Un terrible drame qui pourrait toucher n’importe
quelle famille !
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Christina England, 22 juin 2013 (extraits) – Les parents sont parfois faussement
accusés d’avoir secoué leur bébé. Au fil des ans, des parents ont de plus en
plus souvent été accusés de maltraitance si le diagnostic de l’enfant
présentait la « Triade » des dommages associés au Syndrome du Bébé Secoué (SBS)
après avoir reçu un ou plusieurs vaccins. Cette « Triade » comprend des hémorragies à l’intérieur du cerveau, des
hémorragies derrière les yeux, l’inflammation ou l’œdème du cerveau.
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Lorsque
des médecins suspectent qu’un bébé a été violemment secoué, ils examinent le
bébé en fonction de la « Triade » de symptômes associés au SBS. Il s’agit
d’hématomes « sous-dural » (hémorragies du cerveau), d’hémorragies rétiniennes
et d’œdème cérébral.
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La « Triade »
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HĂ©morragies du cerveau
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Norma
Guthkelch, neurochirurgien à la retraite, a été le premier à décrire le
Syndrome du Bébé Secoué en 1971 dans le journal Infantile Subdural Haematoma
and its Relationship to Whiplash Injuries, dans lequel il analyse 23 cas
fortement suspectés d’agression parentale sur des enfants de moins de trois
ans. Il conclut :
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Il
a été démontré qu’il existait une
différence entre la fréquence de l’hématome sous-dural survenant chez des
enfants battus et des symptômes identiques provenant d’une autre origine. La
fréquence des premiers symptômes était plus élevée que prévu, bien que chez la
plupart des enfants qui ne présentaient pas de fracture du crâne, il n’était
pas possible de trouver de preuves claires de violences à la tête … [1] […]
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Toutefois,
le fait de secouer violemment un enfant n’est pas la seule cause de la fameuse
« Triade ». Ces dommages peuvent également se produire après des chutes, des
maladies telles que l’encéphalite et la méningite, des traumatismes de
naissance, des carences en vitamines, des maladies génétiques comme le syndrome
de fragilité osseuses. Ces causes sont identifiées dans le British Medical
Journal online guide Best practice : Abusive Head Trauma in Infants. [2]
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Hémorragies derrière les yeux
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Le
document rédigé par le procureur Dermot Garrett intitulé Overcoming Defense
Expert Testiùony in Abusive Head Trauma Cases est très précis lorsqu’il discute
l’hémorragie rétinienne à la page 35 [3]. Gerrett fait état d’une communication
faite à l’Association Américaine d’Ophtalmologie et de Strabisme (Annual
Meeting 2010) qui a analysé les résultats de 62 études d’hémorragies rétiniennes
pédiatriques publiées depuis 1965.
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Garrett
précise que tous les enfants étudiés étaient âgés de moins de 11 ans et avaient
subi un examen détaillé par des ophtalmologistes qui avaient diagnostiqué des
hémorragies rétiniennes dues à des traumatismes crâniens accidentels ou non
accidentels. Les résultats de l’analyse ont montré que 78% des patients dont le
traumatisme accidentel avait été confirmé, souffraient d’hémorragies
rétiniennes en comparaison avec 5,3% de patients atteints de traumatismes non accidentels,
ce qui prouve que tous les cas d’hémorragies rétiniennes ne sont pas
nécessairement provoqués par des abus d’enfants.
