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La maladie d'Ezechias et sa guérison
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J'attire votre attention sur la prière d’Ezéchias, telle qu’elle est rapportée en Esaïe 38. Il décrit les choses qui se sont passées dans son âme, au moment où la bataille pour sa vie faisait rage (John G. Lake).



Par John G. Lake

 

Cette histoire est racontée à 3 endroits différents. Voici l’un de ces récits (2 Rois 20.1-5) :

"En ce temps-là, Ezéchias fut malade à la mort. Le prophète Esaïe, fils d’Amots, vint auprès de lui, et lui dit : "Ainsi parle l’Eternel : Donne tes ordres à ta maison, car tu vas mourir, et tu ne vivras plus !" Ezéchias tourna son visage contre le mur, et fit cette prière à l’Eternel : "O Eternel, souviens-toi que j’ai marché devant ta face avec fidélité et intégrité de cÅ“ur, et que j’ai fait ce qui est bien à tes yeux !" Et Ezéchias répandit d’abondantes larmes. Esaïe, qui était sorti, n’était pas encore dans la cour du milieu, lorsque la parole de l’Eternel lui fut adressée en ces termes : "Retourne et dis à Ezéchias, chef de mon peuple : Ainsi parle l’Eternel, le Dieu de David, ton père : J’ai entendu ta prière, j’ai vu tes larmes. Voici, je te guérirai ; le 3è jour, tu monteras à la maison de l’Eternel."

Comme son cri a atteint rapidement le ciel... Comme Dieu a répondu rapidement ! Dieu veille sur nous, n’est-ce pas ? Nous avons parfois tendance à penser que le Seigneur entend nos prières, par la vertu de quelque communication téléphonique spirituelle, mais nous oublions qu’Il voit aussi nos larmes. Quelle merveilleuse leçon est contenue dans le dernier verset ! Après avoir été guéri, il devait monter à la maison de l’Eternel pour Lui rendre grâces. Dieu l’enseignait.

 

Beaucoup de gens ont saisi leur guérison comme l’aurait fait un chien ou un animal, et sont repartis en courant. Ils n’ont jamais pris la peine de remercier Dieu dans "la maison du Seigneur". Cela traduit une certaine bassesse d'esprit et d’ingratitude de cÅ“ur. Le manque de gratitude est répugnant. Cela revient à faire preuve d’un comportement grossier. Bien-aimés, dans ces temps de déchéance où il nous semble que la lumière de l’Esprit aie presque disparue, nous devons veiller, par la grâce de Dieu, à rester en harmonie avec l’Esprit de foi en Dieu, et à Lui montrer notre gratitude.

 

C’est tellement dans la nature de notre Père que de donner bien plus que nous Lui demandons. Nous lisons comment, plus tard, lorsque les Assyriens vinrent avec une grande armée, le Seigneur accorda à Ezéchias une merveilleuse délivrance, par Sa puissance. Dieu avait tenu Sa Parole.

 

La prière d’Ezéchias

 

J'attire votre attention sur la prière d’Ezéchias, telle qu’elle est rapportée en Esaïe 38. Il décrit les choses qui se sont passées dans son âme, au moment où la bataille pour sa vie faisait rage.

"Cantique d’Ezéchias, roi de Juda, sur sa maladie et sur son rétablissement : 

Je disais : Quand mes jours sont en repos, je dois m’en aller aux portes du séjour des morts. Je suis privé du reste de mes années ! Je disais : Je ne verrai plus l’Eternel sur la terre des vivants ; je ne verrai plus aucun homme parmi les habitants du monde ! Ma demeure est enlevée et transportée loin de moi, comme une tente de berger ; je sens le fil de ma vie coupé comme par un tisserand qui me retrancherait de sa trame. Du jour à la nuit tu m’auras achevé !"(Esaïe 38 : 9-12).

Ces simples phrases nous transmettent une profonde leçon. En examinant sa vie passée, vous verrez qu’à cause de sa désobéissance à Dieu, la maladie l’avait frappé. A présent, il confesse son péché. Ce n’est pas Dieu qu’il en rend responsable, mais lui-même. C’est l’esprit de la vraie confession.

"Je sens le fil de ma vie coupé comme par un tisserand qui me retrancherait de sa trame… O Eternel ! Je suis dans l’angoisse, secours-moi !"

 

Parvenir au bout de soi-même

 

Certains cantiques disent : "Quand nous parvenons au bout de nous-mêmes… Quand nous parvenons au bout de nous-mêmes et de nos efforts personnels, alors nous crions de toute la force de notre cÅ“ur : Seigneur, secours-moi !"

