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Maranatha 77 "JESUS REVIENT BIENTOT"
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Se préparer, se sanctifier
de JEAN-MARC THOBOIS
Que mon peuple se prépare, qu’il se sanctifie. Dis-leur que je ne viens pas chercher une prostituée, je viens chercher une Epouse sans tâche ni ride. Dis-leur aussi que je ne viens pas chercher une structure, je viens chercher des cœurs. Ceux qui m’aiment, ne vous appuyez pas sur le fait que vous appartenez à une structure, parce que ce n’est pas une structure que je viens chercher.




Source : KEREN IsraĂ«l n° 90 (Revue chrĂ©tienne) dont le responsable est J-M. THOBOIS


Keren Israël est une association chrétienne d'obédience protestante, qui édite une revue du même nom, dont les buts sont : d'informer les chrétiens sur les événements d'Israël et du Moyen Orient à la lumière de la prophétie biblique, ainsi que l'étude des racines juives de la foi chrétienne.

 


Emmanuel Polimeini est déjà connu de nos lecteurs, puisque nous avons déjà publié son témoignage dans le n° 82 de notre revue. Il a connu pendant 4 heures, un état de mort clinique et a expérimenté « la vie après la vie ». Dernièrement, il s’est rendu en Israël comme « volontaire » au centre d’absorption de Nitzana, où se trouvent notre fils Pierre-David THOBOIS et sa famille. A l’issue de ce séjour, il a eu l’occasion de rencontrer providentiellement 2 personnes qui ont fait la même expérience et avec lesquelles il a eu l’occasion de confronter le message qu’il avait reçu du Seigneur, et qui concernait son retour.


Il nous a paru bon d’interviewer à nouveau Emmanuel sur cette providentielle rencontre qui confirme ce qu’il avait reçu précédemment.


Emmanuel Polimeini

« A très bientĂ´t de te voir face Ă  face… » Les 56 piqĂ»res de frelons que j’ai reçues â€“ alors que je suis allergique aux piqĂ»res de guĂŞpes – ont provoquĂ©es une mort clinique de près de 4 heures. J’ai vĂ©cu le dĂ©part dans l’au-delĂ  et ça a Ă©tĂ© vraiment extraordinaire et rĂ©confortant. A un moment donnĂ©, j’ai senti une prĂ©sence dans cet endroit et cette prĂ©sence a communiquĂ© avec moi et m’a dit : « Tu voulais connaĂ®tre quelle est ta mission, et bien tu vas redescendre et tu vas prĂ©venir mon peuple. Sonne de la trompette et prĂ©viens mon peuple que je reviens très bientĂ´t. Tous ceux qui se sont Ă©loignĂ©s, qu’ils reviennent. Purifiez-vous, sanctifiez- vous car Je reviens très bientĂ´t Â». 

J’étais tellement bien que je ne voulais surtout pas revenir et je dis « Mais Seigneur, qui mieux que ton peuple sait que tu reviens très bientĂ´t ? ». A ce moment-lĂ , le Seigneur me rĂ©pondit : « Non, mon peuple ne m’attend pas. Mon peuple ne se rĂ©jouit pas de ma venue. Les soucis de la vie vous voilent ma face Â». Je suis revenu, je me suis rĂ©veillĂ© sur mon lit, Ă  l’intĂ©rieur du fourgon du SAMU oĂą je me trouvais. Donc, j’ai commencĂ© Ă  parler de ces choses-lĂ  Ă  mon entourage.

Est-ce que dans le message que le Seigneur vous a confié il y avait autre chose ?

Oui, « tu seras le Noé de ces derniers temps, tu crieras à qui veut l’entendre : préparez-vous parce que je reviens très bientôt, purifiez-vous, sanctifiez-vous. »

Il y a quelques temps de cela vous avez passé trois mois en Israël comme volontaire dans un centre à Nitzana. Est-ce que c’était en relation avec l’expérience que vous avez vécue ?

