Le
témoignage remarquable d’un moine bouddhiste du Myanmar (Birmanie) qui est
revenu à la vie totalement changé !
L’histoire qui suit est tout simplement la traduction d’un témoignage documenté d’un homme dont la vie a été changée. Ce n’est pas une entrevue ou une biographie, mais simplement la traduction des paroles de l’homme lui-même. Les réactions des gens diffèrent à la lecture de ce témoignage. Certains sont inspirés, certains sceptiques, quelques-uns vont se moquer et ridiculiser, tandis que d’autres ont même été remplis de rage et de colère, convaincus que ces mots sont les divagations d’un fou ou une mystification. Certains chrétiens se sont opposés à l’histoire tout simplement parce que les événements radicaux et miraculeux décrits dans ce document ne correspondent pas à leur image d’un Dieu Tout-Puissant.
Nous avons d’abord été mis au courant de cette histoire par plusieurs dirigeants de
l’Église birmane qui l’ont partagé avec nous.
Ces dirigeants ont étudié ce témoignage et n’ont pas trouvé les signes
d’un canular. C’est avec ceci à l’esprit
que nous avons décidé de révéler et de faire circuler ce témoignage. Nous ne le faisons pas pour un quelconque
gain monétaire ou avec une motivation d’autopromotion. Nous voulons juste que l’histoire parle
d’elle-même et nous invitons les croyants chrétiens à la juger selon les
Écritures. Si Dieu veut que toute partie
de ce témoignage soit destinée à Sa gloire ou pour encourager Son peuple,
alors, nous prions pour que Son Esprit travaille dans les cœurs des lecteurs de
cette manière.
Certaines
personnes nous ont dit qu’elles pensaient que le moine dans cette histoire
n’était jamais vraiment mort, mais qu’il a juste sombré dans l’inconscience et
que les choses qu’il voyait et entendait faisaient partie d’une hallucination
provoquée par sa fièvre. Quoi que vous
en pensiez, le fait demeure que les événements de cette histoire ont transformé
cet homme tellement radicalement que sa vie a effectué un virage complet à 180
degrés suite à son expérience décrite ci-dessous.
Il
a raconté courageusement et audacieusement son histoire à grands frais
personnels, y compris l’emprisonnement.
Il a été méprisé par ses parents, ses amis et collègues, et a fait face
Ă des menaces de mort pour son refus de compromettre son message.
Qu’est-ce
qui a motivé cet homme à être prêt à tout risquer ? Que nous le croyons ou non, son histoire vaut
sûrement la peine d’être lue et examinée.
En Occident cynique, beaucoup de personnes demandent des preuves
tangibles de ces choses, des preuves qui pourraient tenir debout devant une
cour de justice. Pouvons-nous garantir
absolument, sans l’ombre d’un doute, que toutes ces choses sont arrivées ? Non, nous ne le pouvons pas. Mais nous pensons qu’il est utile de raconter
l’histoire de cet homme dans ses propres mots afin que les lecteurs puissent
juger par eux-mĂŞmes.
Mes premières années
Bonjour
! Mon nom est Athet Pyan Shinthaw
Paulu. Je suis du pays du Myanmar. Je
voudrais partager avec vous mon témoignage, ce qui m’est arrivé, mais d’abord,
je voudrais donner quelques informations sur ma vie depuis mon enfance.
Je
suis né en 1958 dans la ville de Bogale, dans la zone du delta d’Irrawaddy au
sud du Myanmar (ex-Birmanie). Mes
parents, qui étaient des bouddhistes dévots, comme la plupart des gens au
Myanmar, m’ont appelé Thitpin (ce qui signifie « arbre »). Nos vies étaient très simples où j’ai
grandi. À l’âge de 13 ans, j’ai quitté
l’école et j’ai commencé à travailler sur un bateau de pêche. Nous avons pris des poissons et parfois aussi
des crevettes dans les nombreuses rivières et ruisseaux de la région de
l’Irrawaddy. À l’âge de 16 ans, je suis
devenu le dirigeant du bateau. À cette époque,
je vivais dans l’île Mainmahlagyon (ce qui signifie « Île de la Femme
Magnifique »), juste au nord de Bogale où je suis né. Cet endroit est à environ 100 milles au
sud-ouest de Yangon (Rangoon), la capitale de notre nation.
