L’origine et Les vrais responsables des
attentats de Paris dévoilés dans la Torah d’Israël - Paracha Toldot
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Genèse 25.19 à 28.9 - Toldot signifie «
L'histoire » et/ou « Engendrements »
Accrochez votre ceinture spirituelle car
jamais la
paracha étudiée ce 13 novembre 2015 n’a été
aussi proche de l’actualité : toutes les clés de la compréhension au sujet des
terribles attentats de Paris y sont présentes. Comme l’enseignent les sages
d’Israël : il est important que l’homme étudie/enseigne la Torah là où
se trouve son cœur. Le cœur de beaucoup est encore
marqué par les derniers événements dramatiques. C’est le moment de
s’arrêter et d’essayer de comprendre en détail ce que la Torah de Dieu
veut nous dire.
« Un cœur intelligent
cherche la connaissance » (Proverbes 15.14)
Introduction
Comme nous le disons et l’expérimentons
régulièrement et ainsi que l’enseignent les sages d’Israël, l’étude de la
paracha de chaque semaine a ceci d’extraordinaire qu’elle est toujours liée de
près ou de loin aux actualités et/ou à des événements ayant lieu dans le monde
ou dans nos vies personnelles. Pas étonnant que Yéshoua lui-même approuvait ce
système d’étude inspiré de Dieu.
Afin de saisir la grandeur du message, il
est nécessaire de revoir en détail plusieurs concepts et enseignements
fondamentaux qui seront nécessaires pour la bonne compréhension du message
délivré par la Torah au sujet du conflit entre le monde et l’Islam radical.
Bien que très longue, cette étude s’avère des plus cruciale en raison de la
puissance des dévoilements qu’offre la Torah d’Israël à ceux qui ont l’amour de
la vérité, à l’image de ce que Dieu dira à Daniel : « Toi,
Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps de la
fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. » (Daniel
12.4)
La Torah est la
source de toute compréhension.
Les sages d’Israël enseignent que La Torah
est comme le logiciel, le microcosme de l’histoire d’Israël et de
l’humanité. Tout ce qui se passe dans ce monde a forcément une allusion
dans la Torah. La Torah décrit des mécanismes, des modèles qui se répètent dans
chaque génération, que cela soit au niveau collectif ou individuel. C’est pour
cela que le messager Polos (Paul), en parlant du Tanakh, c’est à dire des
Écrits de la Bible hébraïque (de Genèse à Malachie, c’est à dire Torah +
prophètes, psaumes et autres écrits), insiste :
« Tout
ce qui a été écrit d’avance l’a été pour notre instruction » (Romains
15.4) et encore : « Toute l’Écriture (Tanakh) est divinement
inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former
à la justice » (2 Timothée 3.16)
Paul, élevé au pied d’un sage reconnu dans
le judaïsme (Gamaliel), connaissait ce principe énoncé par les sages d’Israël :
« Maassé
avot siman lebanim » – « Tout ce qui est arrivé aux
pères (les patriarches) est un signe pour les fils ».
Cela signifie que le peuple d’Israël (et
le monde entier), dans son histoire, revit les mêmes péripéties que celles
racontées dans la Torah mais à des niveaux et sous des formes différentes.
La Torah est un peu comme la carte d’identité d’Israël. Avec cette grande
différence, et c’est là qu’est la difficulté d’analyse, que les Patriarches ont
vécu cette histoire à l’échelle individuelle tandis que leur histoire et les
mécanismes que Dieu nous dévoile peuvent s’habiller non plus dans un
personnage, mais dans un peuple, une nation, ou une idéologie comme nous le
verrons largement dans cette étude et comme une multitude d’exemple existe à ce
sujet (Par exemple, lire le livre « le code d’Esther » pour
voir les liens nombreux et surréalistes entre la Shoah et le livre d’Esther
dans la Bible).
Dans la Torah, nous trouvons donc tous les
mécanismes et tous les principes fondamentaux permettant de comprendre chaque
événement de l’histoire humaine, que cela soit au niveau personnel ou mondial.
Tout la problématique consiste à avoir les clés de la compréhension pour
dévérouiller les portes de la vérité, conduit par l’Esprit de l’Eternel comme
promit pour tous ceux qui se confieront en Dieu et croiront en son Messie
Yéshoua :« l’Esprit de vérité, il vous conduira dans
toute la vérité » (Jean 16.13). On comprend pourquoi David
priait de tout son cœur ainsi : « Donne-moi l’intelligence,
pour que je garde ta TORAH Et que je l’observe de tout mon cœur !
»(Psaumes 119.36)
Egalement, Les
Maîtres d’Israël enseignent que le monde d’en bas a été créé selon les
principes du monde d’en haut : tout ce qui se passe dans ce monde, tous les
mécanismes et les réalités observées sont le reflet de
réalités spirituelles dans le monde d’en Haut.
Ce n’est pas sans raison que Yéshoua
utilisait de nombreuses paraboles et des similitudes terrestres pour faire
comprendre les choses célestes ou spirituelles.
Il fera lui même le parallèle : « Si
vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment
croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ? » (Jean
3.12) et encore : « Que la volonté de Dieu soit faite sur
la terre comme au ciel » (Matthieu 6.10)
La Torah nous enseigne donc que ce monde
matériel et physique est le reflet de principes et de lois spirituelles situées
à un niveau beaucoup plus élevé comme nous le montre également ce passage de la
Brit Hadasha (alliance renouvelée) : « Un culte, image et
ombre des choses célestes, selon l’ordre divin qui fut donné à Moïse,
lorsqu’il devait dresser le tabernacle: Prends garde, lui dit-Il, de faire
tout selon le modèle qui t’a été montré sur la montagne. » (Hébreux
8.5)
Ainsi, prenons un exemple en contexte
qui nous servira tout au long de cette étude : dans toute scène de crime, il y
a nécessairement des indices, aussi infimes soient-ils, permettant de retrouver
les coupables et de comprendre réellement ce qui s’est passé.
Telle une enquête, nous allons prendre ce
même principe et l’appliquer aux terribles événements de ce vendredi 13
novembre 2015 afin de découvrir les indices spirituels que Dieu veut
nous transmettre afin de comprendre les sources profondes de ce mal.
De la même
façon qu’aucune scène de crime ne peut rester sans aucun indice, rien sur terre
ne se passe sans que Dieu ne laisse des traces, des indices spirituels clairs
et évidents afin de nous aider à comprendre les événements avec
vérité.
Le réflexe de
tout juif et de tout convertis à Dieu(idéalement), lorsqu’il se passe des
événements importants, est de regarder la paracha de la semaine afin de
chercher et de comprendre quel est le message de Dieu, d’où l’immense
importance d’étudier la Torah comme le faisait le Messie Yéshoua et tous les
premiers disciples juifs et non juifs qui se réunissaient notamment le Shabbat
pour grandir dans les enseignements de Dieu et de Sa Torah, à
l’aide des précieuses explications et commentaires des sages d’Israël sans
lesquels les Ecritures sont inévitablement tordues et mal interprétées comme il
est dit : « Les Lévites, expliquaient la Torah au peuple, et
chacun restait à sa place. Ils lisaient distinctement dans le livre de la
Torah de Dieu, et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu’ils
avaient lu. » (Néhémie 8.7-8)
Effectivement, les Maîtres d’Israël
enseignent que tous les indices de ce monde sont inclus dans la paracha de la
semaine d’où l’importance de sonder le message délivré lors de l’étude du
shabbat du 13 novembre 2015, date à laquelle s’est précisément produite
cette série d’attaques sur Paris.
Ces notions importantes maintenant
exposées, découvrons et analysons ensemble plusieurs versets
apparemment anodins que l’on trouve dans la paracha étudiée et examinons les
enseignements de la Torah et des sages d’Israël à ce sujet. Bien que longues,
les explications nombreuses données dans cette étude sont essentielles pour
capter à sa source le message profond de la Torah.
Résumé de la paracha :
Isaac épouse Rébecca. Vingt ans durant,
ils restent sans enfants, puis voient leurs prières exaucées. Mais Rébecca
connaît une grossesse difficile, car « les enfants luttaient en
elle ». D.ieu lui dit : « Deux nations sont
dans ton sein. L’aîné obéira au plus jeune ». Esaü apparaît
le premier suivi par Jacob tenant, de la main, le talon de son frère. Esaü
devient « un chasseur rusé, un homme des champs »,
Jacob est « un homme intègre », qui demeure dans
les tentes de l’étude. Rentrant d’une chasse, fatigué et affamé, Esaü vend son
droit d’aînesse à Jacob contre un plat de lentilles rouges.
Isaac, s’approchant de sa mort et devenu
aveugle, eut le désir de bénir l’aîné Esaü et lui transmettre ainsi la
bénédiction d’Abraham son père. Pendant qu’Esaü s’en est allé chasser le gibier
favori de son père, Rébecca fait revêtir à Jacob des vêtements d’Esaü et
enveloppe ses mains et son cou de peau de chevreau pour qu’il paraisse velu
comme lui. Elle prépare un mets, identique à celui qu’Esaü était allé quérir
pour recevoir la bénédiction, et le remet à Jacob. Isaac bénit alors
Jacob de jouir « de la rosée des cieux et des sucs de la
terre » et lui promet la domination sur son frère. Quand
Esaü, de retour, découvre la supercherie, Isaac ne peut plus que lui annoncer
qu’il vivra par l’épée et qu’il sera tributaire de son frère, mais que, lorsque
Jacob sera défaillant, il perdra sa suprématie sur lui. Jacob va à
‘Haran pour fuir la colère d’Esaü et y trouver une épouse dans la famille de
Laban, son oncle maternel. Esaü, en plus de ses deux femmes cananéenne, prend
une troisième femme, Ma’hlat, fille d’Ismaël.
Esaü, Edom, Jacob et l’empire romain
chrétien : que représentent-ils et quel est le lien ?
La portion de Torah étudiée ce shabbat du
vendredi 13 novembre 2015 parle, entres autres, d’Esaü/Edom et de sa haine
envers Jacob. A la fin de la paracha, nous y voyons aussi Esaü/Edom qui vient
faire une alliance avec Ismaël en épousant une de ses filles.
Regardons et attardons nous sur ce
que représente Edom et Esaü car
Comprendre ce
qu’enseigne la Torah et les sages d’Israël au sujet d’Edom et d’Esaü est
absolument fondamental.
Regardons le verset de la paracha dans
lequel Esaü est rapproché du nom « Edom » :
« Comme Jacob faisait cuire un
potage, Esaü revint des champs, accablé de fatigue.Et Esaü dit à Jacob
:Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-là, car je suis
fatigué. C’est pour cela qu’on a donné à Esaü le nom d’Edom. » (Genèse 25.29-30).