 

Parfois, animés par notre puissance et l’inspiration de la foi qui est en nous, nous menons un grand combat. J’ai très souvent affronté la mort, et j’ai vaincu par la seule persévérance d’une foi tenace. Mais il y eut une occasion où je n’avais plus aucune force pour prier. Ce fut lorsque j’attrapai la grippe asiatique. Je descendis jusqu’aux portes de la mort. Mes doigts de pieds devinrent tout noirs, et la mort remonta le long de mes jambes et de mon corps jusqu’à ce qu’elle atteigne mon abdomen. Puis mes doigts, mes mains, mes épaules furent touchés par la mort. La mort atteignit le sommet de ma tête et redescendit jusqu’à mon cÅ“ur. Mon cerveau était si faible que je pouvais à peine penser. Bien entendu, je n’avais plus la force de prier.

 

Ma femme était épuisée, et elle avait décidé de dormir au rez-de-chaussée. Tout le monde était épuisé à cause des soins qu’il fallait prodiguer à ceux qui étaient atteints par l’épidémie. Mon infirmière, Madame Mero, s’assit sur un fauteuil à bascule et s’endormit profondément. Après un moment, j’en arrivai au point où je pouvais à peine penser. Je ne pouvais pas prier. Je m’installai au milieu de mes oreillers comme un petit enfant. Je ne pouvais pas prononcer une prière à haute voix, mais j’ai simplement pensé :

 

- "Seigneur, je suis trop faible pour prier. Je veux simplement me blottir entre tes bras. Je suis dans la paix, Seigneur, mais est-ce vraiment le moment pour moi de partir à la maison céleste ? Je suis prêt, Seigneur, mais je ne crois pas que ce soit le moment. J’ai à peine commencé à faire toutes les choses que je désirais faire dans ma vie". Alors que j’étais allongé dans cette position, parfaitement tranquille, après environ 30 mn, j’entendis la voix de Dieu parler à mon cÅ“ur. Sa voix était en train de chasser cette maladie : "Tu iras jusque-là, et pas plus loin !" Dès cet instant, je commençai à recouvrer la santé.

 

 

Des résolutions prises sur un lit de mort

 

Vous savez qu’il y a des résolutions prises sur un lit de mort, de même que des repentances de dernière minute. Dans sa prière pour être guéri, Ezéchias avait promis ceci au Seigneur :

"Je marcherai humblement jusqu’au terme de mes années, après avoir été ainsi affligé" (v 15).

Je me demande combien de gens comme Ezéchias, ont promis au Seigneur de "marcher humblement" devant Lui, et ont par la suite oublié leur promesse ? Cela me rappelle le dicton : "Diable malade veut être saint. Diable guéri l’a vite oublié !"

 

Ce qui est triste, c’est qu’Ezéchias n’a pas tenu sa promesse. Nous lisons dans 2 Chro 32.25-26 :

"Mais Ezéchias ne répondit point au bienfait qu’il avait reçu, car son cÅ“ur s’éleva ; et la colère de l’Eternel fut sur lui, sur Juda et sur Jérusalem. Alors Ezéchias, du sein de son orgueil, s’humilia avec les habitants de Jérusalem, et la colère de l’Eternel ne vint pas sur eux pendant la vie d’Ezéchias." 

Quand le châtiment le menaça, il accepta de s’humilier. Beaucoup de gens font ainsi.Il vaut mieux apprendre à rester aux pieds du Seigneur, afin que Sa colère ne vienne pas du tout sur nous ! Dans cette leçon, quel appel à marcher humblement devant l’Eternel Dieu, car c’est de Lui que nous recevons la bénédiction !

 

 

Le signe du cadran solaire

 

L’importance que Dieu attache à la guérison nous est montrée dans une leçon qui me semble l’une des plus profondes et des plus puissantes de toute cette histoire. Lorsqu’Esaïe vint dire à Ezéchias ce que le Seigneur lui avait dit : qu’il ne mourrait pas, mais qu’il vivrait, et que le Seigneur ajouterait 15 années à sa vie. Ezéchias dit :

"A quel signe connaîtrai-je que l’Eternel me guérira… ?" (2 Rois 20.8).

Voici la réponse de Dieu :

"Je ferai reculer de 10° en arrière avec le soleil l’ombre des degrés qui est descendue sur les degrés d’Achaz. Et le soleil recula de 10° sur les degrés où il était descendu". (Esaïe 38.8)

 

Réfléchissez au caractère fantastique de la chose que proposait le prophète Esaïe, le fait que l’ombre du soleil reculerait de 10° ! Il n’y a qu’un seul autre événement semblable dans toute la Parole de Dieu. Il figure dans Josué 10.12-13 :

"Alors Josué parla à l’Eternel, le jour où l’Eternel livra les Amoréens aux enfants d’Israël, et il dit en présence d’Israël : Soleil, arrête-toi sur Gabaon, et toi, lune, sur la vallée d’Ajalon ! Et le soleil s’arrêta, et la lune suspendit sa course, jusqu’à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis. Cela n’est-il pas écrit dans le livre du Juste ? Le soleil s’arrêta au milieu du ciel, et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour".

