Vidéo du jour
RĂ©vĂ©lation de JĂ©sus | FRANCK ALEXANDRE | Résumé
Enseignement du jour
On n'a rien Ă  cacher | TRESORSONORE | Résumé
Édification du jour
Le chemin de Damas
LA BONNE SEMENCE
Voir le Résumé
Maranatha77 en d'autres langues
Pensée du jour
Message du jour
Portes Ouvertes
Torrent d'Amour
Blog
Torrent d'amour
Amour en action
Maranatha 77 "JESUS REVIENT BIENTOT"
MESSAGE TEXTE
Retour
L’origine et Les vrais responsables des attentats de Paris dĂ©voilĂ©s dans la Torah d’IsraĂ«l
de DIVERS AUTEURS
La paracha Toldot du 13 novembre 2015 n’a Ă©tĂ© aussi proche de l’actualitĂ© : toutes les clĂ©s de la comprĂ©hension au sujet des terribles attentats de Paris y sont prĂ©sentes.







L’origine et Les vrais responsables des attentats de Paris dĂ©voilĂ©s dans la Torah d’IsraĂ«l - Paracha Toldot


Site: rencontrerdieu.com

 

GenÚse 25.19 à 28.9 - Toldot signifie « L'histoire » et/ou « Engendrements »

 

Accrochez votre ceinture spirituelle car jamais la paracha Ă©tudiĂ©e ce 13 novembre 2015 n’a Ă©tĂ© aussi proche de l’actualitĂ© : toutes les clĂ©s de la comprĂ©hension au sujet des terribles attentats de Paris y sont prĂ©sentes. Comme l’enseignent les sages d’IsraĂ«l : il est important que l’homme Ă©tudie/enseigne la Torah lĂ  oĂč se trouve son cƓur. Le cƓur de beaucoup est encore marquĂ© par les derniers Ă©vĂ©nements dramatiques. C’est le moment de s’arrĂȘter et d’essayer de comprendre en dĂ©tail ce que la Torah de Dieu veut nous dire.

« Un cƓur intelligent cherche la connaissance Â» (Proverbes 15.14)

 

Introduction

Comme nous le disons et l’expĂ©rimentons rĂ©guliĂšrement et ainsi que l’enseignent les sages d’IsraĂ«l, l’étude de la paracha de chaque semaine a ceci d’extraordinaire qu’elle est toujours liĂ©e de prĂšs ou de loin aux actualitĂ©s et/ou Ă  des Ă©vĂ©nements ayant lieu dans le monde ou dans nos vies personnelles. Pas Ă©tonnant que YĂ©shoua lui-mĂȘme approuvait ce systĂšme d’étude inspirĂ© de Dieu.

Afin de saisir la grandeur du message, il est nĂ©cessaire de revoir en dĂ©tail plusieurs concepts et enseignements fondamentaux qui seront nĂ©cessaires pour la bonne comprĂ©hension du message dĂ©livrĂ© par la Torah au sujet du conflit entre le monde et l’Islam radical. Bien que trĂšs longue, cette Ă©tude s’avĂšre des plus cruciale en raison de la puissance des dĂ©voilements qu’offre la Torah d’IsraĂ«l Ă  ceux qui ont l’amour de la vĂ©ritĂ©, Ă  l’image de ce que Dieu dira Ă  Daniel : Â« Toi, Daniel, tiens secrĂštes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. Â» (Daniel 12.4)

La Torah est la source de toute compréhension.

Les sages d’IsraĂ«l enseignent que La Torah est comme le logiciel, le microcosme de l’histoire d’IsraĂ«l et de l’humanitĂ©. Tout ce qui se passe dans ce monde a forcĂ©ment une allusion dans la Torah. La Torah dĂ©crit des mĂ©canismes, des modĂšles qui se rĂ©pĂštent dans chaque gĂ©nĂ©ration, que cela soit au niveau collectif ou individuel. C’est pour cela que le messager Polos (Paul), en parlant du Tanakh, c’est Ă  dire des Écrits de la Bible hĂ©braĂŻque (de GenĂšse Ă  Malachie, c’est Ă  dire Torah + prophĂštes, psaumes et autres Ă©crits), insiste :

« Tout ce qui a Ă©tĂ© Ă©crit d’avance l’a Ă©tĂ© pour notre instruction Â» (Romains 15.4) et encore : Â« Toute l’Écriture (Tanakh) est divinement inspirĂ©e, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former Ă  la justice Â» (2 TimothĂ©e 3.16)

Paul, Ă©levĂ© au pied d’un sage reconnu dans le judaĂŻsme (Gamaliel), connaissait ce principe Ă©noncĂ© par les sages d’IsraĂ«l :

« MaassĂ© avot siman lebanim Â» â€“ Â« Tout ce qui est arrivĂ© aux pĂšres (les patriarches) est un signe pour les fils Â». 

Cela signifie que le peuple d’IsraĂ«l (et le monde entier), dans son histoire, revit les mĂȘmes pĂ©ripĂ©ties que celles racontĂ©es dans la Torah mais Ă  des niveaux et sous des formes diffĂ©rentes. La Torah est un peu comme la carte d’identitĂ© d’IsraĂ«l. Avec cette grande diffĂ©rence, et c’est lĂ  qu’est la difficultĂ© d’analyse, que les Patriarches ont vĂ©cu cette histoire Ă  l’échelle individuelle tandis que leur histoire et les mĂ©canismes que Dieu nous dĂ©voile peuvent s’habiller non plus dans un personnage, mais dans un peuple, une nation, ou une idĂ©ologie comme nous le verrons largement dans cette Ă©tude et comme une multitude d’exemple existe Ă  ce sujet (Par exemple, lire le livre Â« le code d’Esther » pour voir les liens nombreux et surrĂ©alistes entre la Shoah et le livre d’Esther dans la Bible).

Dans la Torah, nous trouvons donc tous les mĂ©canismes et tous les principes fondamentaux permettant de comprendre chaque Ă©vĂ©nement de l’histoire humaine, que cela soit au niveau personnel ou mondial. Tout la problĂ©matique consiste Ă  avoir les clĂ©s de la comprĂ©hension pour dĂ©vĂ©rouiller les portes de la vĂ©ritĂ©, conduit par l’Esprit de l’Eternel comme promit pour tous ceux qui se confieront en Dieu et croiront en son Messie YĂ©shoua :« l’Esprit de vĂ©ritĂ©, il vous conduira dans toute la vĂ©ritĂ© Â» (Jean 16.13). On comprend pourquoi David priait de tout son cƓur ainsi : Â« Donne-moi l’intelligence, pour que je garde ta TORAH Et que je l’observe de tout mon cƓur ! »(Psaumes 119.36)

Egalement, Les MaĂźtres d’IsraĂ«l enseignent que le monde d’en bas a Ă©tĂ© crĂ©Ă© selon les principes du monde d’en haut : tout ce qui se passe dans ce monde, tous les mĂ©canismes et les rĂ©alitĂ©s observĂ©es sont le reflet de rĂ©alitĂ©s spirituelles dans le monde d’en Haut.

Ce n’est pas sans raison que YĂ©shoua utilisait de nombreuses paraboles et des similitudes terrestres pour faire comprendre les choses cĂ©lestes ou spirituelles.

 

Il fera lui mĂȘme le parallĂšle : Â« Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlĂ© des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses cĂ©lestes ? Â» (Jean 3.12) et encore : Â« Que la volontĂ© de Dieu soit faite sur la terre comme au ciel Â» (Matthieu 6.10)

La Torah nous enseigne donc que ce monde matĂ©riel et physique est le reflet de principes et de lois spirituelles situĂ©es Ă  un niveau beaucoup plus Ă©levĂ© comme nous le montre Ă©galement ce passage de la Brit Hadasha (alliance renouvelĂ©e) : Â« Un culte, image et ombre des choses cĂ©lestes, selon l’ordre divin qui fut donnĂ© Ă  MoĂŻse, lorsqu’il devait dresser le tabernacle: Prends garde, lui dit-Il, de faire tout selon le modĂšle qui t’a Ă©tĂ© montrĂ© sur la montagne. Â» (HĂ©breux 8.5)

Ainsi, prenons un exemple en contexte qui nous servira tout au long de cette Ă©tude : dans toute scĂšne de crime, il y a nĂ©cessairement des indices, aussi infimes soient-ils, permettant de retrouver les coupables et de comprendre rĂ©ellement ce qui s’est passĂ©.

Telle une enquĂȘte, nous allons prendre ce mĂȘme principe et l’appliquer aux terribles Ă©vĂ©nements de ce vendredi 13 novembre 2015 afin de dĂ©couvrir les indices spirituels que Dieu veut nous transmettre afin de comprendre les sources profondes de ce mal.

De la mĂȘme façon qu’aucune scĂšne de crime ne peut rester sans aucun indice, rien sur terre ne se passe sans que Dieu ne laisse des traces, des indices spirituels clairs et Ă©vidents afin de nous aider Ă  comprendre les Ă©vĂ©nements avec vĂ©ritĂ©.

Le rĂ©flexe de tout juif et de tout convertis Ă  Dieu(idĂ©alement), lorsqu’il se passe des Ă©vĂ©nements importants, est de regarder la paracha de la semaine afin de chercher et de comprendre quel est le message de Dieu, d’oĂč l’immense importance d’étudier la Torah comme le faisait le Messie YĂ©shoua et tous les premiers disciples juifs et non juifs qui se rĂ©unissaient notamment le Shabbat pour grandir dans les enseignements de Dieu et de Sa Torah, Ă  l’aide des prĂ©cieuses explications et commentaires des sages d’IsraĂ«l sans lesquels les Ecritures sont inĂ©vitablement tordues et mal interprĂ©tĂ©es comme il est dit : Â« Les LĂ©vites, expliquaient la Torah au peuple, et chacun restait Ă  sa place. Ils lisaient distinctement dans le livre de la Torah de Dieu, et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu’ils avaient lu. Â» (NĂ©hĂ©mie 8.7-8)

Effectivement, les MaĂźtres d’IsraĂ«l enseignent que tous les indices de ce monde sont inclus dans la paracha de la semaine d’oĂč l’importance de sonder le message dĂ©livrĂ© lors de l’étude du shabbat du 13 novembre 2015, date Ă  laquelle s’est prĂ©cisĂ©ment produite cette sĂ©rie d’attaques sur Paris.

Ces notions importantes maintenant exposĂ©es, dĂ©couvrons et analysons ensemble plusieurs versets apparemment anodins que l’on trouve dans la paracha Ă©tudiĂ©e et examinons les enseignements de la Torah et des sages d’IsraĂ«l Ă  ce sujet. Bien que longues, les explications nombreuses donnĂ©es dans cette Ă©tude sont essentielles pour capter Ă  sa source le message profond de la Torah.

 

Résumé de la paracha :

 

Isaac Ă©pouse RĂ©becca. Vingt ans durant, ils restent sans enfants, puis voient leurs priĂšres exaucĂ©es. Mais RĂ©becca connaĂźt une grossesse difficile, car Â« les enfants luttaient en elle Â». D.ieu lui dit : Â« Deux nations sont dans ton sein. L’aĂźnĂ© obĂ©ira au plus jeune Â». EsaĂŒ apparaĂźt le premier suivi par Jacob tenant, de la main, le talon de son frĂšre. EsaĂŒ devient Â« un chasseur rusĂ©, un homme des champs Â», Jacob est Â« un homme intĂšgre Â», qui demeure dans les tentes de l’étude. Rentrant d’une chasse, fatiguĂ© et affamĂ©, EsaĂŒ vend son droit d’aĂźnesse Ă  Jacob contre un plat de lentilles rouges.

Isaac, s’approchant de sa mort et devenu aveugle, eut le dĂ©sir de bĂ©nir l’aĂźnĂ© EsaĂŒ et lui transmettre ainsi la bĂ©nĂ©diction d’Abraham son pĂšre. Pendant qu’EsaĂŒ s’en est allĂ© chasser le gibier favori de son pĂšre, RĂ©becca fait revĂȘtir Ă  Jacob des vĂȘtements d’EsaĂŒ et enveloppe ses mains et son cou de peau de chevreau pour qu’il paraisse velu comme lui. Elle prĂ©pare un mets, identique Ă  celui qu’EsaĂŒ Ă©tait allĂ© quĂ©rir pour recevoir la bĂ©nĂ©diction, et le remet Ă  Jacob. Isaac bĂ©nit alors Jacob de jouir Â« de la rosĂ©e des cieux et des sucs de la terre Â» et lui promet la domination sur son frĂšre. Quand EsaĂŒ, de retour, dĂ©couvre la supercherie, Isaac ne peut plus que lui annoncer qu’il vivra par l’épĂ©e et qu’il sera tributaire de son frĂšre, mais que, lorsque Jacob sera dĂ©faillant, il perdra sa suprĂ©matie sur lui. Jacob va Ă  ‘Haran pour fuir la colĂšre d’EsaĂŒ et y trouver une Ă©pouse dans la famille de Laban, son oncle maternel. EsaĂŒ, en plus de ses deux femmes cananĂ©enne, prend une troisiĂšme femme, Ma’hlat, fille d’IsmaĂ«l.