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Œdèmes du cerveau
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Une
autre cause de la « Triade » des dommages associés au SBS est la
méningite/encéphalite, une réaction grave aux vaccinations Au début de 2013,
Marahendra K. Patel et al. ont publié un article dans le journal Pharmacology
and Pharmacotherapeutics, qui traite du cas d’un garçon de 5 mois dont le
diagnostic avait été : suspicion d’encéphalopathie post-vaccinale à la suite du
vaccin DTC. Les tests ont conclu qu’une réaction à la vaccination DTC était
probable. Au cours de leur discussion, les auteurs ont évoqué plusieurs autres
cas inquiétants de réactions similaires
en Inde. [4]
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En
2010, le Dr Lucija Tomljenovic a rédigé un long article qui montrait qu’elle
possédait la preuve qu’elle avait découvert de nombreux cas d’enfants qui
avaient fait une encéphalite ou une méningite après avoir reçu des vaccins, et
ce, à partir de 1983. Ces découvertes, précise-t-elle ont été délibérément
occultées par le JCVI du gouvernement britannique. (Joint Committee for
Vaccination and Immunization). [5]
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Le
Dr Viera Scheibner mentionne une encéphalomyélite induite par des vaccins et
qui se caractérise par un œdème du cerveau, ainsi que des hémorragies. En 1988,
elle a écrit un article qui a été publié dans Nexus sous le titre Syndrome du
Bébé Secoué : le lien avec la vaccination. Elle avait été tellement outrée que
des parents étaient accusés à tort alors que leurs enfants avaient subi des
séquelles de vaccins, qu’elle a commencé son article en écrivant :
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«
Il y a quelque temps, j’ai commencé à recevoir des demandes de rapports de la
part d’avocats ou de parents accusés. Une étude approfondie de l’histoire de
ces cas a révélé quelque chose de sinistre et d’inquiétant : dans chacun des
cas examinés, les symptômes sont apparus peu de temps après que le bébé ait été
vacciné.
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Alors
que j’enquêtais sur l’histoire médicale personnelle de ces bébés en fonction
des notes, des agendas des soignants, ainsi que des dossiers médicaux, j’ai
rapidement pu établir que ces bébés avaient reçu un ou plusieurs vaccins de la
série habituelle contre l’hépatite B, le DTC (diphtérie-Tétanos-Coqueluche),
Polio, Hib (Haemophilus Influenza type B) – peu de temps avant qu’ils ne
développent les symptômes de la maladie avec apparition de dommages cérébraux
ou de décès. [6]
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Le
Dr Harold Buttram et F. Yazbak ont eux aussi publié des articles sur les
fausses accusations de SBS et l’encéphalite induite par les vaccins dans leur
document intitulé « Syndrome du Bébé
Secoué ou encéphalite provoquée par les vaccins : l’histoire du bébé Alan. [7]
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Le
Dr Buttram commence son Ă©tude en Ă©crivant :
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«
Dans le rapport suivant, le Dr Yazbak et moi-même avons examiné le cas d’un
décès infantile qui aurait, selon nous, été diagnostiqué à tort comme Syndrome
du Bébé Secoué. Selon nous, la cause du décès de cet enfant est une encéphalite
causée par la vaccination. Nous avons étudié ce cas pendant près d’un an. Notre
rapport représente un nombre incalculable d’heures d’études, ainsi qu’une
enquête approfondie sur les nombreux paramètres techniques de l’affaire. Au
travers de cette Ă©tude, nous nous sommes rendu compte que le cas que nous avons
étudié est représentatif d’une tendance émergente de réactions aux vaccins de
plus en plus fréquents administrés aux enfants et qui sont négligés ou mal
diagnostiqués par notre système de santé actuel.
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L’histoire
du petit Alan est terrible. Elle est d’autant plus poignante qu’elle pourrait
arriver à n’importe quel jeune couple, à n’importe quelle famille. Bien que le
rapport soit nécessairement assez technique, nous voudrions vous prier de bien
vouloir le lire. Si vous ĂŞtes une jeune personne souhaitant fonder une famille,
ce qui est arrivé aux parents du petit Alan pourrait tout aussi bien vous
arriver.
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En
dépit de toutes les preuves qui ont été accumulées, des parents continuent
d’être accusés d’avoir secoué leur bébé avant que l’on se soit donné la peine
d’explorer minutieusement tous les autres diagnostics possibles.