Oui, tout Ă  fait. « PrĂ©viens mon peuple que je reviens très bientĂ´t ». Le peuple d’IsraĂ«l en fait partie. Par contre, il m’était très difficile de faire des projets sur un mois, trois mois et quand on a commencĂ© Ă  parler de trois mois je me disais « …mais si le Seigneur revient demain, comment peut-on partir trois mois ? » J’étais et je suis toujours dans l’imminence de sa venue et Ă  un moment donnĂ©, ce qui m’a apaisĂ©, c’est que je me suis dit « Seigneur, si je suis en IsraĂ«l et bien tu me prendras lĂ  oĂą je serais ». Donc j’ai acceptĂ© cette mission, car il y avait ce partage de message avec ceux que j’allais rencontrer lĂ -bas. Le Seigneur m’avait dit « j’ouvrirais les portes et toi tu n’auras plus qu’à parler de ce que j’aurais mis sur ton cĹ“ur ». Nous sommes donc partis en IsraĂ«l pour nous mettre trois mois au service de cette nation que l’on aime et pour lui manifester notre amour. Notre surprise a Ă©tĂ© grande de voir que Nitzana Ă©tait un village dans le dĂ©sert ! Dix jours après notre arrivĂ©e, nous avons fait la connaissance d’une jeune femme qui arrivait au village pour s’occuper du secrĂ©tariat. Rapidement, elle a Ă©tĂ© un instrument dont Dieu s’est servi pour prĂ©parer des rencontres avec d’autres juifs messianiques pour qu’ils entendent le message que le Seigneur avait mis sur mon cĹ“ur quant Ă  sa venue imminente. On Ă©tait venus pour travailler et c’est ce que l’on faisait de 8h30 Ă  12h30. Puis, on avait tous les après-midis de libres y compris les vendredis et les samedis. On a passĂ© pas mal de temps ensemble pour s’organiser, pour diffuser le message que le Seigneur avait mis sur mon cĹ“ur. A un moment donnĂ©, on est allĂ©s visiter un serviteur de Dieu Ă  Beersheva, qui voulait entendre ce message. J’ai partagĂ© ces choses avec lui et il m’a dit : « Je dois vous dire que nous avons des plans d’évangĂ©lisation très importants, nous avons investi de très lourdes sommes dans des bâtiments et on sait qu’il doit y avoir un « rĂ©veil », donc le retour du Seigneur ce n’est pas pour tout de suite… ». Nous n’avons pas eu la possibilitĂ© d’aller plus loin dans le partage de ce message avec d’autres chrĂ©tiens Ă  Beersheva.

Est-ce que ce genre de réaction est fréquent dans les contacts que vous avez dans les différentes églises ou même avec des chrétiens individuels ?

Oui, mais en fait, ça été un rappel de ce que le Seigneur m’a dit là-haut : « Mon peuple ne m’attend pas, mon peuple ne se réjouit pas de ma venue, les soucis de la vie voilent ma face ». J’étais loin d’imaginer l’ampleur que ça prendrait au sein du peuple de Dieu et quand j’ai commencé à partager ce message un peu partout en France et en Europe, puisque je suis allé également en Espagne, on me disait : « Il ne faut pas que le Seigneur vienne maintenant, j’ai plein de projets, j’ai des choses à faire… » Dieu m’avait dit « Mon peuple ne se réjouit pas de ma venue. Les soucis de la vie lui voilent ma face. Mon peuple ne m’attend pas ». C’est un triste constat ! Ce qui réjouit quand même le cœur c’est que certains prennent conscience et se mobilisent pour dire : « « Que faut-il faire pour s’y préparer ? »

Qu’est ce que votre séjour en Israël a apporté sur le plan spirituel ?

Beaucoup de choses. J’ai une entreprise. Imaginez un peu un chef d’entreprise qui, du jour au lendemain s’absente 3 mois. Plus de téléphone, plus de courriers à regarder, plus de factures, de devis etc… Plus rien de tout cela… La Parole de Dieu dit : « Je t’emmènerai au désert et je parlerai à ton cœur ». Ça a été un cœur à cœur avec mon Seigneur et ça a été extraordinaire. J’ai vécu des moments extraordinaires dans cette intimité, de cette immensité du désert. Si je peux conseiller à quelqu’un qui arrive à un moment donné à un carrefour dans sa vie concernant les choses de Dieu, c’est de faire un break et d’aller se réfugier sur cette terre, dans ce désert où le Seigneur nous attend. Ensuite, nous avons pu visiter beaucoup de sites que l’on connaissait vaguement d’après les Écritures mais, quand on peut les voir sur place, ça prend une toute autre dimension.