Un
jour, à l’âge de 17 ans, nous avons pris un grand nombre de poissons dans nos
filets. En raison des nombreux poissons,
un grand crocodile s’est intéressé à nous. Il a suivi notre bateau et a tenté
de nous attaquer. Nous étions terrifiés
et nous avons frénétiquement ramé pour diriger nos bateaux vers la berge aussi
vite que nous le pouvions. Le crocodile
nous a suivi et a fracassé notre bateau avec sa queue. Bien que personne n’ait été tué dans cet
incident, l’attaque a grandement affecté ma vie. Je ne voulais plus pêcher. Notre petit bateau a coulé à cause de
l’attaque du crocodile. Nous avons dû
rentrer Ă la maison au village cette nuit sur un bateau de passagers.
Peu
de temps après, mon père a été transféré à la ville de Yangon (anciennement
Rangoon). À l’âge de 18 ans, j’ai été
envoyé dans un monastère bouddhiste pour être un moine novice. La plupart des parents au Myanmar essaient
d’envoyer leur fils dans un monastère bouddhiste, au moins pour un certain
temps, parce que c’est considéré comme un grand honneur d’avoir un fils servant
de cette façon. Nous avons observé cette
coutume depuis plusieurs centaines d’années.
Un disciple zélé de Bouddha
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l’âge de 19 ans et 3 mois (en 1977), je suis devenu un moine normal. Le moine supérieur de mon monastère m’a donné
un nouveau nom bouddhiste, ce qui est la coutume dans notre pays. Je m’appelais maintenant U Nata Pannita
Ashinthuriya. Quand nous devenons moine,
nous n’utilisons plus le nom qui nous a été donné à la naissance par nos
parents. Le nom du monastère où je
vivais est Mandalay Kyaikasan Kyaing. Le
nom du moine supérieur était U Zadila Kyar Ni Kan Sayadaw (U Zadila est son
titre). Il était le plus célèbre moine
bouddhiste de tout le Myanmar à l’époque.
Tout le monde savait qui il Ă©tait.
Il était largement honoré par le peuple et respecté comme un grand
maître. Je dis qu’il « était » parce
qu’en 1983, il mourut subitement quand il a été impliqué dans un accident de
voiture mortel. Sa mort a choqué tout le
monde. À l’époque j’avais été moine
pendant six ans.
J’ai
essayé d’être le meilleur moine que je pouvais et de suivre tous les préceptes
du bouddhisme. À un moment, j’ai
déménagé dans un cimetière où j’ai vécu et médité continuellement. Certains moines qui veulent vraiment
connaître les vérités de Bouddha font ce genre de choses. Certains se déplacent profondément dans les
forêts où ils vivent une vie d’abnégation et de pauvreté. Je cherchais à nier mes pensées et mes désirs
égoïstes, à échapper à la maladie et à la souffrance, et à me libérer du cycle
de ce monde. Au cimetière, je n’avais
pas peur des fantômes. J’ai essayé
d’atteindre une telle paix intérieure et la réalisation de soi que, quand un
moustique atterrissait sur mon bras, je le laissais me piquer au lieu de le
repousser !
Pendant
des années, je me suis efforcé d’être le meilleur moine possible et de ne
jamais nuire à tout être vivant. J’ai
étudié les enseignements sacrés bouddhistes comme tous mes ancêtres l’avaient
fait avant moi. Ma vie s’est déroulée
comme un moine jusqu’à ce que je devienne malade, très malade. J’étais à Mandalay à l’époque et j’ai dû être
transporté à l’hôpital pour des traitements.
Les médecins ont fait quelques tests sur moi et m’ont dit que je devais
avoir à la fois la fièvre jaune et le paludisme en même temps ! Après environ un mois à l’hôpital, je ne
faisais qu’empirer. Les médecins m’ont
dit qu’il n’y avait aucune chance pour moi de rĂ©cupĂ©rer et ont commencĂ© Ă
prendre des dispositions pour ma mort.
Il
s’agit d’une brève description de mon passé.
Je voudrais maintenant vous raconter certaines des choses remarquables
qui me sont arrivées par la suite …
Une vision qui a changé ma vie pour
toujours
Après
avoir été libéré de l’hôpital, je suis retourné au monastère où d’autres moines
se sont occupés de moi. Je suis devenu
de plus en plus faible et j’ai commencé à sombrer dans l’inconscience. J’ai appris plus tard que j’avais réellement
été mort pendant trois jours. Mon corps
pourrissait et puait la mort, et mon cœur s’est arrêté de battre. Mon corps a été préparé pour la crémation et
a été soumis aux rites traditionnels de la purification bouddhiste.
