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Maranatha 77 "JESUS REVIENT BIENTOT"
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Quelques bonnes raisons de tenir ferme
de DIVERS AUTEURS
« C’est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu’il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par divers épreuves, afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra » 1 Pierre 1 : 6-7.







Les Dokimos

 

« Marre de la vie chrétienne ! Marre des problèmes à répétition, des combats incessants et de l’oppression quasi permanente ! Cette fois-ci j’ai atteint le fond et l’idée de retourner dans le monde fait plus que m’effleurer, elle me bombarde continuellement l’esprit. De toute façon, même avec la meilleure volonté du monde, je me sens tout simplement incapable d’aller plus loin. Si seulement j’avais su à quel point ce serait difficile, j’aurais réfléchi à deux fois avant de donner ma vie à Jésus, ou tout du moins, j’aurais attendu encore un peu ».

 

Ces réflexions, nous sommes nombreux à les avoir eues. Dans les moments de détresse, beaucoup regrettent le temps où ils étaient des païens ignorants qui profitaient simplement de la vie, tout en se dirigeant paisiblement en enfer… Il est vrai que la vie chrétienne est difficile. Disons même qu’elle peut être d’une violence inouïe car le monde entier, que l’on a quitté pour le Royaume de Dieu, nous hait. Et avec les divers déserts et temps de brisements que nous pouvons traverser, il n’est pas rare que la marche chrétienne devienne presque insupportable (j’ai bien dit « presque », vous saurez pourquoi un peu plus bas). Aussi, quand la souffrance devient très intense, la chair réagit de manière instinctive et normale en essayant de fuir cette croix, étonnement lourde et douloureuse, que Jésus nous demande de porter (Matthieu : 16-24). Certains ont malheureusement abandonné la course. Quant à vous, vous êtes peut-être sur le point de les rejoindre. Si c’est votre cas, ce message est pour vous. Voici quelques bonnes raisons de tenir ferme (ou de revenir à Jésus-Christ).

 

 

TOUT VA BIEN !

La plupart du temps, lorsque les combats s’accumulent et s’intensifient, la première réflexion qu’on se fait c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas. C’est alors que beaucoup se rendent malades en essayant de trouver l’origine du problème. On se remet en question et on de doute de tout : de soi, des autres, et même de Dieu… Et pourtant, la réponse est toute simple : tous vos combats sont on ne peut plus normaux.

 

« Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d’une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l’allégresse lorsque sa gloire apparaîtra. Si vous êtes outragés pour le nom de Christ, vous êtes heureux, parce que l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous. Que nul de vous, en effet, ne souffre comme meurtrier, ou voleur, ou malfaiteur, ou comme s’ingérant dans les affaires d’autrui. Mais si quelqu’un souffre comme chrétien, qu’il n’en ait point honte, et que plutôt il glorifie Dieu à cause de ce nom. Car c’est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c’est par nous qu’il commence, quelle sera la fin de ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de Dieu ? Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l’impie et le pécheur ? Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien » 1 Pierre 4 :12-19.

 

« C’est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu’il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par divers épreuves, afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra » 1 Pierre 1 : 6-7.

 

Vous souffrez ? L’apôtre Pierre nous apprend ici qu’il n’y a pas lieu de s’étonner. De deux choses l’une : soit vous avez péché et vous en subissez les conséquences, soit vous êtes attaqué à cause de votre intégrité et/ou éprouvé dans le cadre d’un processus de purification.

 

Il est vrai que l’évangile en vogue en ce moment c’est celui de la prospérité qui consiste à dire : « venez à Jésus et vous serez riche, en bonne santé, avec le monde entier à vos pieds ». Mais ça, ce n’est pas le véritable évangile mais un énorme mensonge, une grosse séduction. En effet, d’une part cet évangile égare car l’adoration est apportée à Mammon et non à Jésus-Christ (Matthieu 6 :24); d’autre part il décourage car dans les faits, personne ne peut éviter la souffrance ici-bas, qu’il soit chrétien ou non. Aussi, quand ces chrétiens abusés sont confrontés tout simplement à la réalité de la vie, ils ne comprennent pas ce qui leur arrive et finissent par croire que Dieu les a abandonnés.