 

 

Est-ce que ça a changé quelque chose à cause de la Bible, mais aussi dans votre perception par rapport au pays d’Israël, y compris en France : la propagande etc…

Nous sommes arrivés en Israël avant qu’il y ait tous les soulèvements des pays voisins. Rapidement, nous avons vu tous les événements qui se sont déchaînés encore aujourd’hui. Le Seigneur nous a dit qu’en son temps, il précipiterait les événements. Et là, les choses commençaient à prendre une toute autre dimension. Nous avons fait la connaissance du directeur du village, juif pratiquant, qui ne croyait pas en Jésus. Nous avons pu néanmoins partager des choses extraordinaires avec lui. Durant notre séjour là-bas, environ un mois après notre arrivée, il a eu un très grave accident. Il a été écrasé par un portail de sécurité du village, qui faisait quelques tonnes. Je suis allé le voir chez lui et il m’a raconté : « Manu, je me suis vu partir comme un missile dans un tunnel noir et à un moment donné, j’ai ouvert les yeux et j’ai repris vie ».

Ce fut pour moi l’occasion de partager avec lui ce que j’avais vécu. J’ai pu lui dire « Tu sais, Dieu n’a pas permis que tu partes parce que tu as un rôle important à jouer dans ce village. Tu as un rôle de père auprès de tous ces jeunes qui reviennent en Israël, qui font leur alya et qui passent par ce village et qui ne connaissent ni la langue, ni la doctrine, ni la culture ; tu es là pour leur enseigner ces choses-là. » Nous avons eu pas mal de partages avec lui et souvent, quand on chantait et priait, quand on louait, il nous demandait s’il pouvait se joindre à nous. Il nous invitait fréquemment chez lui avec les guitares et là on pouvait chanter des chants israéliens et on voyait cet homme avec un cœur pour Dieu. C’était touchant et vraiment très important car on s’imagine, chez nous, que le peuple juif est «fermé ». C’est un peuple qui aime Dieu et ça fait plaisir de voir qu’on a des frères et des sœurs là-bas. J’ai relevé cette petite anecdote concernant l’olivier. Une personne nous disait : si on prend un arbre sauvage – un cerisier par exemple – pour qu’il porte des fruits, on va prendre un greffon d’un cerisier qui porte de belles cerises, on va le greffer sur le cerisier sauvage et cet arbre-là portera du fruit. L’olivier, c’est autre chose. En fait, il faut introduire en son sein un rejeton, c'est-à-dire un olivier sauvage. On appelle cela un « tire-sève ». C’est un greffon que l’on met carrément dans le cœur de l’olivier. Ce tire-sève va donner l’énergie à l’olivier pour perdurer dans le temps et porter du fruit toute la vie. Voyez cette image quand le Seigneur parle de l’olivier et que nous sommes cet olivier greffé. Je me dis bien sûr qu’Israël et mes frères juifs ne peuvent subsister que si on est là nous, peuple croyant, pour être ces « tire-sève ». On doit tirer notre énergie de ce peuple. Pour moi, cela a été extraordinaire d’entendre cette vérité que je ne connaissais pas.

 

David Palmach, le directeur, vous at- il contacté avant votre départ ?

Oui, et ce fut quelque chose d’extraordinaire et de très touchant. La veille de notre départ, au moment de se saluer, il m’a pris dans ses bras et m’a dit « Emmanuel, tu as trouvé un frère ici et chaque fois que tu reviendras ici, tu sais que tu as un frère qui t’attend. »

 

 

Est-ce que votre séjour en Israël et tout ce que vous avez vécu là-bas vous ont conforté dans l’idée que le Seigneur revient bientôt ?

Bien sûr. Tous les événements qui se sont mis en place…Les soulèvements, le Japon, la centrale nucléaire…Tout cela a interpellé pas mal de monde. J’annonçais cela avant que les événements arrivent. Quelque part ça a donné un petit vent de panique, mais un bon vent de panique parce que ça interpelle les croyants, qui disent : « Il y a des choses plus importantes que tous ces biens matériels. On doit s’occuper de notre maison, c’est-à-dire du temple que le Seigneur a fait de nous ».