Bien
que mon corps s’éteignait, je me souviens que mon esprit était en état
d’alerte. J’étais dans une tempête très, très puissante. Un vent terrible aplatissait tout le paysage
jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’arbres ou toute autre chose, juste une
plaine. Je marchais très vite le long de
cette plaine depuis un certain temps. Il
n’y avait pas d’autres personnes, j’étais tout seul. Après quelque temps, j’ai traversé une
rivière. De l’autre côté de la rivière,
j’ai vu un terrible, terrible lac de feu.
Dans le bouddhisme, nous n’avons pas de concept d’un lieu comme
celui-ci. Au début, je ne comprenais pas
et je ne savais pas que c’était l’enfer jusqu’à ce que je vois Yama, le roi de
l’enfer (Yama est le nom attribué au roi de l’enfer dans de nombreuses cultures
à travers l’Asie). Son visage
ressemblait à celui d’un lion, son corps était comme un lion, mais ses jambes
Ă©taient comme un naga (esprit du serpent).
Il avait un certain nombre de cornes sur la tête. Son visage était très féroce et j’étais
terrifié. Tremblant, je lui ai demandé
son nom. Il répondit : « Je suis le roi
de l’enfer, le Destructeur ».
Le
terrible, terrible lac de feu
Le
roi de l’enfer m’a dit de regarder dans l’étang de feu. J’ai regardé et j’ai vu les robes de couleur
safran que les moines bouddhistes portent au Myanmar. J’ai regardé de plus près et j’ai vu la tête
rasée d’un homme. Quand j’ai regardé le
visage de l’homme, j’ai vu que c’était U Zadila Kyar Ni Kan Sayadaw (le célèbre
moine qui était mort dans un accident de voiture en 1983). J’ai demandé au roi de l’enfer pourquoi mon
ancien dirigeant était confiné à ce lac de tourment. J’ai dit : « Pourquoi est-il dans ce lac de
feu ? Il était un très bon
professeur. Il y avait mĂŞme une cassette
d’enseignement appelée : « Êtes-vous un homme ou un chien ? », ce qui a aidé
des milliers de gens à comprendre que leur valeur en tant qu’être humain est
beaucoup plus grande que celle des animaux ».
Le roi de l’enfer répondit : « Oui, il était un bon professeur, mais il
ne croyait pas en Jésus-Christ. C’est
pourquoi il est en enfer. »
On
m’a dit de regarder une autre personne qui était dans le feu. J’ai vu un homme avec des cheveux très longs
enroulés sur le côté gauche de sa tête.
Il portait Ă©galement une robe.
J’ai demandé au roi de l’enfer, « Qui est cet homme ? » Il répondit : « C’est celui que vous adorez :
Gautama (Bouddha). » J’ai été très
troublé de voir Gautama en enfer. J’ai
protesté, « Gautama avait une bonne moralité, pourquoi souffre-t-il dans ce lac
de feu ? » Le roi de l’enfer me répondit
: « Ce n’est pas important qu’il soit bon.
Il est dans cet endroit parce qu’il ne croyait pas dans le Dieu éternel.
»
J’ai
alors vu un autre homme qui semblait porter un uniforme de soldat. Il avait une large blessure sur la
poitrine. J’ai demandé, « Qui est cet
homme ? » Le roi de l’enfer dit : «
C’est Aung San, le leader révolutionnaire du Myanmar. » On m’a dit, « Aung San est ici parce qu’il a
persécuté et tué des chrétiens, mais surtout parce qu’il ne croyait pas en
Jésus-Christ. » Au Myanmar, les gens ont
un dicton, « Les soldats ne meurent jamais, ils vivent ». On m’a dit que les légions de l’enfer ont un
dicton : « Les soldats ne meurent jamais, mais ils vont en enfer pour toujours.
»
J’ai
regardé et j’ai vu un autre homme dans l’étang de feu. C’était un homme très grand et il était vêtu
d’une armure militaire. Il tenait aussi
une épée et un bouclier. Cet homme avait une blessure sur son front. Cet homme était plus grand que toute personne
que j’avais pu jamais voir. Il était six
fois la longueur d’entre le coude d’un homme et le bout de ses doigts quand il
étire son bras droit devant, plus l’espace des doigts d’un homme quand il étend
sa main. Le roi de l’enfer dit : « Le
nom de cet homme est Goliath. Il est en
enfer parce qu’il a blasphémé contre L’Éternel Dieu et Son serviteur David.
