Les
créatures des profondeurs indiquent des changements terrestres majeurs.
Lorsqu'on
prête attention à ce qui arrive aux animaux de la planète, ils peuvent nous en
dire beaucoup sur l'environnement et prédire des changements que nous, simples
humains, ne remarquerions d'ordinaire pas aussi rapidement (voire pas du tout).
Comme les canaris qu'on utilisait autrefois pour détecter des gaz toxiques dans
les mines de charbon, les animaux sont sensibles à des choses dont les humains
sont souvent inconscients (avant qu'il ne soit trop tard), et remarquer ces «
choses » peut parfois faire la différence entre la vie et la mort pour un grand
nombre de personnes. Hormis d'être dotés de sens que ne possèdent pas les êtres
humains, les animaux occupent aussi des endroits où nous ne sommes pas, comme
les océans et les cieux, des endroits qui bordent notre espace vital et
finalement l'impactent. Donc, ce qui leur arrive nous arrive souvent à nous un
petit peu plus tard.
Récemment,
j'ai remarqué ce qui paraît être une augmentation significative de
comportements bizarres chez les animaux - en particulier, très récemment. Ici,
je n'aborderai que la vie marine bien que des bizarreries similaires frappent
d'autres animaux et insectes dans le monde. Commençons par quelques infos du
début du mois de mai.
Des poissons rares et inconnus
surgissent de partout.
Que
se passe-t-il ?
Le
1er mai, on a annoncé la découverte d'un
esturgeon noir rare de plus de 2 mètres et de 45 kilos le long du fleuve
Connecticut.
L'esturgeon
noir trouvé sur les rives du Connecticut en mai 2014
Un requin-lutin
Le
3 mai, des pêcheurs de crevettes ont attrapé un requin-lutin au large de Key
West, en Floride. On pensait que le requin-lutin était une espèce ne nageant
que dans les eaux profondes du Japon et du Golfe du Mexique. Ces étranges
créatures sont tellement rarement aperçues que ce n'était que la seconde
observation connue dans la région. La toute première observation avait eu lieu
10 ans plus tôt.
Encore
plus étrange (peut-être la plus étrange de toute) fut l'annonce du 4 mai de la
découverte d'un genre de poisson inconnu aux dents énormes sur une plage
sud-africaine. On spécule que la créature pourrait être une sorte d'espèce
mutante. Quoi que ce soit, c'est assurément bizarre.
Le
même jour, un pêcheur a attrapé ce qu'on pense être un rare « Rhinochimaera » des profondeurs près de
Pamban, en Inde.
Le
8 mai, un requin grande-gueule femelle des grands fonds extrêmement rare a été
attrapé au large de la côte de Shizuoka au Japon. On pense que c'est seulement
la 58e observation officiellement connue de l'animal et seulement la 13eau
large du Japon.
Lionceaux de mer
Peut-être
en lien, le 13 mai, de l'autre côté du Pacifique, 650 lionceaux de mer
décharnés et déshydratés se sont échoués sur la côte californienne en deux
mois, poursuivant une tendance de l'année précédente. L'article déclare :
Un
nouveau rapport de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA)
élimine pratiquement la maladie comme cause au problème qui a vu 1 600 autres
bébés échouer sur les plages entre janvier et avril de l'année dernière. Bien
que ne désignant pas un seul coupable, le rapport pointe vraiment du doigt le
déclin des sardines dans la région, principale source de nourriture des lions
de mer.
L'article
poursuit en expliquant qu'une étude a trouvé que les populations de sardines
s'étaient effondrées de 74 % depuis 2007. Donc, si c'est la diminution des
sardines qui affame les lions de mer, qu'arrive-t-il aux sardines ?
Le
16 mai, un rare cavalos des profondeurs (aux dents très acérées) a été
découvert échoué sur le rivage en Caroline du Nord.
