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Le Sang de JĂ©sus
de REINHARD BONNKE
Il y a une puissance dans le Sang de JĂ©sus- Christ qui fait des miracles. L’apĂŽtre Jean dit : « Le sang de JĂ©sus son Fils nous purifie de tout pĂ©chĂ© » (1 Jean 1:7). « JĂ©sus a tout payĂ© ». C’est la gloire incomparable de la Bonne Nouvelle.







Écrit par Daniel Kolenda et Reinhard Bonnke

 

Les faits

 

Le sang a une durĂ©e de vie trĂšs courte. En moyenne, le volume de sang d’un corps humain adulte est d’environ 5 Ă  6 litres. Le plasma est le composant liquide du sang et constitue plus de la moitiĂ© du volume total du sang. Le reste est essentiellement constituĂ© de globules rouges qui meurent aprĂšs 120 jours et qui se renouvellent donc constamment.

 

En comparaison, l’or est l’un des matĂ©riaux les plus durables sur terre. Il n’est mĂȘme pas affectĂ© par l’eau salĂ©e – mĂȘme s’il y reste pendant des siĂšcles.

 

Ces faits rendent un commentaire de Pierre bien Ă©trange : « Ce n’est pas par des choses pĂ©rissables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez Ă©tĂ© rachetĂ©s 
 mais par le sang prĂ©cieux de Christ, comme d’un agneau sans dĂ©faut et sans tache » (1 Pierre 1:18-19).

 

D’un point de vue naturel, l’or est impĂ©rissable contrairement au sang. Pourtant, Pierre savait de quoi il parlait et il nous confronte avec une vĂ©ritĂ© puissante. Le monde met l’argent sur un piĂ©destal. Mais Pierre insiste sur le fait que les richesses du monde n’ont en elles aucune valeur spirituelle. Il n’existe aucun versement en espĂšces pour acheter l’Esprit. Dans l’économie de Dieu, le Sang de JĂ©sus est la seule monnaie ayant une valeur durable. Lorsque les cieux et la terre disparaĂźtront, la puissance rĂ©demptrice du Sang de Christ subsistera pour l’éternitĂ©.

Lorsque nous parlons de choses prĂ©cieuses, nous pensons Ă  l’argent ou Ă  l’or mais Pierre parle du « sang prĂ©cieux de Christ ». Ce dernier accomplit ce que l’argent ne peut pas faire : purifier les pĂ©cheurs. Car personne ne peut prĂ©tendre ĂȘtre sans pĂ©chĂ©. En fait, le plus grand des pĂ©chĂ©s est de dire que nous n’avons pas de pĂ©chĂ©. C’est absolument se tromper soi-mĂȘme. « Si nous disons que nous n’avons pas de pĂ©chĂ©, nous nous sĂ©duisons nous-mĂȘmes, et la vĂ©ritĂ© n’est point en nous » (1 Jean 1:8).


 

Un sang rédempteur

 

L’or est prĂ©cieux car il est rare. Mais, il y a une puissance dans le Sang de JĂ©sus Christ qui fait des miracles. L’apĂŽtre Jean dit : « Le sang de JĂ©sus son Fils nous purifie de tout pĂ©chĂ© » (1 Jean 1:7). Matthieu rapporte les paroles du Christ : « Il prit ensuite une coupe ; et, aprĂšs avoir rendu grĂąces, il la leur donna, en disant : ‘Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est rĂ©pandu pour plusieurs, pour la rĂ©mission des pĂ©chĂ©s’ » (Matthieu 26:27-28). L’Apocalypse dĂ©crit comment une multitude adore JĂ©sus comme son Sauveur en disant : « Tu as Ă©tĂ© immolĂ©, et tu as rachetĂ© pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; tu as fait d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils rĂ©gneront sur la terre » (Apocalypse 5:9-10).

 

Il y a bien longtemps, la vie prĂ©cieuse du Christ tomba goutte aprĂšs goutte de Son cƓur. Cela marqua la colline de Golgotha et grava en lettres cramoisies l’histoire de l’amour qui surpasse tout autre amour. Aujourd’hui, des centaines de millions de personnes partout dans le monde – simples ou sages, vivant dans la jungle ou dans des immeubles de bĂ©tons, travailleurs d’usine ou intellectuels – acceptent ce message comme la vĂ©ritĂ© au-dessus de toutes les vĂ©ritĂ©s. Il rĂ©vĂšle la compassion du cƓur de Dieu et une sagesse qui surpasse toute ingĂ©niositĂ© humaine. De grands intellectuels se prosternĂšrent devant elle. Saul de Tarse, qui Ă©tait rempli de haine, dĂ©couvrit dans la croix la logique parfaite de Dieu. Il dit qu’elle Ă©tait scandale pour les Juifs, folie pour les Grecs, mais puissance de Dieu pour ceux qui croient (1 Corinthiens 1:23-24).