Premièrement, le texte nous montre qu’Esaü
= EDOM comme il est aussi écrit : « Esaü, père d’Edom » et
encore :« Esaü, c’est Edom. » (Genèse
36.9,19). Veuillez bien notez et retenir cette précision que donne la
Torah car au travers d’Edom et d’Esaü se cache une clé énorme qui éclaircira
d’avantage les messages donnés par les prophètes.
Regardons ce que rapporte certaines
sources juives au sujet d’Esaü et d’Edom :
Alors qu’elle était enceinte, leur mère,
Rebecca (Rivqa), alla consulter YHWH parce que « les enfants se
heurtaient en elle ». Elle reçut alors cet avertissement : « Deux
nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront en sortant de tes
entrailles; un peuple sera plus fort que l’autre, et le plus grand frère sera
asservi au petit » (v. 25,22-24). Selon le Talmud, HaChem (Dieu)
aurait en fait prophétisé à Rebecca :
« Deux nations
sont en ton sein, deux nations possédant chacune son univers propre, l’une la
Torah, l’autre le péché » ( Berakhot, 57b).
Dans le Midrash (commentaire de la
Torah, voir glossaire),
on en déduira que les tendances profondes de Jacob et d’Esaü se manifestaient
dès avant leur naissance:chaque fois que leur mère passait devant une
synagogue, Jacob s’agitait pour sortir, tandis que chaque fois qu’elle passait
devant un temple païen, c’est Esaü qui remuait ( GnR 63, 6) !
Le texte de la paracha montre qu’Esaü
était un chasseur, ce qui laisse entendre qu’il aimait à faire couler le sang,
qui est de couleur rouge (dans la Bible, la chasse est toujours présentée
péjorativement).
Or, c’est la même racine hébraïque qui est
à l’origine des mots désignant le rouge ( adom’ ) et le sang. C’est
tout aussi significativement qu’Esaü est explicitement désigné comme un « roux » (admôni),
couvert à sa naissance de poils roux.
Le goût d’Esaü pour le rouge ou le roux
apparaît de façon plus évidente encore dans le célèbre épisode où il abandonne
son droit d’aînesse à son frère Jacob en échange d’un plat de lentilles que ce
dernier préparait et qu’il convoitait : « Laisse-moi, je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-là (…) C’est
pour cela qu’on a donné à Esaü le nom d’Edom. ».
Tout ce passage, en hébreu, joue sur
l’étymologie des mots et des noms, le plus significatif étant évidemment
qu’Esaü désigne avec insistance les lentilles par l’expression « ce
rouge, ce rouge-là » (mine hââdôme hââdôme hazéh), et que le texte
ajoute aussitôt : « C’est pourquoi
on l’a appelé Edom » (v.
25,30).
Edom est donc le second nom d’Esaü, tout
comme Israël est le second nom de Jacob.
Esaü est appelé Edom parce qu’il est « porteur de cheveux roux et assoiffé de sang ». Il est Edom
parce qu’il est « le Rouge » (adom’). Cette équivalence est maintes fois
répétée dans la Torah : « Esaü, c’est Edom » (Gen. 36,1 et
36,8), « C’est Esaü, père d’Edom » (Gen. 36,43). (note Thomas : sans la compréhension profonde du texte original en hébreu,
nous voyons clairement comment le lecteur peut passer à côté de jeux de mots au
travers desquels Dieu donne des messages fondamentaux que seul le texte hébreu
met en évidence)
La Genèse assure qu’immédiatement après la
mort de son père Isaac, et après avoir « pris ses femmes parmi les
filles de Canaan », Esaü « partit pour le pays de Séïr » et
s’« établit dans la montagne de Séïr », où il engendra le peuple
édomite.
Dans la Bible,
Edom est cité parmi les nations hostiles à Israël que le roi Saül aurait
affrontées. Par exemple en 1 Sam. 14,47 : « Après que Saül eut pris possession de la royauté sur Israël, il fit de tous
côtés la guerre à tous ses ennemis (…) à Edom ».
Durant l’Exode, notamment, les habitants
d’Edom auraient refusé aux Hébreux de les laisser passer à travers leur
territoire, alors que Moïse était parvenu à Cadès (Nombres 20,18-21). Les
Hébreux auraient alors choisi, non de les affronter directement, mais de
contourner leur pays (Nombres 21,4).
Par la suite,
de nombreux textes de la Bible (II Rois, II Chroniques, Psaume 137, Amos 1,11,
Ezech. 35,1-9, etc.) attestent d’une haine tenace entre les deux peuples (Edom
et Israël).
La plupart d’entre eux s’appuient sur
l’équivalence Esaü-Edom pour reprocher aux Edomites d’avoir constamment agi
envers Israël de la même façon peu fraternelle qu’Esaü s’est comporté envers
Jacob.
Les Romains, en
d’autres termes, auraient hérité des valeurs et de la conception du monde que
la Bible attribue à Esaü-Edom. Mireille Hadas-Lebel est une historienne
française de l’Antiquité, spécialiste de l’histoire du judaïsme. Elle explique
une chose importante : « A cette époque, le verset : « Esaü se prit de haine pour Jacob » (Gen. 27,41) ne fait plus
seulement allusion aux simples personnages bibliques, mais aussi aux deux
nations inconciliables qu’ils sont censés représenter
». D’ailleurs, la personne du roi Hérode le Grand (cruel et
sanguinaire), ou celle de son père Antipater, tous deux descendants des
Edomites, a pu faciliter ou favoriser cette identification.
Le grand rabbin Alain Goldmann, allant
jusqu’à voir en Esaü le « prototype de tous les maux subis par Israël », écrit
:
« Nos sages
voient en Rome, la Rome antique, la personnification d’Edom, qui désigne
généralement Esaü et tous ceux qui vivent selon sa façon d’être. Pour en donner
une illustration, sachons que Rome n’avait en effet aucun égard pour le droit
et l’humanité, ne cessant d’utiliser tous les moyens de la violence et de la
ruse. Elle parvenait ainsi à posséder une force rarement égalée. Comme
Esaü, ennemi implacable de son frère, ainsi Rome fut-elle sans pitié pour
Israël, alors que Jacob-Israël est animé d’un sens profond de justice, d’amour
du prochain »
Le Rabbi Nathan fait un intéressant
commentaire : Il répond ensuite à la question : pourquoi peut-on appliquer
à Rome le verset du Deutéronome :
« et le porc, car il a le sabot fendu » ? La réponse est celle-ci : « De même que le cochon, quand il
se couche, présente d’abord ses sabots comme pour dire: voyez comme je suis
pur, de même l’empire d’Edom [Rome] se vante d’établir des tribunaux de justice
alors même qu’il commet ses violences et ses pillages » (Midrash Rabba
sur Vayikra [Lévitique] 13,5).
Le parallèle s’imposerait entre
l’hypocrisie des Romains, qui cachent leurs exactions sous des apparences de
justice, et celle du cochon, qui cache son impureté en mettant en avant ses
sabots fendus (GnR65, 1).
Note Thomas : la comparaison est très
réaliste et intelligente. La Torah nous enseigne qu’un animal, pour être
considéré comme pur, doit avoir 2 signes de pureté : ruminer et avoir les sabots fendus. La
Torah nous parle du porc comme étant un des rares animaux impurs qui présente
seulement un des deux signes de pureté exigé : Il a les sabots fendus (1er
signe) mais il ne rumine pas (absence du deuxième signe). Ainsi, les sages
utilisent à raison le porc pour décrire un type de personne ou de civilisation
qui met en avant de belles apparences et des signes extérieurs de pureté
(sabots fendus) mais dont l’intérieur est impur, c’est à dire contre les lois
de Dieu, non conforme (ne rumine pas). Ce type de personne ou de civilisation
est le plus dangereux car séducteur et trompeur. C’est ce que la Brit Hadacha
appelera « tombeau blanchi » ou encore « apparence de piété ».
Cette remarque est absolument intéressante
dans le mesure où c’est précisément ce que l’on observe dans l’histoire du
christianisme paganisé, notamment au travers du catholicisme romain et aujourd’hui
encore dans une partie du protestantisme qui hérite de l’ADN catholique : sous
des apparences de piété, le catholicisme a été à l’origine des plus grands
actes et discours antisémites de l’histoire inspirant même Hitler (voir plus
bas). Le christianisme officiel a également déformé et tordu le sens de
nombreux passages des Saintes-Écritures, supprimant ainsi de nombreux
commandements de Dieu (rebelle à la loi de Dieu), ce qui lui a aussi valu de
sombrer dans l’idolâtrie, sans même parler des atrocités commises lors de
l’inquisition, et le tout sous couvert de religion. Aujourd’hui encore, même
dans le monde protestant, beaucoup ont ce mépris conscient ou inconscient
envers le peuple juif, toujours atteint à des degrés plus ou moins profond de
ce perfide venin de la théologie du remplacement et de la fausse doctrine de
l’abolition de la loi :
Rebelle aux lois de Dieu, idolâtrie, sang
ROUGE versé, haine envers Israël et envers les chrétiens qui observent la
Saine Doctrine (Torah, Loi de Dieu) : nous avons ici toutes les
caractéristiques principales d’EDOM/ESAÜ.
Spirituellement, l’entité mondiale appelée
« christianisme » (catholicisme + une partie du protestantisme qui ne
proteste plus) est effectivement comparable en tout point à EDOM/ESAÜ.
Ainsi, de Jacob sortiront les 12 tribus
d’Israël et donc le peuple d’Israël, qu’Esaü/Edom porte en haine jusqu’à
aujourd’hui encore. d’Esaü sortira le peuple édomite et, bien que le peuple
physique ne perdurera pas, l’esprit et l’idéologie édomique se propageront jusqu’à
la fin de l’histoire humaine, ainsi que nous le montre les prophètes qui citent
régulièrement Edom et Esaü dans les prophéties relatives aux temps de
la fin.
Les vérités
révélées dans la Torah sont parfaites et éternelles et, selon les époques, elles
prennent des habillage différents mais demeurent les mêmes.
Ainsi, cette haine et cette rivalité
antique entre Esaü-Edom et Jacob-Israël trouve son origine dans notre
paracha :
« Esaü conçut de la haine contre
Jacob,
à cause de la bénédiction dont son père
l’avait béni; et Esaü disait en son coeur : Les jours du deuil de mon père vont
approcher,
et je tuerai Jacob, mon frère. » (Genèse 27.41)
Esaü/Edom est dépourvu de foi et d’intérêt
spirituel véritable. Il méprise la bénédiction divine attachée à la postérité
d’Abraham. La Torah nous le dépeint comme étant irreligieux, rebelle à toute
loi et hostile à Jacob-Israël.