Cavalos des profondeurs rare
Le
même jour, une monstrueuse méduse a visité les plages du sud-ouest du Pays de
Galles, très au nord de son habitat d'origine dans les eaux plus chaudes de la
Méditerranée. Méduse monstrueuse
Le
17 mai, un poisson très inhabituel et non identifié a été attrapé près d'une
jetée à Pensacola, en Floride. L'article déclare avec assurance que « les
chercheurs confirmeront l'identité de l'espèce », bien qu'il soit possible
qu'il leur faille chercher dans les registres paléontologiques puisque les
témoins oculaires ont dit qu'il avait l'air « préhistorique ».
Poisson d'allure préhistorique non
encore identifié
Enfin,
le 18 mai, un dauphin d'Électre qui vit dans les grands fonds a été secouruprès
de Brunswick Heads, en Australie. Il a été relâché dans les eaux profondes mais
est revenu vers le littoral peu de temps après pour s'échouer à nouveau sur la
plage.
Dauphin d'Électre
En
plus de ces observations de poissons rares des profondeurs, il y a eu aussi
plusieurs échouages de cétacés :
6
mai 2014 : Une baleine morte dérive dans le port de Felixstowe, au Royaume-Uni
7
mai 2014 : Le cadavre d'un grand cachalot pourrit sur la rive de
Cap-Saint-George, en Terre-Neuve
13
mai 2014 : Découverte d'un cétacé flottant dans le fleuve Delaware Ã
Philadelphie
15
mai 2014 : Une baleine à bosse s'échoue à Öffersey, en Islande
15
mai 2014 : Une carcasse de baleine franche australe de 20 tonnes s'échoue près
du Cap, en Afrique du Sud
16
mai 2014 : Une baleine à bosse morte trouvée à Pareora Beach en
Nouvelle-Zélande
Vous
pourriez dire que les échouages de cétacés ne sont pas si inhabituels et,
admettons, certains ont pu être pris dans des lignes de pêche ou heurtés par un
bateau, comme le suggèrent certains articles, mais lorsqu'on considère le
nombre toujours croissant de cas comme ceux de ces dernières années et les
conditions qui les entourent, ainsi que tous les rapports d'autres hécatombes
marines et de comportements étranges, il ne semble pas plausible que les
accidents de pêche puissent expliquer tous ces cas. Les morts de cause
naturelle, l'accident nucléaire de Fukushima, la marée noire de BP, pourraient
aussi expliquer certains incidents, quoique à nouveau, probablement pas tous.
Lorsqu'on rassemble toutes les données, on dirait que quelque chose de très
étrange se passe là -bas dans les profondeurs.
Régalec
Lorsqu'on
lit tout ça, on pense aux observations autrefois « rares » de régalecs (alias «
poisson séisme ») abyssaux. On trouve d'ordinaire les régalecs à des
profondeurs comprises entre 200 et 1 000 mètres et lorsqu'on en voit près des
côtes, on pense qu'ils sont les précurseurs d'un tremblement de terre. Les
Japonais ont tendance à devenir très effrayés lorsqu'ils voient ces poissons
dans leurs eaux ou sur leurs plages, et à juste titre. L'année qui précéda le
tremblement de terre dévastateur de Tohuku et le tsunami en 2011, entre 10 et
20 créatures des profondeurs se sont échouées sur les côtes japonaises. Aussi,
lorsque deux régalecs se sont échoués sur une plage du sud de la Californie en
octobre 13, les gens du coin étaient naturellement un peu inquiets. Les deux
spécimens n'auraient présenté aucun signe visible de blessure ou de maladie ce
qui a amené les experts à faire l'hypothèse qu'ils aient pu être poussés vers
le rivage par une « perturbation sous-marine ».