» J’étais confus parce que je ne savais
pas qui Ă©taient Goliath ou David. Le roi
de l’enfer dit : « Goliath est enregistré dans la Bible chrétienne. Vous ne le connaissez pas maintenant, mais
quand vous deviendrez chrétien vous saurez qui il est. »
J’ai
ensuite été emmené dans un endroit où j’ai vu des personnes riches et pauvres
se préparant à manger leur repas du soir.
J’ai demandé, « Qui prépare la nourriture pour ces gens ? » Le roi de l’enfer répondit : « Les pauvres
doivent préparer leur propre nourriture, mais les riches font cuisiner les
autres pour eux. » Quand la nourriture avait été préparée pour les riches, ils
s’assirent pour manger. Dès qu’ils ont commencé une épaisse fumée a été
soulevée. Les riches mangeaient aussi
vite qu’ils le pouvaient pour soulager leur conscience. Ils avaient de la difficultĂ© Ă respirer Ă
cause de la fumée. Ils devaient manger
très vite parce qu’ils avaient peur de perdre leur argent. Leur argent est leur dieu.
Un
autre roi de l’enfer est alors venu vers moi.
J’ai aussi vu un être dont le travail consiste à attiser les feux sous
le lac de feu, à le garder très chaud.
Cet être m’a demandé : « Allez-vous dans l’étang de feu aussi ? » J’ai répondu : « Non, je ne suis ici que pour
observer ! » L’apparition de cette
créature attisant le feu était très terrifiante. Il avait dix cornes sur la tête et une lance
à la main qui avait sept lames tranchantes en provenance de la fin. La créature m’a dit : « Vous avez raison.
Vous n’êtes ici que pour observer. Je ne
peux pas trouver votre nom ici. » Il a
dit : « Vous devez maintenant retourner d’où vous venez. » Il m’a dirigé vers la plaine désolée où
j’avais d’abord marché pendant un certain temps avant d’arriver à l’étang de
feu.
La route de la décision
J’ai
marché longtemps, jusqu’à ce que je saigne.
J’avais chaud et en grandes douleurs.
Enfin, après avoir marchĂ© pendant environ trois heures, je suis arrivĂ© Ă
une route large. J’ai marché le long de
cette route pendant un certain temps jusqu’à ce que j’arrive à un
embranchement. Une route, allant vers la
gauche, Ă©tait large. Une toute petite
route se dirigeait du côté droit. Il y
avait un panneau Ă la fourche disant que la route vers la gauche Ă©tait pour
ceux qui ne croyaient pas en JĂ©sus-Christ.
La petite route vers la droite est pour les croyants en JĂ©sus.
J’étais
intĂ©ressĂ© Ă voir oĂą la route large menait, alors, j’ai commencĂ© la suivre. Il y avait deux hommes qui marchaient Ă
environ 300 mètres devant moi. J’ai
essayé de les rattraper afin de pouvoir marcher avec eux, mais, peu importe les
efforts que j’y mettais, je ne pouvais pas les rattraper, donc, je me suis
retourné et j’ai rebroussé chemin vers la bifurcation de la route. J’ai continué à regarder ces deux hommes
alors qu’ils marchaient sur la route en s’éloignant de moi. Quand ils ont atteint la fin de la route, ils
ont soudainement été attaqués. Ces deux
hommes criaient en grandes douleurs !
J’ai aussi pleuré quand j’ai vu ce qui leur était arrivé ! J’ai réalisé que la plus grande route se
terminait en grands dangers pour ceux qui y voyageaient.
En regardant dans le Ciel
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la place, j’ai commencé à marcher le long de la route des croyants. Après avoir voyagé pendant environ une heure,
la surface de la route s’est transformée en or pur. L’or était si pur que quand je regardais vers
le bas, je pouvais voir ma propre réflexion parfaitement. J’ai alors vu un homme debout en face de
moi. Il était vêtu d’une robe
blanche. J’ai aussi entendu des chants
magnifiques. C’était tellement beau et
pur ! C’était beaucoup mieux et plus
significatif que le culte dans les Ă©glises que nous avons ici sur la
terre. L’homme à la robe blanche m’a
demandé de marcher avec lui. Je lui ai
demandé : « Quel est votre nom ? » Mais,
il n’a pas répondu. Après avoir demandé
son nom à six reprises, l’homme répondit : « Je suis celui qui détient la clé
vers le Ciel. Le Ciel est un très, très
bel endroit. Vous ne pouvez pas y aller
maintenant, mais, si vous suivez Jésus-Christ, vous pouvez y aller après la fin
de votre vie sur la terre ». Le nom de
l’homme était Pierre.