Ce signe donné à Ezéchias m’a frappé avec une nouvelle force aujourd’hui. Ma femme m’a relu cette histoire dans la voiture, alors que nous étions sur l’autoroute. Elle m’a dit :

N’est-il pas étrange que Dieu donne un signe aussi fantastique pour une simple guérison ?"

Il pourrait naturellement nous sembler qu’une guérison est une chose insignifiante, comparée au signe donné par le prophète à Ezéchias pour l’assurer de sa guérison.

 

Bien-aimés, cela ne prouve-t-il pas que la guérison du roi, ou que la guérison de quiconque, est aussi grande et merveilleuse pour Dieu que le fait de faire reculer l’ombre du soleil de 10°, ou d’arrêter le soleil et la lune dans la vallée d’Ajalon ? Dieu a considéré que la bénédiction qu’il voulait accorder à Ezéchias était aussi importante pour Lui que le fait de faire reculer l’ombre du soleil sur le cadran solaire.

 

Bien-aimés, je me demande si nous ne nous habituons pas trop à recevoir toutes ces guérisons merveilleuses de Dieu, et si nous ne partons pas avec elles comme si nous avions reçu un jouet, et comme si l’Eternel Dieu de l’univers n’avait pas pris du temps et de la peine pour nous guérir ! Oh, combien nous oublions qu’il s’agit d’une question de vie ou de mort ! Notre guérison est tellement importante aux yeux de Dieu qu’Il serait prêt à arrêter, s’il le fallait, la révolution d’une planète pour l’accomplir !

 

Hier après-midi, avec un groupe de serviteurs de Dieu, nous sommes allés prier pour quelques malades dans divers endroits de la ville. Dans une maison, nous avons prié pour une famille entière. Certains membres de cette famille étaient morts récemment, plusieurs autres étaient complètement invalides. Cela m’a rendu le cÅ“ur malade ! J’ai dit à l’un des serviteurs de Dieu :

 

Un tel spectacle révèle bien que notre christianisme aujourd’hui n’a plus aucune puissance ! Que se passerait-il si Jésus-Christ venait dans cette maison ? Il montrerait ce qu’est le véritable christianisme en guérissant toute cette famille. N’est-il pas temps de mettre fin à nos misérables débats théologiques, de nous saisir de Dieu, et d’invoquer la puissance de Christ sur cette maison ?

 

Il y avait un esprit d’infirmité dans cette maison. Toute la famille était dans le même état. Seul l’Eternel Dieu et Sa puissance éternelle peuvent détruire la malédiction de la maladie et la chasser de tous ces foyers, pour libérer l’humanité !

 

Imaginez 5 ou 6 splendides serviteurs de Dieu se réunissant dans n’importe quelle ville, pour débattre de toutes sortes de petits chipotages, comme :

 

- "Est-ce que le Seigneur veut guérir ? ou "Le temps des miracles est-il passé ?"ou "Va-t-Il guérir de telle ou telle manière ?" ou "va-t-Il seulement guérir ?"

 

Bien-aimés, par pitié pour un monde qui se meurt, acceptez de payer le prix, recevez la puissance de Dieu, et libérez les captifs ! Imaginez Jésus-Christ venant sur la terre après tous ces siècles, trouvant l’Eglise endormie et les hommes en train de mourir dans d’affreuses souffrances ! Je me demande si nous faisons beaucoup de cas de la lumière que Dieu nous a donnée ! Je me demande si nous nous rendons compte de ce que cela signifie que d’avoir nos foyers en bonne santé et dans la sainteté !

 

La loi de la mort

 

La maladie d’Ezéchias était "pour la mort". Dieu, dans Son amour, avait envoyé Son prophète pour dire au roi :

"Donne tes ordres à ta maison, car tu vas mourir, et tu ne vivras plus"(Esaïe 38.1)

Il se peut que vous ayez attiré sur vous une terrible malédiction, tout comme Ezéchias. Car il a lui-même confessé que c’était son péché qui avait causé cette calamité. Quel péché avez-vous commis ? Est-ce la négligence et la paresse de l’âme, cet état particulièrement léthargique qui s’abat sur le cÅ“ur des Chrétiens, jusqu’à ce qu’il se produise quelque événement pénible qui les réveille ? Dieu avait donc dit :

 

"Tu vas mourir, et tu ne vivras plus"

 

C’est cela, la loi du péché. C’est la loi des circonstances. Selon toute loi connue à l’époque, il devait mourir. Dieu le savait, et Dieu voulait qu’il se prépare. Cela ne résultait pas de la volonté de Dieu. Ce n’était pas Dieu qui le faisait mourir ou qui lui donnait cette maladie. C’était quelque chose qui résultait du péché. Dieu se soucie de ceux que nous laissons derrière nous. Ezéchias devait s’occuper de l’avenir de son royaume lorsqu’il ne serait plus là.

