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L'esclavagisme moderne et la date du début de la délivrance finale prophétisés dans la Torah ? Paracha Bechalah
de DIVERS AUTEURS
La Parasha de la semaine (hĂ©breu : פרשת השבוע Parashat Hashavoua) est la portion hebdomadaire de la Torah lue publiquement par les Juifs lors de chaque Sabbath, de façon Ă  lire toute la Torah entre la Sim'hat Torah d'une annĂ©e et celle de l'annĂ©e suivante (Wikipedia).



 

Etude de Thomas

 

Exode 13.17 à 17 Fin - « Bechalah » signifie « Il renvoya-laissa aller »

 

 

Nous ne nous lasserons jamais de le dire : chaque paracha est une mine de sagesse, de trésors et de glorieux enseignements émanant directement du seul vrai et unique Dieu, le Dieu d’Avraham, d’Isaac et de Yaacov. Dégustons ensemble une nouvelle perle prophétique dès plus intéressante, discrètement et précieusement déposée dans le grand coffre au trésor de la Torah d’Israël, à l’ombre de deux simples versets du chapitre 14 du livre d’Exode…

 

 

Résumé de la paracha

Peu après avoir laissé les enfants d’Israël quitter l’Égypte, Pharaon les pourchasse pour les forcer à revenir et les Israélites se retrouvent pris au piège entre les armées égyptiennes et la mer des joncs.

La mer s’ouvre pour laisser passer les Israélites et se referme sur les poursuivants égyptiens.

Moshé, puis Miryam, entonnent un cantique de louanges et de reconnaissance à Élohim.

Dans le désert, le peuple souffre de soif et de faim et se plaint à plusieurs reprises auprès de Moshé et d’Aharon.

Élohim adoucit miraculeusement les eaux amères de Marah, puis fait couler de l’eau d’un rocher.

Il fait également tomber de la manne chaque matin avant l’aube et des cailles apparaissent dans le camp hébreu au soir. Il est commandé aux Israélites de récolter une double portion de manne chaque 6ème jour (vendredi), car celle-ci ne tombera pas le Shabbat, le jour de repos décrété par Élohim.

À Réfidim, les bnéi Yisraël sont attaqués par les Amalécites, qui sont vaincus par les prières de Moshé et une armée levée par Yéhoshoua/Josué.

 

 

Rappel

Comme nous l’avons vu dans la paracha Shemot, le nom « Egypte », en hébreu, se dit « Mitsraïm ». Le mot « Mitsraïm » fait référence à 2 autres mots hébreux signifiant « étroitesse » (Metsarim) et « frontière » (Metser).

 

De là, nous comprenons que celui qui se trouve en Egypte est comme emprisonné, limité dans des frontières, victime de l’étroitesse physique, morale et spirituelle, à l’image de cet esclavagisme physique, moral et spirituel dont les enfants d’Israël furent victime durant leurs séjour en Egypte.

 

Mais également, en Egypte, les noms et leurs significations sont pervertis, déformés. Les sens des noms et des mots sont comme « déplacés » de leur signification véritable et originelle, dit autrement : en descendant en Egypte, tous comme les enfants d’Israël furent en exil, loin de leur terre, de même, « les noms » sont en exil, loin de leur signification véritable, comme le verset le dit : « Voici les noms des fils d’Israël qui descendirent en Égypte » (Exode 1.1). Par exemple, comme nous le verrons dans cette étude, le sens véritable du mot « liberté », comme tant d’autres mots, est extraordinairement perverti aux yeux de tous. (Pour l’étude sur l’importance des noms, voir la paracha Shemot : La force, la valeur et l’immense impact spirituel des noms – Paracha Shemot et Vaera)

 

 

De là on comprend que L’Egypte, qui représente aussi l’esprit du monde, est également le symbole de la perversion de l’identité des mots et des noms.