 

EsaĂŒ, Edom, Jacob et l’empire romain chrĂ©tien : que reprĂ©sentent-ils et quel est le lien ?

La portion de Torah Ă©tudiĂ©e ce shabbat du vendredi 13 novembre 2015 parle, entres autres, d’EsaĂŒ/Edom et de sa haine envers Jacob. A la fin de la paracha, nous y voyons aussi EsaĂŒ/Edom qui vient faire une alliance avec IsmaĂ«l en Ă©pousant une de ses filles.

Regardons et attardons nous sur ce que reprĂ©sente Edom et EsaĂŒ car

Comprendre ce qu’enseigne la Torah et les sages d’IsraĂ«l au sujet d’Edom et d’EsaĂŒ est absolument fondamental.

Regardons le verset de la paracha dans lequel EsaĂŒ est rapprochĂ© du nom « Edom » :

« Comme Jacob faisait cuire un potage, EsaĂŒ revint des champs, accablĂ© de fatigue.Et EsaĂŒ dit Ă  Jacob :Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-lĂ , car je suis fatiguĂ©. C’est pour cela qu’on a donnĂ© Ă  EsaĂŒ le nom d’Edom. » (GenĂšse 25.29-30).

PremiĂšrement, le texte nous montre qu’EsaĂŒ = EDOM comme il est aussi Ă©crit : Â« EsaĂŒ, pĂšre d’Edom Â» et encore :« EsaĂŒ, c’est Edom. Â» (GenĂšse 36.9,19). Veuillez bien notez et retenir cette prĂ©cision que donne la Torah car au travers d’Edom et d’EsaĂŒ se cache une clĂ© Ă©norme qui Ă©claircira d’avantage les messages donnĂ©s par les prophĂštes.

Regardons ce que rapporte certaines sources juives au sujet d’EsaĂŒ et d’Edom :

Alors qu’elle Ă©tait enceinte, leur mĂšre, Rebecca (Rivqa), alla consulter YHWH parce que Â« les enfants se heurtaient en elle ». Elle reçut alors cet avertissement : Â« Deux nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sĂ©pareront en sortant de tes entrailles; un peuple sera plus fort que l’autre, et le plus grand frĂšre sera asservi au petit » (v. 25,22-24). Selon le Talmud, HaChem (Dieu) aurait en fait prophĂ©tisĂ© Ă  Rebecca :

« Deux nations sont en ton sein, deux nations possĂ©dant chacune son univers propre, l’une la Torah, l’autre le pĂ©chĂ© » ( Berakhot, 57b).

Dans le Midrash (commentaire de la Torah, voir glossaire), on en dĂ©duira que les tendances profondes de Jacob et d’EsaĂŒ se manifestaient dĂšs avant leur naissance:chaque fois que leur mĂšre passait devant une synagogue, Jacob s’agitait pour sortir, tandis que chaque fois qu’elle passait devant un temple paĂŻen, c’est EsaĂŒ qui remuait ( GnR 63, 6) ! 

Le texte de la paracha montre qu’EsaĂŒ Ă©tait un chasseur, ce qui laisse entendre qu’il aimait Ă  faire couler le sang, qui est de couleur rouge (dans la Bible, la chasse est toujours prĂ©sentĂ©e pĂ©jorativement).

Or, c’est la mĂȘme racine hĂ©braĂŻque qui est Ă  l’origine des mots dĂ©signant le rouge ( adom’ ) et le sang. C’est tout aussi significativement qu’EsaĂŒ est explicitement dĂ©signĂ© comme un « roux » (admĂŽni), couvert Ă  sa naissance de poils roux.

 

Le goĂ»t d’EsaĂŒ pour le rouge ou le roux apparaĂźt de façon plus Ă©vidente encore dans le cĂ©lĂšbre Ă©pisode oĂč il abandonne son droit d’aĂźnesse Ă  son frĂšre Jacob en Ă©change d’un plat de lentilles que ce dernier prĂ©parait et qu’il convoitait : « Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-lĂ  (
) C’est pour cela qu’on a donnĂ© Ă  EsaĂŒ le nom d’Edom. ».

Tout ce passage, en hĂ©breu, joue sur l’étymologie des mots et des noms, le plus significatif Ă©tant Ă©videmment qu’EsaĂŒ dĂ©signe avec insistance les lentilles par l’expression Â« ce rouge, ce rouge-lĂ  » (mine hùùdĂŽme hùùdĂŽme hazĂ©h), et que le texte ajoute aussitĂŽt : Â« C’est pourquoi on l’a appelĂ© Edom Â» (v. 25,30). 

Edom est donc le second nom d’EsaĂŒ, tout comme IsraĂ«l est le second nom de Jacob. 

EsaĂŒ est appelĂ© Edom parce qu’il est « porteur de cheveux roux et assoiffĂ© de sang Â». Il est Edom parce qu’il est « le Rouge » (adom’). Cette Ă©quivalence est maintes fois rĂ©pĂ©tĂ©e dans la Torah : « EsaĂŒ, c’est Edom Â» (Gen. 36,1 et 36,8), « C’est EsaĂŒ, pĂšre d’Edom Â» (Gen. 36,43). (note Thomas : sans la comprĂ©hension profonde du texte original en hĂ©breu, nous voyons clairement comment le lecteur peut passer Ă  cĂŽtĂ© de jeux de mots au travers desquels Dieu donne des messages fondamentaux que seul le texte hĂ©breu met en Ă©vidence)

La GenĂšse assure qu’immĂ©diatement aprĂšs la mort de son pĂšre Isaac, et aprĂšs avoir Â« pris ses femmes parmi les filles de Canaan », EsaĂŒ Â« partit pour le pays de SĂ©ĂŻr » et s’« Ă©tablit dans la montagne de SĂ©ĂŻr », oĂč il engendra le peuple Ă©domite.

Dans la Bible, Edom est citĂ© parmi les nations hostiles Ă  IsraĂ«l que le roi SaĂŒl aurait affrontĂ©es. Par exemple en 1 Sam. 14,47 : Â« AprĂšs que SaĂŒl eut pris possession de la royautĂ© sur IsraĂ«l, il fit de tous cĂŽtĂ©s la guerre Ă  tous ses ennemis (
) Ă  Edom Â».

Durant l’Exode, notamment, les habitants d’Edom auraient refusĂ© aux HĂ©breux de les laisser passer Ă  travers leur territoire, alors que MoĂŻse Ă©tait parvenu Ă  CadĂšs (Nombres 20,18-21). Les HĂ©breux auraient alors choisi, non de les affronter directement, mais de contourner leur pays (Nombres 21,4).

Par la suite, de nombreux textes de la Bible (II Rois, II Chroniques, Psaume 137, Amos 1,11, Ezech. 35,1-9, etc.) attestent d’une haine tenace entre les deux peuples (Edom et IsraĂ«l).

La plupart d’entre eux s’appuient sur l’équivalence EsaĂŒ-Edom pour reprocher aux Edomites d’avoir constamment agi envers IsraĂ«l de la mĂȘme façon peu fraternelle qu’EsaĂŒ s’est comportĂ© envers Jacob.

Les Romains, en d’autres termes, auraient hĂ©ritĂ© des valeurs et de la conception du monde que la Bible attribue Ă  EsaĂŒ-Edom. Mireille Hadas-Lebel est une historienne française de l’AntiquitĂ©, spĂ©cialiste de l’histoire du judaĂŻsme. Elle explique une chose importante : « A cette Ă©poque, le verset : « EsaĂŒ se prit de haine pour Jacob Â» (Gen. 27,41) ne fait plus seulement allusion aux simples personnages bibliques, mais aussi aux deux nations inconciliables qu’ils sont censĂ©s reprĂ©senter ». D’ailleurs, la personne du roi HĂ©rode le Grand (cruel et sanguinaire), ou celle de son pĂšre Antipater, tous deux descendants des Edomites, a pu faciliter ou favoriser cette identification.

Le grand rabbin Alain Goldmann, allant jusqu’à voir en EsaĂŒ le « prototype de tous les maux subis par IsraĂ«l », Ă©crit :

« Nos sages voient en Rome, la Rome antique, la personnification d’Edom, qui dĂ©signe gĂ©nĂ©ralement EsaĂŒ et tous ceux qui vivent selon sa façon d’ĂȘtre. Pour en donner une illustration, sachons que Rome n’avait en effet aucun Ă©gard pour le droit et l’humanitĂ©, ne cessant d’utiliser tous les moyens de la violence et de la ruse. Elle parvenait ainsi Ă  possĂ©der une force rarement Ă©galĂ©e. Comme EsaĂŒ, ennemi implacable de son frĂšre, ainsi Rome fut-elle sans pitiĂ© pour IsraĂ«l, alors que Jacob-IsraĂ«l est animĂ© d’un sens profond de justice, d’amour du prochain »

Le Rabbi Nathan fait un intĂ©ressant commentaire : Il rĂ©pond ensuite Ă  la question : pourquoi peut-on appliquer Ă  Rome le verset du DeutĂ©ronome :

« et le porc, car il a le sabot fendu » ? La rĂ©ponse est celle-ci : Â« De mĂȘme que le cochon, quand il se couche, prĂ©sente d’abord ses sabots comme pour dire: voyez comme je suis pur, de mĂȘme l’empire d’Edom [Rome] se vante d’établir des tribunaux de justice alors mĂȘme qu’il commet ses violences et ses pillages » (Midrash Rabba sur Vayikra [LĂ©vitique] 13,5).

Le parallĂšle s’imposerait entre l’hypocrisie des Romains, qui cachent leurs exactions sous des apparences de justice, et celle du cochon, qui cache son impuretĂ© en mettant en avant ses sabots fendus (GnR65, 1).

Note Thomas : la comparaison est trĂšs rĂ©aliste et intelligente. La Torah nous enseigne qu’un animal, pour ĂȘtre considĂ©rĂ© comme pur, doit avoir 2 signes de puretĂ© : ruminer et avoir les sabots fendus. La Torah nous parle du porc comme Ă©tant un des rares animaux impurs qui prĂ©sente seulement un des deux signes de puretĂ© exigĂ© : Il a les sabots fendus (1er signe) mais il ne rumine pas (absence du deuxiĂšme signe). Ainsi, les sages utilisent Ă  raison le porc pour dĂ©crire un type de personne ou de civilisation qui met en avant de belles apparences et des signes extĂ©rieurs de puretĂ© (sabots fendus) mais dont l’intĂ©rieur est impur, c’est Ă  dire contre les lois de Dieu, non conforme (ne rumine pas). Ce type de personne ou de civilisation est le plus dangereux car sĂ©ducteur et trompeur. C’est ce que la Brit Hadacha appelera « tombeau blanchi » ou encore « apparence de piĂ©tĂ© ».

Cette remarque est absolument intĂ©ressante dans le mesure oĂč c’est prĂ©cisĂ©ment ce que l’on observe dans l’histoire du christianisme paganisĂ©, notamment au travers du catholicisme romain et aujourd’hui encore dans une partie du protestantisme qui hĂ©rite de l’ADN catholique : sous des apparences de piĂ©tĂ©, le catholicisme a Ă©tĂ© Ă  l’origine des plus grands actes et discours antisĂ©mites de l’histoire inspirant mĂȘme Hitler (voir plus bas). Le christianisme officiel a Ă©galement dĂ©formĂ© et tordu le sens de nombreux passages des Saintes-Écritures, supprimant ainsi de nombreux commandements de Dieu (rebelle Ă  la loi de Dieu), ce qui lui a aussi valu de sombrer dans l’idolĂątrie, sans mĂȘme parler des atrocitĂ©s commises lors de l’inquisition, et le tout sous couvert de religion. Aujourd’hui encore, mĂȘme dans le monde protestant, beaucoup ont ce mĂ©pris conscient ou inconscient envers le peuple juif, toujours atteint Ă  des degrĂ©s plus ou moins profond de ce perfide venin de la thĂ©ologie du remplacement et de la fausse doctrine de l’abolition de la loi :

Rebelle aux lois de Dieu, idolĂątrie, sang ROUGE versĂ©, haine envers IsraĂ«l et envers les chrĂ©tiens qui observent la Saine Doctrine (Torah, Loi de Dieu) : nous avons ici toutes les caractĂ©ristiques principales d’EDOM/ESAÜ.

Spirituellement, l’entitĂ© mondiale appelĂ©e « christianisme Â» (catholicisme + une partie du protestantisme qui ne proteste plus) est effectivement comparable en tout point Ă  EDOM/ESAÜ.

 

 

Ainsi, de Jacob sortiront les 12 tribus d’IsraĂ«l et donc le peuple d’IsraĂ«l, qu’EsaĂŒ/Edom porte en haine jusqu’à aujourd’hui encore. d’EsaĂŒ sortira le peuple Ă©domite et, bien que le peuple physique ne perdurera pas, l’esprit et l’idĂ©ologie Ă©domique se propageront jusqu’à la fin de l’histoire humaine, ainsi que nous le montre les prophĂštes qui citent rĂ©guliĂšrement Edom et EsaĂŒ dans les prophĂ©ties relatives aux temps de la fin.