 

L’évangile véritable est indissociable de la souffrance. Jésus l’a très clairement dit : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive » (Matthieu 16 :24) ; autrement dit : Si vous voulez être ses disciples, il faut accepter de souffrir.

 

Les apôtres n’ont pas enseigné autre chose que leur Maître.

 

« Quand ils eurent évangélisé cette ville et fait un certain nombre de disciples, ils retournèrent à Lystre, à Icone et à Antioche, fortifiant l’esprit des disciples, les exhortant à persévérer dans la foi, et disant que c’est par beaucoup de tribulations qu’il nous faut entrer dans le royaume de Dieu » Actes 14 :21-22.

 

Vous vous en doutez, le mot « tribulation » ici n’est pas synonyme de bien-être et de petite ville tranquille. Le terme grec utilisé est thlipsis qui veut dire pression, oppression, tourment, détresse, persécution, calamité.

 

Notons que lorsque Jésus dit que le chemin qui mène à la vie est « resserré » (Matthieu 7 :14), le terme grec employé est thlibo qui est de la même famille que thlipsis et qui signifie aussi exposé à des tribulations, malheureux, persécuté.

 

Prenez donc courage, car vous n’êtes pas seul (1 Pierre 5 :9). Cessez de vous mortifier avec des questionnements inutiles car tout ce que vous vivez est normal. Si vous n’avez pas péché, c’est le signe que Dieu est avec vous (1 Pierre 4 :14). Si vous avez péché, votre châtiment est une preuve de l’amour de Dieu envers vous.

 

« Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ; Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. Supportez le châtiment : c’est comme des fils que Dieu vous traite ; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas ? » Hébreux 12 :5-7.

 

 

LE MONDE N’A RIEN A VOUS OFFRIR

Vous êtes tenté de retourner dans le monde mais pour faire quoi au juste ? Souvenez-vous du jour où vous avez donné votre vie à Jésus. Si vous aviez pris cette décision c’est certainement parce que vous aviez considéré que cela valait la peine de laisser le monde derrière vous. Aujourd’hui posez-vous la question inverse : qu’ai-je à gagner en faisant demi-tour ?

 

Le monde n’est que séduction et mensonge. Les médias excitent la convoitise de la chair et l’orgueil de la vie en vous faisant miroiter des chimères. Et là vous vous dites : « Ah oui, tout serait tellement plus facile si je ne me prenais pas la tête avec la sanctification. Moi aussi je pourrais être bien habillé(e) comme ces mannequins que je vois dans les magazines, j’aurais une bonne situation professionnelle comme cet ami d’enfance à qui tout réussit, une vie amoureuse satisfaisante, et je ferais la fête avec plein d’amis drôles et sympathiques ». Cessez ces rêveries car ce genre de vie idyllique n’existe pas ici-bas, et si elle existe, il n’y a que très peu de gens au monde qui y ont accès.

 

Que personne ne vous trompe : ce n’est pas en retournant dans le monde que vous allez cesser de souffrir. Les paĂŻens ne souffrent-ils pas Ă  cause du pĂ©chĂ© ?  Ne connaissent-ils pas la pauvretĂ©, la solitude, le rejet, la dĂ©ception, la maladie et tout ceci couronnĂ© pour beaucoup d’un immense dĂ©sespoir ?

 

Comment vouloir retourner dans le monde alors que celui-ci s’enfonce dans le chaos ? Tous les jours il se passe des choses graves et abominables. Meurtres, viols, abus sexuels, enlèvements, terrorisme, guerres, famines, épidémies, escroqueries, vols, immoralité, décadence, diverses crises et catastrophes. La terre est au bord de l’implosion, elle est devenue l’antichambre de l’enfer et c’est en elle que vous pensez pouvoir trouver du repos ?

 

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » Matthieu 11 :28.fin-du-monde-

 

Le monde n’a donc rien à vous offrir si ce n’est le péché et ses conséquences : la mort (Romains 6 :23).

 

«Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les oeuvres qu’elle renferme sera consumée » 2 Pierre 3 :10.

 

Alors s’il vous arrive encore d’envier les païens, méditez donc le Psaume 37.

 

« De David. Ne t’irrite pas contre les méchants, N’envie pas ceux qui font le mal.

