Lorsqu’il y a apparence de guérison, et qu’il semble que le mauvais esprit s’en est allé, il ne faut pas conclure à une délivrance radicale. Il n’y a peut-être que suspension momentanée des manifestations de sa présence. Ou bien, certains symptômes cessent ; mais d’autres se manifestent plus ou moins déguisés, et le regard non exercé ne pourra pas les discerner. Pour que la guérison soit parfaite, il faut que la racine du mal soit arrachée et le terrain d’occupation supprimé.