Article
de T. Austin-Sparks.
Dieu est
éternellement fidèle à Sa Parole. Il ne change jamais. Ce qu'Il a dit, Il
l'accomplira.
"Ecris aussi à
l'ange de l'Eglise de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle
et véritable." (Apocalypse 3, 14.) "Celui qui voudra être béni dans
le pays voudra l'être par le Dieu de vérité (le Dieu de l'Amen), et celui qui
jurera dans le pays jurera par le Dieu de vérité (le Dieu de l'Amen)."
(Esaïe 65, 16.) "Car, autant il y a de promesses de Dieu, en lui est le
oui et en lui l'Amen, à la gloire de Dieu par nous." (2 Corinthiens 1, 20.)
Nous voyons, d'après
les passages tirés de l'Apocalypse et du livre d'Esaïe, que "Amen"
est un titre, une désignation, une description de Dieu. Son Nom est
"l'Amen", le Dieu de "l'Amen". Nous savons toute la valeur
qu'a ce mot, lorsque nous l'employons. Nous exprimons une note d'affirmation,
qui signifie que nous ne désapprouvons rien, et que nous sommes en accord avec
tout ce qui vient d'être dit. Nous appuyons, "qu'il en soit ainsi -
Amen !" Et c'est là une description de Dieu ; c'est Son Nom. La
description peut être résumée par un passage des Ecritures : "le Père
des lumières, en qui il n'y a aucune variation ni aucune ombre de
changement" (Jacques, 1, 17). Il est toujours le même, absolument digne de
notre confiance, positif, défini, sûr, car Il est le Dieu de l'Amen".
Esaïe regarde
au-delà de la captivité et de la Croix.
Maintenant, les
contextes de ces deux passages nous donnent beaucoup de lumière sur l'emploi
qui est fait de ce titre dans chacune de ces occasions. Nous voyons, au
chapitre 65 d'Esaïe, que nous approchons de la fin des prophéties : nous
sommes de l'autre côté du jugement d'Israël, c'est-à-dire, au-delà de l'exil et
de la captivité. Nous sommes maintenant avec le reste, qui est retourné dans le
pays. Le nouveau jour nous est présenté dans des passages comme ceux-ci :
"Lève-toi, Jérusalem, fais éclater ta splendeur ! Car ta lumière est
apparue et la gloire de l'Eternel s'est levée sur toi." (Esaïe 60, 1.)
"Consolez, consolez mon peuple, dit votre Dieu. Parlez au cœur de
Jérusalem et annoncez-lui que son temps d'épreuve a pris fin ; que son
iniquité est pardonnée ; qu'elle a reçu, de la main de l'Eternel, un
double châtiment pour tous ses péchés". (Esaïe : 40, 1-2.)
Et, dans le chapitre
d'où nous avons tiré notre texte, le Seigneur dit encore : "Je vais
créer de nouveaux cieux et une nouvelle terre" (Esaïe 65,17). Un nouveau
jour est en vue, et c'est sur cette base, dans ce cadre et ce contexte, que
paraissent ces paroles. Il y a dans ces paroles, nous le voyons, une perspective :
"Celui qui, sur cette base, en ce jour, voudra être béni... celui qui
jurera ... en ce jour-là, sur cette base nouvelle..." Ces paroles
regardent dans l'avenir, et nous pouvons dire ici, et aussitôt, que c'est du
jour qui est maintenant venu, du jour dans lequel nous vivons, que parlent si
clairement ces prophéties. Les prophéties qui suivent le chapitre 53 d'Esaïe,
le chapitre de la Croix et des souffrances, dirigent si clairement vers ce jour
au-delà de 1a Croix, le jour de Sa résurrection, le jour de l'Esprit ;
c'est le jour - notre jour - dans lequel Dieu nous est montré comme le Dieu de
l'amen" - Dieu, qui se réaffirme, et Dieu réaffirmé.