Dans ce contexte, la délivrance que Dieu opère en Egypte prend toute son ampleur : Dieu vient délivrer son peuple de l’esclavage de l’Egypte pour l’amener en terre promise ; Dieu délivre son peuple de l’étroitesse de l’esclavage physique, moral et spirituel de l’Egypte où la perversion des noms et des valeurs règnent, pour le faire aller au delà des frontières de l’Egypte, jusqu’au Royaume de Dieu, pays où coule le lait et le bon miel et où règne, dans toute leur splendeur et leur authenticité, la vraie liberté, l’authentique justice, l’amour véritable, la largesse et l’abondance, la vérité et les vraies valeurs des noms et des mots.

 

La part de chacun pour hériter de telles promesses ? Croire et obéir à Dieu avec le coeur et avec foi lorsqu’il nous demande de sortir de notre Egypte aussi bien physique que spirituelle pour aller au delà de nos frontières comme il est dit quelque part :

 

« Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. » (2 Cor 6.2) et aussi : « Hier est passé, demain ne nous appartient pas, aujourd’hui est le jour du salut »

 

 

Une prophétie cachée sur les derniers temps

Les sages d’Israël nous révèlent que toute chose écrite dans la Torah possède une portée prophétique qui traverse l’histoire et qui apparaît tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, dans les générations futures ainsi que le sage Shlomo (Salomon) l’enseigne : « Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé. » (Ecc 3.15). Ce n’est pas sans raison que la Torah, aussi appelée « la Saine Doctrine » ou encore « les Saintes Ecritures », était un objet de délice et de continuelle méditation pour le roi David (voir le psaumes 119).

 

Dans la Torah, l’Egypte représente également le monde et l’idéologie du monde. Les sages d’Israël affirment que la première délivrance (la sortie d’Égypte) est le modèle de toutes les délivrances qui suivront, y compris de celle de la Délivrance finale qui aura lieu dans les tous derniers temps, période dans laquelle nous sommes pleinement rentrés, comme cette étude le démontrera une nouvelle fois.

 

Ainsi, lors du processus de la délivrance finale qui se fera étape par étape, nous devrions retrouver, sous des formes plus ou moins proches, plusieurs des événements clés décrits dans notre paracha, notamment la fin d’exil du peuple juif dispersé en Egypte (L’Egypte qui représente aussi le monde) et son retour en terre sainte (Israël). C’est effectivement ce que nous constatons depuis des décennies : naissance officielle de la nation d’Israël en 1948 et retour du peuple juif dispersé dans le monde (Egypte) vers la terre d’Israël. Bien d’autres éléments et indications décrits dans la Torah se retrouvent aussi lors du processus la délivrance finale de la fin des temps, nous permettant de comprendre et de discerner les temps dans lesquels nous sommes ainsi qu’il est dit :

 

« La loi de l’Eternel (Torah) rend sage l’ignorant » (Psaumes 19.8) et  « Le coeur du sage connaît le temps et le jugement. » (Ecc 8.5)

 

Nous allons donc examiner ici un élément très souvent passé sous silence tant il est subtil et caché mais qui, comme tout ce qui est profond, discret, secret, caché et humble, ne frappe pas les regards mais qui, après avoir été découvert, révèle en vérité une glorieuse lumière venant briller dans le coeur de tous ceux qui aiment la vérité et la Torah de l’Eternel.

 

Dans notre paracha, tout au début de la sortie d’Egypte, la Torah et les commentaires des sages d’Israël nous révèlent une chose extraordinairement étonnante et prophétique sur le verset d’Exode 14.1-2 : le verset décrit le symbole de la perversion de l’Egypte, que l’on retrouvera dans le monde à la fin des temps, durant la période de la délivrance finale :

 

« L’Eternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d’Israël; qu’ils se détournent, et qu’ils campent devant Pi-Hahiroth (littéralement : Bouche de la liberté), entre Migdol (Tours) et la mer, devant Baal-Tsephon » (Statue de la Divinité Egyptienne).

 

En hébreu, « Pi-Hahiroth » vient de deux mots : le mot « Peh » qui signifie « bouche », et le mot « Hiroth » qui fait référence au mot « liberté ». Le mot « Migdol » signifie « tours » et « Baal-Tsephon » était une statue représentant une divinité Egyptienne).