Rachel
Grant, maître de conférences en biologie de l'animal à l'université Anglia
Ruskin de Cambridge, a déclaré qu'il pourrait y avoir quelque vérité dans la
légende japonaise et elle a entamé une étude pour mettre l'idée à l'épreuve. «
C'est théoriquement possible car quand un séisme se produit, il peut y avoir
une accumulation de pression dans les roches ce qui peut donner lieu à des
charges électrostatiques amenant des ions électriquement chargés à être libérés
dans l'eau », explique le Dr Grant. « Cela peut aboutir à la formation de peroxyde
d'hydrogène qui est un composé toxique. Les ions chargés peuvent aussi oxyder
la matière organique ce qui pourrait soit tuer le poisson, soit le forcer Ã
quitter les fonds océaniques pour rejoindre la surface. »
Une
autre possibilité est qu'avant un séisme, il y a une libération de grandes
quantités de monoxyde de carbone, ce qui pourrait aussi affecter les régalecs
et autres créatures des profondeurs, a déclaré le Dr Grant. « Les processus
géophysiques à l'origine de ce type d'observations peuvent se produire avant un
séisme. J'observerai attentivement la Californie au cours des quelques semaines
à venir », a-t-elle ajouté.
DéjÃ
en 2014, des régalecs ont été observés sur les côtes du Mexique et du Japon.
Janvier
2014, Japon : Quelque chose va-t-il de travers dans les profondeurs océaniques
? Un régalec rare s'échoue sur une plage au Japon
Avril
2014, Mexique : Une séquence rare montre deux régalecs en vie nager près des
côtes
Bien
que la connexion entre régalecs et séismes soit communément qualifiée d'«
ancienne tradition japonaise », il n'y a rien de mythique dans le fait que le
mois d'avril 2014 a connu une augmentation record du nombre de séismes dans le
monde :
Selon
le Centre d'alerte des tsunamis dans le Pacifique (PTWC), qui diffuse des
alertes au tsunami, 13 tremblements de terre importants ont eu lieu en avril.
Cinq étaient supérieurs à 7,8, ce qui a suscité des alertes au tsunami.
Et
:
Il
y a eu des secousses isolées plus fortes que la normale partout dans le monde -
au Nicaragua, au Mexique, au Canada et même une inhabituelle dans l'Atlantique
sud. Le Centre n'a pas indiqué ce qui pouvait être à l'origine de cet énorme
changement dans l'activité sismique.
L'article
poursuit en disant que la « fracturation » pourrait être responsable d'une part
de l'augmentation de l'activité sismique. Alors à nouveau, les scientifiques
tendent à vouloir rendre l'activité humaine responsable de tout car cela
renforce l'illusion que nous (ou les « autorités ») avons le contrôle des
événements sur notre planète, même ceux qui ont un impact négatif. La dernière
chose qu'« ils » veulent admettre est qu'il existe des forces à l'œuvre dont
ils ne savent presque rien et peuvent encore moins contrôler, car cela a
tendance à les faire paraître pas aussi légitimes que ça après tout. Et si les
autorités sont impuissantes, vers qui se tourne le peuple pour être protégé ?
Séismes et...
Si
les séismes et leurs dégagements gazeux naturels connexes, qui peuvent créer
des zones mortes et forcer les migrations de la vie marine, pourraient au moins
en partie être responsables de l'éloignement de ces animaux de leur habitat
naturel, il semble logique que les volcans sous-marins jouent aussi un rôle
significatif. En mai 2014, le plancher océanique sous les îles Mariannes dans
l'océan Pacifique a connu un haut niveau record d'activité sismique et
d'éruptions :
Cartes
bathymétriques montrant les îles et les monts sous-marins qui constituent l'arc
insulaire volcanique des Mariannes (à gauche) et la région du mont sous-marin
Ahyi dans la partie nord de l'arc. Susan Merle du Programme Interaction
Terre-Océan de la NOAA a créé ces cartes.
Les
signaux sismiques annoncent presque à coup sûr une éruption. En fait, des
explosions sous-marines ont été entendues par des plongeurs qui font des
recherches sur le récif corallien dans la région. Les plongeurs ont même
ressenti les ondes de choc des explosions, et l'une des plus puissantes a fait
résonner la coque du navire-base de la NOAA, le Hi'ialakai, ce qui a fait
croire à l'équipage que quelque chose était arrivé au bateau.Le personnel Ã
bord a également rapporté une grande nappe de souffre sur la côte sud-est de
Farallon de Pajaros.
Une
autre éruption sous-marine, également en mai et également dans le Pacifique, a
donné naissance à une nouvelle île : un bébé île volcanique « mange » sa
voisine plus âgée tandis que la Ceinture de Feu du Pacifique continue ses
éruptions à un rythme sans précédent.
