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Maranatha 77 "JESUS REVIENT BIENTOT"
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Nous pouvons, nous devons vaincre ce virus!
de HENRI VIAUD-MURAT
Comprenons-nous bien: il ne s’agit pas du tout, pour nous chrétiens, ou pour nous, serviteurs de Dieu, de juger ou de condamner en aucune façon ceux qui sont malades, ou ceux qui sont morts de maladie. Nous pleurons avec ceux qui pleurent, et nous voulons consoler tous ceux qui ont été affectés par cette épidémie.



Notre Président a raison, nous sommes en guerre! Mais les armes avec lesquelles nous devons lutter ne sont pas charnelles. Comment nous faut-il donc lutter pour vaincre complètement ce virus?

 

Beaucoup autour de nous, dans ce monde, sont dans la crainte à cause de ce coronavirus mortel. Cette crainte est entretenue par toutes les informations dont nous sommes sans cesse bombardés.

 

Il est vrai que, sur un plan médical, il n’existe pas de traitement pour guérir de cette maladie, et aucun vaccin efficace n’a encore été développé. Même si ce virus n’est pas excessivement mortel, il tue, et nous devons veiller à ne pas nous laisser envahir par la crainte.

 

Nous, chrétiens, nous devrions connaître notre Dieu, et savoir quelle est Sa volonté en ces temps très agités, qui ne font qu’annoncer les temps encore plus agités qui se profilent à l’horizon.

 

Si nous ne connaissons pas la volonté de Dieu, en ce qui concerne ce virus, sur quoi donc allons-nous pouvoir fonder notre foi? Dans l’incertitude, nous serons toujours en train de nous demander ce qui va pouvoir nous arriver, et nous vivrons dans la crainte.

 

La toute première chose que nous devons régler est donc de savoir quelle est la volonté de Dieu pour nous, concernant ce virus.

 

Nous devons tout d’abord savoir s’il s’agit d’un jugement de Dieu sur un monde impie, ou sur une Eglise incrédule. Si c’était le cas, et si ce coronavirus était un jugement de Dieu, nous n’aurions rien d’autre à faire qu’à le subir, et à nous incliner devant un juste jugement du Seigneur, en nous repentant de tout ce qui aurait pu causer ce jugement, et en réclamant la grâce de Dieu sur nous.

 

Frères et soeurs, nous devons écarter cette hypothèse. Tout d’abord, parce que nous sommes toujours au temps de la grâce en Jésus-Christ. Ce temps de grâce ne s’achèvera que lorsque l’Epouse de Christ sera enlevée vivante à la rencontre de Son Seigneur dans les airs, ce qui marquera le début de la période de l’Apocalypse.

 

Tant que l’Epouse fidèle sera sur cette terre, le Saint-Esprit y sera toujours répandu avec puissance. Mais dès que l’Epouse de Christ aura été enlevée, le Saint-Esprit ne sera plus répandu sur cette terre comme Il l’a été depuis le jour de la Pentecôte, et l’Antichrist pourra alors se manifester.

 

Alors commencera le temps de la colère de Dieu sur un monde impie, et Ses jugements terribles s’abattront sur notre terre. Or « Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l’acquisition du salut par notre Seigneur Jésus-Christ » (1 Thessaloniciens 5: 9).

 

« Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur: nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4: 15-17).

 

« Pour ce qui concerne l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et de ne pas vous laisser troubler, soit par quelque inspiration, soit par quelque parole, ou par quelque lettre qu’on dirait venir de nous, comme si le jour du Seigneur était déjà là. Que personne ne vous séduise d’aucune manière; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu. Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j’étais encore chez vous? Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps. Car le mystère de l’iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu » (2 Thessaloniciens 2: 1-7).

 

« Ce qui le retient, » c’est la présence de l’Eglise. Et « celui qui le retient, » c’est le Saint-Esprit.

 

Puisque nous ne sommes pas encore au temps de la colère et du jugement de Dieu, mais toujours au temps de la grâce, cette épidémie de coronavirus ne peut être causée que par la méchanceté du prince de ce monde, Satan, qui ne cherche qu’à « dérober, égorger et détruire » (Jean 10: 10).

 

C’est lui qui est la cause de toute la misère du monde! Certes, cette misère est le résultat de la chute et du péché de l’homme. Et Dieu a décrété que le salaire du péché, c’est toujours la malédiction et la mort.