 

Le Rav Dynovisz* enseigne sur ce verset de la paracha Bechalah :

 

« Dès la sortie d’Egypte : La Torah nous dit que lorsque le peuple est sorti d’Egypte, il a campé au pied d’une grande statue qui s’appelait « La bouche de la liberté » : une statue qui incarnait la liberté. Où se trouvait cette statue disent nos maîtres ? Elle se trouvait sur l’eau. Elle était en face de grandes tours. Nos pères sont sorties d’Egypte, ils ont campé devant une immense statue qui est quelque part sur l’eau : elle était entre les eaux et face aux tours. Les maîtres posent la question : mais qu’est-ce que cette statue fait là ? C’est la seule qui n’avait pas encore été détruite. Elle incarnait le symbole de l’idéologie Egyptienne : « Pi-Hahiroth » donne en français « bouche de la liberté » ou encore « Liberté d’expression ».

 

 

Toute ressemblance avec une quelconque « statue de la liberté » représentant une divinité païenne située sur les eaux et en face de grandes tours, est évidemment fortuite ! Car oui, la statue de la liberté est la statue d’une divinité païenne romaine nommé « libertas », comme nous le verrons plus bas.



 

Comme le souligne le Rav : comment une civilisation qui fait de l’esclavage et du musellement des bouches, peut avoir l’audace de prendre comme symbole la statue de la liberté et prôner la liberté d’expression ?? … Personne n’a crié au scandale en voyant la civilisation de l’esclavagisme brandir le symbole la liberté !?

 

Mais finalement, n’en est-il pas de même aujourd’hui…? N’est-ce pas exactement ce qui se passe dans notre monde moderne ? N’est-ce pas régulièrement que l’on entend l’expression « esclavagisme moderne » de la part de quelques personnes plus ou moins éveillées qui crient au scandale face au terrible paradoxe d’une société brandissant le symbole de la liberté tout en pratiquant la censure, la désinformation et le musellement des pensées et des bouches !?

 

En vérité, il est très intéressant de savoir que l’on éduquait les hommes et les esclaves depuis leur plus jeûne âge à croire qu’ils vivaient dans le système le plus libre qui puisse exister. C’est aussi pour cela que, selon les sages, 4/5 des enfants d’Israël sont restés en Egypte et ont périt durant la plaie de l’obscurité et c’est aussi pour cela qu’il y eut autant de murmures dans le désert… Leur pensée était si conditionnée, que plusieurs se croyaient libre en Egypte au point d’y rester, mais également, peu après être sortie d’Egypte, plusieurs étaient prêt à retourner en Egypte au moindre problème ainsi qu’il est dit : « Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier. » (2 Pierre 2:22) !

 

 

Le parallèle est frappant : L’ensemble des sociétés occidentales proclament la liberté alors qu’en vérité, chacun a été éduqué en tant qu’esclave d’un système qui lie et emprisonne les gens dans une idéologie uniformisée et imposée dès le plus jeune âge par le biais de systèmes éducatifs mûrement réfléchis pour conditionner le peuple dans une idéologie présentant une belle façade mais qui est en vérité destructrice, consumériste et esclavagiste. Le fameux trio « Métros-Boulot-Dodo » est connu de tous : esclave des transports qui polluent la vie de millions de personnes, esclave d’un travail que beaucoup n’aiment pas, dans des conditions déplaisantes pour la majorité, esclave d’une pensée pervertie véhiculée au travers de médias papiers et télévisés imposés à la masse et soigneusement étudiés pour être utilisés en vue de distiller subtilement des idéologies destructrice des valeurs fondamentales, en opposition aux valeurs de Dieu et de sa Torah parfaite. La société occidentale prône la liberté d’expression, tandis que jamais la vérité et la vraie liberté d’expression n’ont autant été falsifiées, les témoignages sont innombrables : dès qu’un discours quelconque, qu’il soit politique, économique, scientifique ou religieux, va à l’encontre de la pensée dominante imposée par une poignée de pharaons modernes, il est systématiquement muselé, étouffé, censuré, condamné, éliminé.