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La technique REID (USA)
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Quand
on suspecte le cas d’un bébé secoué ou d’un accident cérébral, la police est
appelée pour interroger les parents et/ou les gardiennes qui s’occupaient de
l’enfant. Selon les parents qui ont déjà eu à subir pareils interviews, il
s’agirait de procédures extrêmement intimidantes. Beaucoup de parents
succombent à pareils interrogatoires intimidants, soit en admettant qu’ils ont
endommagé la santé de leur enfant, soit en acceptant une négociation. Il s’agit
de la technique de Reid utilisée par les services de police à travers le monde.
Cette technique comporte neuf Ă©tapes, et, Ă mon avis, elle est mise en place
pour intimider les personnes interrogées et contraindre ces personnes
innocentes Ă avouer.
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Voici ces neuf Ă©tapes :
1.     Â
L’officier de police présentera le suspect avec la preuve
qu’il a commis le crime. (Cette preuve peut être réelle ou fausse)
2.     Â
L’officier de police présente une histoire qui explique
pourquoi la police est persuadée que le/les suspect(s) a / ont commis le crime.
3.     Â
Si le suspect tente de nier qu’il a commis le crime, le
détective va l’interrompre immédiatement.
4.     Â
Si le suspect tente de donner une explication logique pour
faire comprendre pourquoi il n’est pas possible qu’il ait pu commettre le
crime, cette explication est immédiatement réfutée.
5.     Â
À ce stade, le détective fait semblant d’être l’allié du
suspect.
6.     Â
Ensuite, le détective va examiner le comportement et le
langage corporel du suspect pour pouvoir détecter s’il est sur le point de
« se rendre ».
7.     Â
Le détective ou le policier présentera ensuite plusieurs
motifs qui auraient pu expliquer le crime.
8.     Â
Le policier va ensuite exhorter le suspect Ă parler du
crime.
9.     Â
La confession : à ce stade, le suspect se sent
habituellement intimidé et anxieux et la « confession » se produit.
Au
début de cette année, le Dr Michael Innis a publié une étude revue par les
pairs dans Clinical Medicine Research. Son Ă©tude qui porte le titre :
Auto-immunité et dommages non-accidentels chez les enfants, examine le cas de
cinq enfants ayant souffert de dommages cérébraux et de fractures après les
vaccinations. Après avoir étudié chaque cas en profondeur, il a conclu que la
vaccination pourrait être responsable de la « Triade » de dommages communément
associés au SBS. [11]
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Dans
son article, le Dr Innis souligne que la réponse à la stimulation antigénique
endommage les cellules bêta du pancréas provoquant ainsi une hypo insulinémie
(niveaux exceptionnellement bas d’insuline dans le sang). Cette situation
inhibe l’absorption cellulaire de la vitamine C, entraînant par le fait même un
dysfonctionnement du foie, une insuffisance de carboxylation des protéines
dépendant de la vitamine K. : situation qui finit par provoquer des
hémorragies, ainsi que des fractures (la fameuse « Triade »). Le Dr Innis
conclut son étude en précisant que les fractures, les hémorragies sub-durales,
rétiniennes et les encéphalopathies chez les enfants sont des réponses
auto-immunes aux stimulations antigéniques chez des individus génétiquement
prédisposés.
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Il
explique que les antigènes les plus habituels sont les vaccins obligatoires,
les infections virales, bactériennes ou parasitaires.
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Pour
comprendre exactement comment les cas de dommages vaccinaux sont si souvent
diagnostiqués à tort comme SBS, veuillez s’il vous plaît lire le document du Dr
Innis dans son intégralité.
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Personnellement,
j’ai trouvé que ce document était facile à lire, qu’il était intéressant et
révélateur. J’ai été particulièrement touchée quand j’ai réalisé que le Dr
Innis a commencé la rédaction de son texte en citant les travaux de la
psychologue Lisa Blakemore-Brown qui, en 1995-1996 avait été la première
professionnelle Ă mettre le doigt sur le fait que les parents Ă©taient souvent
accusés à tort d’abus après que leur enfant ait subi des dommages après avoir
été vaccinés.
