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De quel sceau sommes-nous marqués ?
de OLIVIER FREYRE
Descends-donc en toi-même aujourd’hui, place-toi devant Celui dont le Nom est éternel, et entends-Le te demander : « De quel sceau es-tu marqué ? »







Par le pasteur Olivier Freyre

 

Le texte qui suit est une retranscription d’une intervention et d’une parole prophétique qui ont été données par le pasteur Olivier Freyre pendant le culte du 19 août à Ganties.

 

Mises à part les deux paroles d’introduction et les parenthèses évoquant des références scripturaires, nous avons laissé la prière et la parole prophétique au plus proche de ce qui a été vécu lors de ce culte, dans le but de rester fidèles à ce que Dieu a voulu transmettre : un appel profond et urgent pour la vie de chacun.

 

Dieu est venu nous interpeler sur le sens de la marque de la bête et du mystère de l’Antichrist, un mystère plus avancé et moins évident que ce qui nous paraît admis communément. Un mystère par lequel nous pouvons subtilement nous laisser envelopper, ou face auquel nous sommes plus que jamais appelés à tenir ferme.

 

Cette parole nous donne de pouvoir sonder nos cœurs devant Dieu, considérer alors toute notre vie, et peut-être prendre les décisions qui s’imposent…

 

« L’Eternel lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de JĂ©rusalem, et fais une marque sur le front  des hommes qui soupirent et qui gĂ©missent Ă  cause de toutes les abominations qui s’y commettent. » (EzĂ©chiel 9:4).

 

« Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. » (1 Corinthiens 2:9)

 

« Bien-aimés, dans la Parole de Dieu, et en particulier dans l’Apocalypse, il y a deux marques

apposées comme un sceau sur le front des habitants de la terre ou des serviteurs de Dieu.

Il y a la marque de la bĂŞte et il y a la marque de Dieu, la marque du nom de la bĂŞte et la marque du Nom de Dieu.

 

De quel sceau es-tu marqué ?

 

Il n’y a pas trois marques, il n’y en a que deux…

Soit la marque de la bête, la marque du diable, la marque de l’Antichrist, la marque de ce monde, la marque dont le nombre est celui l’homme, de la chair, la marque d’une apparence d’un paradis terrestre qui est pourtant un chemin vers l’enfer (Apocypse 13:16-17 ; 14 :9-11) ;

 

Soit la marque de Dieu, de Son Nom ineffable, la marque de la sainteté de Dieu, la marque de

l’amour de Dieu, la marque de la sanctification, la marque de Son feu sacré au-dedans de nous

(Ap 7:3 ; 14:1). 

 

Quelle marque portes-tu sur le front, bien-aimé ?

 

Les Ecritures nous disent la vérité, mais les mystères qu’elles énoncent sont révélés à ceux qui

aiment Dieu. De grâce, au lieu de chercher, comme le font un grand nombre de chrétiens, des

théories tout humaines, ne passe pas à côté de ce qu’énoncent les mystères de la Parole de Dieu…

 

Descends-donc en toi-même aujourd’hui, place-toi devant Celui dont le Nom est éternel, et

entends-Le te demander :

« De quel sceau es-tu marqué ? »

 

Es-tu marqué par le prince de ce monde dont le nom est Satan, le malin, le subtil, ou es-tu marqué de la marque du Dieu qui t’a mis à part, de la marque de l’Eternel, du Tout-Puissant ?

 

Regardons chacun à notre Dieu en ces instants…

 

Quelle marque as-tu sur ton cœur, quelle marque as-tu sur ton front, quelle marque as-tu sur ta

main ?

 

Oh, considère ta vie, bien-aimé, et place-toi devant le Dieu vivant ce matin. »

 

« Ecoute Mon peuple et Je te parlerai,

Ă©coute Mon peuple et Je t’avertirai, 

Ă©coute Mon peuple et Je te montrerai 

ce que par tes yeux tu ne peux point voir, 

ce que par tes oreilles tu ne peux point entendre.

Oh, si tu pouvais Ă©couter, si tu pouvais t’approcher, 

alors tu percevrais ce que tu ne perçois pas, 

alors tu entendrais ce que tu n’entends pas, 

et alors tu marcherais comme Je t’appelle Ă  marcher, 

tu serais ce que Je t’appelle Ă  ĂŞtre, 

alors tu serais ce que Je soupire que tu deviennes.

 

Qui verra ce que l’œil n’a point vu, qui entendra ce qui n’est pas monté au cœur de l’homme ?

Qui donc pourrai-Je envoyer ?

J’enverrai celui qui verra et J’enverrai celui qui entendra…

 

Alors Ă©coute, Ă´ Mon peuple, et lève les yeux vers le Roi de gloire qui vient bientĂ´t et qui a Ă©tĂ© crucifiĂ© ! 

Apprends à te détourner de ton cœur et à entendre le Mien, dit le Seigneur.

Apprends Ă  dĂ©poser ta vie et Ă  recevoir celle de Mon Fils, apprends Ă  ne pas battre de l’air mais Ă  recevoir le souffle de Ma saintetĂ©. 

Alors Je ferai de toi un témoin, un témoin dont ce monde inconscient et pécheur a tant besoin.

 

Quelle sera la marque sur ton front, quelle sera la marque sur ta main ?

Reviens, et considère ce que sont Mes voies pendant qu’il est encore temps, laisse-Moi faire de ta vie  ce pour quoi tu es destinĂ©, ce pour quoi Je t’ai recrĂ©Ă©, car Je viens bientĂ´t. »

 

« Ô si tu pouvais maintenant, Père éternel, accomplir cette parole, et poser Ta main, et marquer de Ton sceau tout ceux qui auront pu voir et entendre quelque chose de Toi ce matin;

alors embrase-les de ce feu, de ce brasier ardent, qui consumera toute marque de la bĂŞte, et qui scellera ce sceau et cette sainte marque qui vient de Toi, qui est Tienne.

Eternel, pose Ta bonne main sur nous, et scelle pour Toi le peuple que Tu T’es acquis. »

 

Source : http://www.lespoir.fr

 

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