Dieu
Â
Regardons
tout d’abord le premier verset de l’évangile de Jean. Jean 1: 1:
Â
“Au commencement était la Parole, et la
Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.”
Â
Remarquez
dans ce verset que l’expression “la Parole” est utilisée trois fois. Celui
ainsi désigné est Jésus dans sa nature éternelle, non pas Jésus
le fils de Marie mais JĂ©sus le Fils de Dieu. Celui qui Ă©tait Ă©ternellement
avant la création avec Dieu. Celui qui était lui-même Dieu, la deuxième
personne de la divinité. Et puis, encore dans Jean 1:14:
Â
“La Parole a été faite chair, et elle a habité
parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire,
une gloire comme celle du Fils unique venu du Père.”
Â
Encore
une fois, la
Parole est un titre de JĂ©sus. Il est le seul et unique Fils, le Fils
éternel engendré, non pas créé mais engendré. Éternel, d’une
seule nature et étant avec le Père lui-même et en tant que tel, Lui, la Parole,
a été faite chair [c’est l’incarnation, c’est ce que nous célébrons à Noël] et
a habité pendant un certain temps parmi nous. Mais, c’est la Parole éternelle
qui est entrée dans l’histoire humaine en la personne du petit bébé qui est né
dans la crèche de Bethléem et a grandi pour devenir le fils du charpentier.
Â
Maintenant,
Jésus n’est pas seulement venu une fois comme un bébé, mais les Écritures indiquent
clairement qu’Il
reviendra avec puissance et gloire pour juger et régner. Et il y a
une image très vivante de cela, son futur retour, dans Apocalypse 19: 11-13. Et
encore une fois, dans ce contexte, il est appelé la Parole de Dieu. Jean dit
ceci:
Â
“Puis je vis le ciel ouvert, et voici un
cheval blanc. Celui qui le monte s’appelle Fidèle et Véritable [c’est Jésus],
il juge et combat avec justice. Ses yeux sont une flamme de feu ; sur sa tĂŞte
(se trouvent) plusieurs diadèmes ; il porte un nom écrit, que nul ne connaît,
sinon lui, et il est vêtu d’un manteau trempé de sang. Son nom est la Parole de
Dieu.”
Â
Donc
le voilà de nouveau dans sa glorieuse majesté, venant juger et régner, portant
de très nombreuses couronnes (diadèmes, couronnes royales); vêtu d’un manteau
trempé de sang [ce qui parle de son propre sacrifice sur la croix] et son Nom
est la Parole de Dieu. Ce mot grec qui se traduit par « parole » est logos,
un mot qui est assez fréquemment utilisé aujourd’hui dans divers contextes.
Nous devons comprendre un peu plus ce mot logos.
Â
Je
me souviens avoir rencontré un prêtre grec orthodoxe qui est maintenant un de
mes amis et dont la langue maternelle était le grec. J’ai aussi étudié le grec
moi-même depuis l’âge de 10 ans. Et cet ami m’a donné une leçon sur la
signification du mot logos que je n’ai jamais oublié. “Logos
n’est pas seulement une parole dite”, disait-il, “Logos signifie esprit, cela signifie
conseil, cela signifie une compréhension entière.” Et c’est ce que
Jésus est. Il n’est pas seulement une parole dite, mais il est le total
esprit et conseil de Dieu. Tout ce que Dieu sait, tout ce que Dieu
veut dire, tout ce que Dieu veut faire est tout enveloppé en Jésus, la Parole
de Dieu.
Â
Les paroles sont le
moyen de communication suprĂŞme.
Sans paroles, nous pouvons utiliser des signes et des gestes, nous pouvons
exprimer certains sentiments de base, nous pouvons communiquer certains besoins
de base; mais sans paroles, nous ne pourrons jamais communiquer le vrai contenu
de notre cœur. Nous ne pouvons pas vraiment dire ce que nous voulons dire. Nous
ne pouvons pas exprimer des sentiments et des désirs profonds et intimes et
parler des choses qui valent vraiment la peine d’être discutées, intéressantes,
stimulantes, enrichissantes. Et donc, Jésus est la Parole de Dieu. Dieu se révèle de
nombreuses façons, dans la création, dans l’histoire et d’autres manières. Mais
quand Dieu veut vraiment dire ce qui est dans son
cœur, il n’a qu’une seule façon de le dire: il le dit en Jésus. Jésus est la
révélation complète et ultime de Dieu. Lui seul connaît totalement Dieu.
Â
Regardons
la description dans HĂ©breux 1: 1-3 de qui JĂ©sus est dans sa nature Ă©ternelle.
Â
«
Après avoir autrefois, à plusieurs
reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu
nous a parlé par le Fils en ces jours qui sont les derniers… »
Â
Il
y a une signification dans le mot « dernier ». Jésus est la dernière Parole de Dieu.