 

Essayez donc de sortir du système sans l’aide de Dieu et vous constaterez rapidement dans quelles difficultés ce chemin vous conduira… Combien de personnes seraient capables de vivre du jour au lendemain sans internet, Tv, CB, téléphone et compte bancaires ? Quelques mots qui sont comme des menottes mises sur les poignées de nos vies. Oh, ces choses ne sont pas forcément mauvaises en soit, mais elles le sont devenus par la mauvaise utilisation qui en est faite et la dépendance malsaine qui s’est installée. Mais aussi, combien de personnes seraient réellement capables de choisir leur travail, leurs conditions de travail, leurs horaires ? Le moindre crache financier et le masque tombe : supermarché vide, pillage, meurtre, famine et c’est la bête humaine, plus terrible que jamais, qui refait surface… A part quelques rares cas, quelqu’un peut-il facilement subsister dans cette société moderne sans CB ni compte bancaire ? L’esclavagisme moderne est une réalité et cette parole de l’Ecriture est sur le point de s’accomplir : « personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse 13:17)

 

 

Dans notre texte, la statue de la divinité était sur les eaux, en face des tours. Ces détails sont très intéressants car les tours symbolisent aussi l’uniformité ainsi que l’eau : « on se ressemble comme deux gouttes d’eau » dit le proverbe populaire.

Jetez un coup d’oeil dans les métros parisiens et voyez comme cette uniformité est flagrante : tous marchant au même pas, dans la même direction, au même rythme et aux mêmes horaires afin de maintenir et faire vivre un système établi par une poignée de puissants pharaons qui imposent et enchaînent subtilement nos vies à leur idéologie par toutes sortes de stratagèmes, empêchant la masse de se rebeller par cette injection massive de plaisirs éphémères : séries Tv, Jeux vidéos, nouvelles technologies, drogues, etc.

La majorité est devenue esclave des mêmes produits, des mêmes pubs, des mêmes magazines distribués gratuitement le matin dans les transports, tous sont affairés à lire le même quotidien puis, téléphone portable enchaîné au poignet, tous sont ensuite rivés sur leur petit écran, pris dans la spirale infernale d’un consumérisme effréné, ligotés au rythme infernal du métro-boulot-dodo par ces lourdes chaînes jetées sur les pensées et les coeurs du plus grand nombre…

 

« Nul n’est plus désespérément esclave que celui qui est faussement convaincu d’être libre »


 

 

L’Egypte moderne est bien là, sous nos yeux. Ce n’est pas sans raisons que les enfants d’Israël, dans le désert, après avoir eut la grâce de sortir d’Egypte, oublièrent vite les prodiges de Dieu et murmuraient contre l’Eternel, regrettant déjà leur Egypte :

« Nous nous souvenons des poissons que nous mangions en Egypte, et qui ne nous coûtaient rien, des concombres, des melons, des poireaux, des oignons et des aulx. Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. »

et aussi :

« quand nous étions assis près des pots de viande, quand nous mangions du pain à satiété ».

 

Aujourd’hui encore, combien d’enfants de Dieu n’ont-ils pas cette réaction après que Dieu leur ait ouvert les yeux en leur accordant de sortir leur Egypte spirituelle :  « Nous nous souvenons des plaisirs que nous jouissions en Egypte, et qui ne nous coûtaient rien, les bonne séries TV, les Jeux, les fêtes et les sorties à tout va, les relations faciles et des drogues plus ou moins douces etc,… Maintenant, notre âme est desséchée : plus rien ! Nos yeux ne voient que de la manne. »

 

La fausse « liberté » représentée aussi bien par l’Egypte ancienne que ce monde moderne, en est venu à diviniser cette idéologie corrompue d’une liberté factice. La Statue de la liberté moderne, symbole perverti de la puissance mondiale de cette Egypte des temps « modernes », n’est que le reflet prophétisé 3000 ans plus tôt dans la Torah de cette falsification de la liberté fomenté par l’Egypte ancienne. Lorsque les enfants d’Israël sont sortis d’Egypte et ont vu cette même statue d’une divinité païenne, au milieux des eaux, en face des tours, publiant la liberté comme étant le symbole même d’une société en réalité esclavagiste, ils ne faisaient que vivre ce que le monde vivrait encore 3000 ans plus tard lors de la délivrance finale.

 

Quelqu’un n’a-t-il pas dit : « plus c’est gros mieux ça passe » ?