 

Car ils sont fauchés aussi vite que l’herbe, Et ils se flétrissent comme le gazon vert.

 

Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien ; Aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture.

 

Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton coeur désire.

 

Recommande ton sort à l’Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira.

 

Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi.

 

Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui ; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins.

 

Laisse la colère, abandonne la fureur ; Ne t’irrite pas, ce serait mal faire.

 

Car les méchants seront retranchés, Et ceux qui espèrent en l’Éternel posséderont le pays.

 

Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus ; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.

 

Les misérables possèdent le pays, Et ils jouissent abondamment de la paix.

 

Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui.

 

Le Seigneur se rit du méchant, Car il voit que son jour arrive.

 

Les méchants tirent le glaive, Ils bandent leur arc, Pour faire tomber le malheureux et l’indigent, Pour égorger ceux dont la voie est droite.

 

Leur glaive entre dans leur propre coeur, Et leurs arcs se brisent.

 

Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants ;

 

Car les bras des méchants seront brisés, Mais l’Éternel soutient les justes.

 

L’Éternel connaît les jours des hommes intègres, Et leur héritage dure à jamais.

 

Ils ne sont pas confondus au temps du malheur, Et ils sont rassasiés aux jours de la famine.

 

Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l’Éternel, comme les plus beaux pâturages ; Ils s’évanouissent, ils s’évanouissent en fumée.

 

Le méchant emprunte, et il ne rend pas ; Le juste est compatissant, et il donne.

 

Car ceux que bénit l’Éternel possèdent le pays, Et ceux qu’il maudit sont retranchés.

 

L’Éternel affermit les pas de l’homme, Et il prend plaisir à sa voie ;

 

S’il tombe, il n’est pas terrassé, Car l’Éternel lui prend la main.

 

J’ai été jeune, j’ai vieilli ; Et je n’ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain.

 

Toujours il est compatissant, et il prête ; Et sa postérité est bénie.

 

Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure.

 

Car l’Éternel aime la justice, Et il n’abandonne pas ses fidèles ; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée.

 

Les justes posséderont le pays, Et ils y demeureront à jamais.

 

La bouche du juste annonce la sagesse, Et sa langue proclame la justice.

 

La loi de son Dieu est dans son coeur ; Ses pas ne chancellent point.

 

Le méchant épie le juste, Et il cherche à le faire mourir.

 

L’Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement.

 

Espère en l’Éternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays ; Tu verras les méchants retranchés.

 

J’ai vu le méchant dans toute sa puissance ; Il s’étendait comme un arbre verdoyant.

 

Il a passé, et voici, il n’est plus ; Je le cherche, et il ne se trouve plus.

 

Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit ; Car il y a une postérité pour l’homme de paix.

 

Mais les rebelles sont tous anéantis, La postérité des méchants est retranchée.

 

Le salut des justes vient de l’Éternel ; Il est leur protecteur au temps de la détresse.

 

L’Éternel les secourt et les délivre ; Il les délivre des méchants et les sauve, Parce qu’ils cherchent en lui leur refuge ».

 

 

FAIRE PLAISIR A SATAN ? PAS QUESTION !

Peut-être avez-vous envie d’abandonner la foi parce que vous avez été déçu par votre assemblée locale, par des frères et sœurs, par un pasteur. Le monde chrétien vous dégoute et il vous semble que la meilleure des choses à faire c’est de retourner dans le monde. Là au moins, pensez-vous, vous n’aurez pas de mauvaises surprise. Pas si sûr… Sachez que les frères et sœurs en Christ ne demeurent pas moins des êtres humains avant d’être chrétiens. Tout comme vous, ils peuvent faire des erreurs.