Mais, pour en revenir
à l'histoire d'Israël : il avait semblé, durant soixante-dix longues
années, des années accablantes, tragiques, stériles, que tout espoir s'était
évanoui ; tout semblait perdu. Regardons Jérusalem durant ces soixante-dix
années ; voyons le pays dans sa désolation et sa ruine : toute sa
gloire a disparu, tout a été détruit, la tragédie est écrite partout en grandes
lettres. Ceux qui visitaient ce pays, disaient en branlant la tête :
"Ah ! ah ! eh bien, eh bien, regardez cela !" Et
tandis que ce cri, comme un sanglot, jaillit du cœur du prophète :
"Etes-vous donc insensibles, vous tous qui passez par ici ? Regardez
et voyez s'il existe une douleur comparable à la douleur qui m'accable"
(Lamentations 1, 12), - il pourrait vraiment être mis dans la bouche du
Seigneur Jésus, sur la Croix ; il est littéralement lié à cette situation
même. C'était le cri du pays.
Nous dirions
aujourd'hui d'une situation comme celle-là, - "Eh bien, c'est la
fin ! Il n'y a plus d'espoir !" Mais c'est précisément dans ce
cadre-là, c'est dans une situation comme celle-là, que se rencontrent ces
paroles. Il est le Dieu de "l'Amen". Dieu réaffirme le fait que,
malgré tout, Il n'a pas changé, Il n'a pas abandonné, Il n'est pas dans le
désespoir. Il est le Dieu dont les décisions et les déterminations sont
absolues et finales, et rien ne peut altérer ces décisions ; Il reste le
Dieu de "l'Amen". Il réaffirme donc, dans ce titre, le fait que,
malgré tout ce qui est arrivé, un reste reviendra. Il y aura encore ce qui
"plongera de nouvelles racines dans le sol et produira ses fruits au
soleil" (Esaïe 37, 3I). Dieu ne peut pas, définitivement, être déçu dans
Son dessein ; Il est le Dieu de "l'Amen" .
Confiance dans le
Dieu de d'espérance.
Nous avons donc ici
cette réaffirmation puissante, ou cette déclaration qui, pour ainsi dire,
jaillit du sein des cendres. Oui, il y a des cendres, et de la désolation, et
des pleurs, et un esprit d'inquiétude, et toutes ces choses, et cependant, du
sein de tout cela, se lève un Dieu qui n'a pas changé, et qui ne peut changer.
Et c'est ainsi que nous arrivons à ces mots : "Celui qui voudra être
béni dans le pays voudra l’être par le Dieu de "l'Amen". - Qu'est-ce
que cela signifie ? Cela semble si étrange, n'est-ce pas ? Cela
paraît un peu embarrassant ; mais quel en est le sens ? Eh bien, je
pense que cela signifie tout simplement que la base de notre espérance, de
notre bénédiction, de notre espérance, et de notre joie nouvelle, c'est que
Dieu est, pour toujours, le Même. Nous pouvons compter sur Lui. Il n'y avait
jamais eu de menace si terrible pour Son dessein ; il n'y avait jamais eu
de désolation si apparente dans le royaume de l'élection de Dieu. Et cependant,
et cependant, Dieu n'a pas accepté cette situation comme une fin ; Il n'a
pas accepté tout cela comme la défaite de ce qu'Il avait résolu d'accomplir de
Sa main. Il reste toujours ferme, fidèle, puissant ; Il est à jamais le
Dieu de "l'Amen".
Quelle bénédiction si
nous pouvons nous saisir de cela. Nous ne voudrons certainement pas être bénis
pour une chose ou l'autre, ou encore une autre, c'est-à-dire nous ne nous
glorifions pas à cause des choses. Il nous arrivera très souvent de faire une
expérience comme celle-ci : il n'y aura rien, dans l'apparence ou l'état
des choses, en raison de quoi nous puissions être bénis, mais nous pouvons
toujours être bénis dans le Dieu de "l'Amen".