Nous comprenons beaucoup mieux pourquoi
les sages d’Israël enseignent que le mot EDOM, lorsqu’il apparait dans la
Bible, fait aussi référence à l’empire romain et aujourd’hui à l’europe
chrétienne (Occident + Etats-Unis). Plusieurs en seront offusqués mais peu
importe, la vérité doit être dite : Comme Esaü/Edom, l’empire romain et le
catholicisme romain avec une large partie du protestantisme, ont largement
démontré leur haine/mépris envers Israël et leur rébellion face aux lois de
Dieu : « Je tuerai Jacob, mon frère » (à prendre aussi au
sens spirituel).
Dans son excellent ouvrage « La
paracha, compilation de commentaires et d’histoires », le Rav Eliaou
Hassan rapporte un enseignement précieux au sujet du verset « Laisse-moi,
je te prie, manger de ce rouge, de ce rouge-là, car je suis
fatigué. C’est pour cela qu’on a donné à Esaü le nom d’Edom. » :
« Le verset est très surprenant, en effet
une personne qualifie un plat de rouge, et pour cela elle est nommée de la même
façon ? (« Adom » veut dire « rouge » en hébreu). Nos « Hakhamim (sages)
nous enseignent que lorsqu’Essav(Esaü) naquit, il était tout rouge, on eut
alors un doute. Était-ce un signe qu’il aurait une attirance particulière pour
le sang, ou bien était-ce simplement dû à la couleur qu’ont certains bébés en
naissant, parce que leur sang n’est pas encore bien diffusé dans tout le corps
?
Esaü grandit et le doute se dissipa.
Lorsqu’il se trouva devant le plat de lentilles et qu’il exprima le désir d’en
manger en le désignant par son aspect extérieur uniquement, et plus précisément
par sa couleur, cela signifiait qu’il avait bien une attirance particulière
pour le rouge et ce que cette couleur symbolise. Il avait donc bien une
tendance sanguinaire et on le nomma « Edom » pour cela.
Les commentateurs nous expliquent que
lorsqu’un personnage s’exprime pour la première fois dans la Torah, il affiche
alors sa personnalité et l’essence de sa nature. Dans notre verset, c’est la
première fois qu’Esaü parle, regardons ce qu’il nous dit, et projetons-nous
dans l’histoire, sachant qu’il est le père de l’occident :
Fais moi avaler : Voracité
Je te prie : Politesse, bonne manière, courtoisie. Malgré sa voracité, il n’oublie
pas les civilités. L’occident a cette caractéristique de faire les pires
horreurs tout en ayant l’air les plus civilisé du monde.
Du rouge, de ce rouge là : Il regarde surtout à l’extérieur, aux apparences, il voue un culte au
beau. (note Thomas : + attrait au sang,
tendance sanguinaire) »
Je suis (fatigué) : Il est écrit « Anokhi », terme utilisé par Dieu lui même.
Note Thomas : cette remarque est d’une grande importance. Regardez ce que dit le
Malbim, un sage d’Israël, dans une explication rapportée par le Rav
Michael Smadja :
« Il y a une distinction entre
« ani » (je suis) et « anokhi » (JE SUIS) [utilisé ici]
pour exprimer la première personne du singulier. « Ani » veut
donner une information sur sa situation comme dans « ani omed » :
« je suis debout » et non assis. Alors que le mot
« Anokhi » donne une indication sur la personne elle-même comme
dans le verset: « Anokhi Essav bekhorékha » « je suis Essav ton
aîné », cela vient donner une indication sur l’essence même de la
personne et non sur sa situation. Et donc lorsque le verset s’exprime
ainsi: « Anokhi hachem » « Je suis Hachem(D.ieu) qui t’a sorti
de our kasdim » il vient enseigner que son nom est YHWH. »
Mais alors, lorsque Esaü, pour dire «
Je suis fatigué », utilise le terme « Anokhi », terme utilisé par Dieu lui
même, le texte hébreu nous donne une grande indication que le texte français
est incapable de faire ressortir : Esaü « se prend » pour Dieu.
Encore, une fois, nous voyons que sans la compréhension profonde du
texte original en hébreu, le lecteur peut passer à côté de jeux de mots au
travers desquels Dieu donne des messages fondamentaux que seul le texte hébreu
met en évidence.
Regardez ce que dit la suite de
l’enseignement rapporté par le Rav Eliaou Hassan et qui confirme l’enseignement
du Malbim :
« Esaü « EST » (Anokhi) et il se prend
pour D… Nous voyons effectivement combien l’occident se prend pour Dieu car il
a d’une certaine façon usurpé sa place puisqu’il nie son existence. Il se croit
tout puissant parce qu’il a inventé l’électricité, la bombe, le vaccin.
Big-Bang, préhistoire, il croit pouvoir tout faire, tout expliquer, à tel point
que les petits enfants en France par exemple, apprennent que l’homme descend du
singe… Dominateur et conquérant, Esaü se croit invincible (voir les multiples
conquêtes du monde occidental et ses multiples colonies)… »
Note Thomas : Ce n’est pas hasardeux si, dans le christianisme
« officiel » très lié à l’Esprit d’Esaü/Edom, cette usurpation des
attributs de la divinité est également présente au travers du Pape et de la
vierge Marie, qui, littéralement, ont volé la place de Dieu par le culte qu’ils
reçoivent (Selon les sources catholiques, Marie est l’avocate, la porte,
l’espérance et co-rédemptrice ; le pape est le remplaçant du Messie (vicaire),
infaillibilité de ses enseignements etc) et, dans le protestantisme, si le pape
a été remplacé dans une certaine mesure par le pasteur, la messe par le culte,
nous voyons par exemple un enseignement répandu dans le mouvement « parole
de foi » consistant à faire des croyants des « petits
dieux ». La doctrine des “petits dieux”, selon laquelle par la
nouvelle naissance le chrétien devient « une incarnation de Jésus de Nazareth »
(Hagin). K. Copeland, C. Dollar, B. Hinn et Joyce Meyer ont largement promu
cette doctrine. Une terrible fausse doctrine qui pourtant, est bien accueilli
par des centaines de milliers de chrétiens « protestants »…
Voyons maintenant un bref rappel
historique de cette haine antique et sanguinaire de l’empire romain envers Israël
(haine d’Esaü-Edom envers Jacob-Israël) :
Au début de ce qui est appelé couramment «
l’église primitive », lorsque les premiers chrétiens étaient pleinement
connectés à Israël sans renier en rien le judaïsme biblique et la
Torah de Dieu (Saine Doctrine, Torah), on se rappelle, en l’an 64, du massacre
de tous ces disciples juifs et non juifs suiveur de Yéshoua, qui furent
transformés en torches vivantes sur l’ordre du Dictateur Romain NERON.
Regardez maintenant un bref
échantillonnage des persécutions subit par Israël-Jacob peu après Néron :
En 70, l’armée romaine détruit
Jérusalem. Plus d’un million de juifs sont massacrés, 97 000 sont
pris en esclavage et en captivité, beaucoup arrivent à fuir.
En 132 Bar Kochba mena une guerre de
trois ans contre l’empire romain. Environ un demi million
de juifs périrent, des milliers furent vendus comme esclaves, et le reste
fut expulsé de Palestine un peu partout dans le monde.
En 135-200 : Les persécutions
romaines contre les juifs continuent. Les juifs n’ont pas le
droit de pratiquer la circoncision, ni de lire la Thora, ni de manger du pain
azyme à Pessah. Après la répression des révoltes juives,
les Romains débaptisent la terre de Judée pour
l’appeler Palestine. L’empereur romain Severus interdit de se
convertir au judaïsme.
De 325 à 418 : L’empereur romain
Constantin le Grand publie l’édit de Milan, qui retire de nombreux
droits aux juifs. Le concile de Nicée interdit aux juifs de respecter le
shabbat et déclare hérétique les pratiques de la religion juive. Les juifs se
voient retirés la citoyenneté romaine et sont expulsés de Jérusalem. L’empereur
chrétien Constantin promulgue une loi qui punit de mort le mariage entre les
chrétiens et les juifs. La conversion au judaïsme devient un crime. Le
synode laodicéen édicte que « un chrétien n’est pas autorisé à recevoir du
pain non levé d’un juif ». St Hilaire de Poitiers fait référence aux
juifs comme un peuple pervers que Dieu a maudit pour toujours. St Ephraim
tient les synagogues pour des bordels. L’évêque de Milan brûle une
synagogue en affirmant que « c’est un acte qui plait à Dieu ». St
Jérôme, qui publia une traduction de la bible, écrit au sujet des synagogues :
« si vous appelez ça un bordel, une chambre du vice, le refuge du diable,
la forteresse de satan, un endroit de dépravation des âmes, un abysse de tous
les désastres concevables, ou tout ce que vous voulez, vous êtes encore en
dessous de la réalité »
(source : http://www.europe-israel.org/2012/12/et-dire-que-certains-pensent-que-la-persecution-des-juifs-deurope-cest-la-shoah/)
Nous voyons ici clairement l’esprit
sanguinaire et de haine d’Esaü envers Jacob implantée dans l’empire Romain et
répandu dans la nouvelle fausse religion naissante : le catholicisme romain.
L’empire Romain a perduré jusqu’en 284 ap
J.-C puis, notamment avec l’empereur romain Constantin au 4ème siècle, c’est le
paganisme qui est entré dans l’église devenue officiellement la religion de
Rome, déconnecté des ses racines véritables, d’où l’appellation « le
catholicisme romain » dont le caractère édomite s’est manifesté comme
jamais : rebelle aux lois de Dieu, sanguinaire et hostile à Israël (Jacob).
Franck Viola, dans son excellent document
de référence « le christianisme paganisé » nous explique :
« Peu après que Constantin eut pris le
trône au début du quatrième siècle, l’Église devint une société organisée de
haut en bas et dans tous ses détails.
Will Durant fait une énonciation semblable
disant que le christianisme « s’est développé par l’absorption de la foi
et du rituel païens ; c’est devenue une Église triomphante héritant des
modèles et du génie de l’organisation de Rome… comme la Judée lui avait
donné l’éthique du christianisme, et La Grèce la théologie, maintenant Rome lui
a donné l’organisation ; tout cela, avec des douzaines de croyances absorbées
et rivales, est entré dans la synthèse chrétienne. »
Vers le quatrième siècle, la hantise des
reliques était devenue si grande que quelques dirigeants chrétiens s’érigeaient
contre elle en disant :
« Une
observance païenne présentée dans les églises sous le manteau de la religion…le
travail des idolâtres. » (Note Thomas : rappelez-vous, dans la tradition juive,
de l’immense attrait d’Esaü/Edom pour l’idolâtrie.)
Ainsi qu’un érudit catholique l’admet
aisément, avec l’avènement de Constantin les « diverses coutumes de la
culture romaine antique ont coulé dans la liturgie chrétienne… » ( The
Early Liturgy, pp. 130, 133).