Les vĂ©ritĂ©s rĂ©vĂ©lĂ©es dans la Torah sont parfaites et Ă©ternelles et, selon les Ă©poques, elles prennent des habillage diffĂ©rents mais demeurent les mĂȘmes.

Ainsi, cette haine et cette rivalitĂ© antique entre EsaĂŒ-Edom et Jacob-IsraĂ«l trouve son origine dans notre paracha :

« EsaĂŒ conçut de la haine contre Jacob,

Ă  cause de la bĂ©nĂ©diction dont son pĂšre l’avait bĂ©ni; et EsaĂŒ disait en son coeur : Les jours du deuil de mon pĂšre vont approcher,

et je tuerai Jacob, mon frĂšre. Â» (GenĂšse 27.41)

EsaĂŒ/Edom est dĂ©pourvu de foi et d’intĂ©rĂȘt spirituel vĂ©ritable. Il mĂ©prise la bĂ©nĂ©diction divine attachĂ©e Ă  la postĂ©ritĂ© d’Abraham. La Torah nous le dĂ©peint comme Ă©tant irreligieux, rebelle Ă  toute loi et hostile Ă  Jacob-IsraĂ«l.

Nous comprenons beaucoup mieux pourquoi les sages d’IsraĂ«l enseignent que le mot EDOM, lorsqu’il apparait dans la Bible, fait aussi rĂ©fĂ©rence Ă  l’empire romain et aujourd’hui Ă  l’europe chrĂ©tienne (Occident + Etats-Unis). Plusieurs en seront offusquĂ©s mais peu importe, la vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre dite : Comme EsaĂŒ/Edom, l’empire romain et le catholicisme romain avec une large partie du protestantisme, ont largement dĂ©montrĂ© leur haine/mĂ©pris envers IsraĂ«l et leur rĂ©bellion face aux lois de Dieu : « Je tuerai Jacob, mon frĂšre Â» (Ă  prendre aussi au sens spirituel).

Dans son excellent ouvrage Â« La paracha, compilation de commentaires et d’histoires », le Rav Eliaou Hassan rapporte un enseignement prĂ©cieux au sujet du verset « Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-lĂ , car je suis fatiguĂ©. C’est pour cela qu’on a donnĂ© Ă  EsaĂŒ le nom d’Edom. Â» :

« Le verset est trĂšs surprenant, en effet une personne qualifie un plat de rouge, et pour cela elle est nommĂ©e de la mĂȘme façon ? (« Adom » veut dire « rouge » en hĂ©breu). Nos « Hakhamim (sages) nous enseignent que lorsqu’Essav(EsaĂŒ) naquit, il Ă©tait tout rouge, on eut alors un doute. Était-ce un signe qu’il aurait une attirance particuliĂšre pour le sang, ou bien Ă©tait-ce simplement dĂ» Ă  la couleur qu’ont certains bĂ©bĂ©s en naissant, parce que leur sang n’est pas encore bien diffusĂ© dans tout le corps ?

EsaĂŒ grandit et le doute se dissipa. Lorsqu’il se trouva devant le plat de lentilles et qu’il exprima le dĂ©sir d’en manger en le dĂ©signant par son aspect extĂ©rieur uniquement, et plus prĂ©cisĂ©ment par sa couleur, cela signifiait qu’il avait bien une attirance particuliĂšre pour le rouge et ce que cette couleur symbolise. Il avait donc bien une tendance sanguinaire et on le nomma « Edom » pour cela.

Les commentateurs nous expliquent que lorsqu’un personnage s’exprime pour la premiĂšre fois dans la Torah, il affiche alors sa personnalitĂ© et l’essence de sa nature. Dans notre verset, c’est la premiĂšre fois qu’EsaĂŒ parle, regardons ce qu’il nous dit, et projetons-nous dans l’histoire, sachant qu’il est le pĂšre de l’occident :

Fais moi avaler : VoracitĂ©

Je te prie : Politesse, bonne maniĂšre, courtoisie. MalgrĂ© sa voracitĂ©, il n’oublie pas les civilitĂ©s. L’occident a cette caractĂ©ristique de faire les pires horreurs tout en ayant l’air les plus civilisĂ© du monde.

Du rouge, de ce rouge lĂ  : Il regarde surtout Ă  l’extĂ©rieur, aux apparences, il voue un culte au beau. (note Thomas : + attrait au sang, tendance sanguinaire) Â»

Je suis (fatiguĂ©) : Il est Ă©crit « Anokhi », terme utilisĂ© par Dieu lui mĂȘme.

Note Thomas : cette remarque est d’une grande importance. Regardez ce que dit le Malbim, un sage d’IsraĂ«l, dans une explication rapportĂ©e par le Rav Michael Smadja :

« Il y a une distinction entre « ani Â» (je suis) et « anokhi Â» (JE SUIS) [utilisĂ© ici] pour exprimer la premiĂšre personne du singulier. « Ani Â» veut donner une information sur sa situation comme dans « ani omed Â» : « je suis debout Â» et non assis. Alors que le mot « Anokhi Â» donne une indication sur la personne elle-mĂȘme comme dans le verset: « Anokhi Essav bekhorĂ©kha Â» « je suis Essav ton aĂźnĂ© Â», cela vient donner une indication sur l’essence mĂȘme de la personne et non sur sa situation. Et donc lorsque le verset s’exprime ainsi: « Anokhi hachem Â» « Je suis Hachem(D.ieu) qui t’a sorti de our kasdim Â» il vient enseigner que son nom est YHWH. » 

Mais alors, lorsque EsaĂŒ, pour dire Â« Je suis fatiguĂ© », utilise le terme « Anokhi », terme utilisĂ© par Dieu lui mĂȘme, le texte hĂ©breu nous donne une grande indication que le texte français est incapable de faire ressortir : EsaĂŒ « se prend Â» pour Dieu. Encore, une fois, nous voyons que sans la comprĂ©hension profonde du texte original en hĂ©breu, le lecteur peut passer Ă  cĂŽtĂ© de jeux de mots au travers desquels Dieu donne des messages fondamentaux que seul le texte hĂ©breu met en Ă©vidence.

Regardez ce que dit la suite de l’enseignement rapportĂ© par le Rav Eliaou Hassan et qui confirme l’enseignement du Malbim :

« EsaĂŒ « EST » (Anokhi) et il se prend pour D
 Nous voyons effectivement combien l’occident se prend pour Dieu car il a d’une certaine façon usurpĂ© sa place puisqu’il nie son existence. Il se croit tout puissant parce qu’il a inventĂ© l’électricitĂ©, la bombe, le vaccin. Big-Bang, prĂ©histoire, il croit pouvoir tout faire, tout expliquer, Ă  tel point que les petits enfants en France par exemple, apprennent que l’homme descend du singe
 Dominateur et conquĂ©rant, EsaĂŒ se croit invincible (voir les multiples conquĂȘtes du monde occidental et ses multiples colonies)
 »

Note Thomas : Ce n’est pas hasardeux si, dans le christianisme « officiel Â» trĂšs liĂ© Ă  l’Esprit d’EsaĂŒ/Edom, cette usurpation des attributs de la divinitĂ© est Ă©galement prĂ©sente au travers du Pape et de la vierge Marie, qui, littĂ©ralement, ont volĂ© la place de Dieu par le culte qu’ils reçoivent (Selon les sources catholiques, Marie est l’avocate, la porte, l’espĂ©rance et co-rĂ©demptrice ; le pape est le remplaçant du Messie (vicaire), infaillibilitĂ© de ses enseignements etc) et, dans le protestantisme, si le pape a Ă©tĂ© remplacĂ© dans une certaine mesure par le pasteur, la messe par le culte, nous voyons par exemple un enseignement rĂ©pandu dans le mouvement « parole de foi » consistant Ă  faire des croyants des « petits dieux Â». La doctrine des “petits dieux”, selon laquelle par la nouvelle naissance le chrĂ©tien devient « une incarnation de JĂ©sus de Nazareth » (Hagin). K. Copeland, C. Dollar, B. Hinn et Joyce Meyer ont largement promu cette doctrine. Une terrible fausse doctrine qui pourtant, est bien accueilli par des centaines de milliers de chrĂ©tiens « protestants Â»â€Š

Voyons maintenant un bref rappel historique de cette haine antique et sanguinaire de l’empire romain envers IsraĂ«l (haine d’EsaĂŒ-Edom envers Jacob-IsraĂ«l) :

Au dĂ©but de ce qui est appelĂ© couramment « l’église primitive », lorsque les premiers chrĂ©tiens Ă©taient pleinement connectĂ©s Ă  IsraĂ«l sans renier en rien le judaĂŻsme biblique et la Torah de Dieu (Saine Doctrine, Torah), on se rappelle, en l’an 64, du massacre de tous ces disciples juifs et non juifs suiveur de YĂ©shoua, qui furent transformĂ©s en torches vivantes sur l’ordre du Dictateur Romain NERON.

Regardez maintenant un bref Ă©chantillonnage des persĂ©cutions subit par IsraĂ«l-Jacob peu aprĂšs NĂ©ron :

En 70, l’armĂ©e romaine dĂ©truit JĂ©rusalem. Plus d’un million de juifs sont massacrĂ©s, 97 000 sont pris en esclavage et en captivitĂ©, beaucoup arrivent Ă  fuir.

 En 132 Bar Kochba mena une guerre de trois ans contre l’empire romain. Environ un demi million de juifs pĂ©rirent, des milliers furent vendus comme esclaves, et le reste fut expulsĂ© de Palestine un peu partout dans le monde.

En 135-200 : Les persĂ©cutions romaines contre les juifs continuent. Les juifs n’ont pas le droit de pratiquer la circoncision, ni de lire la Thora, ni de manger du pain azyme Ă  Pessah. AprĂšs la rĂ©pression des rĂ©voltes juives, les Romains dĂ©baptisent la terre de JudĂ©e pour l’appeler Palestine. L’empereur romain Severus interdit de se convertir au judaĂŻsme.

De 325 Ă  418 : L’empereur romain Constantin le Grand publie l’édit de Milan, qui retire de nombreux droits aux juifs. Le concile de NicĂ©e interdit aux juifs de respecter le shabbat et dĂ©clare hĂ©rĂ©tique les pratiques de la religion juive. Les juifs se voient retirĂ©s la citoyennetĂ© romaine et sont expulsĂ©s de JĂ©rusalem. L’empereur chrĂ©tien Constantin promulgue une loi qui punit de mort le mariage entre les chrĂ©tiens et les juifs. La conversion au judaĂŻsme devient un crime. Le synode laodicĂ©en Ă©dicte que « un chrĂ©tien n’est pas autorisĂ© Ă  recevoir du pain non levĂ© d’un juif Â». St Hilaire de Poitiers fait rĂ©fĂ©rence aux juifs comme un peuple pervers que Dieu a maudit pour toujours. St Ephraim tient les synagogues pour des bordels. L’évĂȘque de Milan brĂ»le une synagogue en affirmant que « c’est un acte qui plait Ă  Dieu Â». St JĂ©rĂŽme, qui publia une traduction de la bible, Ă©crit au sujet des synagogues : « si vous appelez ça un bordel, une chambre du vice, le refuge du diable, la forteresse de satan, un endroit de dĂ©pravation des Ăąmes, un abysse de tous les dĂ©sastres concevables, ou tout ce que vous voulez, vous ĂȘtes encore en dessous de la rĂ©alitĂ© Â»

(source : http://www.europe-israel.org/2012/12/et-dire-que-certains-pensent-que-la-persecution-des-juifs-deurope-cest-la-shoah/)

Nous voyons ici clairement l’esprit sanguinaire et de haine d’EsaĂŒ envers Jacob implantĂ©e dans l’empire Romain et rĂ©pandu dans la nouvelle fausse religion naissante : le catholicisme romain.

L’empire Romain a perdurĂ© jusqu’en 284 ap J.-C puis, notamment avec l’empereur romain Constantin au 4Ăšme siĂšcle, c’est le paganisme qui est entrĂ© dans l’église devenue officiellement la religion de Rome, dĂ©connectĂ© des ses racines vĂ©ritables, d’oĂč l’appellation « le catholicisme romain Â» dont le caractĂšre Ă©domite s’est manifestĂ© comme jamais : rebelle aux lois de Dieu, sanguinaire et hostile Ă  IsraĂ«l (Jacob).

Franck Viola, dans son excellent document de référence « le christianisme paganisé » nous explique :

« Peu aprĂšs que Constantin eut pris le trĂŽne au dĂ©but du quatriĂšme siĂšcle, l’Église devint une sociĂ©tĂ© organisĂ©e de haut en bas et dans tous ses dĂ©tails.