Pierre
m’a alors demandé de m’asseoir et il m’a montré un endroit au nord. Pierre a dit : « Regarde vers le nord pour
voir le Dieu qui a créé l’homme. » J’ai
vu L’Éternel Dieu de loin. Dieu a parlé
à un ange, « Faisons l’homme. » L’ange a
parlé avec Dieu en disant : « S’il Vous plaît, ne faites pas l’homme. Il fera
ce qui est mauvais et Vous affligera. » (En birman littéralement : « Il va Vous
faire perdre la face »). Mais, Dieu a
créé un homme de toute façon. Dieu
souffla sur l’homme et l’homme est devenu vivant. Il lui donna le nom d’« Adam ».
[Note
: les bouddhistes ne croient pas en la création du monde ou de l'homme, de
sorte que cette expérience a eu un impact significatif sur le moine].
Renvoyé avec un nouveau nom
Alors
Pierre me dit : « Maintenant, lèves-toi et retourne d’où tu viens. Parles aux gens qui vénèrent Bouddha et qui
adorent des idoles. Dis-leur qu’ils
iront en enfer s’ils ne changent pas.
Ceux qui construisent des temples et des idoles iront aussi en
enfer. Ceux qui donnent des offrandes
aux moines pour gagner des mérites pour eux-mêmes iront en enfer. Tous ceux qui prient les moines et les
appellent « Pra » (titre respectueux pour les moines) iront en enfer. Ceux qui chantent et « donnent la vie » aux
idoles iront en enfer. Tous ceux qui ne croient
pas en Jésus-Christ iront en enfer. »
Pierre m’a dit de retourner sur la terre et de témoigner des choses que
j’avais vues. Il a également dit : « Tu
vas devoir parler avec ton nouveau nom.
DĂ©sormais, tu t’appelleras Athet Pyan Shinthaw Paulu « Paul qui revint Ă
la vie ».
Je
ne voulais pas revenir en arrière. Je
voulais aller au Ciel. Les anges ont
ouvert un livre. D’abord, ils ont
cherché le nom d’enfance (Thitpin) dans le livre, mais, ils ne pouvaient pas le
trouver. Ils ont ensuite cherché le nom
qu’on m’avait donné en devenant moine bouddhiste (U Nata Pannita Ashinthuriya),
mais, ce n’était pas écrit dans le livre non plus. Alors Pierre a dit : « Ton nom n’est pas
écrit ici, tu dois retourner et témoigner de Jésus au peuple bouddhiste. »
Je
suis retourné sur la route d’or. Encore
une fois, j’ai entendu les beaux chants, le genre dont je n’avais jamais
entendu avant ou depuis. Pierre a marché
avec moi jusqu’au moment où je suis retourné sur la terre. Il m’a montré une échelle qui descendait du
Ciel dans les cieux. L’échelle ne
parvenait pas à la terre, mais, elle s’arrêtait à mi-chemin. Sur l’échelle, j’ai vu beaucoup d’anges,
certains allant jusqu’au Ciel et certains descendant l’échelle. Ils étaient très occupés. J’ai demandé à Pierre : « Qui sont-ils ?
» Pierre répondit : « Ce sont les
messagers de Dieu. Ils rapportent au
Ciel les noms de tous ceux qui croient en JĂ©sus-Christ et les noms de ceux qui
n’y croient pas. » Pierre m’a alors dit
qu’il était temps de revenir en arrière.
C’est un fantôme !
La
prochaine chose que j’ai entendue était le bruit des pleurs. J’ai entendu ma mère crier : « Mon fils,
pourquoi avoir quitté maintenant ? »
J’ai aussi entendu beaucoup d’autres gens qui pleuraient. J’ai réalisé que je me trouvais dans une
boîte. J’ai commencé à bouger. Ma mère et mon père ont commencé à crier : «
Il est vivant ! Il est vivant ! »
D’autres personnes qui se trouvaient plus loin ne croyaient pas mes
parents. J’ai alors placé mes mains sur
les côtés de la boîte pour m’asseoir.