 

La Bible dĂ©clare que nous ne luttons pas contre la chair et le sang mais contre les puissances des tĂ©nèbres (EphĂ©siens 6 :12). Ainsi, votre ennemi c’est avant toutes choses Satan. Or si vous abandonnez la foi, vous allez lui donner satisfaction et l’occasion de se rĂ©jouir Ă  vos dĂ©pens. Rappelez-vous que c’est d’abord lui qui est l’instigateur et l’inventeur du mal. Il est Ă  l’origine de toute forme de cruautĂ©, de mĂ©chancetĂ© et de perversitĂ©. Dieu l’a destinĂ© Ă  ĂŞtre vaincu par l’homme et non l’inverse (voir notre article « VAINCU ! » publiĂ© sur ce blog le 19/11/12). Et mĂŞme si Dieu ne nous demande pas de le haĂŻr -lui directement- mais  plutĂ´t ses Ĺ“uvres (Proverbes 8 :13 ; EphĂ©siens 5 :11), nous ne sommes pas obligĂ©s de lui tĂ©moigner de l’amitiĂ© ou mĂŞme de la pitiĂ©.

 

A cet effet, je me souviens d’un jeune homme Ă  qui l’on avait annoncĂ© la Parole il y a quelques annĂ©es. Ce dernier hĂ©sitait entre Dieu et le monde et gravitait autour de certaines assemblĂ©es sans pour autant se dĂ©cider. Aussi, quand on lui annonçait l’évangile, il avait toujours des excuses, des prĂ©textes, des arguments pour contredire la Parole de Dieu. C’est ainsi qu’un jour, au cours d’une discussion, il affirma qu’il pardonnait Ă  Satan.  Quelle idĂ©e farfelue ! Comment expliquer une telle lubie ? Ce n’était pas un excès de compassion car cela voudrait dire qu’il Ă©tait plus compatissant que Dieu en personne. De deux choses l’une : soit il Ă©tait inconscient, soit il essayait d’amadouer le diable en le « pardonnant », espĂ©rant ainsi le convaincre indirectement de le laisser tranquille dans cette vie et peut-ĂŞtre dans l’au-delĂ .

 

Satan n’a que faire de votre pardon et de toute façon il est impardonnable. S’il pouvait vous tuer en cet instant précis, il n’hésiterait pas une seconde.

 

Il est hors de question de lui faire plaisir un seul instant. Alors même si vous êtes à bout de forces, même si vous êtes tombés mille fois dans une même journée, saisissez la main tendue du Seigneur et relevez-vous.

 

« Car sept fois le juste tombe, et il se relève, Mais les méchants sont précipités dans le malheur » Proverbes 24 :16.

 

Avez-vous remarqué l’énergie et la persévérance d’un tout jeune enfant qui apprend à marcher ? Il chute un nombre incalculable de fois et pourtant il se relève avec aplomb et persévère en ne s’inquiétant ni des obstacles ni des échecs passés. Que cela nous serve de leçon.

 

PersĂ©vĂ©rez dans la foi, saisissez le pan de la robe du Seigneur quitte Ă  le suivre en  rampant par terre car « par votre persĂ©vĂ©rance vous sauverez vos âmes » (Luc 21 :19), et « un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort » (EcclĂ©siaste 9 :4).

 

Soyez fier et obstiné comme Samson. Ce dernier, après être tombé au plus bas à cause de son péché, invoqua de nouveau l’Eternel et puisa sa force en lui pour tirer vengeance de ses adversaires (Juges 16 :27-30). La pire blessure que vous pourrez infliger à Satan c’est de demeurer fidèle à Dieu, comme Job, malgré une vie entière de combats. Non seulement vous aurez remporté une belle victoire mais aussi la satisfaction d’avoir vu le diable se fatiguer pour rien.

 

 

NOUS NE SOMMES PAS N’IMPORTE QUI

Même si vous êtes criblé de soucis, marchez la tête haute car vous n’êtes pas n’importe qui. Voyez-vous les grands de ce monde apparaître en public avec un visage défait, une mine abattue ? Non. A plus forte raison, vous ne devez pas le faire non-plus. Lorsque nous avons donné notre vie au Seigneur, nous avons changé d’identité, nous sommes devenus :

 

–      Enfants de Dieu (Jean 1 :12)

 

–      Amis de JĂ©sus (Jean 15 :15)

 

–      CohĂ©ritiers de Christ (Romains 8 :17)

 

–      Concitoyens des saints (EphĂ©siens 2 :19)

 

–      Gens de la maison de Dieu (EphĂ©siens 2 :19)

 

–      Ambassadeurs de Christ (2 Corinthiens 5 :20)

 