Will Durant fait une Ă©nonciation semblable disant que le christianisme « s’est dĂ©veloppĂ© par l’absorption de la foi et du rituel paĂŻens ; c’est devenue une Église triomphante hĂ©ritant des modĂšles et du gĂ©nie de l’organisation de Rome
 comme la JudĂ©e lui avait donnĂ© l’éthique du christianisme, et La GrĂšce la thĂ©ologie, maintenant Rome lui a donnĂ© l’organisation ; tout cela, avec des douzaines de croyances absorbĂ©es et rivales, est entrĂ© dans la synthĂšse chrĂ©tienne. »

Vers le quatriĂšme siĂšcle, la hantise des reliques Ă©tait devenue si grande que quelques dirigeants chrĂ©tiens s’érigeaient contre elle en disant :

« Une observance paĂŻenne prĂ©sentĂ©e dans les Ă©glises sous le manteau de la religion
le travail des idolĂątres. » (Note Thomas : rappelez-vous, dans la tradition juive, de l’immense attrait d’EsaĂŒ/Edom pour l’idolĂątrie.)

Ainsi qu’un Ă©rudit catholique l’admet aisĂ©ment, avec l’avĂšnement de Constantin les Â« diverses coutumes de la culture romaine antique ont coulĂ© dans la liturgie chrĂ©tienne
 » ( The Early Liturgy, pp. 130, 133).

Comme Will Durant l’a dit : Â« les Ăźles paĂŻennes se sont propagĂ©es dans la mer chrĂ©tienne. »

Les chrĂ©tiens du premier siĂšcle, encore pleinement ancrĂ©s dans la Torah et dans le judaĂŻsme biblique d’Abraham d’Isaac et de Jacob, se voyaient comme confrontant le monde et Ă©vitaient tout contact avec le paganisme. Tout cela a changĂ© pendant le quatriĂšme siĂšcle quand l’Église Ă©mergea en tant qu’établissement public dans le monde oĂč elle Â« absorba et christianisa les idĂ©es et pratiques religieuses paĂŻennes. »

De la mĂȘme façon que l’Esprit d’Edom/d’EsaĂŒ dĂ©veloppe une haine envers IsraĂ«l, nous voyons clairement cette haine contre les juifs dĂšs les dĂ©buts du catholicisme romain.

Dans son excellent ouvrage « Ton peuple sera mon peuple », Don Finto déclare :

« L’empereur Constantin convoqua le concile de NicĂ©e en 325 ap. J.-C., pour rĂ©soudre quelques problĂšmes doctrinaux, certes, mais il voulait aussi s’assurer que l’Eglise s’était sĂ©parĂ©e et dĂ©barrassĂ©e une fois pour toutes de ces Â« vermines polluĂ©es » qui avaient tĂąchĂ© leurs mains par « un crime abominable ». Il fallait qu’ils trouvent une autre date de la PĂąque pour cĂ©lĂ©brer la rĂ©surrection. La PĂąque Ă©tait trop juive !

Constantin Ă©crivit aux Ă©vĂȘques rassemblĂ©s Ă  NicĂ©e : Â« dans la cĂ©lĂ©bration de cette fĂȘte la plus sainte, il apparaĂźt comme une chose indigne que nous suivions la pratique des Juifs
 »

 

 

Et quelques annĂ©es plus tard, Jean-Chrysostome osa assurer Ă  son troupeau : Â« vous avez Ă©tĂ© Ă©tabli Ă  leur place ».

Et quand arriva le deuxiĂšme concile de NicĂ©e en 787 ap. J.-C., les Juifs croyants devait apporter la preuve qu’ils Ă©taient chrĂ©tiens. Par exemple, la communion leur fut refusĂ©, par dĂ©cret du concile de l’Église, Ă  moins qu’ils ne renoncent Ă  observer le shabbat (4Ăšme commandement de Dieu) ou tout autre coutume juive (Note Thomas : ainsi que plusieurs lois de Dieu qui, avant d’ĂȘtre des « lois juives Â», sont avant tout Les Lois de Dieu valable pour tout convertis juif ou non juif de chair). Dans certains cas, ils durent mĂȘme prouver leur dĂ©dain pour leurs racines en mangeant du porc devant tĂ©moins. Plus tard, les conciles de Latran de 1179 et 1215 ap. J.-C., ordonnĂšrent aux juifs de vivre dans des quartiers diffĂ©rents et de porter des vĂȘtements distinctifs. C’est ce qui ouvrit la voie aux ghettos et Ă  l’étoile jaune exigĂ©e, avant et pendant l’époque de l’Holocauste nazi.

Afin de montrer Ă  quel point l’église s’est dĂ©tachĂ© de son hĂ©ritage juif, lisez les extraits de profession de foi qu’un juif devait dire Ă  son baptĂȘme dans l’Église catholique :

« Je renonce ici et maintenant Ă  tous les rites et observance de la religion juive, je dĂ©teste toutes les cĂ©rĂ©monies et ses croyances des plus solennelles que j’avais conservĂ©es est cĂ©lĂ©brĂ©es dans les temps passĂ©s. Je promets que je ne retournerai jamais plus au vomi de la superstition juive. Jamais plus, je n’accomplirait de fonction dans le cĂ©rĂ©monies juives auxquelles je m’étais adonnĂ©, ni ne les chĂ©rirai. J’éviterais toute relation avec les autres juifs et je n’aurais d’amis que parmi les chrĂ©tiens. Je ne m’associerai avec aucun de ces Juifs maudits qui refusent le baptĂȘme. Je renonce Ă  tout le culte des Juifs, la circoncision, tout sont lĂ©galisme, le pain sans levain, la PĂąque, le sacrifice des agneaux, la fĂȘte des semaines, les jubilĂ©s, les trompettes, l’expiation, les tabernacle, et toutes les autres fĂȘtes juives, leurs sacrifices, priĂšres, aspersions, purifications, expiation, jeĂ»nes, shabbat, nouvelles lunes, nourritures et boisson. Et je renonce absolument Ă  toute coutume et institutions de lois juives. En un mot, je renonce absolument Ă  tous ce qui est juif ».

MĂȘme Luther qui avait bien commencĂ©, s’était au final retournĂ© contre les Juifs.

Si le grand pĂ©chĂ© des juifs fut le rejet du Messie, le grand pĂ©chĂ© des chrĂ©tiens serait le mĂ©pris du peuple d’IsraĂ«l et le rejet de la loi de Dieu en pensant que « l’Église Â» remplacerait le peuple de Dieu (IsraĂ«l), et que les les commandements de Dieu dans la Torah seraient uniquement des lois juives bien qu’ils font en rĂ©alitĂ© pleinement partis de la Loi du Dieu Tout Puissant pour ceux qui se rĂ©clament de Lui, juif premiĂšrement et non juif. »

Tout est dans la Torah, il suffit de savoir la lire sans mĂ©priser Â« ceux Ă  qui les oracles de Dieu ont Ă©tĂ© confiĂ©s »(Rom 3.2). Rappelons qu’EsaĂŒ a dĂ©sobĂ©i Ă  la volontĂ©, et Ă  l’autoritĂ© de ses parents et que son comportement fut un sujet d’amertume pour le coeur d’Isaac et de Rebecca. Lorsqu’EsaĂŒ eut atteint quarante ans, la Torah nous dit qu’il Ă©pousa deux femmes de la tribu cananĂ©enne des Hittites. Les Ă©pouses non « Avrahamiques » d’EssaĂŒ causĂšrent « l’amertume dans l’esprit d’Isaac et de Rebecca ». Les Sages commentent qu’elles continuaient Ă  servir des idoles, leur offrant de l’encens.

 

EsaĂŒ savait qu’il ne devait pas Ă©pouser de femmes cananĂ©ennes, car elles le persuaderaient d’adorer leurs faux dieux. Pourtant, ses 2 premiĂšres femmes furent cananĂ©ennes (il y a ici un rappel Ă©vident pour ceux qui se disent convertis Ă  Dieu mais qui pensent qu’ils peuvent Ă©pouser des paĂŻens sans que cela ne crĂ©e de graves troubles). Regardons la premiĂšre femme :

« EsaĂŒ, ĂągĂ© de quarante ans, prit pour femmes Judith ( Yehoudit) Â»(GenĂšse 26:34). Notons que la premiĂšre femme d’EsaĂŒ s’appelle Judith ( Yehoudit) = « Juive Â». Cette femme Ă©tait une cananĂ©enne, pourquoi alors l’appeler du nom qui signifie « juive Â» alors qu’elle ne l’est pas et qu’elle est cananĂ©enne ?

Rachi explique qu’en rĂ©alitĂ©, elle possĂ©dait un nom diffĂ©rent mais qu’EsaĂŒ l’appelait « Yehoudit » pour faire croire Ă  son pĂšre qu’elle avait rĂ©ellement adoptĂ© le service du D.ieu Unique.

Fort du principe Â« MaassĂ© avot siman lebanim » – « Tout ce qui est arrivĂ© aux pĂšres est un signe pour les fils Â», la Torah veut nous montrer ici une claire allusion Ă  la ThĂ©ologie du remplacement initiĂ©e par EsaĂŒ/Edom. Cette thĂ©ologie du remplacement est imprĂ©gnĂ©e d’idolĂątrie et de paganisme (pratique des femmes cananĂ©enne d’EsaĂŒ), exactement comme nous l’avons dĂ©montrĂ© jusqu’ici. Notez que l’Eglise catholique, bien qu’elle persiste dans l’idolĂątrie, a tout de mĂȘme reconnu sa fausse thĂ©ologie du remplacement sans pourtant rien changer Ă  ses pratiques et Ă  son discours officiel.

Comme dit le Rav-Dynovisz : Â« De couleur juive et d’origine Edomique, le christianisme romain partit de JĂ©rusalem. Il va ensuite s’exporter en terre paĂŻenne et va s’éloigner de sa source monothĂ©iste. Les chrĂ©tiens qui prirent vĂ©ritablement le pouvoir n’étaient pas d’origine juive. Les vrais juifs sont restĂ©s depuis le dĂ©part Ă  l’extĂ©rieur de ce processus complĂštement inverse Ă  leur nature. »

En parlant des juifs, n’oublions-pas les enseignements des pĂšres de l’Eglise catholique, religion d’EsaĂŒ/Edom : Jean-Chrysostome osa assurer Ă  son troupeau : Â« vous avez Ă©tĂ© Ă©tabli Ă  leur place »et encore : Â« Lorsqu’il est clair que Dieu les hait, il est du devoir des chrĂ©tiens de les haĂŻr Ă©galement. ».

C’est de cette fausse chrĂ©tientĂ© dont parle le Messie lorsqu’il s’adresse aux vĂ©ritables convertis Ă  Dieu qui souffrent de leur calomnie et de leurs mensonges/haine : Â« Je connais les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas mais qui sont une assemblĂ©e de Satan. Â» (Apocalypse 2.9)

Derek C. White, dans son excellent ouvrage intitulĂ©e Â« La thĂ©ologie du remplacement »affirme : Hans Kung, un thĂ©ologien d’origine suisse qui vĂ©cu la deuxiĂšme guerre mondiale en tant qu’adolescent, ecrivait en 1974 : le meurtre massif des Juifs par les nazis fut l’oeuvre de criminels athĂ©es, mais, sans les 2000 ans d’histoire chrĂ©tienne antisĂ©mite cela aurait Ă©tĂ© impossible. Hitler dĂ©clara au cardinal Faulhaber qu’il ne faisait que ce que l’Église avait elle-mĂȘme prĂȘcher et pratiquer contre les Juifs. Dans Mein Kampf, il avait Ă©crit : Â« ainsi je crois qu’aujourd’hui j’agis selon la volontĂ© du tout-puissant crĂ©ateur : en Ă©cartant les Juifs, je me bats pour faire la volontĂ© du Seigneur. »

Qui ne voit pas ici avec Ă©vidence cette haine ancestrale d’EsaĂŒ envers Jacob dont nous parle la paracha et qui a pleinement imprĂ©gnĂ© l’église catholique et aujourd’hui encore, une partie du monde protestant qui pensent remplacer IsraĂ«l et qui grincent des dents lorsque l’amour de la loi de Dieu et de l’importance d’IsraĂ«l est prĂȘchĂ© ?

Ainsi, les 4 traits caractĂ©ristiques d’EsaĂŒ/Edom se retrouve dans l’empire romain ainsi que dans le catholicisme romain dont la fusion des deux donna en l’an 800 « le Saint empire Romain » : Haine d’IsraĂ«l, rebelle aux lois de Dieu, idolĂątrie, sanguinaire.

Ces choses se sont perpĂ©tuĂ©es jusqu’à notre Ă©poque moderne. Effectivement, l’entitĂ© « Ă©domique Â» du catholicisme s Â»Ă©tant alliĂ©e Ă  l’empire romain lui aussi de nature « Ă©domique Â»(union dont les premiers jalons ont Ă©tĂ© posĂ©s par Constantin), donna naissance officiellement au Saint-Empire Romain en l’an 800. Ce Saint-Empire Romain pose les bases de la civilisation occidentale et de l’Europe ChrĂ©tienne actuelle.

Il apparaĂźt donc comme une Ă©vidence que l’Esprit d’EDOM/ESAÜ, comme l’enseignent les sages d’IsraĂ«l, se retrouve au sein de l’empire romain puis, plus tard, au sein du catholicisme puis, encore plus tard, au sein du Saint Empire Romain, fusion entre l’empire romain et la religion catholique romaine.

