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Le message et le mystère de la Croix
de REINHARD BONNKE/DANIEL KOLENDA
Le mystère le plus merveilleux est celui de la mort rédemptrice de Christ.


par Reinhard Bonnke

 

La croix est le symbole le plus puissant au monde. La mort de Christ est une date centrale; c'est le rocher battu par les vagues qui reste inébranlable dans la mer de l'Histoire. Aucune technologie ne peut le remplacer. C'est notre unique espérance, une espérance éternelle.

 

Christ est mort pour nous. Cet événement est une explosion cosmique d'amour et de bonté qui détruit les forteresses et les portes de fer de toute forme d'asservissement qui a tyrannisé l'être humain ; il nous ouvre les portes sur les desseins éternels de Dieu.

 

Le Chrétien moyen jouit d'une qualité de vie qu'aucune autre religion n'offre, même à l'un de ses plus fervents adeptes. Seul Jésus sauve car Jésus seul est mort et est à même de nous offrir ce qu'Il nous offre. Personne au monde ne pourra L'égaler.

 

Le mystère le plus merveilleux est celui de la mort rédemptrice de Christ. Nous n'en connaîtrons jamais la profondeur car ce qui arriva venait du coeur de Jésus et du Père. La croix suggère une autre réalité pour chacun d'entre nous. Certains pensent que Jésus était rejeté, un martyr. D'autres voient dans l'agonie de Christ l'image d'un monde agonisant. Il représentait certainement tout cela. Solidaire de notre condition, Il apporta Dieu à notre monde et à nos misères. Nous n'avons aucunement besoin de poser la question : « Où est Dieu ? » Nous regardons la croix et Le voyons là, partageant les brisements de nos coeurs, la honte et la souffrance. Mais quel impact cette croix a-t-elle eu ? Au delà de sa portée émotionnelle, a-t-elle vraiment eu des répercussions ?


 

Le message central de l'Evangile

Voilà le mystère de la croix. Sept semaines après que le peuple ait réclamé Son sang, Pierre les accusa publiquement :

 

« Cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l'avez crucifié, vous l'avez fait mourir par la main des impies Â» Actes 2 : 23.

 

 

« Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié Â» Actes 2 : 36.

 

 

L'effet de son allocution a été phénoménal car personne ne s'y attendait. La prédication du message de la croix amena 3000 personnes à la repentance : les premiers noms qui furent inscrits dans le Livre de vie de l'Agneau.

 

Depuis, Jésus Christ crucifié est devenu le message central de l'Evangile des chrétiens. Un Evangile bien étrange. Les religions mettent toujours en avant leurs fondateurs ; mais faire un Evangile, une Bonne Nouvelle, de l'exécution d'un homme tout en accusant les autorités d'en être responsables, semble être une folie complète. Cependant Paul dit :

 

« Ainsi j'ai un vif désir de vous annoncer aussi l'Evangile, à vous qui êtes à Rome. 16 Car je n'ai point honte de l'Evangile : c'est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec Â» Romains 1 : 15-16.

 

 

Il déclara à des citoyens romains à Corinthe :

 

« Car je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié Â» 1 Corinthiens 2 : 2.

 

 

Paul savait qu'un tel message serait une « pierre d'achoppement » pour les Juifs et une « folie » pour les autres (1 Cor. 1 : 23) mais il le prêcha quand même. Le monde l'entendit et changea. Cela semblait impossible que ce message puisse transformer une génération dépravée – mais il le fit.

 

Les mains des bourreaux étaient couvertes du sang de Jésus, mais Il pria : « Père, pardonne-leur ! », et ce même sang les purifia. Ce message n'a pas changé. Le Christ crucifié n'a aucun concurrent. Quel est le secret de la croix ? Qu'est-ce qui en fait ce qu'elle est ? Donnons-nous une minute ou deux pour y penser.

 


Le mystère de la Croix

L'événement en lui-même est profondément émouvant. Lui, la seule personne parfaite au monde, a supporté l'insupportable au nom de l'amour. C'est un spectacle qui aujourd'hui encore nous fend le coeur. Nous chantons : « Quand je contemple cette croix merveilleuse où le Prince de gloire est mort, je considère la chose la plus précieuse comme vaine et mon orgueil est anéanti ».

 

Certainement, aucune chose sur terre n'a généré autant d'émotions que la mort de Jésus Christ. Cependant, la croix a-t-elle été seulement un fait touchant par son côté spectaculaire ? Cette émotion a-t-elle la force de changer un drogué ou un meurtrier ? Est-ce que pleurer à la vue de ce spectacle amène la conviction de péché ou le pardon ?