Comme Will Durant l’a dit : « les
îles païennes se sont propagées dans la mer chrétienne. »
Les chrétiens du premier siècle, encore
pleinement ancrés dans la Torah et dans le judaïsme biblique d’Abraham d’Isaac
et de Jacob, se voyaient comme confrontant le monde et évitaient tout contact
avec le paganisme. Tout cela a changé pendant le quatrième siècle quand
l’Église émergea en tant qu’établissement public dans le monde où elle «
absorba et christianisa les idées et pratiques religieuses païennes. »
De la même façon que l’Esprit
d’Edom/d’Esaü développe une haine envers Israël, nous voyons clairement cette
haine contre les juifs dès les débuts du catholicisme romain.
Dans son excellent ouvrage « Ton peuple
sera mon peuple », Don Finto déclare :
« L’empereur Constantin convoqua le
concile de Nicée en 325 ap. J.-C., pour résoudre quelques problèmes doctrinaux,
certes, mais il voulait aussi s’assurer que l’Eglise s’était séparée et
débarrassée une fois pour toutes de ces « vermines polluées » qui
avaient tâché leurs mains par « un crime abominable ». Il fallait qu’ils
trouvent une autre date de la Pâque pour célébrer la résurrection. La Pâque
était trop juive !
Constantin écrivit aux évêques rassemblés
à Nicée : « dans la célébration de cette fête la plus sainte, il
apparaît comme une chose indigne que nous suivions la pratique des Juifs… »
Et quelques années plus tard,
Jean-Chrysostome osa assurer à son troupeau : « vous avez été établi à
leur place ».
Et quand arriva le deuxième concile de Nicée
en 787 ap. J.-C., les Juifs croyants devait apporter la preuve qu’ils étaient
chrétiens. Par exemple, la communion leur fut refusé, par décret du concile de
l’Église, à moins qu’ils ne renoncent à observer le shabbat (4ème commandement
de Dieu) ou tout autre coutume juive (Note Thomas : ainsi que plusieurs lois de Dieu qui, avant d’être des
« lois juives », sont avant tout Les Lois de Dieu valable pour tout
convertis juif ou non juif de chair). Dans certains cas, ils durent même prouver leur dédain pour leurs
racines en mangeant du porc devant témoins. Plus tard, les conciles de
Latran de 1179 et 1215 ap. J.-C., ordonnèrent aux juifs de vivre dans des
quartiers différents et de porter des vêtements distinctifs. C’est ce qui
ouvrit la voie aux ghettos et à l’étoile jaune exigée, avant et pendant
l’époque de l’Holocauste nazi.
Afin de montrer à quel point l’église
s’est détaché de son héritage juif, lisez les extraits de profession de foi
qu’un juif devait dire à son baptême dans l’Église catholique :
« Je renonce ici et maintenant à tous les
rites et observance de la religion juive, je déteste toutes les cérémonies et
ses croyances des plus solennelles que j’avais conservées est célébrées dans
les temps passés. Je promets que je ne retournerai jamais plus au vomi de la
superstition juive. Jamais plus, je n’accomplirait de fonction dans le
cérémonies juives auxquelles je m’étais adonné, ni ne les chérirai. J’éviterais
toute relation avec les autres juifs et je n’aurais d’amis que parmi les
chrétiens. Je ne m’associerai avec aucun de ces Juifs maudits qui refusent le
baptême. Je renonce à tout le culte des Juifs, la circoncision, tout sont
légalisme, le pain sans levain, la Pâque, le sacrifice des agneaux, la fête des
semaines, les jubilés, les trompettes, l’expiation, les tabernacle, et toutes
les autres fêtes juives, leurs sacrifices, prières, aspersions, purifications,
expiation, jeûnes, shabbat, nouvelles lunes, nourritures et boisson. Et je
renonce absolument à toute coutume et institutions de lois juives. En un mot,
je renonce absolument à tous ce qui est juif ».
Même Luther qui avait bien commencé,
s’était au final retourné contre les Juifs.
Si le grand péché
des juifs fut le rejet du Messie, le grand péché des chrétiens serait le mépris
du peuple d’Israël et le rejet de la loi de Dieu en pensant que
« l’Église » remplacerait le peuple de Dieu (Israël), et que les les
commandements de Dieu dans la Torah seraient uniquement des lois juives
bien qu’ils font en réalité pleinement partis de la Loi du Dieu Tout Puissant
pour ceux qui se réclament de Lui, juif premièrement et non juif. »
Tout est dans la Torah, il suffit de
savoir la lire sans mépriser « ceux à qui les oracles de Dieu ont été
confiés »(Rom 3.2). Rappelons qu’Esaü a désobéi à la volonté, et à l’autorité
de ses parents et que son comportement fut un sujet d’amertume pour le
coeur d’Isaac et de Rebecca. Lorsqu’Esaü eut atteint quarante ans, la Torah
nous dit qu’il épousa deux femmes de la tribu cananéenne des Hittites. Les
épouses non « Avrahamiques » d’Essaü causèrent « l’amertume dans l’esprit
d’Isaac et de Rebecca ». Les Sages commentent qu’elles continuaient à servir
des idoles, leur offrant de l’encens.
Esaü savait qu’il ne devait pas épouser de
femmes cananéennes, car elles le persuaderaient d’adorer leurs faux dieux.
Pourtant, ses 2 premières femmes furent cananéennes (il y a ici un rappel
évident pour ceux qui se disent convertis à Dieu mais qui pensent qu’ils
peuvent épouser des païens sans que cela ne crée de graves troubles). Regardons
la première femme :
« Esaü, âgé de quarante ans, prit
pour femmes Judith ( Yehoudit) »(Genèse 26:34).
Notons que la première femme d’Esaü s’appelle Judith ( Yehoudit) =
« Juive ». Cette femme était une cananéenne, pourquoi alors l’appeler
du nom qui signifie « juive » alors qu’elle ne l’est pas et qu’elle
est cananéenne ?
Rachi explique qu’en réalité, elle
possédait un nom différent mais qu’Esaü l’appelait « Yehoudit » pour faire
croire à son père qu’elle avait réellement adopté le service du D.ieu Unique.
Fort du principe « Maassé
avot siman lebanim » – « Tout ce qui est arrivé aux pères est un signe pour les
fils », la Torah veut nous montrer ici une claire allusion à
la Théologie du remplacement initiée par Esaü/Edom. Cette théologie du
remplacement est imprégnée d’idolâtrie et de paganisme (pratique des femmes
cananéenne d’Esaü), exactement comme nous l’avons démontré jusqu’ici. Notez que
l’Eglise catholique, bien qu’elle persiste dans l’idolâtrie, a tout de même
reconnu sa fausse théologie du remplacement sans pourtant rien changer à ses
pratiques et à son discours officiel.
Comme dit le Rav-Dynovisz : « De
couleur juive et d’origine Edomique, le christianisme romain partit de
Jérusalem. Il va ensuite s’exporter en terre païenne et va s’éloigner de sa
source monothéiste. Les chrétiens qui prirent véritablement le pouvoir
n’étaient pas d’origine juive. Les vrais juifs sont restés depuis le départ à
l’extérieur de ce processus complètement inverse à leur nature. »
En parlant des juifs, n’oublions-pas les
enseignements des pères de l’Eglise catholique, religion d’Esaü/Edom : Jean-Chrysostome
osa assurer à son troupeau : « vous avez été établi à leur place ». et
encore : « Lorsqu’il est clair que Dieu les hait, il est du devoir
des chrétiens de les haïr également. ».
C’est de cette fausse chrétienté dont
parle le Messie lorsqu’il s’adresse aux véritables convertis à Dieu qui
souffrent de leur calomnie et de leurs mensonges/haine : « Je
connais les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le
sont pas mais qui sont une assemblée de Satan. » (Apocalypse
2.9)
Derek C. White, dans son excellent ouvrage
intitulée « La théologie du remplacement »affirme : Hans
Kung, un théologien d’origine suisse qui vécu la deuxième guerre mondiale en
tant qu’adolescent, ecrivait en 1974 : le meurtre massif des Juifs par les
nazis fut l’oeuvre de criminels athées, mais, sans les 2000 ans d’histoire
chrétienne antisémite cela aurait été impossible. Hitler déclara au
cardinal Faulhaber qu’il ne faisait que ce que l’Église avait elle-même prêcher
et pratiquer contre les Juifs. Dans Mein Kampf, il avait écrit : «
ainsi je crois qu’aujourd’hui j’agis selon la volonté du tout-puissant créateur
: en écartant les Juifs, je me bats pour faire la volonté du Seigneur. »
Qui ne voit pas ici avec évidence cette
haine ancestrale d’Esaü envers Jacob dont nous parle la paracha et qui a
pleinement imprégné l’église catholique et aujourd’hui encore, une partie du
monde protestant qui pensent remplacer Israël et qui grincent des dents lorsque
l’amour de la loi de Dieu et de l’importance d’Israël est prêché ?
Ainsi, les 4 traits caractéristiques d’Esaü/Edom se retrouve dans l’empire
romain ainsi que dans le catholicisme romain dont la fusion des deux donna en
l’an 800 « le Saint empire Romain » : Haine d’Israël, rebelle aux lois de Dieu,
idolâtrie, sanguinaire.
Ces choses se sont perpétuées jusqu’à
notre époque moderne. Effectivement, l’entité « édomique » du
catholicisme s »étant alliée à l’empire romain lui aussi de nature
« édomique »(union dont les premiers jalons ont été posés
par Constantin), donna naissance officiellement au Saint-Empire
Romain en l’an 800. Ce Saint-Empire Romain pose les bases de la civilisation
occidentale et de l’Europe Chrétienne actuelle.
Il apparaît donc comme une évidence que
l’Esprit d’EDOM/ESAÜ, comme l’enseignent les sages d’Israël, se retrouve au
sein de l’empire romain puis, plus tard, au sein du catholicisme puis, encore
plus tard, au sein du Saint Empire Romain, fusion entre l’empire romain et
la religion catholique romaine.
Combien de sang a coulé par l’épée
d’Esaü/Edom sous l’empire romain et le catholicisme romain ainsi qu’il a été
prophétisé sur Esaü/Edom : « Tu vivras de ton épée» (Genèse
27.40)
Cet esprit d’Esaü/Edom, caractérisé par la
rébellion aux lois de Dieu, la haine/mépris envers les juifs, l’idolâtrie et
les apparences de piété et de justice, est répandu dans la chrétienté et dans
le monde occidentale. Ce n’est pas sans raison que Le Parlement européen a
affirmé, mercredi 17 décembre 2014, son« soutien »à la
reconnaissance d’un Etat palestinien gouverné par les terroristes du Hamas dont
la charte déclare ouvertement la destruction d’Israël et la mort des juifs…
Le protestantisme n’est que l’enfant du
catholicisme. En effet, le mouvement commença avec des catholiques et Il ne
serait donc pas inexact d’appeler les premiers protestants des
« catholiques reformés ». Bien que le protestantisme ait apporté
beaucoup de bonnes choses dans son désir de retourner aux Ecritures, il n’en
demeure pas moins porteur de l’ADN catholique et des interprétations erronées
des Saintes-Ecriture héritées du catholicisme romain.