Combien de sang  a coulĂ© par l’épĂ©e d’EsaĂŒ/Edom sous l’empire romain et le catholicisme romain ainsi qu’il a Ă©tĂ© prophĂ©tisĂ© sur EsaĂŒ/Edom : Â« Tu vivras de ton Ă©pĂ©e» (GenĂšse 27.40)

Cet esprit d’EsaĂŒ/Edom, caractĂ©risĂ© par la rĂ©bellion aux lois de Dieu, la haine/mĂ©pris envers les juifs, l’idolĂątrie et les apparences de piĂ©tĂ© et de justice, est rĂ©pandu dans la chrĂ©tientĂ© et dans le monde occidentale. Ce n’est pas sans raison que Le Parlement europĂ©en a affirmĂ©, mercredi 17 dĂ©cembre 2014, son« soutien Â»Ă  la reconnaissance d’un Etat palestinien gouvernĂ© par les terroristes du Hamas dont la charte dĂ©clare ouvertement la destruction d’IsraĂ«l et la mort des juifs


Le protestantisme n’est que l’enfant du catholicisme. En effet, le mouvement commença avec des catholiques et Il ne serait donc pas inexact d’appeler les premiers protestants des « catholiques reformĂ©s Â». Bien que le protestantisme ait apportĂ© beaucoup de bonnes choses dans son dĂ©sir de retourner aux Ecritures, il n’en demeure pas moins porteur de l’ADN catholique et des interprĂ©tations erronĂ©es des Saintes-Ecriture hĂ©ritĂ©es du catholicisme romain.

Il n’est donc pas Ă©tonnant de retrouver au sein du protestantisme de nombreuses similitudes telles que la rĂ©bellion aux lois de Dieu (doctrine de la grĂące permissive et de l’abolition de la loi) et le mĂ©pris des juifs et de leurs enseignements. Ce n’est pas non plus sans raison que l’oeucumĂ©nisme (union des catholiques et protestants) gagne toujours plus de terrain


Regardons ce que rapporte le site elisrael.org :

Edom est le surnom de Rome. A cela, deux raisons : Quand Rome arrive en JudĂ©e, elle est reprĂ©sentĂ©e par HĂ©rode l’Edomite (ou IdumĂ©en). Les lĂ©gionnaires portent de grands manteaux rouges, car la guerre est dĂ©jĂ  psychologique. Tous les peuples Ă©crasĂ©s par Rome, et la JudĂ©e en bonne place, sont plus marquĂ©s par l’effusion de sang que par la construction de voies pavĂ©es, d’amphithĂ©atres et de thermes.

Le christianisme impĂ©rial a prolongĂ© Rome, tant politiquement que spirituellement et intellectuellement. Ce n’est que depuis le 18Ăšme siĂšcle que l’on Ă©prouve moins la collusion politico-religieuse qui a Ă©tĂ© totalitaire.

Mais l’antijudaĂŻsme des PĂšres de l’Eglise a laissĂ© une empreinte profonde dans l’inconscient collectif occidental.

La belle apparence de la philosophie et de l’esthĂ©tique grecque recouvre un paganisme venu du fond des Ăąges.

La thĂ©ologie du remplacement d’IsraĂ«l par l’Eglise a fixĂ© l’identitĂ© spirituelle Ă©domite de cet empire et de sa religion. ‘Essav est celui qui, armĂ© de sa puissante apparence, revendique une responsabilitĂ© spirituelle pour laquelle il n’est pas formĂ© par D.ieu. D.ieu a douloureusement choisi et formĂ© Ya’ñqov (Jacob). Ainsi, en plus de Rome, Edom est devenu le surnom symbolique de la chrĂ©tientĂ© qui prolonge la Rome paĂŻenne.

Celle-ci, de plus en plus paganisĂ© et dĂ©judaĂŻsĂ©e avec le renfort de Constantin, affina encore durant trois siĂšcles son dogme de la trinitĂ©, de conciles en disputes thĂ©ologiques sanglantes. Elle pavait ainsi la voie de l’islam (cf Â§ 525), et perdit du coup plus de la moitiĂ© de ses diocĂšses-provinces en moins de 100 ans (Proche-Orient, Asie Mineure, Afrique du Nord, Espagne, jusqu’en 732 oĂč « Charles Martel battit les Arabes Ă  Poitiers Â». De mĂȘme que ‘Amaleq est le petit-fils de ‘Essav (EsaĂŒ), l’islam est un sous-produit de la dĂ©gĂ©nĂ©rescence thĂ©ologique chrĂ©tienne.

On ne peut ignorer qu’il y eut une rĂ©sistance intĂ©rieure, puisque certains versets de l’Apocalypse (13 :11) nĂ©o-testamentaire annonce cette prostitution et une bĂȘte Â« qui a deux cornes d’agneau mais qui parle comme un dragon Â».

L’islam s’en est pris Ă  la chrĂ©tientĂ©, comme celle-ci s’en Ă©tait prise Ă  IsraĂ«l, en vertu du mĂȘme principe thĂ©ologique du remplacement.

Note Thomas : en HĂ©breu et dans la Torah, c’est ce que l’on appelle Â« Mida Kenegued Mida » (Mesure pour mesure) : on rĂ©colte ce que l’on sĂšme. Le Shaliah Polos (apĂŽtre Paul) enseigne ce principe spirituel torahique en Galates 6.7 : Â« Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semĂ©, il le moissonnera aussi. »

Ce que la chrĂ©tientĂ© a voulu faire aux Juifs, c’est ce que l’Islam lui a infligĂ© Ă  elle-mĂȘme au 7Ăšme siĂšcle. Si le Â« Nouveau Testament » remplace « l’Ancien », alors le coran, suivant la mĂȘme logique, le surclasse Ă  son tour inĂ©vitablement, simplement parce qu’il lui est postĂ©rieur. Mahomet fait d’Avraham et de JĂ©sus, promus musulmans Ă  titre rĂ©troactif, ses simples prĂ©curseurs. Il prĂ©tend que Juifs et ChrĂ©tiens, pourtant privilĂ©giĂ©s en tant que « peuples du Livre Â», ont falsifiĂ© les Ecritures, et que IsmaĂ«l est le fils de la promesse (au lieu de Isaac).

La thĂ©ologie chrĂ©tienne du remplacement d’IsraĂ«l par l’Eglise trouve son maĂźtre dans l’Islam : Mesure pour mesure, un juste retour de boomerang.

EsaĂŒ et Edom, Charlemagne et l’Europe chrĂ©tienne

Comme nous l’avons dit, de l’an 300 à 800, nous voyons l’alliance entre la politique romaine et la religion catholique païenne se mettre en place et aboutissant à la naissance du Saint Empire Romain en l’an 800 pour une domination de prùs de 1000 ans qui se terminera en 1806.

CHARLEMAGNE est le 1er empereur du Saint Empire Romain, couronnĂ© par le Pape lĂ©on III en l’an  800. Retenez bien cela : la symbolique de Charlemagne comme celui inaugurant le Saint Empire Romain est trĂšs forte.

Le personnage de Charlemagne est un personnage clĂ© qui va nous aider Ă  prouver et Ă  sceller la nature spirituelle de l’Europe chrĂ©tienne qu n’est rien d’autre que celle d’EsaĂŒ/Edom.

Regardons quelques ressemblances entre Charlemagne et EsaĂŒ/Edom : Tout comme EsaĂŒ, l’activitĂ© principale de Charlemagne est la chasse. Tout comme EsaĂŒ, Charlemagne est une personne forte et virile. Tout comme EsaĂŒ, Charlemagne embrasse la religion paĂŻenne et idolĂątre. Tout comme EsaĂŒ, Charlemagne est sanguinaire et possĂšde un appĂ©tit pour le rouge sang : Le documentaire « sacrĂ© Charlemagne » de l’émission « secret d’histoire » rapporte : Charlemagne impose le baptĂȘme sous peine de mort ; dĂ©portation, pillage, rĂ©duction en esclavage, Charlemagne est cruel envers tous ceux qui n’adhĂšrent pas de prĂšs ou de loin Ă  son rĂšgne et au catholicisme. Un autre exemple de la vie de Charlemagne un peu antĂ©rieur aux autres Ă©vĂ©nements : A verdennes, en 782, la guerre culmine dans l’horreur : Il rĂ©cupĂšre environ 4500 otages, des jeunes garçons et des hommes dans les villages du sud de la saxe et pendant une journĂ©e entiĂšre, il les fait tous dĂ©capiter les uns aprĂšs les autres. L’eau du fleuve Ă  cĂŽte duquel s’était passĂ© cette tuerie Ă©tait complĂštement rouge Ă  cause des dĂ©capitĂ©s. Le moindre manquement Ă©tait punit de mort. Si on mangeait de la viande le jour de carĂȘme, c’était Ă©galement la mise Ă  mort instantanĂ©e.

Criminel de guerre et fanatique religieux ayant terrorisĂ© beaucoup de pays d’Europe, les immenses cĂŽtĂ©s sombres de Charlemagne sont rarement exposĂ©s au grand public et pourtant


Charlemagne est encore mis en honneur par une partie du monde catholique


Regardons Ă©galement en dĂ©tail un lien souvent mĂ©connu entre Charlemagne, EsaĂŒ/Edom et l’Allemagne : Dans les anciens Ă©crits des sages d’IsraĂ«l datant d’il y a plusieurs milliers d’annĂ©es, l’extermination du peuple juif programmĂ©e par l’Allemagne nazie Ă©tait dĂ©jĂ  annoncĂ©e.

Il faut pour cela se rendre dans la Torah orale (Guémara, traité Méguila) :

« Sauve-moi donc de la main de mon frĂšre, de la main de Essav(EsaĂŒ) ; car j’ai peur de lui, afin qu’il ne vienne pas et me tue la mĂšre avec les enfants. Â» (GenĂšse 32.12)

De quoi Yaacov (Jacob) a-t-il donc bien pu avoir peur ? Dieu ne lui avait-il pas dit qu’Il le protĂ©gerait ?

Voici l’explication du Talmud :

Rabbi its’hak demande l’explication de ce verset : Â« N’accorde pas, MaĂźtre du monde, aux demandes des mĂ©chants, ne laisse point s’accomplir leurs perfides desseins
 »(Psaumes 140)

Rabbi Its’hak rĂ©pondit :

C’est Yaacov (Jacob) qui demanda Ă  Dieu de ne pas laisser l’ennemi accomplir ses desseins et cet ennemi c’est Germamia de Edom (Essav), car si cet ennemi rĂ©ussissait, il dĂ©truirait le monde.

Et Rachi (11Ăšme siĂšcle) commente :

Germamia, c’est un des royaumes d’Edom.

Rabbi Yaacov Hemdin explique :

Rachi a voulu dire Germania (l’Allemagne). (Guemara Meguila, 6a.)

Effectivement, qui pourrait contester la haine d’Hitler envers les juifs, caractĂ©ristique principale d’EsaĂŒ/Edom comme il est dit :

« EsaĂŒ conçut de la haine contre Jacob (
) je tuerai Jacob, mon frĂšre. Â» (GenĂšse 27.41)

Et bien, sachez que selon les historiens, Charlemagne serait germain. Le lieu de la naissance de Charlemagne n’est mentionnĂ© dans aucune source d’époque. La plus ancienne indication, qui concerne Ingelheim en Allemagne, vient de Godefroi de Viterbe (auteur italien du xiie siĂšcle) et est retenue par certains auteurs.

Non seulement Charlemagne serait germain mais c’est prĂ©cisĂ©ment son icĂŽne qui est « comme par hasard Â» reprise par les Nazis.

Ce n’est pas sans raison qu’à l’occasion de la tenue du 7Ăšme congrĂšs du parti nazi en septembre 1935, lorsqu’Hitler est au sommet de sa force, le maire de NĂŒremberg remet Ă  Hitler une copie de l’épĂ©e de Charlemagne. Ce 7Ăšme congrĂšs de NĂŒremberg est Ă©galement tristement restĂ© cĂ©lĂšbre car c’est prĂ©cisĂ©ment Ă  cette occasion qu’Hitler annonce dans plusieurs discours l’adoption de lois antisĂ©mites, les lois de NĂŒremberg. La « loi sur la citoyennetĂ© allemande Â» enlĂšve aux Juifs leurs droits civiques ; la « loi sur la protection du sang allemand et de l’honneur allemand Â» interdit les mariages entre Juifs et Allemands (les mariages dĂ©jĂ  contractĂ©s Ă©tant dissous) ainsi que toute relation sexuelle entre Juifs et allemands. Ces lois de NĂŒremberg, qui flattent un antisĂ©mitisme populaire et sont plutĂŽt bien accueillies dans certaines parties de la sociĂ©tĂ© allemande, ouvrent la voie d’une politique antisĂ©mite qui ne va cesser de se radicaliser jusqu’à la guerre (Nuit de Cristal en 1938), pour prendre ensuite le caractĂšre d’une vĂ©ritable extermination.