–      Des rois et des reines (1 Pierre 2 :9)

 

–      Une nation sainte et mise Ă  part (1 Pierre 2 :9)

 

–      Des sacrificateurs ou prĂŞtres de Dieu (Apocalypse 1 :6)

 

–      Des ministres de Christ (2 Corinthiens 3 :6)

 

–      Des pierres prĂ©cieuses (EsaĂŻe 54 :12 ; 1 Pierre 2 :5)

 

–      Le temple du Saint-Esprit (1 Corinthiens 6 :19)

 

–      Des vases d’honneur (2 TimothĂ©e 2 :20)

 

–      Le corps du Christ (EphĂ©siens 4 :12)

 

–      L’Eglise de Dieu qui est la colonne et l’appui de la vĂ©ritĂ© (Matthieu 16 :18 ; 1 TimothĂ©e 3 :15)

 

–      L’épouse du Seigneur (2 Corinthiens 11 :2 ; EphĂ©siens 5 :24-30 ; Apocalypse 21 :9).

 

Alors, plutôt que d’être qualifié de chien qui retourne à son vomi ou de truie lavée qui se vautre dans le bourbier (2 Pierre 2 :22), admettez qu’il est de loin préférable de porter l’un des titres honorifiques cités plus haut. Faisons donc honneur à notre rang tout en restant humbles.

 

 

VOUS AVEZ REÇU LA FORCE POUR TENIR BON

L’Eglise a été programmée pour vaincre Satan. Jésus a dit très clairement que les portes du séjour des morts ne peuvent rien contre l’Eglise qu’il a bâtie (Matthieu 16 :18). Au nom de Jésus-Christ et par son Esprit nous avons reçu la puissance pour chasser les démons et marcher sur le royaume des ténèbres (Marc 16 :17 ; Luc 10 :18).

 

« Alors il reprit et me dit : C’est ici la parole que l’Éternel adresse à Zorobabel : Ce n’est ni par la puissance ni par la force, mais c’est par mon esprit, dit l’Éternel des armées » Zacharie 4 :6.

 

Dieu permet certes les combats mais en aucun cas ils ne peuvent avoir l’avantage sur nous, à moins que nous leur donnions. Les différentes épreuves que nous traversons contribuent à notre perfectionnement et non à notre destruction. De plus, dans son grand amour le Seigneur ne permet aucune épreuve qui soit au-dessus de nos forces.

 

« Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter » 1 Corinthiens 10 :13.Perseverance Road Sign with dramatic clouds and sky.

 

Fortifiez-vous et prenez conscience du fait que vous avez reçu la capacité d’aller au-delà de l’épreuve que vous traversez par la foi en Jésus-Christ. Rappelez-vous que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu (Romains 8 :28).

 

« Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous. Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à l’extrémité ; dans la détresse, mais non dans le désespoir ; persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non perdus ; portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps. Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle. Ainsi la mort agit en nous, et la vie agit en vous. Et, comme nous avons le même esprit de foi qui est exprimé dans cette parole de l’Écriture : J’ai cru, c’est pourquoi j’ai parlé ! Nous aussi nous croyons, et c’est pour cela que nous parlons, sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera aussi avec Jésus, et nous fera paraître avec vous en sa présence. Car tout cela arrive à cause de vous, afin que la grâce en se multipliant, fasse abonder, à la gloire de Dieu, les actions de grâces d’un plus grand nombre. C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour. Car nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire, parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles » 2 Corinthiens 4 :7-18.

 

Ainsi, nous ne sommes pas de simples vainqueurs, mais plus que vainqueurs en JĂ©sus-Christ (Romains 8 :37).

 

 

ET LE TÉMOIGNAGE DANS TOUT ÇA ?

Comme beaucoup d’entre nous, vous avez dû souvent prier pour le salut de votre famille, de vos amis et votre entourage. Vous leur avez aussi parlé de Jésus-Christ. Comment seront-ils gagnés si vous abandonnez la foi ?

 

« Car, lequel de vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied d’abord pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi la terminer, de peur qu’après avoir posé les fondements, il ne puisse l’achever, et que tous ceux qui le verront ne se mettent à le railler, en disant : Cet homme a commencé à bâtir, et il n’a pu achever ? » Luc 14 :28-30.