Le
volcan Kick'em Jenny dans les Caraïbes a aussi menacé de se réveiller,
constituant un risque de tsunami pour la côte des États-Unis.
Si
la glace explosive est votre truc, il y a le volcan actif sous l'Antarctique
qui pourrait entrer en éruption à tout moment.
En
parlant de l'Antarctique, peut-être seriez-vous intéressés de lire le récent
SOTT Focus d'Aeneas Georg sur la soi-disant « fonte de l'Antarctique » :
L'Antarctique fond-il ou non ? Le réchauffement planétaire anthropogénique
n'arrive pas à expliquer ce paradoxe climatique
La connexion avec l'ère glaciaire
D'autres
facteurs affectant indubitablement le comportement des créatures marines sont
la température de l'eau et les variations des courants. Certaines des couches
les plus profondes de l'océan semblent se réchauffer (probablement à cause du
volcanisme sous-marin, au moins en partie) tandis que les couches supérieures
semblent se refroidir. De même, la force des courants de l'océan Atlantique a
considérablement diminué ces dix dernières années, ce qui a entraîné le
refroidissement de l'Atlantique subtropical.
©
Nature magazine
La
force des courants de l'océan Atlantique a diminué ces dernières années. [État
des lieux des courants : la surveillance du réseau RAPID Climate Change a
révélé que la force de la circulation méridienne de renversement dans l'océan
Atlantique (AMOC), qui transporte les eaux de surface chaudes vers les pôles
(orange) et les eaux profondes froides vers les tropiques (bleu), décline.
Réseau de surveillance RAPID existant - Réseau subpolaire dont le déploiement
est prévu pour l'été 2014]
Les
scientifiques pensent que l'AMOC (circulation méridienne de renversement de
l'océan Atlantique) pourrait subir des changements brusques qui ont
probablement joué un rôle dans d'anciens événements climatiques, tels que les
basculements de température soudains il y a 18 000 à 80 000 ans lors de la
dernière période glaciaire. Le principal moteur de l'AMOC - la descente des
eaux froides et denses au fond de l'Atlantique Nord - a été identifié comme «
élément de bascule » potentiel dans le système climatique de la Terre, dans
lequel de petites perturbations climatiques pourraient amener le système
au-delà d'un seuil critique, avec des conséquences potentiellement importantes
pour les humains et les écosystèmes.
Ceci
est particulièrement intéressant (et inquiétant) parce que l'activité solaire
est également en déclin et une faible activité solaire est associée aux ères
glaciaires.
Le
soleil connaît un cycle régulier de 11 ans avec un maximum lorsque les taches
solaires sont à leur summum, suivi d'un minimum lorsque les tâches solaires
sont moins nombreuses, plus petites et moins énergétiques. Nous sommes censés
nous trouver dans un pic d'activité, au maximum solaire.
La
situation actuelle est hors norme et le nombre des tâches solaires semble en
déclin constant, selon le Dr Craig DeForest de l'American Astronomical Society.
« La période d'activité maximale actuelle du soleil est très tardive et très
faible, ce qui amène à l'hypothèse que le cycle même des tâches solaires
pourrait être en train de s'éteindre ou d'entrer en phase dormante. » Le soleil
présente un « comportement bizarre », a déclaré le Dr DeForest.
Selon
un autre article sur le même sujet :
Selon
le Pr Lockwood, la fin du 20e siècle a été une période où le soleil a été
inhabituellement actif et un soi-disant « grand maximum » a eu lieu aux
alentours de 1985. Depuis, le soleil est devenu plus calme.
En
étudiant certains isotopes dans les carottes de glace, il a pu déterminer
l'activité solaire au cours de milliers d'années. D'après l'analyse des données,
le Pr Lockwood croit que l'activité solaire chute actuellement plus rapidement
que jamais lors des 10 000 dernières années. Durant ces 10 000 dernières
années, il a trouvé 24 occurrences différentes où le soleil présentait
exactement le même état qu'à l'heure actuelle - et le déclin actuel est plus
rapide que pour n'importe laquelle de ces 24 occurrences. Sur la base de ses
résultats, il a revu à la hausse l'estimation du risque d'un nouveau minimum de
Maunder, qui était de moins de 10 % il y a seulement quelques années, à 25-30
%.