Le lien est Ă©vident : l’épĂ©e de Charlemagne est remise Ă  Hitler  lors du seul congrĂšs qui adopte les lois antisĂ©mites aboutissant Ă  la Shoah. Egalement, ce n’est pas sans raison qu’une division française SS va mĂȘme porter son nom : 33Ăšme division de la SS Charlemagne : ce sont autant d’indices nous montrant la source spirituelle cachĂ©e derriĂšre les Ă©vĂ©nements.

 

Les Allemands et les collaborateurs avaient fait de Charlemagne une figure principale de la collaboration franco-allemande et de la haine antijuive. Encore une marque Ă©vidente du caractĂšre d’EsaĂŒ/Edom.

Ainsi, en tant que premier empereur du Saint-Empire Romain, nous avons de nouvelles preuves Ă©videntes de l’appartenance Ă©domique de Charlemagne de part ses multiples points communs avec EsaĂŒ/Edom.

Lisez attentivement la suite afin de comprendre dĂ©finitivement en quoi l’Europe ChrĂ©tienne correspond parfaitement Ă  EsaĂŒ/Edom

 

La renaissance du Saint Empire Romain

 

 

Winston Churchil, dans un discours aprĂšs la seconde guerre mondiale, parlait de l’importance pour les pays europĂ©ens d’aprĂšs guerre de s’unifier et de crĂ©er les « États-Unis d’Europe ».

Le figaro magazine le dĂ©clare sans gĂšne : Â« L’Union europĂ©enne constitue Ă  bien des Ă©gards un retour du Saint-Empire romain germanique, ce vaste ensemble politique qui, au Moyen Âge, avait pour noyau et centre dĂ©cisionnel l’Allemagne. »

Il existe lĂ  aussi une multitude d’indice et de dĂ©tails qui prouve de maniĂšre formelle l’identitĂ© spirituelle de l’Europe : un nouvel empire romain correspondant au caractĂšre spirituel d’EsaĂŒ/Edom. Regardons ensemble les Ă©tapes de la construction europĂ©enne et les indices associĂ©s indiquant qu’il s’agit ici de la renaissance du Saint-Empire Romain « Ă  la sauce moderne Â».

En 1957 : traitĂ© de Rome aboutissant Ă  un marchĂ© commun dont l’objectif ultime est une union politique. En soit, le nom du traitĂ© est dĂ©jĂ  trĂšs significatif. Le nombre de pays va en augmentant : 6 puis 9 puis 12 puis 15.

En 1992 : TraitĂ©e de Maastrich et barriĂšre Ă©conomique renversĂ©e : l’objectif est de passer d’une union Ă©conomique Ă  union politique.

En 1999 : monnaie commune de l’euro.

En 2004 : 25 nations ont fusionnĂ© leur propre Ă©conomie. En 2007 : 27 membres dans l’Union EuropĂ©enne dont le nom est dĂ©finitivement adoptĂ©. C’est la Puissance Ă©conomique numĂ©ro une dans le monde avec 500 millions d’habitants.

La premiĂšre tentative de monnaie fabriquĂ©e en 1987 est l’ECU (UnitĂ© de compte europĂ©enne). Regardez le personnage choisit pour symboliser cette monnaie europĂ©enne : CHARLEMAGNE.

Les membres de l’UE ont dĂ©cidĂ© d’attribuer une rĂ©compense annuelle au chef d’état qui ferait le plus d’efforts pour contribuer Ă  promouvoir l’unification europĂ©enne. Clinton a par exemple reçu ce prix en l’an 2000 pour avoir Ă©vincĂ© avec l’aide de L’OTAN Slobodan Milosevic qui s’opposait Ă  la rentrĂ©e de la Yougoslavie en Europe.

Devinez le nom du prix ? CHARLEMAGNE ! Quel est l’endroit oĂč est remis le prix Charlemagne ? Hacken en Allemagne dans la cathĂ©drale construite par Charlemagne en l’an 800.

Dans l’hebdomadaire le plus important et le plus suivi en Europe, Â« The economist », chaque semaine une page est consacrĂ©e Ă  l’avancĂ©e de l’unification europĂ©enne.

Le nom de la page ? Vous l’avez devinĂ© : CHARLEMAGNE.

Ce n’est pas tout : Il y a un bĂątiment spĂ©cial situĂ© Ă  Bruxelles (siĂšge sociale de l’UE) pour analyser les demandes d’adhĂ©sion Ă  L’UE.

Ce bĂątiment s’appelle : « CHARLEMAGNE BUILDING ».

Regardons un autre indice caractĂ©risant la Renaissance du Saint Empire Romain dans l’entitĂ© appelĂ© Union EuropĂ©enne.

Regardez le drapeau de l’UE : un drapeau bleu avec 12 Ă©toiles ? Pourquoi ? Cela ne correspond pas aux nombres d’États dans l’UE. Paul M.G. LĂ©vy, Le crĂ©ateur du drapeau croyait que Le Saint Empire romain devait avoir son Ă©lĂ©ment saint sur le drapeau. En tant que catholique dĂ©vouĂ©, il croyait que la femme de l’apocalypse qui donna naissance aux 12 Ă©toiles reprĂ©sentait la vierge Marie : l’Europe est donc sous la banniĂšre de Marie.

 

 

Enfin, le 3 novembre 2009, l’entitĂ© de l’UE est complĂštement nĂ©e. Tout le monde signe le traitĂ© de la constitution des Etats-Unis d’Europe Ă  Lisbonne. Devinez oĂč ?

Dans un MonastĂšre catholique.

 

Ainsi, le Saint Empire Romain « moderne Â» venait de renaĂźtre de ses cendres et l’Europe possĂšde dĂ©sormais son prĂ©sident.

Sources de toutes ces informations sur Charlemagne : Partie 07 de la sĂ©rie vidĂ©o « Comprendre la fin des temps » de Irvin Baxter. 

 

Nous avons prouvĂ© auparavant que le Saint-Empire Romain (800-1806) Ă©tait une alliance entre la spiritualitĂ© d’Edom (Catholicisme romain) et la politique d’EDOM (empire romain).

RĂ©sumons briĂšvement ce que nous avons vu jusqu’à prĂ©sent : Lorsque Rivka (RĂ©becca) Ă©tait enceinte de Jacob et EsaĂŒ, Dieu lui dit : deux nations qui se combattront sont dans ton ventre. Jacob deviendra le peuple d’IsraĂ«l composĂ© des juifs selon la chair et des non juifs greffĂ©s sur IsraĂ«l par la foi en YĂ©shoua et suivant la Torah (Saine Doctrine). EsaĂŒ/Edom deviendra une nation hostile Ă  IsraĂ«l et son esprit perdurera et se rĂ©pandra notamment dans l’empire romain dont plusieurs personnages importants seront Ă©domites. Cet esprit d’EsaĂŒ/Edom se rĂ©pandra Ă©galement dans la nouvelle fausse religion naissante du catholicisme et formera avec l’empire romain, en l’an 800, le Saint-Empire romain.  Celui qui inaugure le Saint Empire Romain est Charlemagne. Charlemagne a les traits de caractĂšre d’EsaĂŒ : Chasseur, fort, virile, sanguinaire et idolĂątre. La religion du Saint empire romain est Ă  l’image d’EsaĂŒ : rebelle aux lois de Dieu, idolĂątre et antisĂ©mite.  Charlemagne est Germain. Les sages d’IsraĂ«l ont prĂ©dit la Shoah de l’Allemagne Nazie et L’icĂŽne de Charlemagne est reprise par les nazis au moment de l’adoption des lois antisĂ©mites : section SS Charlemagne, Ă©pĂ©e de Charlemagne offerte Ă  Hitler Ă  l’occasion des lois antisĂ©mites de NĂŒremberg. Les sages d’IsraĂ«l ont Ă©galement prĂ©dit qu’il s’agissait de l’oeuvre de l’esprit d’EsaĂŒ/Edom et que l’Allemagne est un royaume d’Edom.

Ainsi, en adoptant Charlemagne comme icĂŽne du Saint Empire romain, la naissance de l’Europe prouve en elle mĂȘme son caractĂšre Ă©domique conduisant Ă  la renaissance du Saint-Empire Romain : monnaie de l’ECU avec l’effigie de Charlemagne, page Charlemagne dans le magazine The economist, prix Charlemagne offert dans une cathĂ©drale aux meilleurs promoteur de l’UE, BĂątiment du siĂšge Ă  Bruxelles appelĂ© Charlemagne, Drapeau de L’UE catholique et constitution europĂ©enne signĂ© dans un monastĂšre catholique. Et Ă©videmment, comme le titre le journal le monde, L’Allemagne, au travers d’Angela Merkel, est le vrai patron de l’Europe : Angela Merkel, vraie patronne de l’Europe

Sachant que le Saint-Empire Romain est reprĂ©sentatif de l’esprit d’Edom/EsaĂŒ, une grande quantitĂ© d’indices dĂ©montrent avec certitude que l’Europe et son hĂ©ritage catholique, correspond effectivement Ă  une renaissance du Saint Empire Romain et correspond donc Ă  EsaĂŒ/Edom. C’est ici une clĂ© infiniment grande pour comprendre les prophĂ©ties de la fin des temps faites sur EDOM.

Enfin, prenons Ă©galement garde aux fortes symboliques entourant la mise au tombeau de Charlemagne. Car si Charlemagne est l’icĂŽne de l’Europe chrĂ©tienne, alors les symboles entourant sa mort deviendront Ă©galement les symboles de la mort de l’Europe chrĂ©tienne, nous indiquant la destinĂ©e de tous ceux qui adhĂ©reront Ă  l’esprit d’EsaĂŒ/Edom  :

Charlemagne est enterrĂ© dans un tombeau romain dont les sculptures reprĂ©sentent l’enlĂšvement de Prosperine par Pluton, Prince des tĂ©nĂšbres et de l’enfer (mythologie paĂŻenne). Alexandre Lenoir dans l’ouvrage « Description historique et chronologique des monuments de sculpture rĂ©unis au MusĂ©e des monuments français Â» Ă©crit :  Â« Il est plus que dĂ©montrĂ© que Prosperine et Pluton, allĂ©goriquement employĂ©s Ă  la dĂ©coration des tombeaux, reprĂ©sente les tĂ©nĂšbres. »

Ainsi Charlemagne, cette icĂŽne de l’Europe, du Saint-Empire Romain et d’Edom/EsaĂŒ, voit son tombeau et son lieu de repos Ă©ternel ĂȘtre reprĂ©sentĂ© par l’Enfer et les tĂ©nĂšbres


N’est-il pas Ă©crit :

« Edom sera un objet de dĂ©solation; » (JĂ©rĂ©mie 49.17) et encore : Â« Si Edom dit : Nous sommes dĂ©truits, Nous relĂšverons les ruines ! Ainsi parle l’Eternel des armĂ©es : Qu’ils bĂątissent, je renverserai, Et on les appellera pays de la mĂ©chancetĂ©, Peuple contre lequel l’Eternel est irritĂ© pour toujours. Â» (Malachie 1.4)

 

L’EUROPE ET LE MONDE ARABO-MUSULMAN : L’alliance d’EsaĂŒ/Edom avec IsmaĂ«l.

Maintenant qu’il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que l’Europe chrĂ©tienne correspond trĂšs bien Ă  l’idĂ©ologie et Ă  l’emprunte spirituelle d’EsaĂŒ/Edom, rentrons dans le vif du sujet et regardons ce que la paracha nous enseigne au sujet des relations entre IsmaĂ«l et EsaĂŒ/Edom, c’est Ă  dire entre l’Europe chrĂ©tienne et le monde arabo-musulman. La paracha nous montre avec une stupĂ©fiante prĂ©cision tous les mĂ©canismes aboutissant Ă  la dramatique situation mondiale actuelle.

N’oublions pas que la Torah n’est pas un livre d’histoire : elle nous rĂ©vĂšle et nous dĂ©voile les structures fondamentales de l’histoire humaine. Ainsi, lorsque nous voyons le personnage d’EsaĂŒ et de Jacob, cela fait Ă©galement rĂ©fĂ©rence aux peuples qui en sortiront et aux idĂ©ologies qui en dĂ©couleront et qui restent valables jusqu’à la fin de l’histoire humaine comme cette Ă©tude le prouve.

EsaĂŒ a donc pris une femme cananĂ©enne puis plus tard, au chapitre 28, verset 9 de la GenĂšse, nous lisons : Â« Alors EsaĂŒ alla vers IsmaĂ«l et prit pour femme Mahalat, fille d’IsmaĂ«l, fils d’Abraham, sƓur de Nevayot, en plus de ses premiĂšres femmes Â».

Il convient ici de rappeler qui est IsmaĂ«l. IsmaĂ«l est le fils qu’Abraham eut avec Agar, la servante de sa femme Sarah.

IsmaĂ«l engendrera le peuple ismaĂ©lite dont les descendants sont aujourd’hui le monde arabo-musulman. Les principaux responsables religieux du monde musulman enseignent effectivement que leur ancĂȘtre est IsmaĂ«l.