 

A la fin de votre séjour vous avez eu l’occasion de rencontrer deux frères qui ont fait des expériences semblables aux vôtres. Est-ce que vous pouvez en parler et nous dire dans quelles circonstances vous avez été amené à les rencontrer ?

Nous avions terminĂ© notre engagement vis-Ă -vis de l’Agence Juive. Nous avions donc quelques jours devant nous et nous avions projetĂ© d’aller visiter des croyants en GalilĂ©e, ce que nous avions fait. Nous devions ensuite ĂŞtre Ă  JĂ©rusalem le dimanche. A JĂ©rusalem, tous les hĂ´tels et les lieux d’hĂ©bergement Ă©taient rĂ©quisitionnĂ©s en vue de la Pâque, donc il n’y avait pas de place pour nous. Un de nos amis de GalilĂ©e a dit : « Je connais quelqu’un Ă  JĂ©rusalem qui pourra vous hĂ©berger ce soir pour que vous soyez demain matin sur place ». Juste avant d’entrer chez la personne qui nous reçoit, notre ami me dit : « Au fait, Manu je ne t’ai pas dit que ce frère a vĂ©cu l’an dernier une expĂ©rience similaire Ă  la tienne. Suite Ă  un arrĂŞt cardiaque, il a connu une mort clinique de plus de cinq heures et il est revenu avec un message. Je crois qu’il aura l’opportunitĂ© de la partager avec toi. » Je ne parle pas hĂ©breu mais ce frère, lui, parle espagnol. Il commença alors Ă  partager ce qu’il avait vu et entendu. « Je suis entrĂ© en contact avec une lumière, la prĂ©sence de Dieu, c’était extraordinaire. Le Seigneur me dit : Tu vas prĂ©venir mon peuple que je viens très bientĂ´t. Que mon peuple se prĂ©pare, qu’il se sanctifie. Dis-leur que je ne viens pas chercher une prostituĂ©e, je viens chercher une Epouse sans tâche ni ride. Dis-leur aussi que je ne viens pas chercher une structure, je viens chercher des cĹ“urs. Ceux qui m’aiment, ne vous appuyez pas sur le fait que vous appartenez Ă  une structure, parce que ce n’est pas une structure que je viens chercher. » Je ne voulais pas revenir, mais j’avais ce message… Je suis revenu. Ma vie a complètement basculĂ©. Depuis ce moment-lĂ , je pars huit mois sur douze partout dans le monde oĂą l’on m’invite et je partage ce message. VoilĂ  ce Ă  quoi je suis confrontĂ© : Ă  des leaders, Ă  des serviteurs de Dieu qui viennent me voir et qui me disent : « Mais ça ne peut pas ĂŞtre rĂ©el. On a un plan d’évangĂ©lisation de plusieurs millions de dollars et on sait qu’il va y avoir un grand rĂ©veil : donc le Seigneur ne peut pas revenir. Et puis, on a Ă©tĂ© avertis par prophĂ©ties qu’il va se passer des choses… ». C’est vrai qu’il faut continuer Ă  Ă©vangĂ©liser, mais il ne faut pas passer Ă  cĂ´tĂ© de l’essentiel… »

Alors que nous Ă©tions encore Ă  JĂ©rusalem avec des amis, une de leurs connaissances est arrivĂ©e. Lors des prĂ©sentations, on lui dit : « C’est Emmanuel, le frère qui s’est fait piquer par 56 frelons, qui a connu une mort clinique et qui est revenu avec un message ». Surprise, cette dame rĂ©plique : « Savez-vous qu’il y a deux jours, j’ai rencontrĂ© une personne qui, suite Ă  un accident de voiture, a connu une mort clinique d’un peu plus de quatre heures et cette personne nous a dit : « Quand je suis arrivĂ©e en prĂ©sence du Seigneur, le Seigneur m’a dit : Tu ne vas pas rester ici, tu vas repartir, tu vas prĂ©venir mon peuple que je reviens très bientĂ´t Â». « Mais Seigneur… moi je t’attendais, donc ton peuple t’attend. » « Non, tu vas repartir car mon peuple ne m’attend pas. Que mon peuple se purifie, se sanctifie parce que je reviens très bientĂ´t Â». J’ai vraiment senti que le Seigneur avait prĂ©parĂ© ces moments pour qu’une fois de plus, avant de quitter IsraĂ«l, j’entende que d’autres frères ont reçu ce mĂŞme message pour que le peuple de Dieu se prĂ©pare Ă  la venue imminente de notre Seigneur.