Il n’est donc pas étonnant de retrouver au
sein du protestantisme de nombreuses similitudes telles que la rébellion aux
lois de Dieu (doctrine de la grâce permissive et de l’abolition de la loi) et
le mépris des juifs et de leurs enseignements. Ce n’est pas non plus sans
raison que l’oeucuménisme (union des catholiques et protestants) gagne toujours
plus de terrain…
Regardons ce que rapporte le site
elisrael.org :
Edom est le surnom de Rome. A cela, deux
raisons : Quand Rome arrive en Judée, elle est représentée par Hérode
l’Edomite (ou Iduméen). Les légionnaires portent de grands manteaux
rouges, car la guerre est déjà psychologique. Tous les peuples écrasés par
Rome, et la Judée en bonne place, sont plus marqués par l’effusion de sang que
par la construction de voies pavées, d’amphithéatres et de thermes.
Le christianisme impérial a prolongé Rome,
tant politiquement que spirituellement et intellectuellement. Ce n’est que
depuis le 18ème siècle que l’on éprouve moins la collusion
politico-religieuse qui a été totalitaire.
Mais l’antijudaïsme des Pères de l’Eglise
a laissé une empreinte profonde dans l’inconscient collectif occidental.
La belle apparence de la philosophie et de
l’esthétique grecque recouvre un paganisme venu du fond des âges.
La théologie du remplacement d’Israël par
l’Eglise a fixé l’identité spirituelle édomite de cet empire et de sa religion.
‘Essav est celui qui, armé de sa puissante apparence, revendique une
responsabilité spirituelle pour laquelle il n’est pas formé par D.ieu. D.ieu a
douloureusement choisi et formé Ya’âqov (Jacob). Ainsi, en plus de Rome,
Edom est devenu le surnom symbolique de la chrétienté qui prolonge la Rome
païenne.
Celle-ci, de plus en plus paganisé et
déjudaïsée avec le renfort de Constantin, affina encore durant
trois siècles son dogme de la trinité, de conciles en disputes théologiques
sanglantes. Elle pavait ainsi la voie de l’islam (cf § 525), et perdit du
coup plus de la moitié de ses diocèses-provinces en moins de 100 ans
(Proche-Orient, Asie Mineure, Afrique du Nord, Espagne, jusqu’en 732 où
« Charles Martel battit les Arabes à Poitiers ». De même que ‘Amaleq
est le petit-fils de ‘Essav (Esaü), l’islam est un sous-produit de la
dégénérescence théologique chrétienne.
On ne peut ignorer qu’il y eut une résistance
intérieure, puisque certains versets de l’Apocalypse (13 :11)
néo-testamentaire annonce cette prostitution et une bête « qui a
deux cornes d’agneau mais qui parle comme un dragon ».
L’islam s’en est pris à la chrétienté,
comme celle-ci s’en était prise à Israël, en vertu du même principe théologique
du remplacement.
Note Thomas : en Hébreu et dans la Torah,
c’est ce que l’on appelle « Mida Kenegued Mida » (Mesure pour mesure)
: on récolte ce que l’on sème. Le Shaliah Polos (apôtre Paul) enseigne ce principe
spirituel torahique en Galates 6.7 : « Ne vous y trompez pas : on ne
se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. »
Ce que la chrétienté a voulu faire aux
Juifs, c’est ce que l’Islam lui a infligé à elle-même au 7ème siècle.
Si le « Nouveau Testament » remplace « l’Ancien », alors
le coran, suivant la même logique, le surclasse à son tour
inévitablement, simplement parce qu’il lui est postérieur. Mahomet fait
d’Avraham et de Jésus, promus musulmans à titre rétroactif, ses simples
précurseurs. Il prétend que Juifs et Chrétiens, pourtant privilégiés en tant
que « peuples du Livre », ont falsifié les Ecritures, et que Ismaël
est le fils de la promesse (au lieu de Isaac).
La théologie
chrétienne du remplacement d’Israël par l’Eglise trouve son maître dans
l’Islam : Mesure pour mesure, un juste retour de boomerang.
Esaü et
Edom, Charlemagne et l’Europe chrétienne
Comme nous l’avons dit, de l’an 300 à 800,
nous voyons l’alliance entre la politique romaine et la religion catholique
païenne se mettre en place et aboutissant à la naissance du Saint Empire Romain
en l’an 800 pour une domination de près de 1000 ans qui se terminera en 1806.
CHARLEMAGNE est le 1er empereur du Saint
Empire Romain, couronné par le Pape léon III en l’an 800. Retenez bien
cela : la symbolique de Charlemagne comme celui inaugurant le Saint Empire
Romain est très forte.
Le personnage de Charlemagne est un
personnage clé qui va nous aider à prouver et à sceller la nature spirituelle
de l’Europe chrétienne qu n’est rien d’autre que celle d’Esaü/Edom.
Regardons quelques ressemblances entre
Charlemagne et Esaü/Edom : Tout comme Esaü, l’activité principale de
Charlemagne est la chasse. Tout comme Esaü, Charlemagne est une personne forte
et virile. Tout comme Esaü, Charlemagne embrasse la religion païenne
et idolâtre. Tout comme Esaü, Charlemagne est sanguinaire et possède un
appétit pour le rouge sang : Le documentaire « sacré Charlemagne » de
l’émission « secret d’histoire » rapporte : Charlemagne impose le baptême sous
peine de mort ; déportation, pillage, réduction en esclavage, Charlemagne est
cruel envers tous ceux qui n’adhèrent pas de près ou de loin à son règne et au
catholicisme. Un autre exemple de la vie de Charlemagne un peu antérieur aux
autres événements : A verdennes, en 782, la guerre culmine dans l’horreur : Il
récupère environ 4500 otages, des jeunes garçons et des hommes dans les
villages du sud de la saxe et pendant une journée entière, il les fait tous
décapiter les uns après les autres. L’eau du fleuve à côte duquel s’était passé
cette tuerie était complètement rouge à cause des décapités. Le moindre
manquement était punit de mort. Si on mangeait de la viande le jour
de carême, c’était également la mise à mort instantanée.
Criminel de
guerre et fanatique religieux ayant terrorisé beaucoup de pays d’Europe, les
immenses côtés sombres de Charlemagne sont rarement exposés au grand public et
pourtant…
Charlemagne est encore mis en honneur
par une partie du monde catholique…
Regardons également en détail un lien
souvent méconnu entre Charlemagne, Esaü/Edom et l’Allemagne : Dans les
anciens écrits des sages d’Israël datant d’il y a plusieurs milliers d’années,
l’extermination du peuple juif programmée par l’Allemagne nazie était déjà
annoncée.
Il faut pour cela se rendre dans la Torah
orale (Guémara, traité Méguila) :
« Sauve-moi
donc de la main de mon frère, de la main de Essav(Esaü) ; car j’ai peur de lui,
afin qu’il ne vienne pas et me tue la mère avec les enfants. » (Genèse 32.12)
De quoi Yaacov (Jacob) a-t-il donc bien pu
avoir peur ? Dieu ne lui avait-il pas dit qu’Il le protégerait ?
Voici l’explication du Talmud :
Rabbi its’hak demande l’explication de ce
verset : « N’accorde pas, Maître du monde, aux demandes des méchants,
ne laisse point s’accomplir leurs perfides desseins… »(Psaumes 140)
Rabbi Its’hak répondit :
C’est Yaacov (Jacob) qui demanda à Dieu de
ne pas laisser l’ennemi accomplir ses desseins et cet ennemi c’est
Germamia de Edom (Essav), car si cet ennemi réussissait, il détruirait le monde.
Et Rachi (11ème siècle) commente :
Germamia, c’est un des royaumes d’Edom.
Rabbi Yaacov Hemdin explique :
Rachi a voulu dire Germania (l’Allemagne). (Guemara Meguila, 6a.)
Effectivement, qui pourrait contester la
haine d’Hitler envers les juifs, caractéristique principale d’Esaü/Edom comme
il est dit :
« Esaü conçut de la haine contre
Jacob (…) je tuerai Jacob, mon frère. » (Genèse 27.41)
Et bien, sachez que selon les historiens,
Charlemagne serait germain. Le lieu de la naissance de Charlemagne
n’est mentionné dans aucune source d’époque. La plus ancienne indication, qui
concerne Ingelheim en Allemagne, vient de Godefroi de Viterbe (auteur
italien du xiie siècle) et est retenue par certains auteurs.
Non seulement Charlemagne serait germain
mais c’est précisément son icône qui est « comme par hasard » reprise
par les Nazis.
Ce n’est pas sans raison
qu’à l’occasion de la tenue du 7ème congrès du parti nazi en septembre
1935, lorsqu’Hitler est au sommet de sa force, le maire de Nüremberg remet à Hitler une copie de l’épée de
Charlemagne. Ce 7ème congrès de Nüremberg est également tristement
resté célèbre car c’est précisément à cette occasion qu’Hitler annonce dans
plusieurs discours l’adoption de lois antisémites, les lois de Nüremberg. La
« loi sur la citoyenneté allemande » enlève aux Juifs leurs droits
civiques ; la « loi sur la protection du sang allemand et de l’honneur
allemand » interdit les mariages entre Juifs et Allemands (les mariages
déjà contractés étant dissous) ainsi que toute relation sexuelle entre Juifs et
allemands. Ces lois de Nüremberg, qui flattent un antisémitisme populaire et
sont plutôt bien accueillies dans certaines parties de la société allemande,
ouvrent la voie d’une politique antisémite qui ne va cesser de se radicaliser
jusqu’à la guerre (Nuit de Cristal en 1938), pour prendre ensuite le caractère
d’une véritable extermination.
Le lien est évident : l’épée de
Charlemagne est remise à Hitler lors du seul congrès qui adopte les lois
antisémites aboutissant à la Shoah. Egalement, ce n’est pas sans raison qu’une
division française SS va même porter son nom : 33ème division de la SS
Charlemagne : ce sont autant d’indices nous montrant la source spirituelle
cachée derrière les événements.
Les Allemands
et les collaborateurs avaient fait de Charlemagne une figure principale de la
collaboration franco-allemande et de la haine antijuive. Encore une marque
évidente du caractère d’Esaü/Edom.