Ces deux mariages d’EsaĂŒ prĂ©figurent, pour le premier, la pĂ©riode dite judĂ©o chrĂ©tienne pendant laquelle la chrĂ©tientĂ© a voulu se parer du nom de Nouvel IsraĂ«l (mariage avec la cananĂ©enne Ă  qui EsaĂŒ donna le nom de « juive Â» alors qu’elle ne l’était pas), quant Ă   la deuxiĂšme pĂ©riode (mariage avec la fille d’IsmaĂ«l), elle correspondrait Ă  la situation actuelle oĂč l’on assiste Ă  un certain rapprochement, voire une connivence entre l’Occident chrĂ©tien et l’Islam. Par la suite, EsaĂŒ se sĂ©para de la fille d’IsmaĂ«l et se rĂ©volta de façon trĂšs cruelle contre les enfants d’IsmaĂ«l (correspondant au conflit entre Islam et Occident malgrĂ© leur alliance)


Les sages enseignent que cette fin de paracha oĂč l’on aperçoit l’alliance entre EsaĂŒ et IsmaĂ«l correspond Ă  ce qui passera Ă  la fin de l’histoire : alliance entre EsaĂŒ et IsmaĂ«l qui est une prĂ©figuration de l’alliance entre l’Europe chrĂ©tienne et l’Islam (puis la guerre entre les deux comme l’indique la future sĂ©paration entre EsaĂŒ et la fille d’IsmaĂ«l).

Nous voyons Ă©galement le lien de consanguinitĂ© entre EsaĂŒ et la fille d’IsmaĂ«l. Les deux sangs se sont mĂ©langĂ©s : celui des Edomites et celui des Arabes. En clair, cela nous montre qu’EsaĂŒ n’a eu aucun respect pour la vĂ©ritable foi de sa famille, leur rapport avec YHWH, et leurs coutumes. Nous voyons ce mĂȘme comportement aujourd’hui chez les croyants, qui prennent des paĂŻens en mariage et/ou font la promotion de l’oeucumĂ©nisme, c’est Ă  dire le syncrĂ©tisme entre protestantisme et catholicisme. Ils n’ont aucun respect pour leurs parents et leur vĂ©ritable foi dans le Messie Yeshua, qu’ils dĂ©shonorent.

Daniel Steen enseigne :

« Le mariage d’Edom et de la fille d’IsmaĂ«l est une rĂ©alitĂ© qui s’accomplit de nos jours. L’Occident a fait alliance avec l’Orient sous le nom d’Eurabia. Par ailleurs, IsmaĂ«l est un homme indomptable, difficile Ă  vivre, la prophĂ©tie le concernant dit :

Gen 16/12 : Â« Il sera comme un Ăąne sauvage; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui; et il habitera en face de tous ses frĂšres. »

 

 

Dans le Psaume 83 nous voyons que cette alliance n’a pour but final que de dĂ©truire IsraĂ«l : Â« Ils se concertent tous d’un mĂȘme cƓur, Ils font une alliance contre toi; Les tentes d’Edom et les IsmaĂ©lites Â»

Ce mariage entre europĂ©ens et arabes reprĂ©sente essentiellement un intĂ©rĂȘt Ă©conomique pour les europĂ©ens et un intĂ©rĂȘt spirituel pour les musulmans. Les uns voient le moyen d’obtenir le pĂ©trole et de vendre des armes, les autres voient en l’Europe une immense rĂ©gion, puissante et riche, qui s’offre comme champ d’islamisation. (Source : http://www.michelledastier.com/le-conflit-israelo-arabe-et-ses-nombreux-aspects-caches-par-daniel-steen/)

Depuis des millĂ©naires, les prophĂštes de la Bible et les sages d’IsraĂ«l ont annoncĂ© qu’à la fin des temps, le monde musulman (IsmaĂ«l) s’unira et fera la guerre avec ce qui est aujourd’hui appelĂ© l’Europe chrĂ©tienne (Edom ou EsaĂŒ).

Le Ravdynovisz, dans son cours du 14 novembre 2015 intitulĂ© « La troisiĂšme guerre mondiale dĂ©butera en Syrie », rapporte un enseignement assez interpellant :

Le talmud rapporte une chose des plus Ă©tonnantes Ă  propos d’une loi sur les menstruations de le femme. Les sages du Talmud rapportent quelque chose d’incroyable Ă  propos des diffĂ©rentes couleurs du sang que la femme perd durant ses rĂšgles, ce qui la rend « nida Â», c’est Ă  dire interdite Ă  son mari. Effectivement, l’écoulement de sang d’une femme « nida Â», selon la Torah, la rend interdite Ă  son mari (LĂ©vitique 18).

Note Thomas : La femme est interdite Ă  son mari en pĂ©riode de « Nida Â». Comme l’enseigne Paul, la Torah est avant tout spirituelle. Nous voyons ici un des aspects spirituels de l’interdiction du sang : cela reprĂ©sente aussi l’interdiction de Dieu pour son peuple de s’unir avec Edom/EsaĂŒ qui est reprĂ©sentĂ© par le sang comme nous l’avons vu plus haut
 Cela en dit long car tant que le peuple de Dieu est liĂ© au monde catholique(Edom) via des mouvements comme l’oeucumĂ©nisme, tant que le peuple de Dieu est liĂ© Ă  l’idĂ©ologie de l’Occident(Edom), c’est comme si il avait des relations interdites avec une femme Nida


Le Talmud cite une autre couleur de sang « Ă©trange Â» qui est le noir. Les sages d’IsraĂ«l se posent la question : « Le noir, est-ce du sang, est-ce Edom pour pouvoir dire qu’elle est interdite Ă  son mari ? » Le talmud rĂ©pond : « quand tu verras que le rouge se transformera en noir, c’est que c’est la fin du rouge, de Edom. »

Un des signes indiquant la fin de l’Occident, c’est lorsque tu verras Ă  sa tĂȘte un noir. Depuis des siĂšcles, les sages d’IsraĂ«l affirment : « lorsque tu verras quelque part une personne de couleur noire Ă  la tĂȘte d’Edom, c’est que le moment est venu pour Hashem (Dieu) de frapper Edom ». Tout le monde le sait : depuis 8 ans, Obama a un projet clair : dĂ©truire l’Occident.

Note Thomas : Obama est le premier prĂ©sident noir des Etats-Unis et correspond parfaitement Ă  l’enseignement des sages d’IsraĂ«l dans le Talmud. Lorsque l’on sait qu’Obama est un musulman (IsmaĂ«l) Ă  la tĂȘte de l’Occident (Edom) et que les Etats-Unis sont effectivement responsables en grande partie de la crĂ©ation de Daesh et de l’Islamisation de l’Europe, tout prend ici son sens et les enseignements de la Torah viennent s’accorder parfaitement dans cette connivence entre EsaĂŒ/Edom et IsmaĂ«l aboutissant Ă  un grand conflit qui est en vĂ©ritĂ© le jugement de Dieu sur Edom


Il y a presque 2 000 ans dĂ©jĂ , un sage d’IsraĂ«l nommĂ© RabbiCHIMON BAR YOHAÏ disait:

« Qui survivra Ă  l’époque des IsmaĂ©lites (monde arabo-musulman) ? Ce sont les enfants d’IsmaĂ«l qui livreront les batailles finales et heureux qui ne verra pas les souffrances de l’enfantement du Messie. De grandes hĂ©catombes et d’immenses affrontements se prĂ©pareront dans le pays d’Edom (Rome, Europe chrĂ©tienne), et conduiront Ă  l’anĂ©antissement d’IsmaĂ«l et de Rome (Europe chrĂ©tienne).  C’est un jour de vengeance pour l’Eternel, une annĂ©e de reprĂ©sailles pour la cause de Sion. » (Sanhedrin 98)

Edom (Europe, USA) s’est vendu Ă  IsmaĂ«l (les pays pĂ©troliers arabes) en choisissant une libertĂ© rebelle aux lois de Dieu : c’est ici parfaitement l’esprit d’Edom que l’on retrouve en Occident
 C’est encore pour cela que les sages d’IsraĂ«l disent que l’Occident, c’est Edom. Spirituellement, c’est vrai
 On voit clairement la haine de l’Europe (EsaĂŒ=Edom) vis Ă  vis d’IsraĂ«l, et son alliance avec IsmaĂ«l(monde musulman) aujourd’hui sous nos yeux. C’est exactement ce que l’on voit dans notre paracha. C’est aussi pour cela que dans la tradition juive, ÉsaĂŒ est le pĂšre des civilisations occidentales, notamment de l’Empire romain, dont la « descendance » est le christianisme de Constantin. Comme nous l’avons prouvĂ©, c’est aussi d’EDOM qu’est nĂ© le pays de GUERMAMIA ou EsaĂŒ s’est installĂ©, qui a donnĂ© aprĂšs des siĂšcles l’ALLEMAGNE d’Adolf Hitler : La haine d’EsaĂŒ matĂ©rialisĂ©e envers son frĂšre Jacob par la Shoah (Extermination des enfants d’IsraĂ«l).

« EsaĂŒ conçut de la haine contre Jacob Â» (GenĂšse 27.41)

La fin de notre paracha montre donc cette Alliance d’EsaĂŒ/Edom avec IsmaĂ«l (les Arabes) (au lieu de choisir l’alliance avec IsraĂ«l) :

« Et EsaĂŒ s’en alla vers IsmaĂ«l. Il prit pour femme, outre les femmes qu’il avait, Mahalath, fille d’IsmaĂ«l (GenĂšse 28.9).

Notez bien le nom de la fille d’IsmaĂ«l Â« Mahalath » en hĂ©breux. Ce nom a plusieurs sens et il veut notamment dire« Fou, folle, malade ». Ainsi, nous voyons clairement le mariage d’EsaĂŒ/Edom avec la partie folle d’IsmaĂ«l (Mahalath), cette partie radicale que l’Europe finance et permettant, par exemple, Ă  Daesh d’exister et de se renforcer.

 

 

Au IIĂšme siĂšcle, un sage d’IsraĂ«l, Rabbi Eliezer Ben Hurcanos fait un intĂ©ressant commentaire sur ce passage :

« Au coucher du soleil, un profond sommeil tomba sur Abram; et voici, une frayeur et une grande obscuritĂ© vinrent l’assaillir. Â» (Genese 15.12)

Rabbi Eliezer affirma que le monde arabo-musulman se propagera, s’étendra et par leur violence, ils feront venir le Messie. N’est-ce pas prĂ©cisĂ©ment ce que l’on vit ? Tout est stupĂ©fiant de prĂ©cisions et de vĂ©ritĂ©.

Rabbi Eliezer a également dit dans son ouvrage Pirké De Rabbi Eliezer :

« IsmaĂ«l dominera 1300 ans sur la terre sainte : 100 ans pour chaque annĂ©e de sa circoncision. Dans ce temps-lĂ , les fils d’IsmaĂ«l construiront un Ă©difice sur le Mont du Temple ».

Comme le remarque Jean-Marc Thobois : Â« Rappelons que Rabbi Eliezer Ben Hurcanos vivait au deuxiĂšme siĂšcle aprĂšs JĂ©sus-Christ. De son temps, le pays d’IsraĂ«l Ă©tait sous la domination des Romains. C’était l’ñge d’or de l’empire romain. Les Arabes n’étaient qu’une petite tribu, perdue au fond de la pĂ©ninsule arabique, vivant de dattes et de lait de chamelle. Il n’y avait pas de pĂ©trole, pas de pĂ©trodollars ; il n’y avait pas d’ONU, pas de Ligue arabe
 Il n’y avait pas toutes ces rĂ©alitĂ©s qui font aujourd’hui la puissance du monde arabe.

Humainement parlant, personne ne pouvait imaginer au deuxiĂšme siĂšcle aprĂšs JĂ©sus-Christ, Ă  l’apogĂ©e de l’empire romain, qu’un jour l’Islam balaierait tout cet empire romain pour s’installer Ă  sa place et qu’il dominerait sur la terre sainte.

Et pourtant, se basant sur les textes bibliques, Rabbi Eliezer avait pu annoncer ces choses.

Et faisant cette lecture prophĂ©tique – ce qui est arrivĂ© aux pĂšres est une prophĂ©tie de ce qui arrivera Ă  leurs fils – il a pu dire : les fils d’IsmaĂ«l domineront 13 siĂšcles sur la terre sainte. Pourquoi ? Parce que, quand il a Ă©tĂ© circoncis, IsmaĂ«l avait 13 ans et, par consĂ©quent, la domination de ses descendants sur la terre sainte durera un siĂšcle pour chacune des annĂ©es qui Ă©taient les siennes quand il a Ă©tĂ© circoncis.

Et Ă  partir du moment oĂč ils possĂšderont la terre sainte, ils Ă©tabliront un Ă©difice sur le Mont du Temple. Rabbi Eliezer ne dit pas quelle sera la nature de cet Ă©difice. Il dit simplement un Ă©difice. Cet Ă©difice chacun peut le voir aujourd’hui quand il va Ă  JĂ©rusalem. Ce sont ces fameuses mosquĂ©es qui sont sur l’emplacement de l’esplanade du Temple. Les mosquĂ©es n’existaient pas Ă  cette Ă©poque-lĂ  parce que l’Islam n’existait pas


Rabbi Eliezer est allĂ© plus loin. Il a dit : “Entre le moment oĂč commencera Ă  ĂȘtre construit cet Ă©difice jusqu’au moment oĂč prendront fin les droits des fils d’IsmaĂ«l, il y aura exactement 1300 ans.”

