L’UNESCO veut promouvoir les droits
des enfants Lesbiennes Gay Bi et Transsexuels dans les Ă©coles
En
publiant un nouveau rapport intitulé Out in the open, l’UNESCO rejoint la liste des
agences de l’ONU plaidant en faveur de la communauté Lesbienne, Gay, Bisexuelle
et Transgenre.
Ce
rapport préconise l’insertion de matériaux LGBT dans les programmes scolaires
des écoles publiques dans le monde. La couverture du rapport reprend l’un des 6 timbres de l’ONU,
émis au début de l’année 2016 en faveur du lobby LGBT.
En mai dernier, l’UNESCO
avait préalablement initié une enquête sur les réponses des divers
secteurs de l’éducation face aux violences liés à l’identité du genre et
l’orientation sexuelle. Les résultats mettaient en évidence une violence et une
stigmatisation importantes des enfants homosexuels ou ayant une confusion du
genre.
En réponse à cela, le texte entend prévenir les
violences homophobes et transphobes implicites, en recommandant que :
« Les programmes et les matériels d’apprentissage
soient respectueux à l’égard de l’orientation sexuelle et de l’identité du
genre, y compris par leurs contenus et représentations ».
Il n’est fait aucune mention dans le rapport,
du rôle éducatif des parents et à leur autorité parentale. Les enfants des
écoles du monde serait-il très prochainement immergés dès leur plus jeune âge
dans une idéologie dont les fondements scientifiques restent à démontrer ?
Dans un article publié
sur leur site le 21 mars 2016, l’American College of
Pédiatricians avait mis en garde l’opinion publique contre toutes les
politiques conditionnant les enfants à penser que le phénomène transgenre est
normal.
Si toute forme de stigmatisation et de violences
verbales ou physiques à l’encontre des enfants doivent être effectivement
bannis de l’école, on peut s’interroger sur le seul traitement de
« l’orientation sexuelle » des enfants dans ce rapport. Aucune
mention n’est faite aux enfants handicapés, aux enfants appartenant à des
minorités religieuses ou aux enfants migrants, qui sont pourtant eux aussi
les victimes quotidiennes de la violence physique ou psychologique ordinaire de
leurs pairs, et parfois mĂŞme de leurs Ă©ducateurs.
La rédaction
Source :
www.infochrétienne.com