Ensuite, le passage
continue : "et celui qui jurera dans le pays jurera par le Dieu de
l'Amen". Que signifient ces paroles ? Eh bien, le serment était
toujours lié à l'alliance, n'est-ce pas ? Et tandis que cela nous
ouvrirait un champ beaucoup trop vaste pour cette brève considération, le point
est simplement celui-ci : nous pouvons nous confier à ce Dieu, nous
pouvons dépendre de Lui, qui est le Dieu qui garde Son alliance, et nous
pouvons prêter serment par Lui. Il n'y a rien, dans le monde tout entier, par
quoi nous puissions prêter serment, ni aucune personne ; tout homme et
toute chose peuvent nous lâcher, - mais nous pouvons prêter serment par Lui, le
Dieu "Amen", Il ne nous abandonnera jamais.
Le Seigneur
demande avec insistance la réalité.
Prenons maintenant le
passage du livre de l'Apocalypse, et remarquons quel est son contexte. Christ,
l'Amen, parle à l'église de Laodicée. Laodicée - oui, ce mot même, ce nom, est
le synonyme de ce qui est indéfini, indistinct, faible et mélangé !
"Tu n'es ni froid ni bouillant" (Apocalypse 3, 5) ; "il n'y
a rien de distinct, ni de défini en toi. Tu n'es ni ceci ni cela". Et il y
a beaucoup d'autres choses qui nous sont dites au sujet de Laodicée et qui,
toutes, représentent une situation indigne de confiance et absolument incapable
de satisfaire ; en un mot, une situation fausse. "Tu dis : Je
suis riche, je me suis enrichi" (3, 17), et tu ne sais pas que cela est
entièrement faux, que "que tu es... pauvre" - tu es... pauvre !
Tu penses être capable de voir, et tu ne sais pas que tu es aveugle. Tu
dis : "Je suis vêtu ; j'ai des habits ; j'ai tout ce dont
j'ai besoin" ; et tu ne sais pas que tu es nu devant Dieu. Quelle
image de fausseté. Et là où il y a fausseté, la catastrophe viendra
certainement, tôt ou tard ; un mensonge sera toujours découvert. C'est une
position très dangereuse…
"Voici ce que
dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable" (3, 14) - oui, le contexte
lui-même interprète et explique le titre. Le Seigneur appelle ici Laodicée à
revenir à ce qui est représenté par Son propre Nom et Sa nature. Il n'y a rien
de mélangé, ni de confus, ni de contradictoire en Lui. Il n'y a point de
fausseté en Lui, rien de tout cela en Lui ; l'appel qu'Il adresse à la fin
a en vue un rétablissement. C'est la dernière phase. A la fin, Il appelle Son
Eglise à revenir à une distinction complète, afin qu'il ne reste aucun doute au
sujet de notre position, et du but que nous poursuivons.
C'est une grande
chose, en ces jours, que de rencontrer des personnes qui savent exactement ce
qu'elles veulent, qui n'ont pas une attitude double ; elles sont
établies ; elles sont fixées ; il n'y a point de variation en elles.
C'est une grande chose, en notre temps, que de rencontrer des personnes comme
celles-là. Et le Seigneur dit : "Ce sera une grande chose, si
l'Eglise peut être claire comme cela, à la fin, s'il peut y avoir un tel
témoignage". C'est là sûrement la signification du "vainqueur"
en ce qui concerne Laodicée. "Etre vainqueur" signifie que toute
incertitude, tout ce qui est indéfini, tout ce qui est faiblesse, hésitation,
duplicité, et tout ce qui porte ce caractère, a été éliminé.
Les vainqueurs sont
ceux qui savent où ils sont, où ils vont, ce qu'ils veulent, ceux qui ont la
note positive en eux, l'Amen, la note de Certitude. Et c'est le dernier mot que
l’Esprit adresse à l’Eglise dans cette dispensation. "Que celui qui a des
oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Eglises" (Apocalypse 3, 22). Le
dernier mot de l'Esprit à l’Eglise dans cette dispensation - si nous devons
accepter l'interprétation dispensationnelle de ces messages adressés aux sept
églises - un mot que demandent apparemment les conditions elles-mêmes, c'est
celui-ci : "Laissons toute confusion dans notre témoignage, toute
incertitude dans notre note, toute indécision dans notre marche, et ayons de la
certitude, de la réalité, de la confiance et de l'assurance ; n'ayons
aucune hésitation, mais tendons sans cesse vers le but". C'est le mot de
l'Esprit.