 

Car oui, que cela soit dans notre verset de la Torah ou aujourd’hui, cette statue plantée sur les eaux en face des tours, est belle et bien celle d’une divinité païenne brandissant à la face d’un monde sans connaissance, un formidable écran de fumé nommé « liberté » pour mieux voiler la réalité d’une situation nommée « esclavage spirituel, moral et matériel ».

 

N’est-il pas dit : « Mon peuple est détruit, faute de connaissance (…) puisque tu as oublié la Torah de ton Dieu, moi aussi j’oublierai tes enfants. » (Osée 4.6).

 

Comme le dit Ruth* sur le site messianique forum pro : « Le mot « liberté » en Français était tout d’abord et avant tout le nom d’une déesse qui est ensuite devenue un mot dans la langue Française et latine pour désigner l’affranchissement. D’ailleurs, c’est bien pour cela qu’en Anglais, ils ont un autre mot qui est « freedom » tandis que la statue de la liberté est nommée en anglais : « statue of liberty » »

 

Effectivement, le Tome 26 de L’encyclopédie des connaissances humaines déclare : « Liberté, déesse des Grecs et des romains. Les romains, qui l’appelèrent « Libertas », eurent cette divinité en singulière vénération, lui érigèrent quantité de statues ». Note : comme nous l’enseigne les sages d’Israël, au travers d’un tel symbole d’une divinité païenne et romaine, nous voyons ici encore, à quel point le monde occidental (Europe + USA) possède les traits de l’empire romain païen et idolâtre et donc, d’Edom/Essav (Voir cette étude détaillée : L’origine et Les vrais responsables des attentats de Paris dévoilés dans la Torah d’Israël – Paracha Toldot)

 

 

Ainsi, la symbolique de la délivrance opérée par Dieu en faveur de ces 1/5 des enfants d’Israël ayant eut le courage de sortir d’Egypte, culmine à son paroxysme lors de la traversée de la mer rouge : l’eau, qui représente cette uniformité de la pensée Egyptienne, se voit déchirée en deux pour laisser passer librement le peuple de Dieu et ensuite engloutir les armées de pharaons pour enfin permettre au enfants d’Israël de se frayer un chemin au travers des eaux déchirée de la pensée unique, se dirigeant tout droit vers la lumière incarnée en bout de course, par la précieuse Torah reçue sur le mont Sinaï. C’est cette Torah que nous étudions ici en 2016, chaque semaine à travers le monde, et qui fut donnée jadis par la bouche même du Dieu de l’univers, lorsqu’il s’est dévoilé avec puissance à toute l’assemblée d’Israël : « Tout le peuple entendait les tonnerres et le son de la trompette; il voyait les flammes de la montagne fumante. A ce spectacle, le peuple tremblait, et se tenait dans l’éloignement. » (Exode 20.18)

 

Tout ceci est assez extraordinaire, vous en conviendrez. Mais ce n’est pas tout ! Constatons ensemble une incroyable synchronicité au niveau des dates :

 

Dans la paracha, au début du retour du peuple juif, nous voyons les enfants d’Israël camper devant cette « statue de la liberté au milieu des eaux et en face des tours ».

Maintenant, prenons la date de la première vague de retour des juifs en Israël, et comparons-la avec la date de l’inauguration de « la statue de la liberté au milieu des eaux, en face des tours » :

 

Peu avant la création de l’état d’Israël, la date d’une des premières alyas majeure (début du retour en terre sainte du peuple juif comme annoncé par les prophètes) se déroule de 1881 à 1890 environ. Nous sommes ici au début du retour des enfants d’Israël en terre sainte (cela correspond donc au début de la sortie d’Egypte). Au même moment, en 1886, la statue de la liberté plantée au milieu des eaux en face des tours est officiellement découverte au grand jour !

 

La correspondance au niveau de la chronologie est identique à celle de notre paracha : Dès le début de la sortie d’Egypte et du retour d’Israël vers sa terre, nous voyons aussi cette « statue de la liberté au milieu des eaux et en face des tours » ! Ainsi, nous pourrions même oser dater le début du processus de la délivrance finale pour les années 1880 !