 

Le Seigneur, en ce temps de grâce, n’a donc pas besoin d’envoyer Ses jugements sur la terre. Il lui a suffi d’établir des lois spirituelles et de les laisser agir! Le salaire du péché sera toujours la maladie et la mort.

 

Mais le Seigneur a aussi dĂ©crĂ©tĂ© que « le don gratuit de Dieu, c’est la vie Ă©ternelle en JĂ©sus-Christ notre Seigneur Â» (Romains 6: 23).

 

Toute maladie est un début de mort, et toutes les maladies possibles et imaginables sont comprises dans la malédiction qui résulte du péché.

 

Nous héritons de cette malédiction dès notre conception, et nous y ajoutons toutes les malédictions qui résultent de nos propres péchés.

 

Il est clair que, si les hommes, ou les chrétiens, vivent dans le péché sans se repentir, ils attireront sur eux les conséquences de ce péché, et ouvriront leur vie à l’action destructrice de Satan.

 

Mais, par la repentance et la foi en Jésus, nous sommes libérés du péché et de la malédiction du péché.

 

LA BONNE NOUVELLE, C’EST QUE LE FILS DE DIEU, JESUS-CHRIST, NOUS A RACHETES, PAR SON SANG VERSE A LA CROIX, DE TOUTE MALEDICTION, ETANT DEVENU MALEDICTION A NOTRE PLACE.

 

« Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous, car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois, afin que la bénédiction d’Abraham eût pour les païens son accomplissement en Jésus-Christ, et que nous reçussions par la foi l’Esprit qui avait été promis » (Galates 3: 13-14).

 

EN NOUS RACHETANT DE LA MALEDICTION DE LA LOI, JESUS-CHRIST NOUS PROUVE PAR LA QU’IL A PORTE EN LUI, DANS SON CORPS SUR LA CROIX, TOUS NOS PECHES, C’EST-A-DIRE TOUTE LA CAUSE SPIRITUELLE DE NOS MALEDICTIONS ET DE NOS MALADIES.

 

Sans le péché, sans la chute, il n’y aurait eu aucune maladie, aucune infirmité, aucune douleur, aucune mort, aucun deuil!

 

A présent que le péché du monde a été ôté par le sacrifice de la croix, Dieu a réconcilié le monde avec Lui-même!

 

« Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation » (2 Corinthiens 5: 19).

 

Tous ceux qui se sont repentis de leurs péchés, et qui ont reçu Jésus-Christ comme leur Sauveur et Seigneur, sont libérés de tous leurs péchés! Ils ont donc aussi accès, par la même foi en Christ, à la guérison de toutes leurs maladies!

 

Combien cette profonde vérité du ministère de Christ est encore trop ignorée dans le monde chrétien! On veut bien admettre que tous ceux qui croient en Christ reçoivent, par la foi en Lui, le pardon de leurs péchés. Mais on ne comprend pas, en général, que la guérison de nos maladies est tout autant comprise dans l’oeuvre de la croix que le pardon de nos péchés!

 

Or c’est par un seul et même sacrifice que Christ nous a acquis pardon et guérison.

 

« Cependant (le texte hébreu dit: « certainement »), ce sont nos souffrances (le texte hébreu dit: « nos maladies ») qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris » (Esaïe 53: 4-5).

 

« Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades,afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète: Il a pris nos infirmités, et il s’est chargé de nos maladies » (Matthieu 8: 16-17).

 

« Lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris » (1 Pierre 2: 24).

 

Si nous sommes chrétiens, nous ne pouvons pas nous permettre d’ignorer toute une partie de l’oeuvre de Christ à la croix! Ni négliger l’importance de la guérison de nos maladies, sous prétexte que le pardon des péchés est bien plus important.