Les Grands
"Amens" de Christ.
Remarquons maintenant
que ce titre n'est pas seulement donné à Dieu dans l'Ancien Testament, mais
qu'il est aussi l'un des titres du Seigneur Jésus dans le Nouveau Testament.
C'est Jésus qui dit : "Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et
véritable", l'Amen, le JE SUIS. Maintenant, je suis tout à fait certain
que nous sommes parfaitement familiers avec ce fait que, dans les douze
occasions ou plus, où Jésus répète par deux fois, "En vérité, en
vérité...", - selon nos versions et nos traductions, le mot grec de
l'original est "Amen", de sorte que nous pouvons lire :
"Amen, Amen, je vous le dis..." Et en réalisant ce qu'implique cette
affirmation puissante, nous pouvons mieux comprendre les paroles qui la
suivent. Si Jésus dit : "En vérité, en vérité" - "Amen,
Amen... Je suis la Porte...", il y a une puissance énorme sur ces
mots : en d'autres termes, l'on ne peut entrer par aucun autre chemin
(Jean 10, 7). Nous ne nous étendrons cependant pas sur cela, mais nous voyons
le point. Jésus affirme ici qu'Il est "l'Amen". C'est ainsi qu'Il
parle de Lui-même, dans toutes ces douze occasions différentes, ou plus. Il est
"l'Amen».
Le Double Aspect
de l'Oeuvre de l'Amen.
Mais alors, Son œuvre
a été aussi l'œuvre de "l'Amen». Il y eut à cette œuvre deux aspects,
c'est-à-dire, la mort et la résurrection. Afin de voir quelque chose de la
signification de Sa mort, retournons au livre du Deutéronome, au chapitre 27,
où nous trouvons toutes les malédictions qui devaient tomber sur le peuple,
s'il était désobéissant à l'Eternel, et s'il se détournait de Lui pour servir
d'autres dieux ; nous avons là toute une liste des malédictions qui
viendraient. Nous remarquons deux choses : les Lévites, qui représentaient
le peuple, devaient affirmer les malédictions, et pour finir, "tout le
peuple dira : Amen !" (Deutéronome 27, 26). Par là, tout le
peuple confirmait la malédiction : "Oui, si nous nous détournons, si
nous sommes infidèles, si nous rejetons l'Eternel, qu'il en soit ainsi, que
toutes les malédictions descendent sur nous". Le peuple devait l'accepter.
Mes chers amis, dans
la mort du Seigneur Jésus, il y a cet Amen immense, qui embrasse toutes les
malédictions. Pensée terrible ! II a été fait malédiction pour nous.
"Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, ayant été fait
malédiction pour nous - car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu
au bois" (Galates 3, 13). Alors qu'il était suspendu là, considérant le
péché de l'homme, son éloignement de Dieu, son infidélité et son incrédulité,
et tout ce que l'homme avait fait contre Dieu, Il entra dans toutes les conséquences
de la malédiction. Il prit sur Lui-même la malédiction méritée pour tout cela,
et dit : "Amen, c'est juste, ce doit être". Il donna Son Amen à
la malédiction ! Mais c'était final ! II engloutit dans Sa mort toute
la malédiction, par une affirmation puissante : "Dieu est juste, Son
jugement est juste, Amen !".