 

Comme le dit l'hymne, la vue de la croix humilie peut-être notre fierté et impose de se donner soi même (à quoi ?) ; mais Jésus est-Il seulement mort pour nous humilier ? Si sa mort a été exemplaire, de quel exemple s'agissait-il ? Mourir seulement n'est pas un exemple en soi. Il faut qu'il y ait dans cela un objectif.

 

Les Ecritures décrivent les souffrances du Christ :

 

« J'ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, Et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; Je n'ai pas dérobé mon visage Aux ignominies et aux crachats Â» Esaïe 50 : 6.

 

 

Les soldats romains regardèrent cette scène horrible mais ne se convertirent pas.

 

Paul se plaignit auprès des Galates : « Jésus Christ a été peint comme crucifié » mais l'image ne les sauva pas (Galates 3 : 1). Ils manquaient de foi et avaient dérivé vers le légalisme.

 

Paul ne dramatisa pas la croix pour toucher ses auditeurs en espérant que, par son éloquence, il parviendrait à rendre cet événement austère et réel et à changer des pécheurs païens en saints chrétiens. Comment l'aurait-il pu ? Il fallait qu'il y ait une puissance plus grande derrière tout cela. Paul prêcha et décrivit la mort du Christ qui mourut pour notre salut, portant nos péchés. Cela fit de Paul ce qu'il était :

 

« J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi Â» Galates 2 : 20.

 

 

La puissance de la croix allait bien au delà d'un impact émotionnel. Quelque chose se passa à la croix que rien d'autre au monde n'aurait pu produire. Considérons quelques vérités bibliques.

 

Un jour, Jésus dit à Ses disciples :

 

« Il ajouta qu'il fallait que le Fils de l'homme souffrît beaucoup, qu'il fût rejeté par les anciens, par les principaux sacrificateurs et par les scribes, qu'il fût mis à mort, et qu'il ressuscitât le troisième jour Â» Luc 9 : 22.

 

 

Notez le petit mot « Il fallait ». Pourquoi devait-Il endurer de telles choses ? Il prit avec Lui trois disciples sur une montagne et quelque chose de merveilleux arriva. Jésus fut glorieusement transfiguré et deux personnages du passé apparurent : Moïse et Elie.

 

Les disciples furent subjugués par ce qu'ils virent ; ils entendirent les êtres divins parler à Jésus de Sa mort prochaine qui serait un événement extraordinaire. C'était apparemment une conversation divine. Nous lisons :

« Qui, apparaissant dans la gloire, parlaient de son départ qu'il allait accomplir à Jérusalem Â» Luc 9 : 31.

 

 

La version grecque a traduit ce mot « départ » par le terme « exode » (exodos) qui nous rappelle la délivrance du peuple d'Israël d'Egypte, une manifestation de puissance divine. La mort est décrite comme un 'exode' dans les Ecritures, à deux reprises ; la deuxième fois, lorsque Pierre (qui avait été avec Jésus sur la montagne) parla de sa propre mort. Il avait appris ici que la mort est réellement un événement triomphal.

 

Lorsque Jésus mourut, Il poussa un grand cri. A part Jésus, aucun être humain en agonie n'a jamais fait une chose pareille. A ce moment-là, Il donna Sa vie à Dieu en s'écriant : « Père je remets mon esprit entre tes mains » (en Grec tetelestai, de teleo). Le centenier romain entendit ces paroles. Il avait déjà vu beaucoup de gens mourir mais jamais encore d'une manière si triomphale et il dit :

 

« Jésus s'écria d'une voix forte : Père, je remets mon esprit entre tes mains. Et, en disant ces paroles, il expira Â» Luc 23 : 46.

 

 

« Le centenier et ceux qui étaient avec lui pour garder Jésus, ayant vu le tremblement de terre et ce qui venait d'arriver, furent saisis d'une grande frayeur, et dirent : Assurément, cet homme était Fils de Dieu Â» Matthieu 27 : 54.

 

 

Bien des siècles avant, le prophète Esaïe avait décrit les souffrances du Christ en disant :

 

« Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche Â» Esaïe 53 : 7.

 

 

Il se plia à la volonté de Ses ennemis bien qu'Il aurait pu les exterminer d'un seul mot. Jésus avait l'air de mourir comme une victime impuissante mais dans cet acte même reposaient toute Sa grandeur et Son amour. Il alla sur la croix à notre place, une victoire contre toute attente, Dieu en Christ contre le mal.