 

Christ est mort pour nous obtenir un plein salut pour notre esprit, notre âme et notre corps! Imaginez ce que le Seigneur doit penser, Lui qui a tellement souffert, et dont les meurtrissures nous ont guéris, s’Il nous écoute Lui dire: « Merci, Seigneur, pour le pardon de nos péchés! Mais, en ce qui concerne la guérison de nos maladies, ce n’est pas le plus important! Je peux m’en passer! »

 

Pour nous, chrétiens, disciples de Christ, plusieurs choses devraient donc être parfaitement claires:

 

C’est la volonté parfaite de Dieu de pardonner tous les pécheurs. Pour cela, ils doivent se repentir, et recevoir comme Sauveur et Seigneur Celui qui a porté nos péchés dans Son corps sur la croix. Nous pouvons alors recevoir un plein pardon de tous nos péchés. Et si nous sommes chrétiens mais que nous vivons dans le péché, le Seigneur nous appelle aussi à nous repentir et à abandonner ce péché. Sinon, nous ouvrons notre vie à l’action destructrice du malin.

 

C’est la volonté parfaite de Dieu de guérir tous les malades, qu’ils soient chrétiens ou pas. Le Seigneur Jésus a manifesté cette volonté de Dieu dans Son ministère terrestre. Non seulement Il n’a jamais rendu personne malade, mais Il a guéri tous les malades qui se sont approchés de Lui pour être guéris. Et ce ministère de guérison ne s’est pas arrêté quand Il est remonté au Ciel après Sa résurrection. Du début à la fin du Livre des Actes, tous les malades ont continué à être guéris par les apôtres et les disciples.

 

Cette volonté divine de guérir les malades ne s’est pas arrêtée à la mort du dernier apôtre, comme on l’enseigne encore à tort. Pour la simple raison que cette volonté de guérir s’appuie sur une raison légale, qui reste valable pour tous les temps: sur la croix, Jésus a pris sur Lui nos maladies.

 

De même, la volonté divine de pardonner les pécheurs ne s’est pas arrêtée à la mort du dernier apôtre! Pour la simple raison que cette volonté de pardonner s’appuie aussi sur la même raison légale, qui reste valable pour tous les temps: sur la croix, Jésus a pris sur Lui nos péchés.

 

Comprenons-nous bien: il ne s’agit pas du tout, pour nous chrétiens, ou pour nous, serviteurs de Dieu, de juger ou de condamner en aucune façon ceux qui sont malades, ou ceux qui sont morts de maladie. Nous pleurons avec ceux qui pleurent, et nous voulons consoler tous ceux qui ont été affectés par cette épidémie.

 

Mais nous devons être là pour rappeler à tous que notre Dieu est vivant, et qu’Il est toujours prêt à pardonner et à guérir, car Il n’a pas changé. Jésus-Christ est toujours le même, hier, aujourd’hui et éternellement (Hébreux 13: 8).

 

L’Eglise de Christ, grâce à la présence du Seigneur au milieu d’elle, devrait toujours être, et rester, un lieu d’accueil, de guérison, de délivrance et de consolation pour tous, comme le Seigneur Jésus l’a proclamé Lui-même dès le début de Son ministère:

 

« L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur » (Luc 4: 18-19).

 

Je parle à présent aux chrétiens, disciples de Jésus-Christ:

 

Si vous n’êtes pas malades, croyez que notre Seigneur veut vous garder en bonne santé. Priez avec foi pour qu’Il vous garde de toute pestilence et de toute contagion, et Il le fera. Invoquez devant Lui avec confiance Sa propre Parole:

 

« Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout Puissant. Je dis à l’Eternel: Mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie! Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur, de la peste et de ses ravages. Il te couvrira de ses plumes, et tu trouveras un refuge sous ses ailes; sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole de jour, ni la peste qui marche dans les ténèbres, ni la contagion qui frappe en plein midi. Que mille tombent à ton côté, et dix mille à ta droite, tu ne seras pas atteint » (Psaume 91: 1-7).

 

« Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme » (3 Jean 2).

 

Si vous êtes malades, et en particulier si vous avez été atteints par ce coronavirus, examinez-vous d’abord vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi. Repentez-vous, si le Saint-Esprit vous montre que vous avez besoin de vous repentir. Et croyez que le sang précieux de Jésus est suffisant pour vous purifier de tout péché, parce que vous vous êtes repentis.

 

Ne croyez pas, si vous êtes malades, que cette maladie est nécessairement causée par un péché personnel, si le Saint-Esprit ne vous montre rien de particulier. N’oubliez pas que nous avons hérité d’une longue lignée de pécheurs qui nous ont transmis toutes sortes de malédictions causées par ces péchés.