 

La cause de la maladie

 

Je veux dire ceci : quand vous commencez à analyser le sujet de la maladie, vous découvrez en général que le problème vient de ce qu’elle est causée par le péché. Je ne dis pas que la maladie est toujours causée par un certain péché ou un péché que vous auriez personnellement commis, mais, plus probablement, par une paresse de l’âme, par l’inactivité de notre esprit, la négligence de la Parole de Dieu, ou l’abandon de la foi, de l’amour et de la prière. Ce sont en général ces choses qui causent et provoquent les problèmes de notre vie.

 

La puissance de guérison des larmes

 

Mais Dieu vous guérira si vous vous repentez, si vous Lui confessez votre péché et si vous Lui dites que vous avez besoin de Lui. Dieu aime exaucer les prières. Combien Dieu aime une repentance sincère ! Combien Dieu aime un cÅ“ur assez grand pour se répandre devant Lui dans la prière et pour verser des larmes ! Nous ne voyons plus assez de larmes aujourd’hui.

 

Un jour, je parlais avec un frère du Baptême du Saint-Esprit, et je lui dis : "Il y aune chose dont nous avons besoin, c’est un baptême de larmes !" Un baptême de larmes versées sur l’état léthargique de notre vie, et sur la malédiction que notre âme a tolérée. Combien les Eglises doivent le confesser !Avez-vous récemment pleuré sur vos péchés, ou à propos de votre maladie ? Que Dieu soit béni si vous l’avez fait, le Seigneur a entendu vos prières, Il a vu vos larmes.

 

Quand nous tombons malades, notre problème, c’est que nous n’allons pas jusqu’à verser des larmes. En général, avant que les Chrétiens atteignent ce point, ils sont prêts à courir à l’hôpital pour qu’on leur coupe quelque chose ! Laissez cette opération se faire dans le cÅ“ur et dans la tête, et la maladie disparaîtra ! Que Dieu soit béni ! Ajoutez quelques larmes à vos prières, vous verrez si cela ne vous permettra pas d’obtenir du ciel ce que vous désirez ! Je ne peux pas me rappeler d’une seule occasion où j’ai prié pour une personne dont le cÅ“ur était brisé et qui pleurait abondamment, et qui n’ait pas été guérie ! Il est beau de voir la dureté de la nature humaine se dissoudre dans les larmes, lorsque ce sont des larmes de vraie repentance devant Dieu.

 

 

Comment Dieu a guéri une femme

 

Un jour, je prêchais à Chicago, et une chère sÅ“ur vint devant l’estrade. Elle me dit qu’elle cherchait la guérison depuis 7 ans. Elle avait été partout. On avait prié pour elle des dizaines de fois. Je l’ai observée pendant un moment, mais je ne lui ai pas proposé de prier pour elle. Lorsque je suis sorti de la réunion avec le frère Fockler, il me dit :

Lake, vous n’avez pas prié pour cette femme !

Je lui dis :

J’ai senti dans mon âme qu’il serait bon de la laisser seule pendant quelque temps.

Après environ 1 H nous sommes revenus, et cette pauvre âme était toujours là, à genoux. Les larmes coulaient de ses yeux et avaient formé une flaque sur le plancher.

 

La réunion suivante allait bientôt commencer. En prenant mon livre de cantiques, je vis cette pauvre âme, et je dis :

Venez, frère Fockler, nous allons prier pour elle maintenant.

Nous avons posé nos mains sur sa tête. A ce moment précis, le feu de Dieu l’a frappée. Ce fut la fin de sa maladie pour toujours ! Elle fut instantanément guérie.

 

Bien-aimés, mêlez des larmes à vos prières quand vous venez à Dieu. Si vos prières sont assez profondes dans votre esprit pour produire des larmes, que Dieu soit béni ! cela signifie que Dieu est en train de Se frayer un chemin dans votre vie ! Dieu a eu du mal à nettoyer toutes les saletés qu’il y avait dans vos pensées et dans votre cÅ“ur, et à nous tourner vers ce qui était vraiment important pour notre vie.

 

Parmi tous ceux qui sont venus ici pour être guéris, combien ont confessé leur péché à Dieu ? Combien, parmi vous, ont réellement demandé à Dieu de les sauver de leurs péchés, en le désirant vraiment ? Combien parmi vous se sont réellement placés sur l’autel de Dieu ? C’est en faisant cela que l’on permet à Dieu d’agir. Le char de Dieu passera sur une route dont les pierres ont été dégagées.

 

Que Dieu soit béni !

 



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