Les prophètes avaient beaucoup à dire mais quand Dieu a voulu tout dire, tout
résumer, Il a envoyé Son Fils. Voici comment le Fils est décrit:
Â
«
…Il l’a établi héritier de toutes choses,
et c’est par lui qu’il a fait les mondes. Ce Fils,
qui est le rayonnement de sa gloire et l’expression de son être, soutient
toutes choses par sa Parole puissante ; après avoir accompli la
purification des péchés, il s’est assis à la droite de la majesté divine dans
les lieux très hauts »
Â
Il
y a sept
déclarations sur le Fils. Il est l’héritier de toutes choses. Tout
va s’accomplir par lui. Il a fait l’univers, à travers lui, Dieu a créé
l’univers, lui-même étant non créatif. Il est le rayonnement de la gloire de
Dieu, la façon dont la gloire de Dieu entre dans nos vies. La représentation
exacte de son être, la façon dont nous apprenons à connaître Dieu tel qu’il est.
Vous vous souvenez que Jésus a dit à un moment donné : « Celui qui m’a vu a vu le Père. » Il soutient toutes choses par sa Parole
puissante, c’est lui qui soutient toute la création.
Et puis deux faits sur notre rédemption. Il a purifié les péchés par sa mort
sur la croix. Cela fait, il s’est assis à la droite de la majesté divine, à la
place de toute autorité, puissance et gloire.
Â
Ainsi,
Jésus est la Parole de Dieu. La révélation et le déploiement pleins et complets
de tout ce que Dieu est, de tout ce que Dieu veut dire. Et permettez-moi de
souligner que sans
révélation, l’homme ne peut pas connaître Dieu.
Â
J’étais
à une époque philosophe professionnel, professeur de philosophie et j’ai étudié
de nombreux systèmes philosophiques dans lesquels les philosophes essayaient
par un simple raisonnement naturel d’arriver à comprendre s’il y avait un Dieu
et si oui, à quoi ressemblait Dieu. Et savez-vous ce que j’ai découvert ?
Chacun d’eux est arrivé à une conclusion différente. Ce que j’ai appris de
cela, c’est que le
simple raisonnement et l’intelligence humaine ne peuvent pas nous donner une
image vraie ou exacte de Dieu. Donc, nous dépendons de la révélation
souveraine de Dieu lui-mĂŞme si nous voulons savoir qui est Dieu et Ă quoi Il
ressemble. Et cela a plu à Dieu de nous donner cette révélation totale de
lui-mĂŞme en la personne de don Fils, la Parole faite chair, celui en qui Dieu a
dit tout ce qu’Il a à dire. Et donc, Jésus est cette révélation de Dieu, la Parole de
Dieu, celle qui nous montre Ă quoi
ressemble vraiment Dieu, celle qui révèle le cœur et la nature et l’être mêmes
de Dieu, celle qui nous révèle la miséricorde de Dieu, la fidélité de Dieu, la
sagesse de Dieu, celle qui nous donne une véritable image de Dieu. Jésus nous
dit et nous montre Ă quoi ressemble vraiment Dieu.
Â
Et
puis il y a une autre conclusion importante: Jésus est la dernière Parole de Dieu. Il
est la révélation complète et finale. Si vous rejetez cette
révélation, vous ne pouvez pas vous attendre à entendre parler de Dieu d’une
autre manière. Il n’y a pas d’autre moyen. Jésus a dit: « Je suis LE chemin. Aucun homme ne vient au
Père que par moi. » Vous ne pouvez pas rejeter Jésus et venir au Père.
Recevez-le, croyez en lui, ouvrez-lui votre cœur et votre esprit aujourd’hui.
Et Il vous montrera la vraie nature de Dieu. Vous ne tâtonnerez pas, vous ne
vous poserez pas de questions, vous aurez une compréhension claire, une
révélation toujours croissante et plus lumineuse de la vraie nature et de la
personne de Dieu.
Â
Que
Dieu vous aide à le faire aujourd’hui si vous ne l’avez jamais fait auparavant.
Â
Â
L’Agneau de Dieu
Â
Jean-Baptiste
a été envoyé avant Jésus comme son précurseur pour préparer le chemin avant
lui. Et quand le moment est venu pour Jean de prĂ©senter publiquement JĂ©sus Ă
Israël, c’est ainsi qu’il l’a décrit, l’Agneau de Dieu. Regardons le récit dans
Jean 1: 29-31.