 


Le logo de l’amour

 

La mort de Christ fut Sa plus grande rĂ©alisation - et l’acte le plus grand de Dieu. La puissance de l’amour a anĂ©anti l’amour de la puissance. Il ne s’agissait pas d’une erreur, d’un avatar ou d’un accident. Christ ne fut pas une victime martyrisĂ©e mais un puissant vainqueur, notre champion et le hĂ©ros de Dieu. Le PĂšre au Ciel L’envoya pour chasser et dĂ©truire le diable et tout mal. Un plus grand David fit face Ă  un plus grand Goliath. Le Fils de Dieu fit tomber notre plus grand ennemi, le pĂ©chĂ© - et notre ultime ennemi, la mort.

 

Il transforma du sang rouge en une rĂ©demption royale. Les hommes prirent un bel arbre, le coupĂšrent pour en faire les poutres rigides de la croix. Ce fut leur logo de haine. Christ le prit, le tacha du Sang de Sa vie, et nous le redonna comme Son logo d’amour. Il investit une gloire dans cet arbre comme jamais personne auparavant. Son bois devint une porte d’espĂ©rance et nous rendit dignes de tout ce que nous Lui avons coĂ»tĂ©.

 

Le Sang de JĂ©sus proclame la vĂ©ritĂ© sur Dieu. Et cette vĂ©ritĂ© n’est pas une fleur dĂ©licate, cultivĂ©e dans un couvent comme une fleur de lis dans une serre. La mĂ©chancetĂ© a une odeur nausĂ©abonde aux narines de Dieu qui ne peut pas ĂȘtre masquĂ©e par une poĂ©sie parfumĂ©e. Elle doit ĂȘtre dĂ©truite Ă  la racine. Ainsi, Dieu ne pouvait pas traiter avec elle depuis une belle chaire confortable, mais seulement depuis le pilori romain oĂč il a Ă©tĂ© clouĂ©. Il a envahi le territoire du diable et l’a traquĂ© ; de plus, il lutta contre le pĂ©chĂ©, la mort et l’enfer. Jamais une telle bataille n’aurait Ă©tĂ© possible sans effusion de sang.


 

Le prix est payé

 

Toutes les grandes religions de ce monde nous montrent que l’ĂȘtre humain s’attend Ă  payer pour ses pĂ©chĂ©s. Certains font pĂ©nitence, alors que d’autres croient qu’ils devront souffrir lors d’une rĂ©incarnation future. Beaucoup s’attendent, au jour du jugement, Ă  la sentence d’un juge terrible qui prononcera leur destinĂ©e Ă©ternelle, tandis que d’autres s’attendent Ă  souffrir des angoisses de purification dans les flammes du purgatoire.

 

L’Evangile de Christ a un message diffĂ©rent ! Il dit : « JĂ©sus a tout payĂ© ». C’est la gloire incomparable de la Bonne Nouvelle – l’Evangile que Paul et Pierre ont prĂȘchĂ©. Ils amenĂšrent ce message dans un monde rempli de culpabilitĂ©. Paul dit : « Sachez donc, hommes frĂšres, que c’est par lui que le pardon des pĂ©chĂ©s vous est annoncĂ© » (Actes 13:38).

 

Si le Sang de JĂ©sus, le Fils de Dieu, purifie les croyants de tout pĂ©chĂ© – s’Il a dĂ©jĂ  souffert et payĂ© le prix pour notre dette, comme le dĂ©clare clairement l’Ecriture – alors pourquoi aurions-nous besoin de souffrir ou de payer pour cette dette Ă  nouveau ? Tout est accompli !

 

Lorsque les soldats plantĂšrent des clous Ă  coup de marteau dans la chair vivante du Christ, Son Sang gicla sur leurs mains. Pourtant, JĂ©sus continua de prier : « PĂšre, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23:34). S’ils avaient reçu Son pardon, alors ce mĂȘme sang qui tĂącha leurs mains, aurait lavĂ© Ă©galement leurs mains et leurs cƓurs. « Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon » (HĂ©breux 9:22).

 

Avant que le monde entende ce message, l’IsraĂ«l antique faisait des sacrifices d’animaux Ă  Dieu. Mais le sang de ces animaux n’était pas « prĂ©cieux ». Les sacrifices « couvraient » seulement le pĂ©chĂ© du peuple. Si vous avez une table avec une tĂąche horrible, vous la couvrez d’une trĂšs belle nappe pour que personne ne puisse la voir. Mais la tĂąche existe toujours et a besoin d’ĂȘtre enlevĂ©e. Le peuple qui faisait des sacrifices dans le Temple aspirait Ă  ce que ses pĂ©chĂ©s soient enlevĂ©s au lieu d’ĂȘtre simplement recouverts. VoilĂ  pourquoi Jean Baptiste, le dernier des grands prophĂštes de cette nation, annonça une bonne nouvelle. Il vit JĂ©sus, Le reconnut et s’écria : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ĂŽte le pĂ©chĂ© du monde » (Jean 1:29). Le Sang de JĂ©sus s’attaque Ă  ce qu’il y a « sous la nappe ». Il enlĂšve la tache – le pĂ©chĂ© si profondĂ©ment incrustĂ© – pour tout ĂȘtre humain de tout Ăąge et de toute langue.

 

Bien Ă  vous en Christ,

 

Reinhard Bonnke et Daniel Kolenda

 

Source : www.bonnke.net

 

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