 

Ne vous y trompez pas, vos proches vous observent, c’est pourquoi vous jouez un rôle important dans leur future conversion. Votre découragement et votre abandon ne saurait les encourager à donner leur vie au Seigneur.

 

En tant que sacrificateur vous avez la responsabilité d’intercéder pour vos proches, en tant que sentinelle vous avez le devoir de les avertir (Ezéchiel 3 :17-21), en tant qu’ambassadeur et témoin, vous devez donner l’exemple (1 Timothée 4 :12).

 

Dieu ne manquera pas de nous demander des comptes sur le témoignage que nous avons laissé. Pensez-y.

 

 

SAVOIR ETRE RECONNAISSANT ENVERS JESUS-CHRIST

Doit-on rappeler que Jésus a payé un grand prix pour nous sauver ?

 

« sachant que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous avez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache » 1 Pierre 1 :18-19.

 

Quelles que soient les souffrances que vous endurez, celles-ci ne peuvent pas surpasser celles que JĂ©sus Ă  supportĂ©es par amour pour nous.  Son passage sur terre n’a pas Ă©tĂ© une partie de plaisir car il a Ă©tĂ© rejetĂ© et mĂ©prisĂ© par son peuple. De plus, le fait de vivre durant 33 ans parmi l’immondice du pĂ©chĂ©, a Ă©tĂ© une Ă©preuve supplĂ©mentaire d’une grande violence pour le Dieu infiniment saint qu’il est.

 

Regardons donc à « Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite du trône de Dieu. Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l’âme découragée » (Hébreux 12 :2-3).

 

 Â« Ayez en vous les sentiments qui Ă©taient en JĂ©sus Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardĂ© comme une proie Ă  arracher d’être Ă©gal avec Dieu, mais s’est dĂ©pouillĂ© lui-mĂŞme, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme, il s’est humiliĂ© lui-mĂŞme, se rendant obĂ©issant jusqu’à la mort, mĂŞme jusqu’à la mort de la croix » Philippiens 2 :5-8.

 

Nous sommes tellement habitués à dire que Jésus a souffert pour nos péchés que c’en est presque devenu une banalité.

 

Mais savons-nous réellement ce que notre Dieu a subi pour nous sauver ? Il a vécu une longue agonie, une mort horrible. Le site croixsens.net a publié l’analyse médico-légale du Dr. C. Truman Davis du supplice subi par Jésus. Voici quelques extraits :

 

« Toutes les explications imaginables ont été avancées par les érudits modernes pour dénigrer cette description, apparemment sous l’impression erronée qu’il est impossible que cela se produise. Si les douteurs avaient consulté la littérature médicale, ils auraient ménagé bien des efforts. Bien que cela se produise très rarement, le phénomène d’hématidrose, ou la sueur sanglante, est bien documenté. Subissant un stress émotif intense, les minuscules capillaires dans les glandes de sueur de notre Seigneur ont pu se briser, mélangeant ainsi le sang à la sueur. Ce processus a pu provoquer une faiblesse marquée et un état de choc.

 

Après que l’arrestation au milieu de la nuit, Jésus fut emmené devant le Sanhédrin et Caïphe, le souverain sacrificateur ; c’est ici que le premier traumatisme physique lui fut infligé. Un soldat a frappé Jésus au visage parce qu’il est demeuré silencieux après avoir été interrogé par Caïphe. Les gardes du palais lui ont bandé les yeux et se sont moqués de lui en le défiant d’identifier ceux qui passaient devant lui en lui crachant dessus et en le frappant.

 

Tôt le matin, battu et meurtri, déshydraté, et épuisé par une nuit sans sommeil, Jésus est conduit à travers le prétoire de la forteresse Antonia, le siège du gouvernement du procurateur de Judée, Ponce Pilate. Vous êtes, bien sûr, au courant de la tentative de Pilate de passer la responsabilité à Hérode Antipas, le Tétrarche de Judée. Jésus ne semble pas avoir souffert d’aucun mauvais traitement physique aux mains de Hérode qui l’a retourné à Pilate. En réaction aux cris de la foule, Pilate a ordonné que Barabbas soit libéré et condamné Jésus à être flagellé et crucifié […].Les préparations pour la flagellation consistaient à dépouiller le prisonnier de ses vêtements et à lui attacher ses mains à un poteau au-dessus de sa tête. La loi juive limitait à 40 le nombre de coups, mais il est douteux que les Romains en aient tenu compte.