Ainsi, en tant que premier empereur du
Saint-Empire Romain, nous avons de nouvelles preuves évidentes de
l’appartenance édomique de Charlemagne de part ses multiples points communs
avec Esaü/Edom.
Lisez attentivement la suite afin de
comprendre définitivement en quoi l’Europe Chrétienne correspond parfaitement à
Esaü/Edom
La renaissance du Saint Empire Romain
Winston Churchil, dans un discours après
la seconde guerre mondiale, parlait de l’importance pour les pays
européens d’après guerre de s’unifier et de créer les « États-Unis
d’Europe ».
Le figaro magazine le
déclare sans gène : « L’Union européenne constitue à bien des égards un
retour du Saint-Empire romain germanique, ce vaste ensemble politique qui, au
Moyen Âge, avait pour noyau et centre décisionnel l’Allemagne. »
Il existe là
aussi une multitude d’indice et de détails qui prouve de manière formelle
l’identité spirituelle de l’Europe : un nouvel empire romain correspondant
au caractère spirituel d’Esaü/Edom. Regardons ensemble les étapes de la
construction européenne et les indices associés indiquant qu’il s’agit ici de
la renaissance du Saint-Empire Romain « à la sauce moderne ».
En 1957 : traité de Rome aboutissant à un
marché commun dont l’objectif ultime est une union politique. En soit, le nom
du traité est déjà très significatif. Le nombre de pays va en augmentant : 6
puis 9 puis 12 puis 15.
En 1992 : Traitée de Maastrich et barrière
économique renversée : l’objectif est de passer d’une union économique à
union politique.
En 1999 : monnaie commune de l’euro.
En 2004 : 25 nations ont fusionné leur
propre économie. En 2007 : 27 membres dans l’Union Européenne dont le nom est
définitivement adopté. C’est la Puissance économique numéro une dans le monde
avec 500 millions d’habitants.
La première tentative de monnaie fabriquée
en 1987 est l’ECU (Unité de compte européenne). Regardez le personnage choisit
pour symboliser cette monnaie européenne : CHARLEMAGNE.
Les membres de l’UE ont décidé d’attribuer
une récompense annuelle au chef d’état qui ferait le plus d’efforts pour
contribuer à promouvoir l’unification européenne. Clinton a par exemple
reçu ce prix en l’an 2000 pour avoir évincé avec l’aide de L’OTAN Slobodan
Milosevic qui s’opposait à la rentrée de la Yougoslavie en Europe.
Devinez le nom du prix ? CHARLEMAGNE !
Quel est l’endroit où est remis le prix Charlemagne ? Hacken en Allemagne dans
la cathédrale construite par Charlemagne en l’an 800.
Dans l’hebdomadaire le plus important et
le plus suivi en Europe, « The economist », chaque
semaine une page est consacrée à l’avancée de l’unification
européenne.
Le nom de la page ? Vous l’avez deviné
: CHARLEMAGNE.
Ce n’est pas tout : Il y a un bâtiment
spécial situé à Bruxelles (siège sociale de l’UE) pour analyser les demandes
d’adhésion à L’UE.
Ce bâtiment s’appelle : « CHARLEMAGNE
BUILDING ».
Regardons un autre indice caractérisant
la Renaissance du Saint Empire Romain dans l’entité appelé Union
Européenne.
Regardez le drapeau de l’UE : un drapeau
bleu avec 12 étoiles ? Pourquoi ? Cela ne correspond pas aux nombres d’États dans l’UE. Paul M.G.
Lévy, Le créateur du drapeau croyait que Le Saint Empire romain devait avoir
son élément saint sur le drapeau. En tant que catholique dévoué, il croyait que
la femme de l’apocalypse qui donna naissance aux 12 étoiles représentait la
vierge Marie : l’Europe est donc sous la bannière de Marie.
Enfin, le 3
novembre 2009, l’entité de l’UE est complètement née. Tout le monde signe le
traité de la constitution des Etats-Unis d’Europe à Lisbonne. Devinez où ?
Dans un Monastère catholique.
Ainsi, le Saint
Empire Romain « moderne » venait de renaître de ses cendres et
l’Europe possède désormais son président.
Sources de toutes ces informations sur
Charlemagne : Partie 07 de la série vidéo « Comprendre la fin des temps » de
Irvin Baxter.
Nous avons prouvé auparavant que le
Saint-Empire Romain (800-1806) était une alliance entre la spiritualité d’Edom
(Catholicisme romain) et la politique d’EDOM (empire romain).
Résumons brièvement ce que nous avons vu
jusqu’à présent : Lorsque Rivka (Rébecca) était enceinte de Jacob et Esaü, Dieu
lui dit : deux nations qui se combattront sont dans ton ventre. Jacob
deviendra le peuple d’Israël composé des juifs selon la chair et des non juifs
greffés sur Israël par la foi en Yéshoua et suivant la Torah (Saine Doctrine).
Esaü/Edom deviendra une nation hostile à Israël et son esprit perdurera et se
répandra notamment dans l’empire romain dont plusieurs personnages importants seront
édomites. Cet esprit d’Esaü/Edom se répandra également dans la nouvelle fausse
religion naissante du catholicisme et formera avec l’empire romain, en l’an
800, le Saint-Empire romain. Celui qui inaugure le Saint Empire Romain
est Charlemagne. Charlemagne a les traits de caractère d’Esaü : Chasseur,
fort, virile, sanguinaire et idolâtre. La religion du Saint empire romain est à
l’image d’Esaü : rebelle aux lois de Dieu, idolâtre et antisémite.
Charlemagne est Germain. Les sages d’Israël ont prédit la Shoah de
l’Allemagne Nazie et L’icône de Charlemagne est reprise par les nazis au moment
de l’adoption des lois antisémites : section SS Charlemagne, épée de
Charlemagne offerte à Hitler à l’occasion des lois antisémites de Nüremberg.
Les sages d’Israël ont également prédit qu’il s’agissait de l’oeuvre de l’esprit
d’Esaü/Edom et que l’Allemagne est un royaume d’Edom.
Ainsi, en adoptant Charlemagne comme icône
du Saint Empire romain, la naissance de l’Europe prouve en elle même son
caractère édomique conduisant à la renaissance du Saint-Empire Romain :
monnaie de l’ECU avec l’effigie de Charlemagne, page Charlemagne dans le
magazine The economist, prix Charlemagne offert dans une cathédrale aux
meilleurs promoteur de l’UE, Bâtiment du siège à Bruxelles appelé Charlemagne,
Drapeau de L’UE catholique et constitution européenne signé dans un monastère
catholique. Et évidemment, comme le titre le journal le monde, L’Allemagne, au
travers d’Angela Merkel, est le vrai patron de l’Europe : Angela Merkel, vraie patronne de
l’Europe
Sachant que le Saint-Empire Romain est
représentatif de l’esprit d’Edom/Esaü, une grande quantité
d’indices démontrent avec certitude que l’Europe et son héritage
catholique, correspond effectivement à une renaissance du Saint Empire Romain
et correspond donc à Esaü/Edom. C’est ici une clé infiniment grande pour
comprendre les prophéties de la fin des temps faites sur EDOM.
Enfin, prenons également garde aux fortes
symboliques entourant la mise au tombeau de Charlemagne. Car si Charlemagne est
l’icône de l’Europe chrétienne, alors les symboles entourant sa mort deviendront
également les symboles de la mort de l’Europe chrétienne, nous indiquant la
destinée de tous ceux qui adhéreront à l’esprit d’Esaü/Edom :
Charlemagne est
enterré dans un tombeau romain dont les sculptures représentent
l’enlèvement de Prosperine par Pluton, Prince des ténèbres et de l’enfer
(mythologie païenne). Alexandre Lenoir dans l’ouvrage « Description
historique et chronologique des monuments de sculpture réunis au Musée des
monuments français » écrit : « Il est plus que démontré
que Prosperine et Pluton, allégoriquement employés à la décoration des
tombeaux, représente les ténèbres. »
Ainsi Charlemagne, cette icône de
l’Europe, du Saint-Empire Romain et d’Edom/Esaü, voit son tombeau et son lieu
de repos éternel être représenté par l’Enfer et les ténèbres…
N’est-il pas écrit :
« Edom sera un objet de
désolation; » (Jérémie 49.17) et encore
: « Si Edom dit : Nous sommes détruits, Nous relèverons
les ruines ! Ainsi parle l’Eternel des armées : Qu’ils bâtissent, je
renverserai, Et on les appellera pays de la méchanceté, Peuple contre lequel
l’Eternel est irrité pour toujours. » (Malachie 1.4)
L’EUROPE ET LE
MONDE ARABO-MUSULMAN : L’alliance d’Esaü/Edom avec Ismaël.
Maintenant qu’il a été démontré que
l’Europe chrétienne correspond très bien à l’idéologie et à l’emprunte
spirituelle d’Esaü/Edom, rentrons dans le vif du sujet et regardons ce que la
paracha nous enseigne au sujet des relations entre Ismaël et Esaü/Edom, c’est à
dire entre l’Europe chrétienne et le monde arabo-musulman. La paracha nous
montre avec une stupéfiante précision tous les mécanismes aboutissant à la
dramatique situation mondiale actuelle.
N’oublions pas que la Torah n’est pas un
livre d’histoire : elle nous révèle et nous dévoile les structures
fondamentales de l’histoire humaine. Ainsi, lorsque nous voyons le personnage
d’Esaü et de Jacob, cela fait également référence aux peuples qui en
sortiront et aux idéologies qui en découleront et qui restent valables jusqu’à
la fin de l’histoire humaine comme cette étude le prouve.
Esaü a donc pris une femme cananéenne puis
plus tard, au chapitre 28, verset 9 de la Genèse, nous lisons : « Alors
Esaü alla vers Ismaël et prit pour femme Mahalat, fille d’Ismaël, fils
d’Abraham, sœur de Nevayot, en plus de ses premières femmes ».
Il convient ici de
rappeler qui est Ismaël. Ismaël est le fils qu’Abraham eut avec
Agar, la servante de sa femme Sarah.
Ismaël engendrera le peuple ismaélite dont
les descendants sont aujourd’hui le monde arabo-musulman. Les principaux
responsables religieux du monde musulman enseignent effectivement que leur
ancêtre est Ismaël.