Â
«
Le lendemain, il [c’est Jean-Baptiste]
vit Jésus venir à lui et dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du
monde. C’est celui dont j’ai dit : Après moi vient un homme qui m’a précédé,
car il était avant moi ; et moi, je ne le connaissais pas, mais, afin qu’il
soit manifesté à Israël, je suis venu baptiser d’eau. »
Â
Ainsi,
Jean-Baptiste
est venu préparer Israël et leur révéler le Messie. Et quand il leur
a donné cette révélation, la phrase qu’il a utilisée était « Voici l’Agneau
de Dieu, qui ôte le péché du monde ! » Qu’est-ce que ce titre, ce
titre spécifique, « l’Agneau de Dieu » nous dit sur Jésus ?
Â
Je
vous suggère qu’il y a trois associations
principales dans l’Écriture pour un agneau. Et rappelez-vous qu’Israël
connaissait très bien cette créature particulière, l’agneau. Il a joué un rôle
absolument unique dans leur histoire depuis leur exode d’Égypte. Donc, il n’y
avait pas un seul Israélite là -bas écoutant Jean pour qui ce terme agneau
n’avait pas une signification très particulière.
Â
Voici
les trois
associations que je vois chez l’agneau.
-Â Â Â Â Â Â Â Â
Tout d’abord,
l’agneau est une
image de douceur. L’agneau n’est pas un animal qui se bat. Il n’a ni
serres, ni griffes, ni crocs. C’est un animal doux. –
-Â Â Â Â Â Â Â Â
 Deuxièmement, c’est une image de pureté. Vous sortez
dans les champs au printemps et regardez les agneaux nouveau-nés et ils ont
l’air si blancs et propres et moelleux. Il y a quelque chose en eux qui vous
donne envie de les prendre et de les caresser. Vous aimez ce blanc pur.
-Â Â Â Â Â Â Â Â
Et puis,
l’agneau – et c’est le plus important de tous – dans l’histoire d’Israël était le sacrifice
désigné par Dieu pour assurer la rédemption et la protection. Pour
le peuple juif, l’agneau était particulièrement associé à l’une de leurs fêtes
religieuses les plus solennelles et les plus importantes, celle qui est encore
célébrée dans le monde entier aujourd’hui par le peuple juif, la Pâque.
Â
Voici
le récit original de la façon dont Dieu voulait qu’Israël célèbre la Pâque,
telle qu’elle a été donnée à Israël par Moïse. Il est cité dans Exode 12:
21-23. Et vous verrez que toute la Pâque telle qu’ordonnée à l’origine par Dieu
se centre autour d’un agneau. Sans agneau, il ne peut y avoir de Pâque comme
elle a été initialement ordonnée par Dieu par Moïse.
Â
«
Moïse appela tous les anciens d’Israël et leur dit : Allez prendre du petit
bétail pour vos familles, et immolez la Pâque. Vous prendrez ensuite un bouquet
d’hysope, vous le tremperez dans le sang qui sera dans le bassin, et vous
toucherez le linteau et les deux poteaux (de la porte) avec le sang qui sera
dans le bassin. Nul de vous ne sortira de sa maison jusqu’au matin. Quand
l’Éternel traversera l’Égypte pour frapper et qu’il verra le sang sur le
linteau et sur les deux poteaux, l’Éternel passera par–dessus la porte et ne
laissera pas le destructeur entrer dans vos maisons pour (vous) frapper. »
Â
Ainsi,
l’entière délivrance d’Israël du jugement et de la colère dépendait de l’agneau
et de son sang. Et ils ont dû appliquer le sang sur l’extérieur de la maison où
ils vivaient. Ce mot Pâque est intéressant. En hébreu, c’est Pessa’h. Tout
récemment, j’étudiais l’hébreu à l’Université hébraïque de Jérusalem. Pendant
que nous étions là -bas, nous avons lu le récit d’un ouragan qui s’approchait de
notre maison dans le sud-est de la Floride et, bien sûr, nous priions
sincèrement et Dieu a fait une chose merveilleuse. Juste au dernier moment où
l’ouragan était à environ une heure de route, sans aucune raison évidente, il a
changé de cap et est passé par notre ville d’origine sans faire de dégâts. De
façon assez intéressante, dans notre classe, nous étudiions un journal hébreu
qui rapportait cet incident et quand il a parlé de l’ouragan qui passait, il a utilisé
le mot frumpesach,
le même mot-racine. Et les autres élèves de la classe ont dit: « Qu’est-ce que
cela signifie ? » Et j’ai dit : « Vous devez savoir ce que cela signifie. C’est
le mot pour
la Pâque. » Et ils ont dit « Oh, je vois. » Donc, c’était une
illustration si vivante pour moi de ce que signifie la Pâque. Cela signifie que l’ouragan de la colère et du jugement
de Dieu qui aurait dû descendre a été détourné et passé à cause du sang de
l’Agneau pascal.