 

Sur la croix, Christ fit bien plus que toucher nos émotions. Il accomplit un but qu'Il avait choisi et dont Il parla durant toute la durée de Son ministère. Il mentionna souvent Sa mort prochaine.

 

« Maintenant mon âme est troublée. Et que dirai-je ?. Père, délivre-moi de cette heure ?. Mais c'est pour cela que je suis venu jusqu'à cette heure Â» Jean 12 : 27.

 

 

« Cette heure » – il y avait eu de grands moments lorsque Jésus guérit les malades, ressuscita les morts et enseigna les multitudes. Mais durant toutes ces heures, Il mentionna « l'heure » où la destinée de Sa vie se réaliserait, le paroxysme de toute Son existence sur terre. Cette heure était Sa dernière heure alors qu'Il mourut pour faire propitiation.

 


La mort était Son but ultime

Il vint pour confronter cet ennemi. Il vint pour détruire les oeuvres des ténèbres. Nous évitons la mort, prenant les dispositions nécessaires contre tout accident, maladie et autre danger mais la mort nous poursuit comme le dit l'Ecriture :

 

« Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle Â» 2 Corinthiens 4 : 11.

 

 

Jésus n'était pas poursuivi par la mort ; Il poursuivit et défia Lui-même la mort. Il força le roi de la terreur à venir se mesurer à Lui, exigea le duel. Il accula l'ennemi, se débattit avec l'effroyable réalité et « souffrit la mort pour nous tous » (Hébreux 2 : 9). L'image de Christ est celle d'un champion, d'un guerrier qui pénètre dans le domaine de la mort, la surmonte et cause la « mort de la mort ».

 

La première référence à la bataille de la croix est mentionnée dans Genèse 3 : 15 : la postérité de la femme écrasera la tête du serpent mais son talon sera blessé. Jésus parla également d'être « attristé ». Le mot signifie ici être sous pression, contraint, saisi d'une intention. Il anticipa constamment Sa rencontre avec la mort, le grand ennemi.

 

Dans le jardin de Gethsémané et à Golgotha, Il se saisit du serpent dela mort, l'étrangla et revint du combat trois jours plus tard, marqué et cicatrisé par cette lutte mais couronné de victoire pour nous tous.

 

« Et qui a été manifestée maintenant par l'apparition de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l'immortalité par l'Evangile Â» 2 Timothée 1 : 10.

 

 

« Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est-à-dire le diable Â» Hébreux 2 : 14.

 

 

Le mot grec katargeo qui est traduit par « anéantir » signifie être vidé de sa vigueur, rendu inactif, inutile. Le jour de la victoire est arrivé par le triomphe de Jésus lorsque « la mort a été engloutie dans la victoire » (1 Corinthiens 15 : 54).

 

Le serpent de la mort a perdu son crochet venimeux. De quel crochet venimeux s'agit-il ?

 

« O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? 56 L'aiguillon de la mort, c'est le péché; et la puissance du péché, c'est la loi Â» 1 Corinthiens 15 : 55-56.

 

 

Pour tout être humain, l'horreur véritable de la mort est de mourir dans son péché et de passer dans l'au-delà chargé de culpabilité. Il nous est difficile de comprendre mais Christ est mort à notre place pour nous épargner cette mort si horrible et y mettre un terme. Il mourut, non seulement pour détruire la mort, mais également pour détruire nos péchés. Sur la croix, Il soutira le poison du crochet venimeux du serpent et maintenant nous pouvons proclamer : « O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? »

 


La vérité de l'Evangile

Qu'est-ce que le péché ? C'est l'effet de la rébellion humaine sur le coeur de Dieu. L'iniquité touche Dieu. Il ressent toute injustice, toute cruauté impitoyable, la haine, la fausseté et le mal. Il le sent car Il nous aime tous. Sa réaction n'est pas celle d'une dignité offensée mais celle d'un Père. « J'ai péché contre toi seul » dit David (Psaume 51 : 6). En tant que monarque absolu, David était au-dessus de la loi mais il n'était pas au-dessus de Dieu. Dieu n'est pas indifférent à ce qui ce passe sur la terre. Il est meurtri, poignardé par l'obstination humaine hostile à Son coeur et à Son être infiniment saint. Les flots pollués de l'iniquité s'écoulent dans le coeur affligé de Dieu.