Étrangement,
l'article poursuit en précisant :
Il
convient de souligner que la plupart des scientifiques croient que le
réchauffement planétaire à long terme n'a pas disparu. Tout refroidissement
planétaire provoqué par ce phénomène naturel sera en fin de compte temporaire,
et si les projections sont correctes, le réchauffement à long terme causé par
le dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre finira par submerger ce
refroidissement dû à l'activité solaire.
Refroidissement
temporaire ? Réchauffement planétaire à la rescousse ? Vraiment ?! Comment
diable peuvent-ils dire ça alors qu'ils viennent juste d'admettre que le déclin
actuel de l'activité solaire est plus rapide que ce que l'on a observé au cours
des 10 000 dernières années et qu'ils ne savent pas vraiment ce qui se passe ?
En outre, les prémisses de base du réchauffement planétaire dû à l'homme ne
sont « même pas fausses ».
Le
fait est qu'il n'y a eu aucun signe de réchauffement planétaire pendant plus de
17 ans et que le soleil est devenu plus calme. N'attendez pas des pontes des
grands médias qu'ils l'admettent de sitôt, peu importe les faits. Leur boulot
c'est de répéter comme des perroquets la ligne officielle du gouvernement que «
le réchauffement planétaire est la cause de tous les malheurs qui arrivent ou
pourraient arriver à notre climat/biosphère et que les humains en sont
responsables ». Comme je l'ai fait remarquer, ils répugnent à admettre qu'ils
ne peuvent rien faire pour protéger les gens des effets d'un changement Ã
grande échelle de notre climat, et en effet, du « système » planétaire entier
(Ã tous niveaux, semble-t-il).
Trajectoires cycloniques
extratropicales et tropicales dans l'Atlantique et le Pacifique
Un
autre indice qu'il faut prendre en compte dans ce mystère, c'est l'augmentation
importante des événements météorologiques étranges et des tempêtes planétaires.
Un article récent déclare que le territoire des tempêtes tropicales s'étend et
qu'elles atteignent une force maximale près des pôles. De plus, les alizés
s'accélèrent et les vents de l'océan Austral soufflent au plus fort en 1 000
ans, piégeant l'air froid au-dessus de l'Antarctique tandis qu'ils se
renforcent.
Ce
qui me sidère, c'est le fait que les climatologues savent bien que durant le
dernier Petit Âge Glaciaire, les tempêtes ont augmenté de 85 % et l'incidence
des tempêtes violentes de 400 %. On observe la même tendance à l'heure actuelle
ainsi qu'un chaos général et des conditions météorologiques extrêmes dans
toutes les zones de notre climat et de notre biosphère. Et pourtant, plutôt que
de prêter attention au large panel de comportements étranges des animaux et de
leurs relations avec le chaos environnemental, le seul animal dont les
scientifiques semblent tirer une leçon est l'autruche et sa propension
proverbiale à se fourrer la tête dans le sable.
Toujours
est-il qu'il existe pléthore de preuves solides qui suggèrent que loin d'un «
réchauffement planétaire », nous sommes déjà en train d'entrer dans une
nouvelle ère glaciaire (qui pourrait finir par s'avérer bien plus importante
que la dernière), accompagnée d'activités cataclysmiques croissantes tels que
d'énormes tempêtes destructrices, des séismes, du volcanisme, entre autres
événements « anormaux » sur toute la planète. Il n'est donc pas étonnant que
les animaux se comportent étrangement. Peut-être essaient-ils de nous dire
quelque chose d'important. La question est : quelqu'un écoute-t-il ?
Sott
source
:http://www.wikistrike.com/2014/10/les-creatures-des-profondeurs-indiquent-des-changements-terrestres-majeurs.html
Source :
www.alliances-delivrances.com/