Â
Cette image de l’agneau
s’est accomplie en Jésus. Tout
d’abord, nous avons une image prophétique dans Ésaïe 53: 7:
Â
«
Il a été maltraité, il s’est humilié Et
n’a pas ouvert la bouche, Semblable à l’agneau qu’on mène à la boucherie, A une
brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n’a pas ouvert la bouche. »
Â
Il
y a de nombreuses années, je travaillais dans une ferme avec des moutons. Et
j’ai remarqué à quel point c’est incroyablement précis. Lorsque vous prenez un
mouton pour être tondu, il bêlera fort jusqu’à ce que vous preniez les ciseaux
et que vous commenciez Ă arracher la laine. Et, Ă ce moment, le mouton devient
absolument silencieux. Il a été maltraité, il s’est humilié Et n’a pas ouvert
la bouche, Semblable à l’agneau qu’on mène à la boucherie, A une brebis muette
devant ceux qui la tondent ; Il n’a pas ouvert la bouche.
Â
«
Les principaux sacrificateurs et tout le
sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mourir, et ils
n’en trouvaient pas ; car plusieurs rendaient de faux témoignages contre lui,
mais les témoignages ne concordaient pas. Qu’est–ce que ces gens témoignent
contre toi ? Jésus garda le silence et ne répondit rien. »
Â
Il Ă©tait lĂ , une brebis muette devant ceux qui la tondent. Et puis encore, la mĂŞme chose devant Pilate, le
gouverneur romain. Marc 15: 3-5:
Â
«
Les principaux sacrificateurs portaient
contre lui plusieurs accusations. Pilate l’interrogea de nouveau : Ne
réponds–tu rien ? Vois tout ce dont ils t’accusent. Et Jésus ne fit plus aucune
réponse, ce qui étonna Pilate. »
Â
C’est l’Agneau de Dieu. Le sang de l’agneau pascal a racheté Israël hors
d’Égypte, mais le sang de Jésus, l’Agneau de Dieu,
fournit la rédemption éternelle à tous ceux qui croient. Ceci est
clairement énoncé plusieurs fois dans le Nouveau Testament. Par exemple, dans
HĂ©breux 9: 11-12.
Â
«
Mais Christ est venu comme souverain
sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et
plus parfait qui n’est pas construit par la main de l’homme, c’est–à –dire qui
n’est pas de cette création ; et il est entré une fois pour toutes dans le
sanctuaire, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang.
C’est ainsi qu’il (nous) a obtenu une rédemption éternelle. »
Â
Vous
voyez, le sang de Jésus a obtenu la rédemption éternelle pour chaque croyant.
Et puis Ă nouveau dans 1 Pierre 1: 18-19:
Â
«
Vous savez en effet que ce n’est point
par des choses périssables – argent ou or – que vous avez été rachetés de la
vaine manière de vivre, héritée de vos pères, mais par le sang précieux de
Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache. »
Â
Il
a fallu le sang de Jésus, l’Agneau de Dieu, le Fils éternel sans péché de Dieu
pour assurer la rédemption éternelle. Le sang de l’agneau pascal était un type,
une image. Il a fourni un rachat temporaire. Il devait être renouvelé chaque
année. Mais quand Jésus a versé son sang et est entré dans le Saint des saints,
c’était une fois pour toutes. Cela n’a jamais dû être répété. Il avait obtenu
la rédemption éternelle.
Â
Et
enfin, voyons que la nature de Jésus en tant qu’Agneau de Dieu nous donne un
exemple et un modèle que nous devons apprendre à suivre dans nos vies. 1 Pierre
2: 21-23:
Â
«
C’est à cela, en effet, que vous avez été
appelés, parce que Christ lui aussi a souffert pour vous et vous a laissé un exemple,
afin que vous suiviez ses traces ; lui qui n’a pas commis de péché, et dans la
bouche duquel il ne s’est pas trouvé de fraude ; lui qui, insulté, ne rendait
pas l’insulte ; souffrant, ne faisait pas de menaces, mais s’en remettait Ă
Celui qui juge justement »
Â
Il
est là , l’Agneau de Dieu immaculé, doux, immobile devant ses accusateurs, sans
défense ni représailles. C’est la nature de l’agneau dans le Fils de Dieu. Et
Dieu montre très clairement que nous qui sommes croyants
et disciples de Jésus devons reproduire cette nature d’agneau. Il nous a
donné l’exemple que nous devons suivre dans ses pas. Il n’a commis aucun péché,
aucune fraude n’a été trouvée dans sa bouche. Quand ils lui ont lancé leurs
insultes, il n’a pas riposté. Lorsqu’il a souffert, il n’a fait aucune menace.
Cela fait partie de la nature de JĂ©sus que Dieu veut travailler en chacun de
nous.
Â
Dans
notre prochaine lettre, nous commencerons Ă Ă©tudier un autre beau titre de
JĂ©sus, le Lion de la tribu de Juda. (A suivre).
Â
Par
Derek Prince
Source :
https://derekprince.fr
Â