 

Le légionnaire romain s’avançait avec le fouet (flagrum ou flagellum) dans sa main. C’est un fouet court se composant de plusieurs lanières de cuir pesantes avec deux petites boules de plomb attachées près du bout. Le légionnaire fouettait de toutes ses forces les épaules, le dos, et les jambes de Jésus. En premier lieu, les lanières lacèrent la peau seulement. Ensuite, alors que les coups se succèdent, ils entament les tissus sous-cutanés, produisant d’abord un suintement de sang provenant des capillaires et des veines de la peau, et finalement, c’est le saignement artériel qui gicle des vaisseaux musculaires.

 

Les petites boules de plomb produisent d’abord des contusions larges et profondes qui sont ouvertes par les coups suivants. Enfin, la peau du dos pend par de longs lambeaux et toute la région dorsale est une masse méconnaissable de tissu déchiré et saignant. Quand le centurion estime que le prisonnier est près de mourir, il fait cesser la flagellation.crucifixion

 

Jésus, à moitié évanoui, est alors délié et il s’effondre alors sur le trottoir en pierre, mouillé avec son propre sang. Les soldats romains trouvent cela bien drôle que ce Juif venant de la campagne prétende être roi. Ils lui jettent sur les épaules une robe longue et placent un bâton dans sa main pour servir de sceptre. Ils ont encore besoin d’une couronne pour terminer leur déguisement. Des branches flexibles couvertes de longues épines (généralement utilisées pour attacher par paquets le bois de chauffage) sont tressées dans la forme d’une couronne, puis sont enfoncées dans son cuir chevelu. Encore une fois, Jésus saigne abondamment, le cuir chevelu étant un des secteurs les plus vasculaires du corps.

 

Après s’être moquĂ©s de lui et l’avoir frappĂ© au visage, les soldats lui Ă´tent le bâton de sa main et s’en servent pour le frapper sur la tĂŞte, enfonçant les Ă©pines plus profondĂ©ment dans son cuir chevelu. Finalement, ils se fatiguent de leur sport sadique et ils arrachent la robe du corps de JĂ©sus. La robe ayant dĂ©jĂ  adhĂ©rĂ© aux caillots de sang et de sĂ©rum dans les blessures, elle lui cause une douleur atroce quand on la lui enlève, comme quelqu’un qui enlève sans prĂ©caution un bandage chirurgical. Les blessures commencent alors une fois de plus Ă  saigner, presque comme si elles encore Ă©taient fouettĂ©s.[…]. On offre Ă  JĂ©sus du vin mĂ©langĂ© Ă  la myrrhe, un mĂ©lange analgĂ©sique doux. Il refuse de le boire. On ordonne Ă  Simon de placer le patibulum sur la terre et JĂ©sus est rapidement renversĂ© vers l’arrière avec ses Ă©paules contre le bois. Le lĂ©gionnaire trouve la dĂ©pression Ă  l’avant du poignet. Il enfonce profondĂ©ment dans le bois Ă  travers le poignet un clou en fer pesant et carrĂ©. Rapidement, il se dĂ©place de l’autre cĂ´tĂ© et rĂ©pète la procĂ©dure en faisant attention Ă  ne pas trop Ă©tirer les bras pour permettre une certaine flexion et un peu de mouvement. Le patibulum est alors soulevĂ© en place au-dessus du poteau. Un Ă©criteau avec l’inscription « JĂ©sus de Nazareth, Roi des Juifs  » y est clouĂ©e.