Les Arabes ont conquis JĂ©rusalem en 638 aprĂšs JĂ©sus-Christ. Dix ans plus tard, en 648, le calife Omar a commencĂ© Ă  construire sur l’emplacement du Temple, la fameuse coupole d’or qui porte son nom. Si l’on ajoute 1300 ans Ă  648, cela donne 1948, date de la renaissance du pays d’IsraĂ«l !

Rabbi Eliezer ne s’est pas trompĂ©, c’est exactement ce qui s’est produit. Â»

Dans le Yalkhout Chimoni (recueil de midrachim datant de plus d’un millĂ©naire) parachat Lekh LĂ©kha 14, nous pouvons lire :

« Le messie ‘grandit’ sur IsmaĂ«l ». C’est-Ă -dire qu’IsmaĂ«l est le « vĂ©hicule » qui, malgrĂ© lui, prĂ©pare et approche la venue du Messie.

Le Baal hatourim (14e siĂšcle) fin parachat ‘HayĂ© Sara dĂ©clare : « Quand IsmaĂ«l tombera Ă  la fin des temps, alors viendra le Messie ». (Rabbi ‘HaĂŻm Vital).

Tout concorde, tout est là, sous nos yeux


L’ultime signature d’EDOM avec la pointe de l’épĂ©e d’IsmaĂ«l d’un signe qui signifie la MORT.

 

Maintenant, que nous avons vu en dĂ©tail les diffĂ©rents acteurs de cette paracha, leurs interactions avec les peuples, les idĂ©ologies et les prophĂ©ties qui leurs sont associĂ©es au sein de l’Histoire, nous allons pouvoir comprendre et apprĂ©cier les indices spirituels laissĂ©s lors de ces attentats. Ces indices nous permettront de dĂ©couvrir l’origine et les responsables de cette sĂ©rie d’attaques sur Paris.

Le groupe de Hard rock satanique du nom de « Eagles of Death metal » (aigles de la mort) jouait « Kiss the Devil » (Embrasse le Diable) dans le cadre de la promotion de leur album Zipper Down (Braguette ouverte), dont les paroles principales sont : « J’aimerai le diable ».

 

Gardez bien Ă  l’esprit une des nombreuses informations que nous avons vu jusqu’à maintenant : Edom a fait alliance avec IsmaĂ«l et par cette alliance impie, Edom fournit Ă  IsmaĂ«l les moyens et les ressources pour propager son idĂ©ologie assassine : L’Occident (Europe et USA) aide et finance le terrorisme tout en trompant l’opinion public en faisant croire faussement qu’ils combattent le terrorisme (ils font semblant), tout ceci dans le but d’installer la guerre et la terreur en vue de relancer l’économie, de contrĂŽler les citoyens par toute sortes de mesures rĂ©pressives et de remodeler le monde pour aboutir Ă  ce nouvel ordre mondial dont parlait Sarkozy, Buch, le Pape etc. Comme disait un homme : « Je ne crois pas Ă  la thĂ©orie du complot. Simplement, je crois que cela n’a rien de thĂ©orique. » Pour ceux qui serait sceptiques, allez donc voir les interviews de Philippe De Villiers au sujet de son livre « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu ».

Daniel Steen Ă©crit : Â« Tout ceci explique :

  • L’invasion de l’Europe par les Arabes (probablement existe-t-il une Agence arabe, sur le modĂšle de l’Agence Juive, qui finance l’émigration des Arabes en Europe, avec la diffĂ©rence que l’Agence juive ramĂšne les Juifs dans leur pays alors que l’Agence arabe extrade ses ressortissants pour en faire un instrument d’invasion et d’islamisation) ;
  • La politique anti-israĂ©lienne de l’Europe, qui admet le retour des envahisseurs arabes en «Palestine», et la disparition d’IsraĂ«l ;
  • La dĂ©sinformation qui est orchestrĂ©e dans toute l’Europe contre toutes les actions d’IsraĂ«l ;
  • Le transfert des techniques dans les domaines guerriers nuclĂ©aires, de gaz chimiques, biologiques (Ă  l’Iraq, Ă  l’Iran
) ;
  • L’expansion de la culture arabe en Europe et la sauvegarde des musulmans contre toute tentative d’assimilation : la culture des immigrants est exportĂ©e dans les pays d’accueil, les EuropĂ©ens proclament la grandeur de la civilisation islamique, les Arabes fustigent les EuropĂ©ens pour leur ancienne politique colonialiste et exigent «l’enseignement dans les universitĂ©s de la supĂ©rioritĂ© de la civilisation islamique
 on ne parle plus de la civilisation judĂ©o-chrĂ©tienne mais de la civilisation abrahamique » 

Rappelons-nous du mĂ©pris d’EDOM envers l’alliance de Dieu au profit de l’alliance avec IsmaĂ«l. EsaĂŒ/Edom prophĂ©tisa ici pour la fin des temps sa propre mort :

« EsaĂŒ (EDOM) rĂ©pondit : Voici, je m’en vais mourir; Ă  quoi me sert ce droit d’aĂźnesse ? Â»

Il est important d’insister : jusqu’ici, nous avons dĂ©montrĂ© par l’Ecriture, les sages d’IsraĂ«l et par l’histoire elle-mĂȘme qu’EDOM = EUROPE ChrĂ©tienne et les USA, faisant alliance avec l’Islam radical et le monde arabo-musulman (IsmaĂ«l). Cette alliance avec la partie folle de l’Islam (Mahalath) se retourne contre EDOM ainsi que la relation biblique entre EsaĂŒ/EDOM et IsmaĂ«l se termine par une sĂ©paration cruelle. Rappelons-nous que le symbole d’EDOM/Europe est Charlemagne, dont le tombeau Ă©tait ornĂ© de reprĂ©sentation du diable, de l’enfer, des tĂ©nĂšbres


Maintenant regardez bien les initiales du nom du groupe de musique qui est utilisĂ© comme leur emblĂšme/logo (la chanson, au moment de l’attentat, Ă©tait « Embrasse le diable ») :

 

Oui, vous ne rĂȘvez pas : nous retrouvons prĂ©cisĂ©ment le nom d’EDOM dans cette premiĂšre attaque d’IsmaĂ«l des plus violentes subit par EDOM. Dans la mesure oĂč la Bible nous dĂ©peint la foudre comme Ă©tant un signe de jugement, lorsque nous voyons la lettre « O » ici traversĂ©e par la foudre, nous comprenons qu’il s’agit d’un signe clair de jugement contre EDOM provoquĂ© par EDOM lui-mĂȘme par le biais d’IsmaĂ«l suivant le principe « on rĂ©colte ce que l’on sĂšme ».

Un homme a dit un jour : « Dieu se rit des gens qui dĂ©plorent les effets dont ils chĂ©rissent les causes. ». C’est ici la triste rĂ©alitĂ© de l’Europe et d’Edom/EsaĂŒ : Officiellement, l’Europe/EDOM dĂ©plore l’horreur des attentats tout en ayant Ă©tĂ©, en vĂ©ritĂ©, les initiateurs secrets de ces attentats


Mais ce n’est pas tout, un autre indice de poids vient s’ajouter Ă  tout cela. Regardez bien le signe instantanĂ©ment brandis par EDOM suite Ă  cette sĂ©rie d’attentats :

 

C’est exactement la mĂȘme image, le mĂȘme symbole que la croix de NĂ©ron que voici :

 

La croix de NĂ©ron, qui reprĂ©sente la mort, date de l’AntiquitĂ©. Elle rappelle et commĂ©more le massacre du peuple de Dieu (Jacob-IsraĂ«l) sur ordre de cet empereur romain (EsaĂŒ/Edom). Cette croix est un symbole de la mort. C’est un dĂ©rivĂ© de la « croix renversĂ©e Â» :

 

Le mouvement hippie se l’est appropriĂ©e comme Ă©tant un synonyme de sexe, drogue, anarchie, en gros tout ce qui est contre les rĂšgles. Mais sa vĂ©ritable origine est diabolique, signe et prĂ©sage de mort.

Ainsi, brandi Ă  la face du monde, cette sĂ©rie d’attentat a Ă©tĂ© marquĂ© du sceau de la mort sur la France (Croix de NĂ©ron), mort amenĂ©e par la rĂ©bellion d’EDOM (Europe chrĂ©tienne) et son alliance avec IsmaĂ«l (monde arabe).

 

ApprĂ©ciez la stupĂ©fiante corrĂ©lation entre les divers Ă©vĂ©nements : le vendredi 13 novembre 2015 au soir est le dĂ©but du shabbat au cours duquel est Ă©tudiĂ©e la seule paracha de l’annĂ©e traitant de l’Europe chrĂ©tienne (EsaĂŒ/EDOM) et de sa haine envers le peuple de Dieu (Jacob/IsraĂ«l) ainsi que de son alliance dangereuse avec la partie intĂ©griste et folle du monde arabo-musulman (Mahlath, fille d’IsmaĂ«l) qui se retournera contre EDOM/l’Europe chrĂ©tienne. A partir de cette paracha, cela fait des milliers d’annĂ©es que les sages d’IsraĂ«l annoncent un conflit final pour la fin des temps entre l’Europe (EDOM) et une partie du monde arabo-musulman (IsmaĂ«l) tandis que le vrai peuple de Dieu (IsraĂ«l/Jacob) sera Ă©pargnĂ©/protĂ©gĂ© quoique Ă©prouvĂ©/persĂ©cutĂ© : c’est prĂ©cisĂ©ment au cours de ce shabbat qu’ont eut lieu les attentats les plus terribles de l’histoire de la France, attentats perpĂ©trĂ©s par la frange cruelle de l’Islam (IsmaĂ«l/Mahalath), aidĂ© par l’Europe (EDOM), signĂ© par EDOM (nom du groupe satanique au bataclan), et le tout, marquĂ© du sceau de la mort (Croix de NĂ©ron symbolisant la mort, la cruautĂ© et l’extermination).

VoilĂ  une sĂ©rie d’indices spirituels qui ne trompent pas et qui viennent nous dĂ©voiler avec prĂ©cision l’origine et les responsables vĂ©ritables de ces attentats. Oui, les vrais responsables sont ceux d’EDOM(Occident) qui utilisent IsmaĂ«l (la partie cruelle du monde arabo-musulman) dans un conflit destructeur qui se termine par le retournement d’IsmaĂ«l contre Edom. Ce vaste ensemble est permis par Dieu qui utilise ces diffĂ©rents acteurs pour juger EDOM.

En plus des alliances impies faites avec l’Islam radical et en plus de son mĂ©pris pour IsraĂ«l, l’Europe chrĂ©tienne a approuvĂ© et votĂ© toutes sortes de lois impies promouvant la dĂ©bauche, l’immoralitĂ©, l’abandon de Dieu et de ses lois parfaites


Cet attentat du 13 novembre marque bel et bien le dĂ©cret posĂ© sur la France par cette croix de NĂ©ron brandit partout. Il semblerait que la France, et plus globalement l’Europe, soit sous le jugement de Dieu, IsmaĂ«l Ă©tant l’un des instruments de jugement utilisĂ© par le seul vrai Dieu pour chĂątier EDOM. Le compte Ă  rebours est lancĂ©.

Cependant, comme l’enseigne les sages d’IsraĂ«l, la seule façon d’annuler un mauvais dĂ©cret est de rentrer dans une profonde, sincĂšre et sĂ©rieuse repentance (TĂ©chouva) et de se tourner vers le Messie d’IsraĂ«l comme il est dit de la bouche mĂȘme de YĂ©shoua« En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, celui qui Ă©coute ma parole, et qui croit Ă  celui qui m’a envoyĂ©, a la vie Ă©ternelle et ne vient point en jugement, mais il est passĂ© de la mort Ă  la vie. Â» (Jean 5.24)

Mais qui entendra ce message ? Comme dirait le prophĂšte :

« Qui a cru Ă  ce qui nous Ă©tait annoncĂ© ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? Â» (EsaĂŻe 53.1)

Qu’HaShem, le Dieu de gloire vĂ©ritable et redoutable nous garde dans la foi, l’amour et la repentance, les yeux braquĂ©s sur le Messie YĂ©shoua, lui qui fut Ă©levĂ© comme le fut le serpent d’airain fabriquĂ© par MoĂŻse et par lequel Dieu guĂ©rit et sauva de la morsure du pĂ©chĂ© tous ceux qui ont placĂ© leur confiance dans la Parole du Dieu d’IsraĂ«l, Amen !

Étude/synthĂšse faite par Thomas du site rencontrerdieu.com et inspirĂ©e de sources juives (enseignements des sages d’IsraĂ«l) et de l’enseignement du Rav Dynovisz  du 14 et 15 Novembre 2015.

 

Notre source : http://discernerlesondushofar.eklablog.com

 

 

Retour

 

 

 

© 2020 Ministère Maranatha 77 "Jésus revient bientôt" | Page d'accueil | Nous contacter