Ces deux mariages d’Esaü préfigurent, pour
le premier, la période dite judéo chrétienne pendant laquelle la chrétienté a
voulu se parer du nom de Nouvel Israël (mariage avec la cananéenne à qui Esaü
donna le nom de « juive » alors qu’elle ne l’était pas), quant
à la deuxième période (mariage avec la fille d’Ismaël), elle
correspondrait à la situation actuelle où l’on assiste à un certain
rapprochement, voire une connivence entre l’Occident chrétien et l’Islam. Par
la suite, Esaü se sépara de la fille d’Ismaël et se révolta de façon très
cruelle contre les enfants d’Ismaël (correspondant au conflit entre Islam et Occident
malgré leur alliance)…
Les sages enseignent que cette fin de
paracha où l’on aperçoit l’alliance entre Esaü et Ismaël correspond à ce qui
passera à la fin de l’histoire : alliance entre Esaü et Ismaël qui est une
préfiguration de l’alliance entre l’Europe chrétienne et l’Islam (puis la
guerre entre les deux comme l’indique la future séparation entre Esaü et la
fille d’Ismaël).
Nous voyons également le lien de
consanguinité entre Esaü et la fille d’Ismaël. Les deux sangs se sont mélangés
: celui des Edomites et celui des Arabes. En clair, cela nous montre qu’Esaü
n’a eu aucun respect pour la véritable foi de sa famille, leur rapport avec
YHWH, et leurs coutumes. Nous voyons ce même comportement aujourd’hui chez les
croyants, qui prennent des païens en mariage et/ou font la promotion de
l’oeucuménisme, c’est à dire le syncrétisme entre protestantisme et
catholicisme. Ils n’ont aucun respect pour leurs parents et leur véritable foi
dans le Messie Yeshua, qu’ils déshonorent.
Daniel Steen enseigne :
« Le mariage d’Edom et de la fille
d’Ismaël est une réalité qui s’accomplit de nos jours. L’Occident a fait
alliance avec l’Orient sous le nom d’Eurabia. Par ailleurs, Ismaël est un
homme indomptable, difficile à vivre, la prophétie le concernant dit :
Gen 16/12 : « Il sera comme un âne
sauvage; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui; et il
habitera en face de tous ses frères. »
Dans le Psaume 83 nous voyons que cette
alliance n’a pour but final que de détruire Israël : « Ils se concertent tous d’un même cœur, Ils font une alliance contre
toi; Les tentes d’Edom et les Ismaélites »
Ce mariage entre européens et arabes
représente essentiellement un intérêt économique pour les européens et un
intérêt spirituel pour les musulmans. Les uns voient le moyen d’obtenir le
pétrole et de vendre des armes, les autres voient en l’Europe une immense
région, puissante et riche, qui s’offre comme champ d’islamisation. (Source :
http://www.michelledastier.com/le-conflit-israelo-arabe-et-ses-nombreux-aspects-caches-par-daniel-steen/)
Depuis des millénaires, les prophètes de
la Bible et les sages d’Israël ont annoncé qu’à la fin des temps, le monde
musulman (Ismaël) s’unira et fera la guerre avec ce qui est
aujourd’hui appelé l’Europe chrétienne (Edom ou Esaü).
Le Ravdynovisz, dans son cours du 14
novembre 2015 intitulé « La troisième guerre mondiale débutera en Syrie »,
rapporte un enseignement assez interpellant :
Le talmud rapporte une chose des plus
étonnantes à propos d’une loi sur les menstruations de le femme. Les sages du
Talmud rapportent quelque chose d’incroyable à propos des différentes couleurs
du sang que la femme perd durant ses règles, ce qui la rend « nida »,
c’est à dire interdite à son mari. Effectivement, l’écoulement de sang d’une
femme « nida », selon la Torah, la rend interdite à son mari
(Lévitique 18).
Note Thomas : La femme est interdite à son
mari en période de « Nida ». Comme l’enseigne Paul, la Torah est
avant tout spirituelle. Nous voyons ici un des aspects spirituels de l’interdiction
du sang : cela représente aussi l’interdiction de Dieu pour son peuple de
s’unir avec Edom/Esaü qui est représenté par le sang comme nous l’avons vu plus
haut… Cela en dit long car tant que le peuple de Dieu est lié au
monde catholique(Edom) via des mouvements comme l’oeucuménisme, tant
que le peuple de Dieu est lié à l’idéologie de l’Occident(Edom), c’est
comme si il avait des relations interdites avec une femme Nida…
Le Talmud cite une autre couleur de sang
« étrange » qui est le noir. Les sages d’Israël se posent la
question : « Le noir, est-ce du sang, est-ce Edom pour pouvoir dire qu’elle est
interdite à son mari ? » Le talmud répond : « quand tu verras que le rouge se
transformera en noir, c’est que c’est la fin du rouge, de Edom. »
Un des signes indiquant la fin de l’Occident,
c’est lorsque tu verras à sa tête un noir. Depuis des siècles, les sages
d’Israël affirment : « lorsque tu verras quelque part une personne de
couleur noire à la tête d’Edom, c’est que le moment est venu pour Hashem (Dieu)
de frapper Edom ». Tout le monde le sait : depuis 8 ans, Obama a un
projet clair : détruire l’Occident.
Note Thomas : Obama est le premier
président noir des Etats-Unis et correspond parfaitement à l’enseignement des
sages d’Israël dans le Talmud. Lorsque l’on sait qu’Obama est un musulman
(Ismaël) à la tête de l’Occident (Edom) et que les Etats-Unis sont
effectivement responsables en grande partie de la création de Daesh et de
l’Islamisation de l’Europe, tout prend ici son sens et les enseignements de la
Torah viennent s’accorder parfaitement dans cette connivence entre
Esaü/Edom et Ismaël aboutissant à un grand conflit qui est en vérité le
jugement de Dieu sur Edom…
Il y a presque 2 000 ans déjà, un sage
d’Israël nommé RabbiCHIMON BAR YOHAÏ disait:
« Qui survivra à l’époque des Ismaélites
(monde arabo-musulman) ? Ce sont les enfants d’Ismaël qui livreront les
batailles finales et heureux qui ne verra pas les souffrances de l’enfantement
du Messie. De grandes hécatombes et d’immenses affrontements se prépareront
dans le pays d’Edom (Rome, Europe chrétienne), et conduiront à l’anéantissement
d’Ismaël et de Rome (Europe chrétienne). C’est un jour de vengeance pour
l’Eternel, une année de représailles pour la cause de Sion. » (Sanhedrin
98)
Edom (Europe, USA) s’est vendu à Ismaël
(les pays pétroliers arabes) en choisissant une liberté rebelle aux lois de
Dieu : c’est ici parfaitement l’esprit d’Edom que l’on retrouve en Occident…
C’est encore pour cela que les sages d’Israël disent que l’Occident, c’est
Edom. Spirituellement, c’est vrai… On voit clairement la haine de l’Europe
(Esaü=Edom) vis à vis d’Israël, et son alliance avec Ismaël(monde musulman)
aujourd’hui sous nos yeux. C’est exactement ce que l’on voit dans notre
paracha. C’est aussi pour cela que dans la tradition juive, Ésaü est le père
des civilisations occidentales, notamment de l’Empire romain, dont la «
descendance » est le christianisme de Constantin. Comme nous l’avons prouvé,
c’est aussi d’EDOM qu’est né le pays de GUERMAMIA ou Esaü s’est installé, qui a
donné après des siècles l’ALLEMAGNE d’Adolf Hitler : La haine d’Esaü
matérialisée envers son frère Jacob par la Shoah (Extermination des enfants
d’Israël).
« Esaü conçut de
la haine contre Jacob » (Genèse 27.41)
La fin de notre paracha montre donc
cette Alliance d’Esaü/Edom avec Ismaël (les Arabes) (au lieu de choisir
l’alliance avec Israël) :
« Et Esaü s’en alla
vers Ismaël. Il prit pour femme, outre les femmes qu’il avait,
Mahalath, fille d’Ismaël (Genèse 28.9).
Notez bien le nom de la fille d’Ismaël «
Mahalath » en hébreux. Ce nom a plusieurs sens et il veut notamment
dire« Fou, folle, malade ». Ainsi, nous voyons clairement le mariage d’Esaü/Edom avec la partie folle
d’Ismaël (Mahalath), cette partie radicale que l’Europe finance et permettant,
par exemple, à Daesh d’exister et de se renforcer.
Au IIème siècle, un sage d’Israël, Rabbi
Eliezer Ben Hurcanos fait un intéressant commentaire sur ce passage :
« Au coucher du soleil, un profond
sommeil tomba sur Abram; et voici, une frayeur et une grande obscurité vinrent
l’assaillir. » (Genese 15.12)
Rabbi Eliezer affirma que le monde
arabo-musulman se propagera, s’étendra et par leur violence, ils feront venir
le Messie. N’est-ce pas précisément ce que l’on vit ? Tout est stupéfiant
de précisions et de vérité.
Rabbi Eliezer a également dit dans son
ouvrage Pirké De Rabbi Eliezer :
« Ismaël dominera 1300 ans sur la terre
sainte : 100 ans pour chaque année de sa circoncision. Dans ce temps-là, les
fils d’Ismaël construiront un édifice sur le Mont du Temple ».
Comme le remarque Jean-Marc Thobois : «
Rappelons que Rabbi Eliezer Ben Hurcanos vivait au deuxième siècle après
Jésus-Christ. De son temps, le pays d’Israël était sous la domination des
Romains. C’était l’âge d’or de l’empire romain. Les Arabes n’étaient qu’une
petite tribu, perdue au fond de la péninsule arabique, vivant de dattes et de
lait de chamelle. Il n’y avait pas de pétrole, pas de pétrodollars ; il n’y
avait pas d’ONU, pas de Ligue arabe… Il n’y avait pas toutes ces réalités qui font
aujourd’hui la puissance du monde arabe.
Humainement parlant, personne ne pouvait
imaginer au deuxième siècle après Jésus-Christ, à l’apogée de l’empire romain,
qu’un jour l’Islam balaierait tout cet empire romain pour s’installer à sa
place et qu’il dominerait sur la terre sainte.
Et pourtant, se basant sur les textes
bibliques, Rabbi Eliezer avait pu annoncer ces choses.
Et faisant cette lecture prophétique – ce
qui est arrivé aux pères est une prophétie de ce qui arrivera à leurs fils – il
a pu dire : les fils d’Ismaël domineront 13 siècles sur la terre sainte.
Pourquoi ? Parce que, quand il a été circoncis, Ismaël avait 13 ans et, par
conséquent, la domination de ses descendants sur la terre sainte durera un
siècle pour chacune des années qui étaient les siennes quand il a été
circoncis.
Et à partir du moment où ils possèderont
la terre sainte, ils établiront un édifice sur le Mont du Temple. Rabbi Eliezer
ne dit pas quelle sera la nature de cet édifice. Il dit simplement un édifice.
Cet édifice chacun peut le voir aujourd’hui quand il va à Jérusalem. Ce sont
ces fameuses mosquées qui sont sur l’emplacement de l’esplanade du Temple. Les
mosquées n’existaient pas à cette époque-là parce que l’Islam n’existait pas…
Rabbi Eliezer est allé plus loin. Il a dit
: “Entre le moment où commencera à être construit cet édifice jusqu’au moment
où prendront fin les droits des fils d’Ismaël, il y aura exactement 1300 ans.”