Mais dans la
résurrection, nous avons l'autre aspect de Son œuvre, à Lui,
"l'Amen". C'est comme le Ressuscité qu'il apparaît à Laodicée ;
nous le remarquons : "Je suis... le Vivant... Je suis vivant aux
siècles des siècles..." (Apocalypse 1, 17-18). Nous sommes ici du côté de
la résurrection, et dans la résurrection, nous dit Paul, nous sommes justifiés
par Sa vie. "Jésus, notre Seigneur, qui a été livré pour nos offenses et
ressuscité pour notre justification" (Romains 4, 24-25). Nous avons ici
l'Amen de la justification ! Sa mort, comme nous l'avons vu, est
l’affirmation que Dieu est juste.
Pour nous, nous ne
connaîtrons jamais la victoire avant d'être arrivés à cette place où, nous
aussi, nous dirons : "Dans ce jugement du Seigneur Jésus sur la
Croix, Dieu était juste en ce qui me concerne. J'étais là, et Dieu était
juste !" Avant d'en arriver là et de dire : "Oui, Amen,
Dieu était juste en me jugeant comme un pécheur, comme un infidèle ; Dieu
était juste", nous ne pourrons jamais parvenir de l'autre côté. Lorsque
nous en sommes là, à ce terrible Amen du jugement et de la mort, par la foi,
nous arrivons à la place où nous pouvons nous trouver, de l'autre côté de
l'Amen, l'Amen de la justification par Sa Vie.
Oui, l'affirmation
puissante de Dieu déclare que nous sommes justifiés par Sa vie ! Nous
sommes justifiés par la foi en Jésus-Christ.
Nous voyons donc que
Dieu s'est engagé Lui-même. Dieu a mis Son sceau et Son cachet sur cet
Amen ! Tout aussi réellement que nous avons été condamnés au jugement dans
Sa mort, tout aussi réellement nous sommes ressuscités à la justification dans
Sa vie, car "Jésus, notre Seigneur, a été livré pour nos offenses et
ressuscité pour notre justification" (Romains 4, 25). Amen ! Dieu
dit : Amen ! II s'est engagé en cela.
La foi dans le
Dieu de l'Amen.
Il nous faut
maintenant terminer. Cette parole n'est-elle pas nécessaire en notre
jour ? Y eut-il jamais un temps de plus grande incertitude, peut-être
parmi beaucoup d'enfants de Dieu eux-- mêmes ? De tous les côtés, il y a
des questions et des doutes, des vies qui faiblissent, se relâchent et se
désintègrent, dans le découragement et le désappointement, ces choses qui
affaiblissent le cœur et brisent les cordes de la confiance et de la foi. I1 y
a aujourd'hui tant de raisons qui font mettre un point d'interrogation sur
toutes choses. N'est-ce pas ce que vous ressentez ? Nous sommes tous
tentés de poser de grandes questions au sujet des plus grandes choses, n'est-ce
pas ? Lorsque nous regardons au-dedans et au-dehors, nos cœurs pourraient
bien souvent perdre leur confiante assurance.
En un jour comme
celui-ci, il nous est bon de revenir à Lui, et de L’entendre nous dire, au
sujet du but auquel I1 s'est donné : "Je suis l'Amen". Il s'est
donné à Son dessein éternel, comme "1'Amen", Celui qui ne change pas,
Celui qui est inaltérable, en Lequel il n'y a point de variation. I1 poursuit
Son but à travers tout. Amen est écrit sur Son dessein. Dieu est le Dieu Amen.
Christ est sur le Trône, et Son Nom est "l'Amen" ; Son
gouvernement est le gouvernement de "l'Amen" : Il a, en toutes
choses, le dernier mot.
Il nous faut voir
aussi que c'est le Saint-Esprit qui dit les paroles de "l'Amen" -
"Voici ce que dit l'Amen... Que celui qui a des oreilles entende ce que
dit L'ESPRIT..." L'Esprit est la puissance qui accomplit le dessein et qui
exerce le gouvernement. Les Trois Personnes de la Trinité sont un seul Dieu.
Elles portent ce Nom, ce titre, cette description, "l'Amen", "l'Amen"
. Que le Seigneur fortifie notre foi en Lui.
Source :
http://www.latrompette.net/