Cette rencontre Ă©tait vraiment providentielle !

La Bible dit que tout témoignage s’établit sur la déposition de 2 ou 3 témoins… Et là, par conséquent, vous êtes 3 à avoir reçu ce message. Est-ce que vous pensez que c’est une des raisons pour lesquelles le Seigneur a permis que vous vous rencontriez et que vous échangiez sur vos expériences, non seulement pour vous fortifier les uns les autres, mais également pour que ce soit en quelque sorte une attestation pour le peuple de Dieu que ce n’est pas une illusion de l’un ou de l’autre ?

Bien sĂ»r. Je le ressens exactement de cette manière-lĂ . Je pense que ces personnes avaient Ă©galement besoin d’entendre ce tĂ©moignage et ce message que Dieu a mis sur mon cĹ“ur. Certains au milieu du peuple de Dieu ont vĂ©cu ces mĂŞmes choses, mais elles ont tendance Ă  s’attĂ©nuer et le Seigneur veut ranimer la flamme, parce que « …vous connaĂ®trez des moments de trouble, mais exhortez-vous les uns les autres Â». Nous sommes dans ces temps de la fin oĂą nous devons nous exhorter les uns les autres, parce que l’ennemi veut nous sĂ©duire. Le Seigneur ne veut pas nous surprendre. Il nous prĂ©vient pour que nous soyons tous au rendez-vous lors de sa venue et qu’on s’y prĂ©pare !

 

Concrètement et pratiquement, quels conseils donneriez-vous à nos lecteurs par rapport à ces choses que nous vivons, que vous avez vécues et qui sont attestées par ces témoins dont vous nous avez parlé ?

Je dis et je répète que nous devons nous préparer.

Apparemment, le message clĂ© c’est : Purifiez-vous, sanctifiez-vous et que les soucis de la vie ne nous voilent pas Sa face. Est-ce que le Seigneur est Ă  la première place ? Est-ce que je l’aime de tout mon cĹ“ur… ?

EnsuiteSeigneur, est-ce que vraiment nous sommes rentrés dans cet état de pureté, de sainteté devant toi ? Sinon, aide-nous Seigneur à y entrer parce que tu nous dis, tu nous préviens que tu ne viens pas chercher une prostituée, mais tu viens chercher une Epouse qui s’est préparée, une Epouse sainte et irréprochable.

« Les soucis de la vie ». Pouvez-vous nous expliquer concrètement ce que cela peut représenter ?

Les soucis de la vie, c’est tout ce qui nous dĂ©tourne de la prioritĂ© que l’on doit avoir par rapport Ă  notre Seigneur. C’est dire « Seigneur attends, je n’ai pas le temps, je fais ça d’abord parce que c’est très important et ensuite je m’occuperai de toi. » Le Seigneur attend qu’on le remette Ă  la première place.

… Il faut travailler comme si le Seigneur ne devait pas revenir, faire ce que l’on a Ă  faire. C’est aussi ce que Paul dit aux Thessaloniciens, mais ĂŞtre prĂŞt comme s’il venait demain.     Est-ce que vous seriez d’accord avec cette affirmation ?

Exactement. C’est souvent ce que je dis. Je continue Ă  travailler, je continue Ă  faire ce que j’ai Ă  faire parce que nous avons des obligations, mais ma vie est en harmonie avec ce que Dieu attend et le Seigneur peut revenir Ă  n’importe quel moment. Le Saint Esprit qui habite en nous et qui doit habiter en chacun de nous parce que nous sommes son temple, Lui, sera lĂ  pour nous nous prĂ©venir, pour que nous sachions si nous sommes toujours sur la bonne voie et ce qu’il y a encore Ă  corriger dans nos vies pour que nous soyons trouvĂ©s purs, saints, irrĂ©prĂ©hensibles devant notre Seigneur qui est Ă  la porte.

Propos recueillis par J-M. THOBOIS

Source: Keren Israël



 

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