 

 

Conclusion

Nous sommes dans les tous derniers temps et des temps terribles de jugements vont s’abattre encore sur ce monde et balayer comme des ordures toutes statues de divinités païennes représentatives de systèmes idéologiques factices et pervertis. La déesse « Libertas » et toute l’idéologie factice qu’elle représente, arrive en fin de vie, si toute fois elle a un jour été vivante. Dieu a assez attendu et les temps sont proches ainsi qu’il est dit :

 

« J’ai longtemps gardé le silence, je me suis tu, je me suis contenu; Je crierai comme une femme en travail, Je serai haletant et je soufflerai tout à la fois. Je ravagerai montagnes et collines, Et j’en dessécherai toute la verdure; Je changerai les fleuves en terre ferme, Et je mettrai les étangs à sec. Je ferai marcher les aveugles sur un chemin qu’ils ne connaissent pas, Je les conduirai par des sentiers qu’ils ignorent; Je changerai devant eux les ténèbres en lumière, Et les endroits tortueux en plaine : Voilà ce que je ferai, et je ne les abandonnerai Point. Ils reculeront, ils seront confus, Ceux qui se confient aux idoles taillées, Ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux ! » (Esaïe 42)

 

 

La Torah est le laboratoire de l’histoire humaine, elle contient tout et Dieu nous enseigne ici un enseignement précieux pour ceux qui ont un coeur pour comprendre : allons-nous cesser d’endurcir nos coeurs pour enfin se repentir de nos fautes et suivre les voies de Dieu par la foi en Son Grand Nom et en son Messie Yéshoua ?

 

Allons-nous enfin nous laisser avertir afin de sortir de notre Egypte physique, spirituelle et morale (esprit du monde et de l’apostasie) afin de suivre, sans murmurer, la nuée de Dieu, pour recevoir la Torah et se diriger ensuite vers la Terre promise qui est le Royaume de Dieu ?

 

 

La Torah de Dieu est parfaite et véritable, son enseignement vaut plus que l’or le plus fin et la sagesse qui s’en dégage vaut mieux que tous les trésors de ce monde. Tout y est ! Merci HaShem (Dieu en hébreu) pour un tel bienfait ! Merci au Messie d’Israël que nous croyons être Yéshoua, et qui ramène, par son Esprit un nombre considérable et grandissant de gens des nations, de juifs et d’Israélites vers la Torah de vérité ainsi que le Messie a dit de Lui : « Et Moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à Moi. » (Jean 12:32) et aussi : « Car la terre sera remplie de la connaissance de l’Eternel, Comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. » (Ésaïe 11.9).

 

Et évidemment : merci au peuple juif, qui a su conserver au travers les siècles la Torah de vérité et les enseignements des sages d’Israël pour retransmettre aujourd’hui encore, au monde entier, les joyaux de la sagesse de Dieu, malgré les attaques incessantes du satan ! Que l’Eternel bénisse son peuple, apporte la paix à Jérusalem et face du bien à tous ceux et celles qui le craignent, touchant aussi le coeur de tous ceux qui sont encore loin de Lui, permettant au plus grand nombre de monter dans cette glorieuse arche moderne dont la charpente est constituée du bois de la repentance et dans laquelle nous trouvons les sources du salut, de la sagesse, de la connaissance et ce délicieux pain de vie donné gratuitement à qui veut bien, par la foi en Yéshoua le Messie d’Israël. Que Dieu nous aide dans nos faiblesses, nous apporte la consolation et use encore et encore de miséricorde face à nos si nombreuses fautes. Que le Seigneur des armées, Adonaï, le Dieu de toute espérance, nous garde dans ses sentiers véritables, ceux de la Torah et de son Fils Yéshoua, le Messie d’Israël. Amen vé amen.

 

« Dans le Messie sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance » (Colossiens 2.3)

 

Etude de Thomas, inspirée de sources juives et d’un commentaire du RavDynovisz* sur la paracha Bechalah

 

*Mise à part les interventions sur ce site, nous ne cautionnons pas forcément tous les propos et les enseignements des personnes citées dans cet article.

 

Source : www.rencontrerdieu.com

 

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