Les Arabes ont conquis Jérusalem en 638
après Jésus-Christ. Dix ans plus tard, en 648, le calife Omar a commencé à
construire sur l’emplacement du Temple, la fameuse coupole d’or qui porte son
nom. Si l’on ajoute 1300 ans à 648, cela donne 1948, date de la renaissance du
pays d’Israël !
Rabbi Eliezer ne s’est pas trompé, c’est
exactement ce qui s’est produit. »
Dans le Yalkhout Chimoni (recueil de
midrachim datant de plus d’un millénaire) parachat Lekh Lékha 14, nous pouvons
lire :
« Le messie ‘grandit’ sur Ismaël ».
C’est-à-dire qu’Ismaël est le « véhicule » qui, malgré lui, prépare et approche
la venue du Messie.
Le Baal hatourim (14e siècle) fin parachat
‘Hayé Sara déclare : « Quand Ismaël tombera à la fin des temps, alors viendra
le Messie ». (Rabbi ‘Haïm Vital).
Tout concorde, tout est là, sous nos yeux…
L’ultime signature
d’EDOM avec la pointe de l’épée d’Ismaël d’un signe qui signifie la MORT.
Maintenant, que nous avons vu en détail
les différents acteurs de cette paracha, leurs interactions avec les peuples,
les idéologies et les prophéties qui leurs sont associées au sein de
l’Histoire, nous allons pouvoir comprendre et apprécier les indices
spirituels laissés lors de ces attentats. Ces indices nous permettront de
découvrir l’origine et les responsables de cette série d’attaques sur Paris.
Le groupe de Hard rock satanique du nom de
« Eagles of Death metal » (aigles de la mort) jouait « Kiss the Devil »
(Embrasse le Diable) dans le cadre de la promotion de leur album Zipper Down
(Braguette ouverte), dont les paroles principales sont : « J’aimerai le diable
».
Gardez bien à l’esprit une des nombreuses
informations que nous avons vu jusqu’à maintenant : Edom a fait alliance avec
Ismaël et par cette alliance impie, Edom fournit à Ismaël les moyens et les
ressources pour propager son idéologie assassine : L’Occident (Europe et USA)
aide et finance le terrorisme tout en trompant l’opinion public en faisant
croire faussement qu’ils combattent le terrorisme (ils font semblant), tout
ceci dans le but d’installer la guerre et la terreur en vue de relancer
l’économie, de contrôler les citoyens par toute sortes de mesures répressives
et de remodeler le monde pour aboutir à ce nouvel ordre mondial dont parlait
Sarkozy, Buch, le Pape etc. Comme disait un homme : « Je ne crois pas à la
théorie du complot. Simplement, je crois que cela n’a rien de théorique. » Pour
ceux qui serait sceptiques, allez donc voir les interviews de Philippe De
Villiers au sujet de son livre « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu
».
Daniel Steen écrit : « Tout ceci
explique :
- L’invasion de l’Europe
par les Arabes (probablement existe-t-il une Agence arabe, sur le modèle
de l’Agence Juive, qui finance l’émigration des Arabes en Europe, avec la
différence que l’Agence juive ramène les Juifs dans leur pays alors que
l’Agence arabe extrade ses ressortissants pour en faire un instrument
d’invasion et d’islamisation) ;
- La politique
anti-israélienne de l’Europe, qui admet le retour des envahisseurs arabes
en «Palestine», et la disparition d’Israël ;
- La désinformation qui
est orchestrée dans toute l’Europe contre toutes les actions
d’Israël ;
- Le transfert des
techniques dans les domaines guerriers nucléaires, de gaz chimiques,
biologiques (à l’Iraq, à l’Iran…) ;
- L’expansion de la
culture arabe en Europe et la sauvegarde des musulmans contre toute
tentative d’assimilation : la culture des immigrants est
exportée dans les pays d’accueil, les Européens proclament la grandeur de
la civilisation islamique, les Arabes fustigent les Européens pour leur
ancienne politique colonialiste et exigent «l’enseignement dans les
universités de la supériorité de la civilisation islamique… on ne parle
plus de la civilisation judéo-chrétienne mais de la civilisation
abrahamique…»…
Rappelons-nous du mépris d’EDOM envers
l’alliance de Dieu au profit de l’alliance avec Ismaël. Esaü/Edom prophétisa
ici pour la fin des temps sa propre mort :
« Esaü (EDOM) répondit : Voici, je
m’en vais mourir; à quoi me sert ce droit d’aînesse ? »
Il est important d’insister : jusqu’ici,
nous avons démontré par l’Ecriture, les sages d’Israël et par l’histoire
elle-même qu’EDOM = EUROPE Chrétienne et les USA, faisant alliance avec l’Islam
radical et le monde arabo-musulman (Ismaël). Cette alliance avec la partie
folle de l’Islam (Mahalath) se retourne contre EDOM ainsi que la relation
biblique entre Esaü/EDOM et Ismaël se termine par une séparation cruelle.
Rappelons-nous que le symbole d’EDOM/Europe est Charlemagne, dont le tombeau
était orné de représentation du diable, de l’enfer, des ténèbres…
Maintenant regardez bien les initiales du
nom du groupe de musique qui est utilisé comme leur emblème/logo (la chanson,
au moment de l’attentat, était « Embrasse le diable ») :
Oui, vous ne rêvez pas : nous
retrouvons précisément le nom d’EDOM dans cette première attaque d’Ismaël des
plus violentes subit par EDOM. Dans la mesure où la Bible nous dépeint la
foudre comme étant un signe de jugement, lorsque nous voyons la lettre « O »
ici traversée par la foudre, nous comprenons qu’il s’agit d’un signe clair de
jugement contre EDOM provoqué par EDOM lui-même par le biais d’Ismaël suivant
le principe « on récolte ce que l’on sème ».
Un homme a dit un jour : « Dieu se rit des
gens qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. ». C’est ici la
triste réalité de l’Europe et d’Edom/Esaü : Officiellement,
l’Europe/EDOM déplore l’horreur des attentats tout en ayant été, en
vérité, les initiateurs secrets de ces attentats…
Mais ce n’est pas tout, un autre indice de
poids vient s’ajouter à tout cela. Regardez bien le signe instantanément
brandis par EDOM suite à cette série d’attentats :
C’est exactement la même image, le même
symbole que la croix de Néron que voici :
La croix de Néron, qui représente la mort,
date de l’Antiquité. Elle rappelle et commémore le massacre du peuple de Dieu
(Jacob-Israël) sur ordre de cet empereur romain (Esaü/Edom). Cette croix est un
symbole de la mort. C’est un dérivé de la « croix renversée » :
Le mouvement hippie se l’est appropriée
comme étant un synonyme de sexe, drogue, anarchie, en gros tout ce qui est
contre les règles. Mais sa véritable origine est diabolique, signe et présage
de mort.
Ainsi, brandi à la face du monde, cette
série d’attentat a été marqué du sceau de la mort sur la France (Croix de
Néron), mort amenée par la rébellion d’EDOM (Europe chrétienne) et son alliance
avec Ismaël (monde arabe).
Appréciez la stupéfiante corrélation entre
les divers événements : le vendredi 13 novembre 2015 au soir est le début
du shabbat au cours duquel est étudiée la seule paracha de l’année
traitant de l’Europe chrétienne (Esaü/EDOM) et de sa haine envers le peuple de
Dieu (Jacob/Israël) ainsi que de son alliance dangereuse avec la partie
intégriste et folle du monde arabo-musulman (Mahlath, fille d’Ismaël) qui se
retournera contre EDOM/l’Europe chrétienne. A partir de cette paracha,
cela fait des milliers d’années que les sages d’Israël annoncent un conflit
final pour la fin des temps entre l’Europe (EDOM) et une partie du monde
arabo-musulman (Ismaël) tandis que le vrai peuple de Dieu (Israël/Jacob) sera
épargné/protégé quoique éprouvé/persécuté : c’est précisément au cours de ce
shabbat qu’ont eut lieu les attentats les plus terribles de l’histoire de
la France, attentats perpétrés par la frange cruelle de l’Islam
(Ismaël/Mahalath), aidé par l’Europe (EDOM), signé par EDOM (nom du groupe satanique
au bataclan), et le tout, marqué du sceau de la mort (Croix de Néron
symbolisant la mort, la cruauté et l’extermination).
Voilà une série d’indices spirituels qui
ne trompent pas et qui viennent nous dévoiler avec précision l’origine et les
responsables véritables de ces attentats. Oui, les vrais responsables sont ceux
d’EDOM(Occident) qui utilisent Ismaël (la partie cruelle du monde
arabo-musulman) dans un conflit destructeur qui se termine par le retournement
d’Ismaël contre Edom. Ce vaste ensemble est permis par Dieu qui utilise ces
différents acteurs pour juger EDOM.
En plus des alliances impies faites avec
l’Islam radical et en plus de son mépris pour Israël, l’Europe chrétienne a
approuvé et voté toutes sortes de lois impies promouvant la débauche,
l’immoralité, l’abandon de Dieu et de ses lois parfaites…
Cet attentat du 13 novembre marque bel et
bien le décret posé sur la France par cette croix de Néron brandit partout. Il
semblerait que la France, et plus globalement l’Europe, soit sous le jugement
de Dieu, Ismaël étant l’un des instruments de jugement utilisé par le seul vrai
Dieu pour châtier EDOM. Le compte à rebours est lancé.
Cependant, comme l’enseigne les sages d’Israël, la seule façon d’annuler un
mauvais décret est de rentrer dans une profonde, sincère et sérieuse repentance
(Téchouva) et de se tourner vers le Messie d’Israël comme il est dit de la
bouche même de Yéshoua : « En vérité, en
vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui
m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement,
mais il est passé de la mort à la vie. » (Jean 5.24)
Mais qui entendra ce message ? Comme
dirait le prophète :
« Qui a cru à ce qui nous était
annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? » (Esaïe 53.1)
Qu’HaShem, le Dieu de gloire véritable et redoutable nous garde dans la
foi, l’amour et la repentance, les yeux braqués sur le Messie Yéshoua, lui qui
fut élevé comme le fut le serpent d’airain fabriqué par Moïse et par lequel
Dieu guérit et sauva de la morsure du péché tous ceux qui ont
placé leur confiance dans la Parole du Dieu d’Israël, Amen !
Étude/synthèse faite par Thomas du site
rencontrerdieu.com et inspirée de sources juives (enseignements des sages d’Israël)
et de l’enseignement du Rav Dynovisz du 14 et 15 Novembre 2015.
Notre source : http://discernerlesondushofar.eklablog.com