 

Alors, ne laissez pas l’ennemi vous culpabiliser! Mais rappelez-vous que Dieu le Père, dans Sa bonté et dans Son amour, nous a donné Son Fils unique, Jésus, pour que tous ceux qui croient en Lui soient sauvés, pardonnés et guéris!

 

Croyez donc que le Seigneur, qui a porté sur Lui tous nos péchés, et toutes nos maladies, est puissant pour nous guérir et nous rétablir entièrement.

 

Abandonnez-Lui toutes vos maladies et toutes vos infirmités, et croyez que les meurtrissures que Jésus a subies vous ont déjà guéris! Emparez-vous de votre guérison, elle vous appartient, comme un cadeau de la grâce de Dieu en Christ!

 

Puisque vous vous êtes soumis à la volonté de Dieu, le Seigneur vous appelle à résister avec une foi ferme à Satan, en lui rappelant la Parole de Dieu. C’est en lui résistant ainsi qu’il s’enfuira loin de vous!

 

« Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Jacques 4: 7).

 

Une fois que vous avez accepté par la foi votre guérison, ne vous considérez plus comme malades, même si vous pouvez encore constater des symptômes. Ne laissez pas des symptômes vous faire croire que vous êtes malades, alors que Dieu affirme que vous êtes guéris!

 

Le bon combat de la foi, c’est de croire ce que Dieu nous dit, et de refuser de croire ce que nos sens nous disent!

 

Ayons cette foi d’Abraham, qui a refusé de considérer l’état de son corps vieillissant, ainsi que l’état du corps de son épouse, qui n’était plus en état d’avoir des enfants.

 

Mais il a décidé de considérer la Parole qui lui avait été donnée par Son Dieu: « Tu auras un fils! »

 

« C’est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d’Abraham, notre père à tous, selon qu’il est écrit: Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité. Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants. Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir. C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice » (Romains 4: 16-22).

 

Frères et soeurs, nous devons employer l’autorité que le Seigneur a donnée à Son Eglise, pour guérir les malades, chasser les démons et délivrer tous les captifs!

 

« Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris » (Marc 16: 15-18).

 

En ces temps très troublés qui sont les temps de la fin, la véritable Eglise de Jésus-Christ a le devoir de rester remplie de foi et du Saint-Esprit, afin d’être, pour le monde perdu qui nous entoure, mais aussi pour tous les chrétiens qui vivent dans l’ignorance de l’héritage qu’ils ont en Christ, le lieu où les pécheurs peuvent être pardonnés, où les malades peuvent être guéris, et où tous les captifs de Satan peuvent être délivrés!

 

Prions pour que, au travers de cette épreuve, l’Eglise de Jésus-Christ en sorte plus forte et plus consacrée! Que nous rejetions tout esprit de crainte, car ce n’est pas un esprit de crainte que nous avons reçu, mais un esprit d’amour, de force et de sagesse (2 Timothée 1: 7).

 

Que l’on puisse encore voir au milieu de nous se produire ce qui se produisait dans l’Eglise primitive, après l’ascension du Seigneur Jésus:

 

« Une grande crainte s’empara de toute l’assemblée et de tous ceux qui apprirent ces choses. Beaucoup de miracles et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par les mains des apôtres. Ils se tenaient tous ensemble au portique de Salomon, et aucun des autres n’osait se joindre à eux; mais le peuple les louait hautement. Le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur, hommes et femmes, s’augmentait de plus en plus; en sorte qu’on apportait les malades dans les rues et qu’on les plaçait sur des lits et des couchettes, afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvrît quelqu’un d’eux. La multitude accourait aussi des villes voisines à Jérusalem, amenant des malades et des gens tourmentés par des esprits impurs; et tous étaient guéris! » (Actes 5: 11-16).

 

Chers frères et soeurs, ne nous laissons pas intimider par ce que le malin est en train de faire! Mais gardons nos yeux fixés sur notre Seigneur et sur Sa Parole! Et offrons-nous à Lui pour qu’Il Se serve de nous comme Il le désire:

 

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai » (Jean 14: 12-14).

 

Le Seigneur n’est pas un homme pour mentir! Ce qu’Il a dit est la Vérité absolue! Et Il veille sur Sa Parole pour l’accomplir dans la vie de ceux qui la gardent!

 

Source : https://bloghvm.wordpress.com

 


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