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Faut-il encore d’autres preuves ?
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De
nombreux autres professionnels de Santé continuent d’appuyer le fait que des
parents sont faussement accusés d’avoir provoqué un SBS. En 2008, Kent R.
Holcomb a publié un article :
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«
Syndrome du Bébé Secoué : Pétition pour soutenir des parents innocents » dans
lequel il démontre que la théorie du Bébé Secoué est « instable » vu que l’on
parle de cas hypothétiques. [12] … Depuis des années, la « Triade » des
dommages a constitué le seul élément de preuves utilisées dans des procédures
criminelles pour condamner des parents pour « Syndrome du Bébé Secoué ». Selon
un nombre croissant de professionnels, cette confiance mal placée a donné lieu
à la condamnation de nombreux parents innocents accusés de meurtre.
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Cependant
les temps changent, et comme l’explique Holcomb, l’histoire de la médecine est
remplie de pratiques qui, au cours du temps, ont d’abord été acceptées par un
consensus de l’opinion médicale pour être ensuite rejetées comme inutiles,
potentiellement nocives, voire meurtrières.
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Les
professionnels de la Santé reconnaissent que le Syndrome du Bébé Secoué est un
diagnostic dangereux étant donné les preuves présentées par la biomécanique.
Selon Holcomb, l’étude de la biomécanique a prouvé qu’un être humain n’a
généralement pas la force physique nécessaire pour causer des lésions
cérébrales mortelles en secouant un enfant. Il ajoute que si un enfant devait
être secoué comme il est décrit dans les cas de SBS, alors cette violence se
traduirait par une incidence élevée de paralysies spinales et de dommages au
cou des nourrissons ; ce qui n’a jamais été rapporté en association avec le
SBS.
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En
2009, Holomb a publié un article s’intitulant : Justification pour une
injonction fédérale de suspendre toutes les licences de vaccins basées sur des
risques déraisonnables, ainsi que sur des liens avec les pandémies de maladies
chroniques.
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Holcomb
dit très clairement que les vaccins sont dangereux à tous les niveaux. Il
déclare qu’une hypothèse n’est pas prouvée tant que toutes les données n’ont
pas été prises en compte.
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Il
précise :
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Lors
de l’évaluation de la sécurité des vaccins, comme de celle de toutes les autres
hypothèses, les Secrétaires à la Santé et aux Services Sociaux ne peuvent
accepter que pareille théorie soit prouvée ou l’élever au niveau d’une théorie
scientifique, avant que ladite hypothèse soit soumise à une rigoureuse enquête
scientifique et que toutes les tentatives de falsification aient échoué.
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Évaluer
tous les essais cliniques et les études épidémiologiques qui sont disponibles
pour soutenir l’hypothèse que « les vaccins sont sans danger », les SHHS
devraient reconnaître que chacune de ces études présentent des défauts qui les
empĂŞchent de recevoir les Ă©valuations QER1 ou QERII. Les essais cliniques de 21
jours sans contrĂ´les adĂ©quats ne peuvent revendiquer le statut de sĂ©curitĂ© Ă
long terme. Chaque étude de population SHHS n’a pas non plus appliqué la
méthodologie appropriée et ne s’est pas basée sur un groupe de population
approprié. D’autres études de population, telles que les études secrètes VSD ne
peuvent être classées comme émanant d’une science valide du fait que leurs
données et leurs méthodologies n’ont pas été divulguées. Une hypothèse qui ne
peut pas être examinée ou testée n’a rien à voir avec la science; il s’agit
alors plutôt d’un système de croyance. »
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Tout
au long de son exposé, Holcomb est très clair sur le fait que les vaccins n’ont
pas été suffisamment testés ou évalués. Il précise que quand le SHHS veut
mettre l’accent sur la qualité des données, il devrait savoir que des opinions
répétées basées sur des données de mauvaise qualité ne sont pas susceptibles
d’améliorer la qualité des preuves.