Beaucoup de gens ont été frappés de terreur. Ils criaient : « C’est un fantôme ! » Et, ils s’enfuirent aussi vite que leurs
jambes pouvaient les porter.
Ceux
qui restaient Ă©taient sans voix et tremblaient.
J’ai remarqué que j’étais assis dans un liquide malodorant et des
fluides corporels, de quoi remplir environ trois tasses et demie. C’était le liquide qui était sorti de mon
ventre et de mes entrailles tandis que mon corps était couché dans le cercueil. C’est pourquoi les gens savaient que j’avais
réellement été mort. À l’intérieur du
cercueil il y avait une sorte de feuille de plastique fixée au bois. Cette feuille est placée là pour retenir les
liquides d’un cadavre, parce que beaucoup de cadavres dégagent beaucoup de
liquide comme je l’avais fait.
J’ai
appris plus tard que j’étais à quelques minutes de la crémation dans les
flammes. Au Myanmar, les gens sont
placés dans un cercueil, le couvercle est alors cloué, et tout le cercueil est
brûlé. Quand je suis revenu à la vie, ma
mère et mon père avaient été autorisés à regarder mon corps pour la toute
dernière fois. Quelques instants plus tard, le couvercle de mon cercueil aurait
été cloué et j’aurais été incinéré !
J’ai
immédiatement commencé à expliquer les choses que j’avais vues et entendues.
Les gens ont été étonnés. Je leur ai parlé des hommes que j’avais vus dans
l’étang de feu et leur ai dit que seuls les chrétiens connaissaient la vérité,
que nos ancêtres et nous avons été trompés pendant des milliers d’années ! Je leur ai dit que toutes nos croyances
Ă©taient un mensonge. Les gens Ă©taient
étonnés parce qu’ils savaient quel genre de moine j’étais et comment j’étais
très zélé pour les enseignements du Bouddha.
Au
Myanmar, quand une personne meurt, son nom et son âge sont écrits sur le côté
du cercueil. Quand un moine meurt, le
nom du moine, son âge et le nombre d’années qu’il a servi en tant que moine
sont écrits sur le côté du cercueil.
J’avais déjà été enregistré comme mort, mais, comme vous pouvez le voir,
maintenant je suis vivant !
Épilogue
Depuis
que « Paul qui est revenu à la vie » a connu l’histoire ci-dessus, il est resté
un fidèle témoin du Seigneur Jésus-Christ.
Les pasteurs birmans nous ont dit qu’il avait conduit des centaines
d’autres moines à la foi en Jésus-Christ.
Son témoignage est évidemment très intransigeant. De ce fait, son message a offensé beaucoup de
gens qui ne peuvent pas accepter qu’il y ait un seul chemin vers le Ciel, Le
Seigneur Jésus-Christ. Malgré une forte
opposition, ses expériences ont été tellement réelles pour lui qu’il n’a jamais
faibli. Après de nombreuses années comme
moine bouddhiste, comme un disciple strict des enseignements bouddhistes, il a
proclamé immédiatement l’Évangile de Jésus-Christ après sa résurrection et
exhorté les autres moines à abandonner tous les faux dieux et à suivre
Jésus-Christ de tout leur cœur. Avant la
période de sa maladie et de sa mort, il n’avait jamais entendu parler des
enseignements du christianisme. Tout ce
qu’il a appris pendant ces trois jours dans le tombeau était nouveau à son
esprit.
Dans le but de faire passer son message au plus grand nombre possible de personnes, ce Lazare des temps a commencé à distribuer des cassettes audio et
vidéo contenant son histoire. La police
et les autorités bouddhistes au Myanmar ont fait de leur mieux pour rassembler
ces cassettes afin de les détruire. Le témoignage que vous venez de lire a été
traduit à partir d’une de ces cassettes. On nous dit qu’il est maintenant très
dangereux pour les citoyens du Myanmar d’être en possession de ces cassettes.
Son
témoignage courageux lui a valu la prison au moins une fois, où les autorités
ont Ă©chouĂ© dans leur tentative de le faire taire. Après sa libĂ©ration sa libĂ©ration, il a continuĂ© Ă
témoigner de ce qu’il avait vu et entendu. Sa situation actuelle est incertaine. Un informateur birman nous a dit qu’il était en prison et qu’il pourrait avoir été tué, tandis qu’un autre informateur a dit qu’il est maintenant libéré
de prison et qu’il continue son ministère.
http://www.bibleprobe.com/backfromthedead.htm
Traduit
par PLEINSFEUX.ORG