 

Le pied gauche est pressé vers l’arrière contre le pied droit, et avec les deux pieds étendus, les orteils vers le bas, un clou est enfoncé à travers l’arche de chaque pied, laissant la possibilité aux genoux de se plier un peu. La victime est maintenant crucifiée. Alors qu’il s’affaisse lentement en mettant plus de poids sur les clous dans les poignets, une douleur atroce est déclenchée le long de ses doigts et explose dans son cerveau – les clous dans les poignets mettent de la pression sur les nerfs médians. Quand il se redresse pour éviter ce tourment causé par l’étirement, il place tout son poids sur le clou dans ses pieds. Une fois de plus, il y a une agonie fulgurante causée par le clou déchirant ses nerfs entre les os du métatarse des pieds. Rendu à ce point, alors que les bras se fatiguent, de grandes vagues de crampes balaient ses muscles, les nouant dans une douleur élançante, profonde et sans répit. Ces crampes l’empêchent de se redresser. Pendant par les bras, les muscles pectoraux sont incapables de faire leur travail. L’air peut être aspiré dans les poumons, mais ne peut être exhalé. Jésus lutte pour se soulever afin de pouvoir prendre une petite respiration. Finalement, le dioxyde de carbone s’accumule dans ses poumons et dans son sang ce qui le soulage partiellement de ses crampes. De manière spasmodique, il est capable de se soulever pour exhaler et inhaler ensuite l’oxygène qui le maintient en vie ». Lire l’article complet ICI. (si vous naviguez sur d’autres articles sur ce site, soyez vigilants et vérifiez le contenu doctrinal dans la Bible).

 

La grâce de Dieu ne doit pas être prise en vain.

 

 

LA PROMESSE D’UNE GRANDE CONSOLATION

C’est la Bible qui le dit…

 

« Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation » 2 Corinthiens 1 :7.

 

« Car Dieu n’est pas injuste, pour oublier votre travail et l’amour que vous avez montré pour son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints » Hébreux 6 :10.

 

« Car nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire, parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles » 2 Corinthiens 4 :17-18.

 

« J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » Romains 8 :18.

 

« Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » Jean 11 :25.

 

« Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi » Jean 14 :1-3.

 

« Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous » Romains 8 :11.

 

« Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’oeil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : La mort a été engloutie dans la victoire » 1 Corinthiens 15 :51-54.arcenciel

 

« Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles » 1 Thessaloniciens 4 :16-18.

 

« Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu » Apocalypse 21 :4.

 

 

ENCORE UN PEU DE TEMPS

 Â« Encore un peu, un peu de temps : celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas » HĂ©breux 10 :37.

 

Le temps peut paraître extrêmement long quand on souffre mais ce n’est qu’une impression. Les secondes, les minutes, les heures, les années s’écoulent exactement au même rythme qu’en temps de joie. Et ce temps passe très vite. Souvenez-vous de votre adolescence, vous attendiez avec impatience votre majorité pour échapper à l’autorité de vos parents et vivre votre vie comme vous l’entendiez. Ceux qui ont dépassé les 18 ans, peuvent tous attester qu’à partir de la vingtaine le temps semble s’envoler. La trentaine, la quarantaine, la cinquantaine, la soixantaine et puis nous voilà septuagénaires voire octogénaires si Dieu le veut…

 

Ceux qui ont des enfants peuvent aussi témoigner combien ils grandissent vite. Hier ils étaient à la mamelle et aujourd’hui ils sont déjà en maternelle, au collège, à l’université…

 

« Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain ! car, qu’est-ce votre vie ? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît » Jacques 4 :14.

 

Nous sommes des êtres éphémères et ceux qui sont aujourd’hui au crépuscule de leur vie s’en rendent bien compte.

 

Courons donc avec persévérance vers la promesse qui nous est faite et prenons courage dans nos épreuves. Rien sur cette terre ne mérite que l’on sacrifie son salut. Certains diront : « Tant pis si je vais en enfer, au moins j’aurais profité de la vie ». Voici ce que dit l’Esprit de Dieu : « L’homme n’est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n’a aucune puissance sur le jour de la mort ; il n’y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants » (Ecclésiaste 8 :8). De plus, la parabole du pauvre Lazare et de l’homme riche montre que personne ne sera consolé en enfer par le souvenir de la belle vie qu’il a eue sur terre (Luc 16 :20-25).

 

Tenons donc fermes et persévérons dans la foi. Patience, encore un peu de temps et nous serons délivrés.

 

« Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds. Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec vous ! » Romains 16 :20.

 

Source : www.lesdokimos.org

 

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