 

Lorsque Jésus Christ alla à la croix, Lui, le Fils de Dieu, Il avait depuis toujours porté nos péchés mais en tant que Fils de l'homme, Il nous débarrassa de notre péché. Il savait que ce fardeau était redoutable et connaissait son horreur physique et les ténèbres spirituelles qui l'accompagnaient. Mais Il devint péché pour nous, endura notre jugement de l'enfer, en se tenant entre nous et le sort qui nous était destiné. Jésus nous amena le pardon éternel. Dieu ne le rejeta pas et le fit devenir coupable, mais il porta le jugement à notre place comme notre grand 'Second Adam', notre représentant.

 


La dimension complète de Son amour

La vérité de l'Evangile n'est pas que le péché a été pardonné seulement, mais maîtrisé, vaincu. Jésus a vaincu le pire des scénarios que Satan ait pu imaginer. La promesse était :

 

« Celui-ci n'enseignera plus son prochain, Ni celui-là son frère, en disant : Connaissez l'Eternel ! Car tous me connaîtront, Depuis le plus petit jusqu'au plus grand, dit l'Eternel; Car je pardonnerai leur iniquité, Et je ne me souviendrai plus de leur péché Â» Jérémie 31 : 34.

 

Il ne se souvient plus de nos péchés pour nous tourmenter ou nous condamner.

 

L'image de l'agonie du Christ sur la croix cruelle nous affecte profondément. Nous pleurons. Mais Il n'est pas mort pour nous faire pleurer mais s'est offert Lui-même à Dieu sur la croix pour amener le salut éternel. Il accomplit un changement dans l'ordre divin, et rendit le péché et la mort impuissants.

 

« Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation Â» 2 Corinthiens 5 : 19

.

 

Si nous prêchons un autre Evangile, il ne s'agit pas de l'Evangile de Christ. Omettre les horreurs de la croix, amoindrir la portée de ces événements, c'est tromper le monde, car il mourrait sans en avoir la connaissance. Aucun autre message dans toutes les autres religions ou tout autre livre n'est à même de réconforter nos consciences et ne peut apporter l'espérance qui est en Dieu.

 

Attaché à la croix, Christ exposa la dimension complète de Son amour. Comment ? Si un homme disait à sa femme : « Je t'aime et je vais te le prouver en me tuant », cet homme serait vraiment fou. Comment un suicide pourrait-il prouver qu'un homme aime sa femme ? Cela ne lui apporterait rien. Cependant, s'il était tué en essayant de la protéger, perdant sa vie pour elle, cela serait de l'amour. Voilà comment Christ est mort pour nous, non pour simplement mourir, mais pour mourir à notre place et nous sauver. Notre péché nous détruirait mais « Il a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois » (1 Pierre 2 : 24).

 

Ceci nous donne une idée de la malédiction qu'apporte le péché ; Dieu, Lui-même, devait intervenir et porter le poids de toute la méchanceté. Dieu garde l'ordre de la nature. En cela, Il montre Son amour pour Ses créatures, sans jamais le mentionner. Une chose qu'Il a dit :

 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle Â» Jean 3 : 16.

 

Dieu a donné ce qu'Il avait de plus précieux : Son Fils. Voilà le seul et véritable sacrifice que Dieu pouvait faire. Créer d'autres mondes ne serait rien en comparaison. Donner la valeur de toute une planète pour chacun de nous ne lui aurait rien coûté ; mais en donnant Son propre Fils, Il donna tout ce qu'Il avait.

 

Un milliardaire démontre peut-être un peu de son amour en achetant une Rolls Royce à son fils, mais il fait bien plus en lui donnant un peu de son temps et de son affection. Dieu ne nous a pas seulement donné des cadeaux, Il s'est donné Lui-même :

 

« Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés Â» 1 Jean 4 : 10.

 

 

C'est bouleversant de savoir que cela coûta tout à Dieu pour nous sauver ! Jésus dut venir sur terre pour pleurer et prier pour nous dans le jardin des Oliviers ; Il fut arrêté et soumis au plus mauvais des traitements et dut expérimenter l'épée du jugement divin transpercer Son corps. Voilà ce qu'Il fit et cela nous montre dans quel 'pétrin' nous nous trouvions. Seul Dieu pouvait nous sauver.

 

Voilà pourquoi nous prêchons Christ crucifié. C'est la promesse du salut garanti par cet acte formidable de Dieu en Christ, non un pardon bon marché. Dieu est venu atteindre l'être humain jusque sur la terre, et notre devoir est d'annoncer cette Bonne Nouvelle à toute créature.

 

Source : http://www.bonnke.net/

 

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