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Ă€
la page trois de son étude Holcomb reprend : « Une hypothèse qui ne peut être
examinée ou testée ne relève plus de la science mais plutôt d’un système de
croyances. »
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Cette
déclaration est tout à fait correcte et je pense que la même chose pourrait
être dite pour l’hypothèse du Bébé Secoué. L’hypothèse que la « Triade » de
dommages peut être provoquée en secouant un enfant n’a jamais été démontrée;
par conséquent, il s’agit aussi d’un système de croyances. En fait la
biomécanique a prouvé qu’il n’est pas physiquement possible de secouer
manuellement un enfant avec assez de force pour pouvoir provoquer « la Triade
»; réflexion qui est soutenue par les travaux du Dr John D. Lloyd et par bien
d’autres. [13]
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Conclusion
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Il
existe de nombreux documents qui montrent que des enfants sont morts dans les
semaines, si pas les jours qui ont suivi des vaccinations multiples. Nombreux
sont les enfants qui ont été diagnostiqués à tort comme souffrant du syndrome
du Bébé Secoué.
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Le
syndrome du Bébé Secoué est une hypothèse – une théorie – car il n’a jamais été
démontré de façon concluante qu’un bébé ait été secoué à mort. Je n’ai pas
encore pu trouver les preuves concrètes par rapport au fait que quelqu’un ait
si fortement secoué un bébé qu’il soit mort plus tard de la « Triade » des
dommages. Il existe cependant un certain nombre d’études biomécaniques montrant
qu’il n’est pas possible de secouer physiquement un bébé pour que cela puisse
provoquer la « Triade » des dommages associées au Syndrome du Bébé Secoué.
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Par
conséquent, il nous reste une question à envisager : les vaccinations
peuvent-elles causer la « Triade » de dommages associés au Syndrome du Bébé
Secoué ?
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Il
n’existe aucune étude prouvant de manière concluante que les vaccins peuvent
provoquer la « Triade » SBS, mais du fait qu’il n’a jamais été possible de considérer
que les vaccinations étaient parfaitement sûres, qu’il a toujours été considéré
qu’il n’était pas éthique de comparer des enfants vaccinés à des enfants non
vaccinés, on n’a donc plus affaire à de la science mais plutôt à un système de
croyances, comme l’a suggéré Holcomb. Ce qui est dramatique, c’est que ce
système de croyances est à l’origine de l’incarcération de nombreux parents
innocents.
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Tous
les parents qui sont accusés du SBS ne sont pas des criminels et comme nous
l’avons vu, de nombreuses causes peuvent expliquer pourquoi certains enfants
ont souffert ou sont morts de ces horribles lésions cérébrales. La profession
médicale se doit d’examiner les véritables causes du Syndrome du Bébé Secoué,
et tout spécialement la vaccination.
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Vactruth.com
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Source : http://pleinsfeux.org/
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Références
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1.     Â
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1796151/
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2.     Â
http://bestpractice.bmj.com/best-practice/monograph/688
Â
3.     Â
http://www.ndaa.org/pdf/Abusive%20HeadTrauma_NDAA.pdf
Â
4.     Â
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3284047/
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5.     Â
www.ecomed.org.uk/wp-content/uploads/2011/09/3-tomljenovic.pdf
Â
6.     Â
http://www.bibliotecapleyades.net/salud/esp_salud33d.htm
Â
7.     Â
http://www.freeyurko.bizland.com/storyofbabyalan.html
Â
8.     Â
http://curiosity.discovery.com/question/nine-steps-reid-interrogation-technique
Â
9.     Â
http://www.portland-criminaldefense.com/false-confessions-the-reid-technique/
Â
10.Â
http://vactruth.com/2012/11/08/brainwashed-police-ignore-vaccine-injuries/
Â
11.Â
http://www.sciencepublishinggroup.com/journal/paperinfo.aspx
Â
12.Â
www.medicalveritas.com/man1828_1835.pdf
Â
13.Â
http://www.drergonomics.com/shakenbaby.html
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